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Dimanche 2 octobre 7 02 /10 /Oct 00:00
Voici deux infos sur le monde, dans lequel il reste encore du chemin à faire. Voici ce que rapporte Ruggero De Pas, journaliste italien et chroniqueur dominical sur France Inter à propos de l'IVG au Portugal.
Voici le fichier audio dont je vous parlait ce matin. Audio  (Fichier ram) A ecouter!!

L'interruption de grossesse n'est toujours pas autorisée au Portugal, sauf dans les cas de danger pour la vie de la mère, de risques pour sa santé physique ou psychique, de malformation congénitale du foetus ou de violences sexuelles. Lors d'un premier référendume organisé sur le sujet en 1998, les Portugais avaient dit non, à une très courte majorité (50,07%), à sa dépénalisation jusqu'à dix semaines. Le Parlement, à majorité socialiste, a approuvé hier l'organisation d'un nouveau référendum prévoyant la dépénalisation de cet acte jusqu'à la 10è semaine sur simple demande de la femme.

La date de la consultation populaire sera fixée par le président socialiste, Jorge Sampaio. Les socialistes, notamment, souhaitent que cette consultation ait lieu le 27 novembre, tandis que le principal parti d'opposition, le Parti social démocrate-centre droit (PSD), demande son organisation après les élections présidentielles de janvier 2006.


Seconde news aux états unis la chaîne de magasins Albertson's à décider de retirer un magazine pour ado 'Seventeen'. Pourquoi ? Parce qu'il y dans ce magazine une série d'articles intitulés "Vagina 101" littéralement : Premier cours sur le vagin. Raison invoquée, les images sont trop explicites. Vive l'éducation sexuelle.

Plus d'infos : http://www.cnn.com/ watch free video
Grocer pulls 'Seventeen' from shelf (1:37)


Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Vendredi 30 septembre 5 30 /09 /Sep 00:00
Une pub de Cali a reçu un avis négatif du BVP pour des références trop explicites à des propos de Jacques Chirac et Dominique de Villepin.

La maison de disques EMI a annoncé mardi 27 septembre que le Bureau de vérification de la publicité (BVP) a émis un avis négatif concernant un spot de publicité pour le nouvel album de Cali, "Menteur", qui sort le 3 octobre. Le chanteur faisait référence dans son clip à des propos de Jacques Chirac et Dominique de Villepin.

Selon EMI, le BVP a formulé cet avis négatif car la phrase prononcée par le chanteur faisait "une référence directe au programme de personnalités politiques identifiables".

Le spot, d’une durée de onze secondes, montre Cali en gros plan qui dit : "Je vais réduire la fracture sociale... en cent jours". Une double allusion au programme de Jacques Chirac pendant la campagne présidentielle de 1995 et aux cent jours que s’était donné Dominique de Villepin pour rendre la confiance aux Français après avoir été nommé Premier ministre.

Immédiatement après que le chanteur a prononcé cette phrase, une image de l’album recouvre son visage sur un bruit de gifle et une voix s’exclame : "Menteur !", du titre de l’album.

Extrait de :bellaciao.org

Le blog de Cali: http://www.caliciuri.com

Par Juju - Publié dans : La revue de presse
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Mercredi 28 septembre 3 28 /09 /Sep 00:00
Je posa la trousse discrètement sur le lavabo, et  alla m’asseoir sur le bord de la baignoire, entre mes compagnons. Je pris dans chacune de mes mains leur, sexe et plaça celui d’Alex, dans ma bouche. Comme il était encor un peu mou, je pu le prendre  en entier…j’adorais ça .pendant ce temps je branlais toujours Loïc. Enfin je les rapprocha tellement l’un de l’autre que je fis se frotteur. Leurs verges ainsi collées, je m’amusais ; un coup de langue à droite, et hop un coupe de langue a gauche... A ma grande surprise Alex pris alors une initiative. Il se serra contre Loïc, et posa sa main sur ses fesses.
 
Je ne voyais pas si il le caressai mais je le pense…Moi assise à hauteur de ces deux sexe dressés et collés l’un a l’autre j’étai aux anges…Ils étaient si collé que je parvenais a  lécher les deux en même temps en remontant ma langue depuis les testicules jusqu’aux glands. Je pouvais toucher d’une seule main 4 testicules …qu’elle excitation. Je saisi un tube de lubrifiant au fond de ma trousse, et Loic compris qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il se retourna, et  se penchant en avant, en s’appuyant sur le bord de la baignoire, offrit ses fesses à Alex. .Je mis une large noisette de lubrifiant sur mon doigt, que je pris plaisir a introduire dans son anus, ce qui provoqua un gémissement de plaisir. Alex positionna alors son gland sur l’orifice, et je commençais à le branler tout contre  cet petit trou glissant…je plaça ensuite une main derrière les fesses d’Alex et  une sur la verge de Loïc, que je commençait à caresser doucement.

J’appuya sur les fesses  et regarda le plus près possible, ce gland s’enfoncer très lentement  entre les fesses de Loïc. Je déposai quelques coups de langue sur toute cette zone, aussi bien sur la rondelle de Loïc que sur la verge d’Alex. Je dois vous l’avouer, je commençais a vraiment être excitée. Loïc commençait à gémir sous les lents assauts que son derrière subissait. J’augmentais son excitation en le masturbant le plus fort possible. Je voulais qu’il jouisse pour sa première foi. Je regardai toujours ce sexe qui rentrai de plus en plus profondément a chaque mouvement. Loïc gémissait de plus en plus, et en passant ma main sur son gland il me fit cadeau d’une grosse goutte de liquide séminal. ; D’une main je frottais son gland et de l’autre je lui massai les testicules .le pauvre n’en pouvait plus. Alex lui, continuai sa lente progression. Il rentrait maintenant la moitié de son sexe.


Tout doucement, mais d’un même mouvement, Alex rentra jusqu'à la garde. Loïc hurla de plaisir. Apres quelques lents allers-retours Alex me demanda du lubrifiant. J’en déposai sur mes doigts, avant de caresser le sexe d’Alex, puis j’en repris pour glisser de deux doigts dans l’anus bien ouvert de Loic. Une fois a l’intérieur je ne pu me retenir de jouer un peu en rentrant un troisième doigt...Je joua quelques secondes a les écarter puis ressorti  pour laisser la place  à autre chose. Alex rentra avec facilité et commença un mouvement assez rapide, tout  en faisant claquer les fesses de loic a chaque coup de butoir. Les  gémissements avaient place à un râle continu, et j’étais persuadée que malgré le plaisir et l’excitation la douleur était bien présente.


Alex continua à augmenter progressivement la cadence, et se mis lui aussi à gémir. De mon coté je rentra dans la baignoire et me glissa sous Loic. La position n’était pas  des plus confortable, en  tirant légèrement sur son sexe vers le bas je pouvais mettre celui ci dans ma bouche. Pour sa première fois je voulais lui faire l’honneur de tout recevoir.

