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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 00:00
Le silence encore et toujours.
Bettina avait été aspergée par les torrents de sève de Balou, elle était assise à terre adossée au mur de la cuisine. Son peignoir était dénoué laissant voir sa généreuse poitrine dépasser de sa nuisette. Le sperme imprégnait sa chevelure blonde, de grasses taches maculaient également son peignoir, mais elle avait réussi à en avaler la majorité. Elle souriait béatement, ravie d'avoir bu le nectar d'amour de son gendre et évidemment heureuse de l'orgasme gigantesque qu'elle avait provoqué. Elle avait joui toute seule sans se toucher juste en suçant Balou agenouillée devant lui dans la cuisine. Elle se dit que ce petit déjeuner fut fabuleusement jouissif. La prochaine fois elle se dit qu'elle aimerait bien le faire hurler entre ses seins majestueux.


- Vous devriez vous refaire une beauté avant l'arrivée de votre fille, haleta Balou.
Bettina pris enfin conscience de son état, elle se leva rapidement et s'en alla se débarbouiller.

Balou lui essayait de reprendre ses esprits. Il revenait de l'enfer, il en était maintenant certain. Cette femme l'avait envoûté, il se demandait comment il allait gérer cette situation entre Angela et sa mère.
Sa verge ramollie et gluante pendouillait entre ses jambes, il se mit en devoir de se nettoyer si d'aventure Angela désirait y goûter.

Les huit coups sonnèrent à la pendule du salon. Le soleil brillait de mille feux dans un ciel azur.
Balou se promenait sur la plage, seul pour faire le point avec lui-même, fumant cigarette sur cigarette. Au loin au port du village les pécheurs vendaient les poissons et crustacés péchés la nuit passée.
Il se dit que la vie était vraiment belle, mais surtout mal faite.

Bettina se doucha longuement, elle savourait les souvenirs des moments passés avec son gendre. Elle se rappelait le parfum de son sperme qu'elle avait bu goulûment, cette semence chaude et grasse au goût légèrement iodé. Elle se sentait également très femme capable de séduire un gamin de 30 ans, et cela l'excitait divinement. Elle se dit aussi qu'elle devait absolument rassurer ce garçon car sinon ils couraient tous les trois à la catastrophe.

En arrivant à la cuisine Bettina vit sur la terrasse que sa fille et Balou s'embrassaient tendrement, quel beau couple ils formaient ainsi. Une légère pointe de jalousie lui traversa l'esprit mais elle la chassa aussitôt.
-  Bonjour les enfants, annonça Bettina
- Bonjour maman, dit Angela en l'embrassant sur les joues. Balou en fit de même.
- Tu ne trouves pas maman que Balou a une mine de déterré ce matin ? Demanda sa fille.
- Mais non ou alors ce sont les abus d'alcool de la veille, répondit Bettina.
Balou confirma effectivement avoir trop bu et que la promenade au marché ce matin allait lui remettre l'estomac en place.

Le petit déjeuner se déroula sans encombre et fut vite avalé. Bettina laissa les jeunes partir au marché, d'autant plus que sa femme de ménage n'allait pas tarder.

Angela et Balou passèrent la matinée à flâner sur le port. Ils achetèrent un peu de poisson et des légumes.
Plusieurs personnes s'arrêtèrent pour les saluer et discuter avec eux, surtout avec Angela qui connaissait presque tous les habitants du village. Vers midi ils s'installèrent au comptoir du seul café existant pour prendre un verre. Evidemment toute la faune locale s'y retrouvait en ce jour de marché. Les discutions allaient bon train. Accoudé au bar Balou laissait vagabonder son regard. Des mères de familles et leur marmaille, des vieux monsieurs le mégot collé au bec, un vieux beau avec son écharpe de soie et stetson, de jeunes garçons et filles, des pécheurs et ouvriers, constituait une palette représentative des habitants. Le café était bruyant, ça courait dans tout les sens. Balou ne parlant pas italien il se retrouva vite largué. Angela tentait bien de traduire mais elle se lassa vite de répéter sans cesse les réponses. Bref Balou tapa le crachoir au patron du lieu qui était bien le seul à comprendre un peu l'anglais.
Au bout de deux verres de vin Balou se sentit mieux et revigoré, mais l'heure tournait, il fallait retourner à la propriété.

Sur le chemin du retour Balou fit part à Angela du bon moment qu'il avait passé à découvrir le port de pêche et ses habitants, excellente matinée aussi pour Angela qui avait revu ses amis et connaissances.

- Tu sais j'ai parlé à Maria la fille de notre aide ménagère, et on s'est dit que nous pourrions prévoir une petite soirée avec les personnes avec qui j'ai conservé des liens très forts, qu'en penses-tu mon chéri ?
- Cela est une excellente idée, ainsi je pourrai connaître un peu mieux tes amis, répondit Balou. Mais dans son esprit il se dit que moins il verrait Bettina, mieux il se porterait.

Ce mois de mai était un des plus chaud, la température oscillait constamment vers les 30° à l'ombre. Heureusement que la brise du large donnait un semblant de fraîcheur. Cette douce vie convenait parfaitement aux deux amoureux.

Le déjeuner fut très calme pour Balou, Bettina n'engagea aucune approche à son égard. L'après-midi Angela et son amant se retrouvèrent à la plage privée de la propriété. Ils se prélassaient tous les deux au soleil tels des lézards.
Balou admirait son amie qui ne portait qu'un léger string de bain. Ses fesses rondes callipyges, ses cuisses interminables, sa peau bronzée, ses seins lourds mais fermes, son ventre plat, ses hanches de déesse, sa brune et soyeuse chevelure, elle ressemblait vraiment à Monica Belluci sans aucun doute.
Angela remarqua le manège visuel de Balou.

- J'ai l'impression que tes yeux me marquent au fer rouge mon chéri, lança-t-elle.