Et je suis assez surprise, car seulement quelques secondes après avoir débuter ma fellation je senti un jet chaud, puissant,  me remplir la bouche. Comme je ne pouvais tout avaler d’un coup, je ressorti le gland et le laissa m’éjaculer au visage, sous les saccades de ma main qui parcourait sa verge. Lorsque qu’il le me regarda, j’ouvris la bouche pour lui montrer son sperme, et j’avala le tout . C’était presque sucré. Ce n’était certes pas un délice, mais ce n’étai pas aussi désagréable que celui d’Alex qui était particulièrement amer. Les garçons m’aidèrent à me redresser, et Loic me donna un baiser en me félicitant. « Merci ça t’a plu comme première fois ? », il me répondit par un grand sourire, Je me retourna vers Alex, qui bandait toujours aussi dur. On  se lave et on va dans ma chambre ? Ca vous dit les garçons ? Ca marche pour moi fit Alex en posant une main sur ma poitrine. Quelques minutes après nous nous retrouvions tous les trois sur mon lit. En arrivant, alex vint spontanément, pauser la pointe de sa langue entre mes cuisses, et délicatement m’ouvrir en glissant sont son petit morceau de chaire rose entre mes lèvres.  Pendant ce temps loic en profita pour venir me mordiller les tétons. Je n’en pouvais plus. L’extase. Se sentir tant choyé me rendait folle.  Assez rapidement alex délaissa mon sexe humide pour descendre doucement entre mes fesses.  Il se contenta, dans un premier temps de déposer de petits baisers, tout autour, sur le blanc de mes fesses. Puis il se rapprocha, , doucement avant de pauser sa langue sur toute sa largeur. Il lécha ainsi mon anus, en humidifiant un peu plus à chaque passage, avant de commencer à  forcer le passage, a peu plus à chaque fois. Quand enfin, il  me fouilla l’intérieur en  faisant tourner sa langue, il me fourra le vagin de deux doigts habiles. Sous cette double intrusion je ne peu retenir un cri, d‘autant que loic continuai a exciter mes tétons.

Je regarda le sexe de Loic, qui  était encor un peu mou suite a son éjaculation. « Loic met toi aussi de moi, dans ma bouche ». Il obéissait, je remonta ma tête sur le bord du lit et loic, debout, pu placer son sexe dans ma bouche. Je l’avalai complètement, J’adorais cette position du genre gorge profonde.
Ses testicules posait sur mes visage me rendait totalement soumise. D’autant que je n’étais plus vraiment mettre de moi  même sous les doigts et les coup de langue d’Alex, qui ne me laissait aucun répit. N'y tenant plus, il monta sur moi, lubrifia son gland entre mes lèvres, puis fis glisser son sexe entre mes fesses. Ce qui vous l’aurez compris, occasionna chez moi un léger frisson d’angoisse. Il n’en fit rien, et se contenta d’une brève visite de reconnaissance avant de pénétrer doucement  entre mes lèvres.  Loic continuai a m’imprimer une bonne cadence tout en étant de plus en plus dur.  
A ce moment, alex étant sur moi, je vis son visage si près du mien, je ne pu m’empêcher. Je tira sa tête vers mois et colla son visage sur le pubis de loic. Je remarquai qu’il ne protestai pas. Je me permis donc de franchir un nouveau cap, en  plaçant la queue de loic juste devant sa bouche. Et comme il marque un temps hésitation, je me permis encor d’appuyer derrière sa tête.
Quel spectacle, s’offrait au dessus de moi. Alex avalait généreusement, ce sexe durcit par une excitation nouvelle.  .. Apres quelques minutes  ou loic se faisait pomper, et ou je lui mangeait les testicules, Alex s’arreta, et regarda loic. « Allez vas y je suis prêt ! »Pendant que loic fit le tour du lit, alex me regarde. « On se mette à quatre patte. »

Je lui offrit donc mes fesses, qu’il profita pour complimenter d’un coup de léchouille s’immisçant aussi bien devant que derrière.., et la surprise !. Je sentis du lubrifiant sur mon anus.  Je n’étai  pas spécialement adepte de la sodomie, je me permis donc une réflexion à alex ; « tu fais doucement, hein promis ? »


Ne t’en fais pas tu vas ressentir tout ce que je ressens. Il ne prit même pas la peine de m’ouvrir avec un doigt.  Son gland commença m’ouvrir, doucement. Le lubrifiant jouait son rôle à merveille, et puis pour être sur de garder mon excitation, je me caressais le clitoris. Loic debout, commençait à imprimer un petit rythme de vas et viens qu’alex me transmettais totalement, petit à petit les verges rentrèrent, de plus en profondément. Alex et moi gémissions de plus en plus. Je commençais a souffrir mais le plaisir étais au rendez vous. Soudain un coup  de butoir me transperça Alex avait le souffle court...quand à moi  je criai, de plus en plus fort. Puis, enfoncer, au plus profond loic stoppa tout mouvement .
Le sexe d’alex était si dur… je sentais ces contractions en moi , s’était vraiment existant malgré la douleur. Apres avoir repris quelque mouvement, loic et alex se retirèrent, en me regardant d’un œil complice. Loic se plaça s ‘allongea sur le dos et je l’enfourcha. C’était la première qu’un sexe de femme entourait sa queue.  « Alors, ça fait quoi »
« C’est trop bon » me répondit il à bout de souffle.
Alex monta lui aussi sur le lit et me souleva littéralement au dessus de loic, dont le sexe retomba sur son ventre. Alex m’embrassa en faisant tourner sa langue dans ma bouche comme il avait quelques instants avant dans mon anus. « Tu va voir ça va te plaire » me dit il Je me mis au dessus de loic, mais cette fois ci en lui tournant le dos. Je compris de suite quelles étaient les intentions d’Alex. Il se badigeonna le sexe de lubrifiant et  commença à rentrer en moi. Ce n’était pas facile,

Faire rentrer deux sexe dans un vagin, c’est surtout dans les films. Je me couchai complètement en arrière afin de faciliter au maximum alex. Enfin celui parvint à rentrer .J’hurla quand il rentra la totalité de son sexe. J’étais remplie…C’était vraiment un plaisir particulier… Je sentais ces deux sexes frotter l’un sur l’autre, de plus en plus fort car alex augmentait la cadence. Au bout de quelques minutes ils m’emmenèrent à l’orgasme. Pendant que j’étais en train de jouir, loic se retira pour se glisser dans mon anus. A nouveau je me sentais  soumise, d’autant qu’alex me défonçait de plus en plus fort. je ne redescendait pas …cela faisait plusieurs minutes que je ne cessais de jouir. J’étais sur le point de m’évanouir. Enfin alex se retira et couvrit mes seins d’une longue traînée blanche. Quand à loic il ne pu se retenir et  éjacula en moi …de toute façon le pauvre ne devait plus avoir grand chose …



Par Juju54 - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 00:00
Voila la suite d' EVA, pour votre plaisir un texte from Juju54.

Apres une pause, agrémenter d’un petit joint et d’un whisky, je commençais à me sentir partir vers le sommeil. Hou non, je ne voulais pas dormir…pas tout de suite. Je regardez mes deux hommes qui, encore plus que moi commençait à sombrer. Voire  ces deux mecs, assis la dans mon  salon, leurs sexe  mous pendant entre leur cuisse me donner les idées les plus folles….
« Déjà fatigué » dis je pour rompre le silence. Loïc me regarda avec un sourire jusqu’au aux oreilles. : Non me dit il juste un petit coup de barre Alex ne me répondit pas, il me fixait dans les yeux. Je ne parvenais pas à comprendre ce qu’il voulait que je devine...

Allez une petite douche proposai je d’une voix malicieuse…sans attendre leur réponse, je continuais. : Il y en bien un de vous deux qui va venir me frotter le dos ?
Sur ce, je me leva, et vis Loïc qui s’empressa de me suivre. J’étais pourtant persuadé qu’il était homo…enfin. après tout, il fallait bien le dépuceler, et être la première n’était pas pour me déplaire. Ma salle de bain était assez vaste. La douche était placée au dessus de la baignoire ce qui me faisait espérer que nous pourrions tenir debout tous les trois. Un frisson me parcoura lorsque je posa mes pieds sur l’émail froid de la baignoire. Frisson que je ressenti à nouveau lorsque l’eau chaude commença à couler sur mon corps. Je senti la pointe de mes tétons se relever légèrement, quelles sensations agréable… J’avais vraiment fais fort ce soir. Deux mecs pour moi toute seule. Il allait falloir que je sois en forme. Perdue dans mes pensées, Loïc fut le premier à me rejoindre. Ca va ? Lui demandais je  Oui, ça fais bizarre mais c‘est sympa me dit il avec un sourire jusqu’au oreilles. Je ne pouvais détourner mes yeux de son sexe. Ses testicules étaient contractés par la fraîcheur de sa nudité. Comme je préférai les voir pendantes, j’augmenta l’eau chaude et lui donna la pomme de douche.  

Je commençai à me nettoyer au gel douche lorsque je remarquai que Loïc ne cessa de fixer mon corps.
_C’est la première fois que tu es avec une fille nue ?
_Oui me dit il, tu es vraiment jolie,
_Merci, tu n’es pas mal non plus tu sais .j’aurais quatre ans de moins …tu m’aurai grandement intéressé ! Plaisantai je !
Je vais prendre ta virginité cette nuit, pensai je avec excitation …comme pour le récompenser de ce cadeau, je voulu lui offrir quelque chose d’intime

Ca te ferait plaisir de me laver ?
Pourquoi pas me dit il de son plus beau sourire  

Je lui tourna le dos, et il commença a étaler du gel douche sur ma peau, depuis ma nuque jusqu’au haut de mes fesses. Comme il était doux…je sentait des frissons parcourir mon ventre …Je reculais un peu afin de me coller contre sa peau, et qu’il s’occupe de mes petits seins. Il ‘attarda de longues secondes sur mes tétons, avant de descendre lentement jusque sous mon nombril. C’était vraiment bon. Il n’était pas pressé, et pourtant je sentais son sexe dressé contre la blancheur de mes fesses. Le sentir aussi dur contre moi, me permis une reflexion. . ;  « je croyais que tu étais homo ».

« A vrai dire avec toi je découvre ma bisexualité ». « Merci » répondis je tu me flatte. Ne lui laissant pas le  temps de me répondre j’enchaîna une question piquante.  Et pour ta première fois ..tu vois ça avec ça avec Alex ou avec moi ?…je ne sais pas quoi te dire ….disons que je préférai quand même un homme …mais je ne pense pas que lui sois près, Il ne l’a jamais fais fait avec un mec .enfin je pense ..

« Oui tu as raison e, et bien ça sera sa première fois aussi ! »
Le sentant toujours hésitant à caresser mes les parties les plus intimes de mon corps, je saisi son sexe et  je frotta son gland entre mes fesses, Peu de temps après mon petit puceau effleura mes lèvres du dos de sa main, puis revint pauser celle ci afin de partir a la découverte de mon sexe.  C’est à ce moment précis que Alex ouvra le rideau  de douche ;  « Alors les excités en s’ennuient pas à ce que je vos ! »

Pour me venger de cette intrusion je me tourna  d’un  coup, et m’accroupissant je pris le sexe de Loïc au plus profond de ma bouche. Il n’avait vraiment pas un gros sexe. Ma petite bouche parvint à se coller sans douleur sur presque toute la longueur de sa verge. Je sentais ses veines contre mes lèvres, tandis que je présentais déjà un petit goût salé au fond de ma bouche. Il faut dire que j’aspirais très fort tout en lui massant les testicules, qui maintenant pendaient généreusement .Ma main continua à s’aventurer sous ses bourses pour assez rapidement,, découvrir son anus poilu. Cela me changeai d’Alex qui  depuis ses 16 ans était toujours rasé, sans le moindre poil. Il faut dire qu’Alex aimer assez, lorsque nous étions plus jeune que j’introduis parfois un doigt ou deux pendant qu’il me prenait. Je n’étais donc pas en terre inconnue avec Loïc. Avec un peu de gel douche qui rester sur ma poitrine, je commençais a masser son petit trou, en essayant d’y pénétrer mon pouce, un peu plus à chaque pression…

Pendant ce temps, Alex, nu lui aussi, nous regardait, totalement passif. Il avait un très léger  début d’érection, qui faisait bien ressortir son gland circoncis. Il était bien fait …grand fin, des muscles bien dessiné, et son sexe, en érection n’étais peut être pas très long mais possédait un beau diamètre … C’étai un bon amant  qui me donner à coup sur plusieurs orgasmes à chaque rapport.

Enfin, je sentais le sexe que je suçais, de plus en plus dur  contre mal langue, et  le goût du salé était de plus en plus prononcé …je me releva complètement et tira par le bras Alex, afin de l’embrasser, et ce juste après avoir littéralement aspiré le sexe de Loïc …je le poussa sous la douche, et lui demanda de se laver rapidement….je sorti  de la baignoire, m’essuya un peu.Mais quand Loïc voulu sortir aussi , je lui demanda de rester à l’intérieur..