Elle était allongée sur son drap de bain, Balou se rapprocha d'elle, leur lèvres se touchèrent pour se donner un fougueux baiser.
La plage était déserte, une douce brise caressait leur corps surchauffé par le soleil.
Balou quitta cette vorace bouche. Ses lèvres descendirent progressivement entre le sillon de la poitrine d'Angela, puis sa langue titilla les bouts durcis couleur caramel. Ensuite Angela senti la bouche de son amant continuer son chemin vers son mont de Vénus. Balou ôta délicatement le string, il se coucha entre les cuisses écartées de son amie. Il dégagea le bourgeon dressé, admira les roses lèvres gonflées de désir, il huma ce parfum marin.
La bouche de Balou était maintenant soudée au centre du plaisir d'Angela, sa langue pénétrait profondément en elle en dansant une sarabande endiablée. Angela gémit, une exquise chaleur embrasait tout son être, elle s'abandonna à la caresse buccale de son ami.
Les doigts de Balou carrèrent les cuisses, le ventre doux. Sa bouche aspira le pistil ce qui provoqua un râle interminable à Angela. Elle n'en pouvait plus, elle désirait que Balou la prenne là immédiatement avec force, mai Balou n'en avait cure, il continuait inlassablement  sa caresse.
Angela le suppliait de venir la couvrir, son ventre se crispait, ses mains griffèrent la sable, elle n'en pouvait plus, elle voulait qu'il soit en elle, que son pieu la pénètre profondément.
Plusieurs vagues de plaisir la submergèrent, elle cria et supplia. Son ventre brûlait d'un feu qui se répandait dans tout son corps. Elle hurla à nouveau encore et encore.
Balou prit un malin plaisir à continuer ainsi. Sa bouche, ses joues son nez, étaient humides du nectar d'amour d'Angela. Il aimait prodiguer cette caresse, il adorait écouter le chant d'amour de son amie, il ne se lassait pas d'embrasser cette brune toison d'amour.

- Viens mon amour, je te veux, viens vite, supplia encore Angela

Balou se redressa. Angela le vit beau et majestueux, agenouillé entre ses cuisses tenant sa hampe érigée entre ses mains. Elle voyait ce dard de désir pour elle, son gland violacé. Cette vision lui arracha un autre râle. Mais Balou toujours agenouillé frottait simplement son gland à l'orée du fruit d'amour mielleux en le faisant pénétrer, puis en le retirant. Ce contact, cet attouchement délicieusement agaçant excita encore davantage Angela qui maintenant cria sa frustration.
Balou sentait que le moment était arrivé, il se coucha sur son amante et la pénétra d'un seul coup jusqu'à la garde.

- Enfin !!!! ouiiiiiiiiiiiiiiiii, Hurla Angela, après une si longue attente

Elle se sentait remplie, pénétrée entièrement. Elle joui ainsi à plusieurs reprises abandonnée aux vas et viens surpuissants de son amant. Ils se regardaient tous les deux les yeux dans les yeux en ahanant. Puis une autre vague de bonheur emporta Angela qui ferma ses paupières en se mordillant la lèvre inférieure. Balou lui continuait inlassablement, il voulait que ces instants durent une éternité car la jouissance qu'il donnait à Angela faisait vibrer son âme.

A l'ombre d'un olivier Bettina les observait depuis le début. Elle avait ôté sa culotte et elle avait introduit deux doigts en elle qu'elle faisait coulisser en imaginant le pieu de son gendre qui la prenait.
La jouissance également à plusieurs reprises l'entraîna vers la nirvâna. Elle entendait sa fille gémir de bonheur, elle la voyait se tortiller sous Balou. Bettina admira la hampe puissante qui entrait et sortait du ventre de sa fille. Cette vision à nouveau lui arracha un orgasme.
Bettina redressa la tête juste à temps pour voir les deux amants jouir ensemble dans un tourbillon de cris et de gémissements. Elle vit le visage de sa fille se crisper, sa bouche ouverte les lèvres retroussées comme si elle criait de douleur, elle la vit s'arc-bouter avant qu'elle ne lâche un grognement de lionne à l'apogée du plaisir.
Balou la vit aussi ainsi, et cela provoqua le déferlement de lave en fusion dans le ventre de son amie. Il avait le sentiment de se vider interminablement, l'impression que son orgasme  n'allait jamais s'arrêter. Lui, rugit à son tour et éjaculant longuement.

A suivre
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 00:00
Le local me parut superbe et magnifiquement éclairé ; nous ne pûmes arriver qu'en marchant sur un grand crucifix tout parsemé d'hosties consacrées, au bout duquel était la Bible, qu'il fallait de même fouler aux pieds. Vous croyez bien qu'aucune de ces difficultés ne m'arrêta. Je pénétrai.
C'était une fort belle femme de trente-cinq ans qui présidait ; elle était nue, magnifiquement coiffée ; ce qui l'entourait au bureau était également nu : il y avait deux hommes et une femme. Plus de trois cents personnes étaient déjà réunies et nues : on enconnait, on se branlait, on se fouettait, on se gamahuchait, on se sodomisait, on déchargeait, et tout cela dans le plus grand calme ; on n'entendait aucune autre espèce de bruit que celui nécessité par les circonstances. Quelques-uns se promenaient doubles ou seuls ; beaucoup examinaient les autres, et se branlaient lubriquement en face des tableaux. Il y avait plusieurs groupes, quelques-uns même formés de huit ou dix personnes ; beaucoup d'hommes seuls avec des hommes ; beaucoup de femmes entièrement livrées à des femmes ; plusieurs femmes entre deux hommes ; et plusieurs hommes occupant deux ou trois femmes. Des parfums extrêmement agréables brûlaient dans de grandes cassolettes et répandaient des vapeurs enivrantes qui plongeaient, malgré soi, dans une sorte de langueur voluptueuse. Je vis plusieurs personnes sortir ensemble des cabinets d'aisances. Au bout d'un instant, la présidente se leva et prévint, à voix basse, qu'on lui prêtât, quand on pourrait, un moment d'attention. Quelques minutes après, tout le monde m'entoura ; je n'avais été de ma vie tant examinée ; chacun prononçait, et j'ose dire que je ne recueillis de tout cela que des éloges ; de grands complots, de grands projets se formèrent sur moi et autour de moi, et je frémis d'avance de l'obligation où j'allais être de me prêter à tous les désirs que faisaient naître ma jeunesse et mes charmes. Enfin la présidente me fit monter sur une estrade en face d'elle ; et là, séparée par une balustrade de toute l'assemblée, elle ordonna que l'on me mît nue : deux frères servants arrivèrent, et, en moins de trois minutes, il ne me resta pas un vêtement sur le corps. J'avoue qu'un peu de honte s'empara de moi, lorsque les frères, en se retirant, m'exposèrent absolument nue aux yeux de l'assemblée, mais les nombreux applaudissements que j'entendis me rendirent bientôt toute mon impudence.
[...]
Donatien Alphonse François Marquis de Sade orgie et plaisir