Je parti dans ma chambre pour rapidement revenir, avec ma trousse de nuit sous le bras. Cette petite trousse contenait tout ce qu’il  fallait…lubrifiant, gel massant, préservatif, lingette nettoyante, gode, bandeau, ficelle...tout pour s’amuser !!!
Par Juju54 - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 25 septembre 7 25 /09 /Sep 00:00

Un break pour le weekend une petite douceur musicale. Voici une artiste méconnue qui mérite une large audience au vu de son talent. Sharon Jones est née et a grandi à Augusta, également ville natale de James Brown.Elle s'exerce au chant lors des prestations religieuses. Son talent grandissant lui permettra alors d'accumuler, pendant vingt ans,  les collaborations avec les Four Tops, Peaches And Herb, The Drifters, Maceo Parker ou les Soul Providers, tout comme d'être qualifié de "Queen Of Funk" par son public US.
Elle se lance ensuite accompagné des Dap-Kings, experts en beats funky, le timbre grave de Miss Jones propage le bon groove à travers le monde. Ecoutez c'est envoûtant.

Plus d'avis de fan:
En mineur (le tube, This Land is Your Land), Sharon Jones fait frissonner l’échine. En majeur, elle s’adapte aux rythmes éffrénés de son groupe, et fait monter la sauce sans ménagement, même si elle garde une préférence pour les refrains façon old soul. Un peu comme si Janis Joplin avait rencontré les JB’s.

sharon jones and the dap kings

Le premier album "Dap Dippin' With Sharon Jones And The Dap Kings" affichait tout le talent de la diva mais a trop vite été considéré comme une simple mise en bouche. La preuve, puisque "Naturally", son deuxième opus fraichement disponible, fait l'unanimité et illustre à merveille tout le talent de la Dame, héritage de la Motown et de Stax donnant véritablement des fourmis dans les jambes. "Naturally" nous fait revivre le début des sixties, l'éclosion de la soul music, et si rien est ici réinventé, il s'en dégage un naturel et une efficacité incontestable. Accompagnée de ses Dap Kings (sept musiciens au total), elle provoque une série de traînée d'étoiles en entonnant les somptueux "How Do I Let A Good Man Down?", "Natural Born Lover", "Stranded In Your Love", et "How Long Do I Have To Wait For You?" pour n'en citer que quelques uns. - www.bokson.net


Un tel album aux allures de véritable réédition de la grande époque du genre, cela ne peut être que le signe d'un album réussi. Un gout délicieux de Jackie Brown pour les fans.

Plus de zik :

Le site: http://www.daptonerecords.com/pages/stable_sharon.html

La zik en mp3:     How Do I let a Good Man Down

                           My Man is a Mean Man

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 24 septembre 6 24 /09 /Sep 00:00
Pourquoi une pratique communément tolérée, la masturbation, est-elle devenue, au XVIIIe siècle, un problème ? Auteur d'une somme sur « Le sexe en solitaire » (Gallimard), Thomas Laqueur, professeur à Berkeley et historien de la sexualité, répond.

 En 1992, Thomas Laqueur s'est fait connaître en France avec « La fabrique du sexe » (Gallimard), un ouvrage roboratif dans lequel le presque sexagénaire démontrait que l'irréductible différence entre l'homme et la femme était une notion apparue entre le XVIIe et le XIXe siècle, les Grecs ayant auparavant enseigné que le corps féminin n'était qu'une variation, imparfaite, du corps de l'homme. « Je ne me suis pas réveillé un matin en me disant que j'allais désormais écrire 500 pages sur la masturbation », dit Thomas Laqueur, hilare. C'est pourtant ce qu'il a fait. Deux ans de recherche pour écrire cette somme, joyeuse et foisonnante, « Le sexe en solitaire. Contribution à l'histoire culturelle de la sexualité ».

 Jusqu'au XVIIIe siècle, la masturbation n'intéresse personne. Racontez-nous...
Thomas Laqueur : En effet, la masturbation est durant près de deux mille ans un fait, une pratique un peu indigne, mais rien de plus. On considère qu'elle relève des paysans, des esclaves, des pauvres, les hommes riches pouvant s'offrir du sexe. Souvenons-nous ainsi de Diogène qui, attendant en vain une prostituée, se masturbe sur l'agora. Un passant l'interpelle. Diogène lui répond que, s'il prend son petit déjeuner sur l'agora, il peut bien s'y masturber. Se masturber revient donc à assouvir un besoin naturel.

Vous affirmez que même l'Eglise ne considère pas la masturbation comme un problème ?
En effet, car ses seules préoccupations sont la régulation de la concupiscence dans le mariage et la régulation des pratiques sexuelles dans le clergé régulier et séculier. Si l'on relit les écrits de Pierre Damien, moine réformateur du XIe siècle, on découvre qu'il s'interroge longuement sur la responsabilité des nonnes qui, plongées dans le sommeil, font des rêves érotiques. Sont-elles coupables de concupiscence, alors que leur corps dort ? La masturbation est plutôt considérée comme un péché véniel, un premier pas dangereux vers la sodomie, un peu comme on dit aujourd'hui que la consommation de marijuana peut amener à prendre de l'héroïne. La masturbation est une question mineure, qui n'a pas de répercussion institutionnelle. Je cite toutefois les rares textes religieux qui condamnent cette pratique, comme « De la confession de la masturbation », écrit au début du XVe siècle par Jean de Gerson, chancelier de l'université de Paris. Ce pédagogue invite les confesseurs à interroger élèves et séminaristes sur leur pratique. Ce texte n'eut aucun retentissement, jusqu'à ce que le philosophe Michel Foucault le cite dans son « Histoire de la sexualité ».

 

Quand, alors, la masturbation a-t-elle fait problème ?
C'est un petit livre, anonyme, qui va bouleverser ces deux mille ans de relative quiétude. « Onania » est publié à Londres en 1712 par un auteur dont je dévoile l'identité : un chirurgien anglais nommé John Marten. Ce livre, qui aura des centaines d'édition, décrit avec délectation la masturbation, en faisant par ailleurs mine de la dénoncer comme pratique impure et insidieuse. Ce livre connaît un succès inouï. On se l'arrache à Francfort, à Leipzig, à Paris, à Lausanne, à Amsterdam. Ainsi s'impose l'idée que la masturbation est mauvaise, toxique.

Idée reprise puis théorisée par la médecine des Lumières...
Le Suisse Samuel Tissot, un des médecins les plus célèbres et prolifiques du XVIIIe siècle, s'empare du sujet et publie à son tour, en 1760, un best-seller : « L'onanisme ou dissertation physique sur les maladies produites par la masturbation ». C'est lui qui lance la masturbation sur la scène intellectuelle. Son livre est posé sur les tables de nuit de l'Europe entière. Tissot, ce médecin éclairé qui entretient une vaste correspondance avec de grands intellectuels et les têtes couronnées d'Europe, dénonce la masturbation, non pas parce qu'elle serait une pollution volontaire de soi-même - langage désuet pour cet esprit rationnel -, mais parce qu'elle est une pathologie du corps, provoquant des troubles, des maladies. En 1740, l'onanisme entre dans la première grande encyclopédie allemande.