Tous les couples, distraits par l'événement de ma réception, se renouèrent, et je fus bientôt attaquée ; de ce moment jusqu'à celui du souper, je ne revis plus Clairwil. Le premier qui m'aborda était un homme de cinquante ans.
- Te voilà bien putain, pour le coup ! me dit-il en me conduisant sur un canapé, il n'y a plus à t'en dédire à présent ; te voilà garce comme une raccrocheuse ; j'ai été content de toi, tu m'as fait bander.
Et le paillard m'enconne en me disant cela. Il lime un quart d'heure, baise beaucoup ma bouche, puis, saisi par une autre femme, il me quitte sans décharger. Une vieille de soixante ans vint à moi, et m'ayant recouchée sur le canapé que j'allais quitter, elle me branla, et se fit branler fort longtemps. Trois ou quatre hommes nous examinaient ; un d'eux encula la matrone, et la fit crier de plaisir. Un autre de ces hommes, voyant que je me pâmais sous les coups de doigts de la tribade, vint m'offrir son vit à sucer ; et comme la vieille me quitta, le coquin passa de ma bouche à mon con ; il avait le plus beau vit du monde, et foutait à merveille.

Extrait - Histoire de Juliette ou Les Prospérités du Vice
Par Donatien Alphonse François Marquis de Sade - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 14 août 7 14 /08 /Août 00:00
S’embrasser, se bécoter, se bisouiller, s’étreindre, se sucer la pomme, se rouler une pelle, un patin, j'adore...
Après vous être égaré sur les joues, le bord des lèvres, venez ensuite à la bouche. Peu à peu, la langue de votre partenaire vous sera offerte. Bien sur je parle du baiser, celui la même si souvent décris dans le Kama Sutra ou dans les contes des Mille et Une Nuits.  

D'ou viens ce mot Baiser: Son étymologie est trouble,  basium vient peut-être du grec bádzo, je parle, ou de basko, baskaino, je murmure. A côté des basia, les baisers d'amour, les Romains distinguaient les baisers de l'amitié, oscula, et ceux de la passion, suavia.

En français, baiser a les sens les plus curieux. Quand Mme de Sévigné écrit «Vous avez donc baisé toute la Provence», elle veut dire «visité» ou «sillonné», et si jadis on pouvait «être baisé», cela signifiait qu'on avait été «honorablement reçu». Le zéphyr «baise les fleurs» ou la mer «baise le rivage» : ils l'effleurent ; le cerf, poursuivi par les chasseurs, «baise l'eau» : il se jette dans l'étang. «Baiser le marmot» n'avait rien de répréhensible : c'était faire le pied de grue, car le marmot désigne le heurtoir d'une porte. «Baiser le cul de la vieille» ou «baiser le babouin» n'était pas si dégoûtant : dans le premier cas, le joueur perdait sans avoir gagné un seul point, dans le second, le soldat qui avait commis une faute embrassait une figure dessinée sur les murs des corps de garde. Mais la sorcière, elle, baisait vraiment le cul du diable en signe de soumission, et tout un chacun, du diable, pouvait baiser le pied, s'il tenait à sceller un pacte méphistophélique.
Le baiser sexuel et historique Erich Von Gotha
Le baiser tactile est sans doute très ancien et primitif. Il est commun chez les mammifères en général. Le bébé humain possède, à un degré très marqué, I'impulsion de porter à sa bouche, de lécher et d'essayer de goûter toute chose.
L'anthropologue Paul Enjoy a souligné «le sentiment d'horreur des Chinois confrontés au baiser sur la bouche des Européens, qui éveillait en eux épouvante et répugnance devant ce qui leur semblait être un simulacre de cannibalisme». Certains baisers, plus que le toucher ou le goût, concernent l'odorat, C'est le cas du baiser de nez des Esquimaux : «Il s'agit de flairer, c'est-à-dire de pénétrer dans la zone olfactive intime de l'autre, de s'approprier de son odeur, de faire partie de cette zone intime qui lui est propre.» Cette «proxémique olfactive», dit Montandon, peut passer aussi par la sueur : en guise de rite d'accueil, «certains peuples aborigènes d'Australie du Nord se frottent tout le corps pour en recueillir la sueur et l'appliquer sur le corps du nouvel arrivant en signe de bienvenue».  Les amoureux Américains échangent un « French kiss », même dans les endroits publics.  Ce french kiss est un degré au dessus du baiser traditionnel car il est plus sexe.

Une psychanalyse simplifiée montrerait que le baiser est une fixation au stade oral de la sexualité, une fusion buccale et une manière de revivre fantasmatiquement la suave succion du sein maternel. En réalité, l'épaisseur symbolique du baiser, dépassant sa dimension sensorielle, sensuelle ou sexuelle, défie toute interprétation, en ce qu'il se présente, dans de nombreuses cultures, comme transfusion d'âme (s), «lieu d'un échange animique». Il apparaît comme «bouche à bouche», transport de salive et de souffle, faisant penser à l'acte de création de Dieu. Le souffle est le souffle divin, le souffle vital, celui qui anime, ressuscite les morts, guérit les lépreux, ôte la vie lorsqu'il est aspiré comme le sang l'est par le vampire, unit les âmes dans la paix et les fait fondre dans l'amour Ñ mais aussi bien l'haleine fétide, l'exhalaison morbide... La salive est le liquide salvateur, «élixir prodigieux» assimilé au lait maternel, mélange toujours sucré d'humeurs et de saveurs, eau lustrale qui immerge les coeurs dans la «glace ardente» de la passion ­ mais tout aussi bien suc digestif, mucus, glaires, lymphe âcre et suspecte... Puis existe une chronologie des baisers (le premier n'a pas d'égal, et le dernier, en général, on ne le donne pas), une géographie (sous la pluie, sous un porche, sur un quai de gare...), une physique (appuyé, du bout des lèvres), une hydraulique (sec, humide, mouillé), une mystique, une érotique... si bien qu'à vouloir en faire le tour, on dessine plus qu'une carte du tendre. D'autant qu'il y aussi les baisers qu'on n'a pas reçus, et les baisers immatériels, ceux auquels on rêve ou ceux qu'on envoie, par une carte ou en soufflant sur sa main, et dont on n'est pas sûr, comme disait Kafka, qu'ils arrivent à destination, parce que «les fantômes les boivent en route».

Plus de plaisir:
Pour donner du plaisir, le baiser peux rester sensuel. Qui effleure ou mordille la nuque et le cou peu procurer des plaisirs insoupsconnés.

A ne pas oublier les oreilles, très érotiques ! Eh oui monsieur mesdammes mordillés, léchouillés ou suçotés. Pavillon, lobe rien de doit rester inexploré. La perception amplifiée de votre souffle pourra également décupler de désir de votre partenaire.


Plus de lecture:
Le Baiser. Le corps au bord des lèvres Autrement, 124 pp
The Kiss in History, édité par Karen Harvey, Manchester University Press, 2004
Du baiser,Francesco Patrizi, Traduit de l'italien par Sylvie Laurens Aubry,Les Belles Lettres, 92 pp

Dans ce texte des extraits de Robert MAGGIORI- 30/06/2005 (Liberation)
Par Aline - Publié dans : plaisir
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Samedi 13 août 6 13 /08 /Août 00:00
Balou plongea dans la mer. L'eau était fraîche mais il lui fallait d'abord évacuer le sable qui l'irritait et ensuite reprendre ses esprits après la folle étreinte avec Bettina.
Mon dieu qu'avait-il fait? Est-ce dû aux effets éthyliques de l'excès de vin ou avait-il plongé dans la débauche la plus totale ? Le fait de se baigner dans l'eau froide devrait lui permettre d'y voir plus clair, du moins l'espérait-il.
Bettina était restée sur la plage. Elle admirait son gendre amant et ses brassées très coulées qu'elle devinait au clair de lune.

Enfin Balou regagnât la terre ferme, nu, devant sa belle-mère.
- Vous êtes une ensorceleuse Bettina, crachat-il.
Bettina admirait son gendre, ses petites fesses rebondies, ses cuisses musclées, sa poitrine velue, son ventre un peu rond entouré de poignées d'amour, sa démarche féline. Elle répondit :
- Vous êtes beau Balou, vous m'avez donné un bonheur immense et ça je ne l'oublierai pas soyez-en certain mon chou.
Balou épousseta ses vêtements et s'habilla à la hâte.
- J'ai aussi aimé Bettina mais ce n'est pas raisonnable, nous avons agit sur un coup de folie.
- Certainement mais le désir a été plus fort que la raison. Vous savez j'ai 55 ans et jamais dans mes désirs les plus fous je n'osais imaginer ce qui est arrivé entre nous. Cependant j'ai lu dans votre regard depuis votre arrivée ici, que je ne vous laissais pas indifférent.
- Oui oui mais coucher avec une dame qui pourrait être grand-mère quand même c'est contraire à la nature.
- Oh arrêtez de me sortir vos principes à deux euro, vous en aviez envie alors nous l'avons fait un point c'est tout, lâcha Bettina un peu excédée.
Son gendre ne dit rien. Tous les deux quittèrent la plage pour remonter vers la maison familiale.
A pas de velours Balou regagna leur chambre où Angela devait dormir.  Il prit une douche et se glissa délicatement dans les draps.
Une main toucha son épaule, il sursauta.
- ça va mon chéri ?
Angela ne dormait pas.
- Oui je suis fatigué, dit-il.
- C'est marrant de prendre une douche si tard, constata son amie.
Balou réfléchi à ce qu'il devait répondre.
- J'ai pris un bain de minuit pour rafraîchir mes esprits car je pense que j'ai abusé du vin blanc.
- Ah ? Et ma mère t'accompagnait ?
Un ange passa....
- Euh oui mais il faisait sombre, elle ne m'a pas vu nu. En fait elle a détourné son regard lorsque je me suis déshabillé, dit-il d'une petite voix mal assurée.
- Tiens donc ça m'étonne, maman n'est pas si prude que ça. Enfin on en reparlera au petit déjeuner. Bonne nuit mon chéri.
- Bonne nuit ma belle.
Balou passa une mauvaise nuit. Il devait absolument parler à Bettina demain matin avant qu'Angela ne pose trop de questions à sa mère.

Allongée dans son lit, Bettina souriait toute seule. Quelle superbe soirée elle avait passé. Elle se remémora l'épisode sur la plage avec son gendre. Quel bel homme, se dit-elle en s'endormant en chien de fusil une main entre ses cuisses.

Un petit rai de lumière filtrait à travers les volets. Il glissait sur le plancher, remontait vers le lit puis vers le visage de Balou.
Balou se réveilla, il avait somnolé quelques heures sans vraiment sombrer dans le sommeil. La bouche pâteuse, il se leva et se traîna vers la salle de bain. Le miroir au-dessus du lavabo lui renvoya l'image d'un trentenaire aux yeux globuleux, les cheveux hirsutes, la mine déconfite et pâle.
Il était 6h30, heure matinale qui lui convenait. Il se dépêcha de vaquer à sa toilette pour pouvoir discuter avec Bettina seuls à seuls.

La maison était silencieuse. Balou rejoignit la cuisine et se fit un double express bien serré sans sucre. Il gagna la terrasse et s'assis dans un fauteuil en allumant une cigarette. La caféine lui fouetta le sang, la nicotine elle, lui apaisa les pensées.

- Bonjour mon cher.

Il se retourna et vit Bettina en peignoir, son chignon défait, ses blonds cheveux tombaient en cascade sur ses épaules. Elle portait des mules horribles surmontées d'une coccinelle, kitsch à souhait. aux yeux de Balou cette dame perdait toute sa grâce ainsi fagotée. Mais il se dit qu'au saut du lit personne ne pouvait faire mieux.