 

Après Tissot, Voltaire et Rousseau condamneront ce vice moderne. La philosophie et la science des Lumières voient-elles, elles aussi, dans la pratique du « sexe en solitaire » une menace ?
La masturbation quitte rapidement la littérature médico-morale pour représenter, aux yeux des grands penseurs des Lumières, un dérèglement de la sociabilité. Voltaire se soucie de cette sexualité autoérotique parce qu'elle s'accorde mal avec la vie sociale et morale. Rousseau correspond avec le docteur Tissot. Dans l'« Emile », publié en 1762, il écrit « connaître ce dangereux supplément. Habitude la plus funeste à laquelle un jeune homme puisse être assujetti. Il en aura le corps et le coeur énervés ». Le vice, qui disait à peine son nom en 1700, est, moins d'un siècle plus tard, proclamé à des millions de lecteurs et d'auditeurs comme recelant la plus grave menace possible pour l'intégrité de l'individu.

 

Ce qui ne nous permet pas encore de comprendre pourquoi la masturbation est devenue un problème ?
La masturbation devient un problème moral pour trois raisons : son secret et sa solitude, ses droits sur l'imagination, sa tendance à l'excès et à l'addiction. Son secret, son intimité représentent le côté noir, la face cachée de l'individualisme, contrariant la sociabilité. La masturbation est un abîme, excessif par nature, alors que toute autre sexualité connaît sa finitude dans l'accomplissement. La masturbation passe au premier plan, au moment précis où l'imagination, la solitude et l'excès prirent une dimension nouvelle. Le vice privé est le péché d'un temps qui a créé l'idée d'une société en tant qu'intermédiaire entre l'Etat et l'individu. La masturbation devient emblématique de tout ce qui échappe au contrôle social, elle fait figure de pied de nez à la sociabilité. Elle est le vice moderne.

 « Appétit qui ne peut être ni comblé ni tempéré », le crédit commercial fut dénoncé selon le même argumentaire que la masturbation, dites-vous ?
Le crédit pose le même problème de régulation de l'excès. Un morceau de papier se trouve soudain doté d'un immense pouvoir d'imagination. Avec une demande infinie et une offre infinie, le crédit ressemble à la masturbation. Chimériques et fantasmatiques, les rêves sans fond ni limite de quelque chose contre rien paraissent aussi menaçants dans le champ économique que lorsqu'ils opèrent leur charme sur le corps.

 

Vous rapprochez également le sexe en solitaire de la lecture en solitaire...
A cette époque, la lecture devient un acte privé, ce qu'elle n'a pas toujours été. Et d'emblée les médecins, dont le fameux docteur Tissot, recommandent d'empêcher de lire - au lit - ceux qui se masturbent. Le parallèle est flagrant. Songez aux lecteurs de « La nouvelle Héloïse » qui écrivirent à son auteur pour lui faire part des « soupirs » et des « pleurs », des battements de coeur plus rapides que jamais qu'ils éprouvèrent en lisant son oeuvre. Les fictions portent toutes les marques du danger masturbatoire : intimité, secret, mobilisation de l'imagination, absorbement en soi et liberté vis-à-vis de toute contrainte sociale.

Au siècle suivant, l'avènement de la psychanalyse corrige-t-il ces conceptions ?
Freud impose l'idée que la sexualité n'est pas un péché, que nous sommes des êtres de désir. La masturbation devient une forme très naturelle de la sexualité, la culture réintègre ce faisant la nature. Mais le psychanalyste reporte le problème : comment en finir avec la masturbation, comment s'en sortir ? Le sexe solitaire est un déni de civilisation. Si l'on a abandonné avec Freud la condamnation, on n'a depuis jamais totalement quitté la tradition inaugurée au XVIIIe siècle qui voit encore dans la masturbation un vice secret. Le masturbateur est la face noire de l'homme moderne, un danger pour les fondations de la culture occidentale.

 

Woody Allen a dit que la masturbation, c'est faire l'amour avec la personne qu'on aime le plus au monde. Seriez-vous d'accord ?
Je ne suis pas certain que la masturbation réponde à cette définition humoristique. C'est plutôt une relation sexuelle avec la personne qui peut le mieux combler votre désir et vos souhaits. Si cela se passe mal, vous n'avez qu'à vous en prendre à vous-même, et après, quoi qu'il soit advenu, vous pouvez vous retourner de l'autre côté pour vous endormir, allumer langoureusement une cigarette, en étant tout à fait certain que votre partenaire partage à cet instant-là votre souhait.

Extrait Emilie Lanez Le Point

Plus sur  Thomas Laqueur:

 1945 Naissance à Istanbul de parents universitaires juifs réfugiés en Turquie. Son grand-oncle Ernst Laqueur est le découvreur en 1935 de la testostérone. Son père, Werner, pathologiste, étudie les hormones sexuelles.

1950 Thomas Laqueur et sa famille émigrent aux Etats-Unis.

1967 Etudes de philosophie, histoire et biologie à Swarthmore College,à Princeton et à Oxford.

1973 Doctorat à Princeton, enseigne depuis à l'université de Californie à Berkeley. Titulaire de la chaire Fawcett d'histoire.

 1992 Publication chez Gallimard de « La fabrique du sexe. Essai sur le corps et le genre en Occident » (« Making Sex », 1990).

 2005 « Le sexe en solitaire »(Gallimard). Traduction de Pierre-Emmanuel Dauzat.

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 00:00
Après cette séance de découvertes franco irlandaises, Marie et Balou déplièrent le canapé convertible et s’engouffrèrent sous la couette. Ils continuèrent à se caresser mutuellement allongés côte à côte pour préserver l’instant magique qui avant rendu leur rencontre si intensément fusionnelle.

Marie souriait. Elle était ravie d’avoir séduit ce grand brun aux faux airs de J Reno, et surtout d’être la première femme à le faire jouir après un semestre de galère. La peau laiteuse de Marie contrastait avec celle de cet homme velu de type méditerranéen. Elle se lova contre lui, caressa sa poitrine poilue, embrassa les petits tétons et mélangea ses blanches cuisses aux siennes.

Enlacé ainsi dans les bras de Marie ; Balou laissait son esprit vagabonder vers les délices irlandais. Cette étudiante de 23 ans, grande, rousse, à la poitrine généreuse, à la peau blanche maculée de taches de rousseur, à la longue chevelure flamboyante et bouclée, l’avait séduit et de cela il n’en douta point.  Les Coors chantaient en sourdine, à travers la fenêtre Balou voyait voltiger les flocons de neige, la nuit s’annonçait une fois de plus sibérienne. Mais en cet instant il était bien au chaud sous la couette avec sa jeune amante. La couette d’ailleurs sentait l’odeur ambrée de Marie, elle enivrait les sens de Balou qui s’en délectait.