- Bonjour Bettina, bien dormi ?
- Oui très bien, j'ai passé une nuit de rêves.
Balou se racla la gorge, tira une bouffée sur sa cigarette et se lança en disant :
- Ecoutez Bettina, l'épisode de la nuit dernière doit rester entre nous. Angela ne dormait pas hier soir lorsque je me suis couché. Je lui ai dit que j'ai pris un bain de minuit, en ajoutant que vous ne m'aviez pas vu nu car vous aviez détourné votre regard. Il faut absolument que vous lui confirmiez cette version des faits si Angela vous questionne.
- Mais mon petit Balou vous semblez apeuré ? Ne soyez pas inquiet, votre belle-mère préférée saura gérer la situation sans porter préjudice à votre couple. Cependant mon cher, ma fille a du être surprise par vos propos car je suis naturiste et je ne détourne pas les yeux devant la nudité.

Un age passa...........Balou se maudit d'avoir lâché cette phrase.

- Allez Balou je lui dirai en rigolant que je n'ai rien vu puisqu'il faisait nuit noire. Bon allons préparer le petit déjeuner voulez-vous je meurs de faim. Lança Bettina et lui prenant le bras.

Devant la table de la cuisine qui avait vu les ébats d'Angela et de Balou, Bettina s'affairait à préparer le café et une salade de fruits. Balou la regardait faire. Il accentua son regard sur cette femme sorcière qui lui avait procuré un plaisir jamais éprouvé avec aucune autre.
Bettina ressemblait à ces vieilles dames qu'on remarquait sur la Cote d'Azur, une rombière bourrée de fric.  Elle savait qu'il l'observait, elle se doutait de ce qu'il pensait.
- Vous pensez que je suis une sorcière, vieille et défraîchie, n'est-ce pas Balou ?
Son gendre rougit d'être ainsi découvert.
- Bettina, vous êtes une femme exquise, une mère admirable, mais je m'interroge sur les pulsions qui m'ont jeté dans vos bras, c'est tout.
- Et vous regrettez ?
- Oui... Enfin je ne sais plus où j'en suis voila.
- Ecoutez-moi Balou, vous êtes un garçon charmant dont ma fille est amoureuse. J'ai succombé à votre charme comme vous avez succombé au mien, et je vous mentirais si je vous disais que là maintenant j'ai envie de tout stopper. Vous me traitez de sorcière ok je veux bien, mais vous aussi vous êtes un homme envoûtant, et une femme telle que moi ne peut que défaillir à votre contact.
Balou ne sus que répondre, il restait là les bras ballant devant Bettina.

Elle s'essuya les mains, se rapprocha de son gendre.
Ils étaient face à face. Balou était tétanisé, il ne pouvait plus bouger, ou ne voulait pas réagir, il ne savait plus. Son coeur battait la chamade. Il craignait sa belle mère mais une petite voix lui soufflait que cette dernière voulait encore abuser de lui. Cette pensée aussi furtive fut-elle lui provoqua instantanément une érection douloureuse qu'il ne pu masquer à la vue de Bettina.
Cette dernière ne pipa mot. Elle s'agenouilla devant son gendre.
Balou voyait les doigts de sa belle mère déboutonner un à un les boutons de son pantalon. Elle laissa celui-ci tomber aux pieds de son gendre. Ses deux mains baissèrent le caleçon.

Le souffle chaud de Bettina s'abattit sur le bas ventre de Balou. Elle pris ses blonds cheveux longs et entrepris de caresser ainsi la verge dressée devant elle, en veillant à ne pas la toucher avec ses doigts. Ce contact soyeux provoqua un gémissement de Balou.
- OOOOhhhhh Bettina que c'est bon......furent ses seules paroles.
Sa diabolique belle-mère agenouillée à ses pieds le regardait par en-dessous, elle se léchait les lèvres, prête à offrir à son gendre chéri une fellation digne d'une Sicilienne de 55 ans.
- Qu'elle est belle Balou cette hampe dressée pour moi, c'est votre désir qui s'exprime, votre envie de goûter à ma bouche, n'est-ce pas ?
Balou sombra à nouveau dans cette folie de luxure qui l'avait animé la nuit dernière.
- Bettinaaaaaaa oui sucez-moi s'il vous plaît, buvez ma semence chaude, je n'en peux plus allez-y.

Il n'en fallait pas davantage à sa belle-maman pour débuter sa caresse. Elle admira d'abord la finesse du gland violacé. Le fait que Balou soit circoncis donnait encore plus de beauté et de cachet à ce membre. Ensuite son regard se posa sur le tronc gros et long où la fine peau laissait transparaître des veines bleues tendues à l'extrême. Plus bas les lourdes bourses se balançaient devant ses yeux.
Bettina était excitée comme une pucelle, elle sentait la moiteur envahir son ventre, le feu grégeois se rallumait. Elle soupira en engloutissant le gland de Balou.
Son gendre se vit disparaître dans la bouche aux commissures de lèvres ridées. La bouche était chaude et accueillante. Il sentait la langue jouer avec lui. Il s'agrippa à la table de la cuisine pour ne pas tomber à terre car la blonde chevelure avait commencé à aller et venir.
Bettina l'engloutissait au fond de sa gorge. Il se demandait comment elle faisait pour de pas hoqueter. Ses poils pubiens chatouillaient les narines de sa belle mère, il ferma les yeux et disparu dans une autre dimension.

La cuisine était toujours silencieuse, Angela devait dormir profondément. Seuls des râles et des bruits de succion remplissaient l'atmosphère.
Le soleil continuait à se lever. On entendait au loin le bruit des vagues s'écraser sur la plage, et dans une maison sicilienne une belle mère était en train de pomper allègrement son gendre agenouillée en peignoir aux pieds de celui-ci.

Soudain un cri.
Un long gémissement presque inhumain comme on devait en entendre en enfer.
Puis plus rien pendant de longs instants.