- A quoi penses-tu ? Questionna Marie.

- A toi, à nous.

- Et ?

- Tu sais Marie, j’adore ton petit accent so british.

Marie se redressa et regarda son amant d’un air interloqué.
- What !!! Only this !
- Mais non je te taquine voyons, ma petite irlandaise adorée.

Ils éclatèrent de rire avant de replonger ensemble vers une cascade de baisers.  Ensuite ils dînèrent d’un ragoût d’agneau préparé à l’avance par l’oncle Freddy. Ouf, Balou avait échappé à cette satanée sauce verte à la menthe qui accompagnait généralement ce plat irlandais typique.  Le restant de la nuit fut tout naturellement consacré à la débauche de plaisir qu’ils se donnèrent jusqu’au petit matin.
Un pincement, une douleur à l’épaule droite réveilla Balou.

- Arrête de ronfler, ça m’énerve. Gémit une petite voix ensommeillée à coté de lui.

Balou se retourna sur son flan gauche, il sourit en se rendormant. Ce samedi matin était encore plus glacial que d’habitude. L’ordinateur de bord de la voiture de Balou affichait -15°. Heureusement que son véhicule avait démarré sans trop de mal car il s’était garé sur un bateau de livraison.

Il avait laissé Marie dans son appartement au petit matin. Le soleil n’était pas encore levé. Balou éprouvait des courbatures après cette folle nuit de luxure. Mais il se dit que des galipettes comme ça il en ferait volontiers tous les week end, ou alors vraiment il était en train de s’encroûter. Certes la trentaine déjà bien entamée il avait encore de beaux restes, mais quand même se dit-il « faut que je fasse gaffe à mon palpitant ». Il souriait, heureux comme un pape en conduisant vers son domicile. Arrivé dans son petit deux pièces, il fut horrifié de constater le bordel ambiant. Marie porterait certainement les jambes à son cou si elle voyait ce capharnaüm. Il se promit de remédier à cela après un petit somme.

Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing !! Driiiiiiiiiiiiiiiiing !!!

La sonnerie stridente du téléphone tira Balou d’un profond sommeil. Un œil, puis deux s’ouvrirent. Il rampa littéralement hors du lit mais arriva trop tard, le répondeur s’était mis en marche.  La voix anglicisée de Marie remplie son salon, elle voulait prendre de ses nouvelles et lui dire qu’elle partait bosser au bar de son oncle et qu’elle terminerait son service très tard.  Mais qu’elle heure était-il ? Se demanda péniblement Balou.

Le radio réveil affichait 17h en le narguant.  Il avait quasiment fait le tour du cadrant.

Balou fila illico sous la douche. Il devait encore s’activer à faire quelques courses si d’aventure son amante rousse débarquait chez lui. De plus, il jeta un œil inquisiteur sur la propreté de l’appartement. Après quelques secondes d’hésitation il décida que le seuil de tolérance ménagère n’était pas encore atteint.  La soirée était déjà bien engagée. Balou avait dîné chez un couple d’amis quinquagénaires dont il était le parrain de leur fille. Ils avaient été très proches de lui après la déconvenue avec Angela. Leur amitié et leur soutien lui avaient également permit de ne pas sombrer dans le gouffre de la dépression.  Sa filleule se prénommait Magali, petite peste de 19 ans, ressemblant à Avril Lavigne, la punkette canadienne. En fait elle s’habillait comme son idole, et le plus drôle c’est que Balou aimait bien cette musique d’une fraîcheur qui lui rappelait sa jeunesse. Magali adorait son parrain chéri. Balou avait fait la baby-sitter à plusieurs reprises lorsqu’il rendait service à ses amis. Il l’avait connu tout bébé, ensuite vers l’âge de 5 ans il lui avait appris à jouer aux cartes, puis au poker.  Magali s’était transformé au fil des années, passant d’une midinette squelettique à une adolescente révoltée, puis à une jeune femme aux formes bien dessinées. Le lien qui l’unissait à son parrain était très fort. Balou était son confident, il la coachait parfois lorsqu’elle tournait mal. Il cédait évidemment à ses désirs lorsque sa filleule faisait les boutiques avec lui. En fait Magali le relookait quelquefois en lui faisant acheter des tenues tendance, alors que lui il lui offrait une bonne partie de ses vêtements. Ensemble dans les magasins ils piquaient souvent des fous rires devant les vendeuses éberluées.

Les parents de Magali voyaient parfois d’un mauvais œil leur fille affublée de tenues trop « trash », mais au fil des ans ils en avaient pris leur partie. Ce soir là Balou était guilleret. Il raconta à ses amis la rencontre avec Marie, mais passa naturellement sous silence la folle nuit écoulée. Magali était assise en face de lui. Il remarqua qu’elle lui jetait un regard noir et que ses propos devenaient acides à son égard. Il ne comprenait pas son attitude, mais une petite voix lointaine lui soufflait que sa filleule devenait peut-être jalouse de Marie….Il chassa rapidement cette idée de son esprit, la trouvant grotesque.

Balou savait Magali à cran car d’une part elle devait préparer son examen du BTS très sérieusement puisqu’elle n’était pas bonne élève, et d’autre part faire le deuil d’une déconvenue sentimentale avec un petit ami. De plus ce soir ses parents lui avaient interdit de sortir dans la mesure où son niveau scolaire laissait à désirer.

Vers minuit, Balou quitta ses amis après un charmant repas très convivial.

Sur le pas de la porte Magali l’attendait.
- Emmène-moi avec toi s’il te plait mon parrain chéri. Dit-elle d’une voix de fillette. J’ai envie de prendre un verre en ta compagnie.
- Hein ? Mais je ne peux pas, tes parents me font confiance et de plus si t’es pas rentrée ils vont m’engueuler.
- Alors c’est dommage, tu ne sais pas ce que tu loupes….

Elle se mit sur la pointe des pieds et rapide comme l’éclair elle lui déposa un baiser appuyé sur ses lèvres. Balou resta interdit. Elle souriait et lui fit un clin d’œil en refermant la porte de l’appartement. Balou tenait bêtement les clés de voiture à sa main en se demandant s’il n’avait pas rêvé. Sacrée Magali se dit-il, elle en pince pour moi ou quoi. Magali referma la porte rapidement. Elle resta adossée à celle-ci et se passa la langue sur ses lèvres pour capturer l’odeur de Balou. Elle était également rouge d’excitation et de confusion, mais elle s’était dite que son geste était le meilleur moyen de faire comprendre à cet homme qu’elle le trouvait à son goût. De plus il se connaissait intimement non ?