à suivre
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 13 août 6 13 /08 /Août 00:00
Un superbe article sur mon blog vraiment j'adore!!
sydney parle de plaisir et jouissance le blog d'aline
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Vendredi 12 août 5 12 /08 /Août 00:00
Bonjour,
Voici quelques articles scientifiques concernant le sujet de ce blog. Malheureusement ils sont écris en anglais. J'espère que cela réjouira les plus anglophone. Et permettra à nombre d'entre vous de découvrir ces études fort intéressantes.

bonne lecture

Having sex ?

Heterosexual genital sexual activity among adolescent males 1988 and 1995

Special USA:
 Girls popularity and sexual competition
 Adolescent virginity pledges and risky sexual behaviors
 
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Jeudi 11 août 4 11 /08 /Août 00:00
Angela aida sa mère à préparer le repas fait de salades et de poissons grillés. Par cette chaleur ils n'avaient pas très envie de manger chaud mais les grillades de la faune marine leur semblaient bien appropriées.
Le dîner se déroula comme prévu en terrasse. Bettina était aux petits soins avec Balou. Il se sentait  gêné par tant de prévenance car elle refusait obstinément qu'il l'aide pour le service. Le vin blanc était magnifique, il coulait à flot. Bettina servit plusieurs pichets.
Rires et discutions animées rythmaient le repas. Balou était vraiment heureux d'être là avec Angela. Bettina raconta un peu sa vie. Elle  lâcha de savoureuses anecdotes concernant son mari, alors Angela la regardait éberluée mais aussitôt elles pouffaient de rire toutes les deux.
Il n'y avait qu'eux trois dans cette grande maison du bord de mer. Pour accéder à la plage il fallait suivre un petit sentier qui traversait une plantation d'oliviers. La maison en elle-même se trouvait à quelques centaines de mètres de la Méditerranée, à l'ombre des pins.
- Alors mes enfants, que faites vous demain? demanda Bettina.
- Rien pour le moment maman. Mais je pense que je vais aller au marché avec Balou pour lui montrer ce qu'est le marché en Sicile. Répondis Angela.
Balou approuva en se reversant une bonne rasade de ce vin blanc très frais. Bettina le taquina gentiment sur les effets soit disant aphrodisiaques de ce cru et Balou naturellement lui en resservit également une généreuse rasade.
Angela se leva et annonça qu'elle était fatiguée, elle allait se coucher.
Elle s'approcha de son amant resté assis et lui déposa un chaste baiser sur la joue en disant :
- Prends soin de maman mon chou, mais ne buvez pas trop tous les deux.
- Ne t'inquiète pas mon ange, je veille sur ton chéri. Répondit Bettina en rigolant.
Angela les laissa tous les deux.
La soirée était bien avancée. La chaleur avait fait place à une délicieuse fraîcheur, la nuit était tombée. Seuls les appliques murales éclairaient la terrasse, le feu des grillades s'était consumé.
Bettina et Balou devisèrent encore de longs instants. Bettina gloussa lorsque Balou la complimenta pour ce très bon repas.
- Vous êtes ici chez vous mon cher, je suis heureuse que ma fille aie enfin rencontré un homme, un vrai ! Dit-elle en plongeant son regard dans celui de son gendre.
Balou ne cilla pas. Ce lien visuel les unit de longues secondes. Aucun des deux ne prononça un mot. Une sorte de délicieuse plénitude s'insinuait lentement en eux. Balou fut le premier à détourner les yeux, mais il laissa son regard glisser sur le cou de Bettina, sur sa généreuse poitrine d'où il voyait poindre les bouts durcis des seins, vers sa bouche pulpeuse.
Bettina était assise face à lui. Elle se leva et vint s'asseoir à sa droite sur la chaise laissée vacante par sa fille. Son parfum embaumait l'atmosphère. Balou voyait mieux maintenant le visage de Bettina. Femme quinquagénaire mais bien conservée. De petites rides marquaient légèrement la peau de sa belle-mère, la peau de son cou commençait également à flétrir mais sa blonde chevelure montée en chignon la rendait pleine de charme. Ses mains aux ongles rouge sang caressèrent distraitement la nappe en coton.
- Je préfère être assise proche de vous, c'est plus facile pour communiquer. Vous ne trouvez pas ?
- Bien sûr Bettina, et maintenant nous nous connaissons un peu mieux. Répondit Balou.
Il se savait plus quoi penser. Sa belle-mère lui faisait des avances c'était évident.
- Vous savez Balou, tout à l'heure dans la cuisine je vous ai vu avec ma fille. Dieu que vous étiez beaux tous les deux ainsi soudés l'un à l'autre. J'ai admiré vos coups de rein et avec ravissement je vous ai écouté jouir en hurlant. Angela vous aime je le sais maintenant.
Malgré la pénombre Balou sentit le rouge lui monter aux joues.
- Mais, mais...............Furent ces seules paroles.
- Ne soyez pas gêné mon cher, vous avez un charme fou,  dit Bettina en posant une main sur le haut de sa cuisse.
Balou sentait la situation dévier dangereusement voir un abîme inconnu, mais son esprit lui soufflait que cette femme quinquagénaire allait l'emmener vers une extase qu'il ne soupçonnait pas.
La main aventureuse de sa belle-mère remonta vers son entre jambe. Balou était déjà en érection depuis un bon moment. Les doigts de Bettina le caressèrent à travers le tissus du pantalon. Il sentait son parfum l'envoûter. Elle le regardait bien droit dans les yeux. Leur bouches se rapprochèrent irrésistiblement, leurs souffles se mélangèrent. Enfin leurs lèvres rentrèrent en contact.
Balou fut agréablement surpris par la douceur de cette bouche. Bettina se leva pour s'installer sur les jambes de son gendre, ses cuisses pendantes de chaque coté. Balou la pris dans ses bras, il se donnèrent un passionné baiser.
La bouche de Bettina dévora carrément celle de Balou. Il laissa ses mains partir à la découverte de ce corps de femme mûre. Ses cuisses chaudes, ses petits bourrelets aux hanches, la douceur de sa peau, excitèrent encore davantage Balou.
Soudain Bettina se redressa et déposant un doigt sur la bouche de son gendre, lui intimant de ne prononcer aucune parole. Elle lui pris la main et le guida dans l'obscurité à travers la plantation d'oliviers. Ils aboutirent sur la plage.
- Bettina je suis confus, réussit à articuler Balou
- Ne dites rien, vous en avez aussi envie que moi
- Mais....
- Il n'y a pas de mais. Venez j'ai envie de vous, j'ai hâte de sentir votre queue en moi.
Il faisait nuit noire. Seul le clapotis des vagues chantait à leurs oreilles.
- Là nous serons bien mon Balou, chuchota Bettina. Elle l'entraîna entre deux barques de pécheurs et se colla à lui comme une pieuvre.
Ils ne faisaient plus qu'un. Ils ne se voyaient presque pas, seul un fin rayon de lune éclairait leurs ébats.
Bettina avait relevé sa robe et ôté sa culotte en se positionnant à quatre pattes face à son gendre en lui présentant son fessier, elle écartait sa fente luisante et mielleuse à deux mains.
- Prenez-moi s'il vous plaît Ô mon gendre, j'attends depuis si longtemps qu'un homme de votre trempe me pilonne, lâcha Bettina.
Balou était au bord d'un précipice, il sentait que s'il s'y laissait tomber, les abîmes de luxure et de débauche allaient l'entraîner vers un espace qu'il ne connaissait pas. Posséder la mère et la fille, quel délice mais aussi quel risque !! Son cerveau, son corps, sa verge tendue et prisonnière de son pantalon, lui hurlaient de se laisser aller et de goûter à la saveur d'une dame qui pourrait être grand-mère. Cette pensée lui ôta toutes inhibition. Il se débraguetta, enleva son slip et s'agenouilla devant la croupe de sa belle -mère.
Le gland frotta contre la cuisse de Bettina. Elle gloussa de plaisir à ce contact. Balou prit sa hampe érigée en main et d'un coup pénétra sans ménagement en Bettina en caressant ces fesses
Il s'accrocha à ses hanches et débuta par de grands vas et viens son pistonnage. Il entrait et sortait d'elle avant de s'y enfoncer profondément. Ce ventre chaud et mielleux, le fait de posséder sa belle-mère ainsi,  lui arracha un orgasme monstrueux qu'il ne voulu pas retarder. Il grogna et éjacula longuement en elle. De son coté Bettina jouit en silence telle une femme habituée à ne pas faire état de son plaisir.
La vigueur de Balou n'avait pas faibli. Il continua à labourer sa belle -mère qui n'en demandait pas temps.
Le sable fin commençait à les recouvrir, il s'infiltrait partout, mais les deux amants n'en avait cure. Ils copulaient comme deux êtres assoiffés de jouissance.
Des vagues entières de plaisirs submergèrent Bettina, son ventre était devenu un feu grégeois qu'il fallait éteindre. Balou jouis à son tour à nouveau en déversant sa lave à deux reprises. Jamais aucune autre femme ne l'avait excitée à ce point, jouir trois fois de suite ainsi était grandiose.
- Encore mon balounet , encore j'en veux encore, haleta Bettina.
- Belle maman je ne peux plus, réussit à dire Balou avant de se retirer d'elle et de s'écrouler sur le sable.
Bettina resta accroupie à quatre pattes avant de constater que son gendre s'était entièrement déshabillé pour piquer une tête.

à suivre.....
 
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 8 août 1 08 /08 /Août 00:00
Angela dormait, allongée sur le ventre. Ses épaules nues  dépassaient de sous les draps ainsi que ses cuisses fuselées. Sa crinière brune reposait délicatement sur l'oreiller.
Le contraste entre la blanche couleur des draps et sa peau caramel est déjà un délice pour les yeux. Elle dort la naïade brune. Les rideaux de flanelles voltigeaient, la fenêtre était ouverte, une légère brise marine soufflait, les mouettes criaient au loin, le ressac des vagues devenait une douce mélodie.
Balou avait la tête vide, il ne savait que penser depuis qu'Angela était rentrée dans sa vie telle une météorite. Le premier épisode avec son roux compagnon datait maintenant depuis belle lunette puisque Angela et lui s'étaient séparés. Balou était devenu en quelques sortes l'amant officiel de la Monica Belluci locale de ce petit village sicilien.

L'accueil dans la famille d'Angela s'était déroulé à merveille, et Balou avait vite prit de l'assurance au sein de cet l'environnement familial très matriarcal. Fêtes, déjeuner et dîners se succédaient, cependant la présence quelque peu envahissante de la mère et des amis d'Angela commençait à lui peser.

En cet instant présent il savourait la quiétude du lieu. Leur chambre lui semblait un havre de paix, il regardait son amie dormir. Elle se  reposait après leur débauche de plaisir et de luxure.
Mais Balou était pensif. Il alla sur la balcon et alluma une cigarette. La nicotine lui fit refonctionner ses neurones. Il regardait au loin l'horizon bleu azur en pensant à Angela. Son âme lui soufflait qu'il était en train de tomber amoureux comme jamais il ne l'avait été. Ce sentiment l'effrayait et l'émoustillait tout à la fois.
Il se rappelait leur rencontre un samedi matin au supermarché, ensuite la nuit d'ivresse avec l'ex petit ami d'Angela où à trois ils avaient fait l'amour à maintes reprises. Entre temps de l'eau avait coulé sous les ponts, Angela et Balou se sont trouvés pour vivre à deux des moments d'amours d'une extrême pureté.
Accoudé à la balustrade en fer forgé du balcon, Balou se remémorait tout cela. Il regarda la fumée bleue s'envoler vers le ciel en se disant qu'Angela était vraiment une femme fabuleuse qu'il aimait par dessus tout.
Cette nuit ainsi que ce matin lorsqu'ils avaient fait l'amour Angela lui avait susurré des "je t'aime" à profusion. Ce mots, il le savait maintenant n'était pas dénués  de sens, mais sur le moment il n'y avait pas prêté attention.
Il tira une dernière bouffée de sa cigarette et retourna dans la chambre.
Angela était réveillée;
- Tu as les yeux larmoyants mon chéri, qu'y a-t-il ?
Balou la regarda interloqué, il ne s'était pas rendu compte que sa réflexion intérieure l'avait secoué autant.
- Ah ? Oh ben ce doit être à cause du vent.
Angela le regarda à nouveau intensément, elle plongea les yeux dans ceux de Balou et lui dit :
- Je t'aime tel que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Je serai toujours présente à tes cotés, j'ai envie de construire avec toi une pyramide d'amour pour l'éternité.
Balou se rapprocha d'elle, il s'assit sur la couche, lui pris les deux mains qu'il baisa en lui disant :
- Je t'aime aussi Angela, et ce que tu m'apportes aujourd'hui je ne l'ai jamais connu.
Elle lui caressa les joues, ses doigts fins couraient sur le pourtour de ses lèvres. Balou ouvrit sa bouche et lécha ses doigts. Angela se releva légèrement et se pelotonna contre le torse velu de son amant. Balou l'entoura de ses bras puissants. Ils restèrent ainsi que longs instants à savourer ce moment magique.