Son ventre la taraudait, elle sentait la douce moiteur entre ses cuisses. Elle n’en pouvait plus, elle voulait sentir la verge de cet homme en elle. Magali tremblait d’excitation en courant vers sa chambre. Elle verrouilla la porte et se jeta sur son lit. Elle ôta rapidement son jean et sa culotte, puis elle fouilla dans sa commode et en sorti un sexe d’homme en latex. Elle sentait son miel d’amour humidifier sa toison blonde.

Sur le lit, couchée jambe écartée elle se livrait à un plaisir solitaire. D’abord ses doigts caressèrent son ventre et sa menue poitrine, puis progressivement ils trouvèrent le bourgeon dressé après avoir écartés les roses petites lèvres. Ainsi elle titilla son clitoris, cuisses largement écartées, offerte à la seule vue du plafonnier. Magali gémit, elle imagina les doigts de Balou sur elle, sa langue en elle, sa brune chevelure entre ses cuisses. Cette simple évocation lui déclencha un premier orgasme. Puis elle porta à ses lèvres le godemiché divin. Elle laissa sa langue courir sur l’engin. Ensuite elle écarta ses lèvres et elle le prit en bouche pour le sucer vaillamment. Avec l’autre main elle continuait à se caresser l’entrecuisse. Se sentant prête, elle laissa courir le gland en latex sur tout son corps, caressa ainsi son ventre plat, avant de positionner l’engin à l’orée de son puis d’amour. Elle cria comme une souri à la première poussée, et d’un coup de rein elle s’empala sur le gode.

Balou était en elle. Elle sentait son poids sur elle, son odeur de mâle l’enivrait. Elle replia ses jambes sur les hanches de son amant pour l’enserrer davantage et le garder en elle. Magali gémissait, ses vas et viens s’accélérèrent encore. La hampe virtuelle de Balou coulissait de plus en plus rapidement, elle l’enfonçait profondément dans son ventre comme le ferait cet homme. Elle prononça son prénom et diverses insanités. Son ventre brûlait, elle se tordait, ses muscles intimes comprimaient ce sexe de latex. Elle sentait le plaisir affluer dans tout son être. Elle mordit la taie d’oreiller pour réprimer son hurlement. Balou jouissait avec elle en gémissant, il éjacula longuement et elle sentait dans son vagin la chaleur de sa semence l’inonder complètement.

Magali était allongée sur la couette. Une fine pellicule de sueur filmait son corps, une petite goutte ruisselait entre ses seins. Elle savourait sa félicité. Balou arriva à l’Irish Pub peu avant 1h du matin.
D’autorité il se dirigea vers le comptoir où officiaient sa dulcinée et Freddy. Le bar était enfumé comme d’habitude. Freddy tirait les guiness et Marie servait à table. Elle portait un simple top prêt à exploser sous la pression de sa voluptueuse poitrine, un jean hyper moulant et ses fameuses bottes. Sa tignasse rousse était maintenue par une barrette en bois, ce qui évitait que ses cheveux flamboyants ne traînent dans les verres à bière.
Entre deux clients elle fit un chaste baiser sur les joues de Balou en lui adressant son plus beau sourire.
- Encore un heure mon chou et je serai à toi. Minauda-t-elle.
Freddy se rapprocha de Balou.
- Alors ça gaze entre vous je vois hein ?
- Oui merci nous apprenons à nous connaître
- T’as intérêt à pas faire de conneries avec ma nièce car sinon t’auras tous les Fitzpatrick sur le dos mon gars. L’averti en rigolant Freddy.
- Allez je t’offre une bibine et sers m’en une aussi. Dit Balou. Marie est une fille intelligente, d’un charme fou ça je te l’accorde.

Freddy lui confirma que Marie comptait plus que tout pour lui dans la mesure où avec sa femme il ne pouvait avoir d’enfant.  Deux heures du matin. Les chaises étaient relevées et posées sur les tables. Les lampes s’éteignirent une à une. Il était temps de fermer le bar.
Marie s’engouffra dans la voiture de Balou. Elle ne portait plus son blouson mais un long manteau de laine noir.
- Il faut que je prenne une bonne douche car je pue la clope. Dit-elle. On va chez moi ok ?
Balou acquiesça.
Il faisait toujours aussi glacial sur Paris. Les deux amants se dépêchèrent de regagner leur petit nid d’amour.
Arrivées au sein du petit studio de Marie, tous deux se déshabillèrent avec frénésie pour prendre une douche chaude. Marie constata d’un regard expert que son amant était déjà fièrement au garde à vous, sa hampe dardait et tressautait devant lui.

La minuscule salle d’eau leur offrit toute la promiscuité nécessaire à de tendres caresses et à des succions buccales et clitoridiennes

Ensuite Marie se retrouva le ventre plaqué contre le lavabo, elle faisait face au miroir embué. Jambes écartées, elle recevait la vigoureuse verge de Balou en elle. Néanmoins cette position était inconfortable à tous les deux. Balou se retira d’elle, il murmura à l’oreille de Marie :

- j’aimerais jouir entre tes beaux seins.

Marie gloussa. Elle se coucha de tout son long sur le lit en lui présentant à deux mains sa voluptueuse poitrine. Balou s’agenouilla au-dessus d’elle. D’abord il embrassa alternativement les fabuleux globes, il suça les tétons durcis et sa langue les titilla également. Puis, il laissa sa langue courir sur les roses auréoles. La douce peau blanche émoustillait les sens de Balou.  Marie se laissait faire. Elle vit son amant s’agenouiller au-dessus d’elle. Ensuite ses mains lui câlinèrent sa poitrine. Balou téta littéralement comme un bébé. Son ventre s’embrasait mais elle voulait offrir cette caresse à cet homme si particulier. La bouche de son amant la rendait folle, elle vit la langue lécher les auréoles de ses seins, elle ferma les yeux, livrée ainsi aux caprices de Balou.  Après, la hampe se positionna dans le sillon de sa poitrine. A deux mains Marie pressa ses seins l’un contre l’autre pour enserrer cette verge d’amour. Balou débuta ses vas et viens. Marie voyait devant ses yeux le gland violet venir et disparaître dans le sillon mammaire. Elle aperçu également les grosses bourses se balançant au-dessus de son ventre. Cette image lui arracha une plainte de bonheur.
Au dessus d’elle son amant ahanait. Balou n’allait pas tarder à jouir elle le sentait. Marie compressa encore davantage la hampe entre ses seins. Elle le regarda, son regard plongea dans ses yeux noisette. Un ultime coup de rein. Un cri. Puis elle vit le gland lâcher plusieurs jets de semence, elle regarda avec avidité cette éjaculation qui aspergea son cou. Marie sentit la chaleur de cette lave sur sa peau, puis elle desserra l’étreinte de ses seins sur la hampe, ce qui permit à Balou de continuer à se masturber au-dessus d’elle. Il continua de gémir tout en éjaculant les derniers jets de son plaisir. La sève coulait maintenant sur le menton de Marie, son ventre en était également maculé. Elle passa ses mains sur sa peau et recueilli du bout des doigts la semence de son amant qu’elle suça avec avidité. Balou se lova contre elle, ils se donnèrent un passionné baiser. Leurs langues se taquinaient, leurs salives se mêlaient, les dents s’entrechoquaient.

D’une main experte Marie constata que son amant n’avait pas vraiment perdu sa vigueur. Elle prit l’initiative de s’accroupir à quatre pattes en lui présentant ses fesses. Il n’en fallu pas plus à Balou pour s’agenouiller devant cette croupe blanche dont la rose et luisante fente attendait ses hommages. Marie sentit le gland caresser son intimité naissante. Elle dégoulinait de désir, puis senti une main se poser sur sa hanche avant de hoqueter sous la vive pénétration de son ventre.

Elle sentait en elle ce pieu de chair qui allait et venait, déclenchant des spasmes de bonheur dans tout son être. Marie mordit le coussin à proximité pour étouffer son hurlement d’extase. Une tornade de plaisir venait de prendre possession de son être. Elle sentait la hampe pénétrer au plus profond de son ventre, elle ressentait son frottement sur ses parois internes qui lui envoyèrent une multitude d’ondes orgasmiques.
Marie continua de jouir encore intensément de longues secondes qui lui semblaient durer une éternité lorsqu’elle sentit un doigt caresser son pertuis. Balou vit la rousse crinière bouclée mordre dans le petit coussin. Cette irlandaise était fabuleusement belle à regarder jouir. Lui aussi se voyait entrer et sortir de ce sexe dont la toison rousse était maintenant complètement mouillée. Il s’accrochait aux hanches laiteuses car son amante était secouée de soubresauts violents. Un doigt aventureux pénétrait doucement la rondelle sodomite de Marie. Il allait et venait en même temps que la hampe. Marie se sentait pénétrée doublement. Elle lâcha des feulements de tigresse. Son amant insatiable l’emportait vers un délire orgasmique jamais atteint.
Soudain elle fut bousculée plus violement encore, dans un dernier coup de rein de Balou. Celui-ci perdit contact avec le ventre de Marie, sa verge luisante dressée, il éjacula sur les fesses blanches à longues giclées de semence grasse. Il gémit le prénom de son amante en jouissant de la sorte de longues secondes encore. Tous deux s’écroulèrent ensuite sur le lit. Le regard dans le vide, aucune parole n’était nécessaire. Ils savouraient l’instant présent, ils avaient atteint le nirvâna absolu.
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 00:00

Pour ne pas donner sa langue au chat. Utilisez la…La langue permet de caresser ou de lécher, d’aspirer ou de sucer... Que de promesses de bonheur.

Avant de prendre ce bel objet en bouche quelques idées pour le faire craquer.
- la pression extérieure : les lèvres remontent sur le gland et aspirent légèrement
- la pression intérieure : les lèvres descendent, gardant la verge entre elles et commencent le mouvement de va-et-vient.
- Le baiser : la verge dans la main, les lèvres embrassent l’extrémité du gland comme une lèvre inférieure, par petites succions
- La langue habile : la langue lèche la verge sur toute sa surface en insistant sur le gland tandis que la main fait les mouvements de va-et-vient
- La succion de la mangue : la bouche aspire la moitié de la verge et la serre très fort
- La promesse : la bouche avale la verge en descendant le plus bas possible et le va-et-vient va et vient jusqu’à l’orgasme.
 - Le tour du proprio : Votre langue descend dans le creux de sa cuisse juste entre le sexe et l'intérieur de sa cuisse, celle de droite et celle de gauche. Faites le tour de son pubis avec votre langue, contournez toute la partie habillée de poils.

 

Et pour vous les males avant de sucer une grosse mangue bien juteuse.

Ne vous la jouer pas Rocco à foncer langue pendante sur le bouton. Faites-la vibrer encore un petit peu. Relâchez puis repassez votre langue en bas à droite, au-dessus, autour puis revenez sur son bouton. De la pointe vous poussez le petit capuchon qui recouvre son bouton. Ca résiste et ça vous échappe à chaque fois... 

Doucement, doucement... Dégagez le petit capuchon du bout de la langue sans trop appuyer, sinon vous allez lui faire mal. N'hésitez pas à mettre plein de salive. Allez voir à l'intérieur de son vagin, à l'intérieur de son sexe ; encore à droite et encore à gauche. Elle devient complètement dingue. Elle s'accroche à vos cheveux ! Elle veut que vous plaquiez votre bouche ! Laissez-la vous plaquer toute la largeur de votre bouche sur son sexe. Englobez toute sa vulve, toute la surface de son sexe... Englobez-la dans votre bouche et massez son sexe de vos lèvres de haut en bas et sur le côté.

Embrassez-le, embrassez-le encore. 

Maintenant, vous allez pouvoir vraiment faire bander son petit bouton, la faire bander au point de la rendre dingue ! Avec deux doigts d'une main vous maintenez le haut de son sexe ouvert et légèrement relevé pour bien dégager le petit bouton. 
De l'autre main vous allez mettre votre pouce à l'entrée de son sexe et les autres doigts (tous mouillés pleins de salive) sur son anus et sur le petit espace qui sépare l'anus du sexe. Vous la caressez toujours, sans oublier des petits baisers et à droite et à gauche. Vous vous êtes mis en position : deux doigts d'une main (le pouce et l'index) pour maintenir le sexe écarté et un petit peu relevé. Le pouce de votre autre main à l'entrée de son sexe sans la pénétrer encore. 
Caressez l'entrée de son sexe en tournant, en montant et en descendant un petit peu. Si ce n'est pas assez mouillé, ajoutez de la salive, et si votre salive ne suffit pas il faut penser à prendre de la crème. Vos autres doigts lui caressent : - l'intérieur des fesses - l'entrée de son anus - le petit espace qui a entre son anus et son sexe. Approchez doucement vos lèvres de son petit bouton, doucement, embrassez-le et donnez-lui des petits coups de langue légers...

Moi je vous dis je craque.

Plus d'infos:

Le saviez-vous : le sexe oral entre adultes hétérosexuels consentants est illégal dans 14 États américains?

Par Aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 17 septembre 6 17 /09 /Sep 00:00

Cinq secondes de pause afin de découvrir ce que pourrait être notre vie au bureau.

La video

 

Par Juju - Publié dans : plaisir
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