L'après midi touchait à sa fin, la soirée pointait le bout de son nez. Balou sentait sous ses pieds la chaleur des pierres chauffées par le soleil sicilien. Il était assis à l'ombre entrain de siroter un verre de vin blanc bien frais. Il sentait à chaque gorgée le liquide revigorer son corps et surtout son esprit, la fraîcheur du breuvage hydrata également sa gorge nouée. Angela et lui avaient énormément discuté toute à l'heure. De leurs sentiments réciproques, de leurs envies, de leur situation à tous les deux, tels étaient les sujets abordés.
Se livrer de cette manière à une femme fut pour Balou un moment pénible, mais aussi très passionné. Il s'était complètement  mis à nu devant Angela. Balou savait que son amie était éperdument amoureuse de lui, cela ne faisait qu'accroître ses sentiments envers elle. Ils avaient prévus de vivre ensemble dès leur retour en France, l'appartement d'Angela étant plus grand, Balou allait emménager chez elle.
Il sentit une main sur son épaule, Angela venait de le rejoindre. Qu'elle belle femme se dit-il en l'admirant.
Angela portait une robe vert olive en flanelle qui moulait admirablement bien ses seins et son fessier. De fines bretelles maintenaient la robe plaquée à son corps. Ses épaules nues attiraient les baisers. Sa brune chevelure bouclée, ses yeux en amandes, son petit nez, sa pulpeuse bouche, sa peau couleur caramel, rendaient Angela plus désirable que jamais.
Elle s'assit en face de lui en se servit également un verre de vin. Ils se souriaient tous les deux, heureux d'être ensemble à savourer l'exquis début de soirée.
- Tu as l'air bien pensif mon chéri
- Hummmm je t'admire, tu es belle, tu es ma Muse que j'aime
Sur ce, Angela s'assit, cuisses écartées sur les jambes de Balou.  Leurs lèvres se rapprochèrent tout doucement avant que leurs bouches ne se soudent, que leurs langues dansent une sarabande profondément buccale. Ce baiser passionné les émoustilla tous les deux, Angela se laisser couler aux pieds de Balou. Agenouillée devant lui, elle lui écarta les cuisses. Elle déboutonna son  pantalon, ses fines mains prirent entre ses doigts la hampe déjà dressée de désir.
Lentement elle masturba Balou. Celui-ci sentait le souffle chaud de son amie contre la peau de ses cuisses et de son ventre. Angela fit passer la verge entre ses soyeux cheveux et continua ainsi à la branler. Le contact de cette chevelure brune électrisa Balou, il gémit sur son siège. Il se voyait aller et venir dans cette délicieuse toison.
Ensuite Angela pris la hampe dans sa bouche, sa langue s'enroula autour du tronc, ses lèvres débutèrent une succion qui faillit faire exploser Balou, mais son amante remarqua les soubresauts annonciateurs, elle arrêta nette sa caresse et lâcha la hampe.
Il regarda sa verge gonflée et humide, son amante se redressa et lui souffla dans l'oreille :
- Viens me prendre sur la table de la cuisine avant que ma mère ne vienne préparer le dîner
 Angela se retrouva allongée sur ladite table en chêne massif, robe relevée, cuisses écartées. Les fesses à l'extrémité du meuble, elle accueillit son ami en elle. La position était certes un tantinet inconfortable pour les deux amants mais l'excitation de savoir que belle-maman pouvait arriver d'un instant à l'autre décupla les ardeurs de chacun.
Entre les casseroles, le fourneau, la salade dans l'évier, des râles et des gémissements se faisaient entendre. Balou et Angela se livraient à la préparation d'un plat hautement jouissif pour le plaisir non pas des papilles mais des sens. Ils ahanèrent ainsi pendant dix bonnes minutes car Angela taquinait son ami pour qu'il n'éjacule pas de suite mais elle susurra :
- J'aimerais que ta belle-maman voie son gendre aimer sa fille.
L'esprit de Balou enregistra cette information, son cerveau développa cette image de sa belle mère dans l'encadrement de la porte en train de les reluquer. Il cria le premier ne pouvant plus se retenir en pensant que la mère d'Angela les regardait.
Angela elle, vint juste après pour jouir par vagues successives. Elle se cambra, ses doigts raclèrent la table, son ventre était devenu une fournaise, elle hurla de sa voix rauque sans aucune retenue comme pour prouver à sa mère tout l'amour qu'elle ressentait pour Balou.
Ils restèrent plusieurs instants ainsi, lui sur elle. Mais la tension avait baissé d'un cran. Ils se rendirent compte de leur inconfortable position et retrouvèrent vite leurs esprits aux premières douleurs de courbatures.
Angela rajusta rapidement et remonta quatre à quatre les marches de l'escalier pour se refaire une beauté aux toilettes, la semence de son amant dégoulinait entre ses cuisses. Balou lui réussit à remballer sa verge gluante juste à temps car la sa belle-mère arrivait à la maison.
Il jeta un regard angoissé sur la table de la cuisine, remarqua des traces suspectes et des poils pubiens. La dame était là derrière lui, il sentait la sueur perler à son front.
L'évier là.  Balou s'empara en un éclair de l'éponge et entrepris de nettoyer méticuleusement la table.
- Mais ne vous donnez pas la peine Balou d'astiquer ainsi le mobilier, nous dînerons en terrasse mon cher.
Balou se retourna et lui sourit, il était soulagé.
Il se rappela que 5 minutes avant il avait joui en pensant à cette femme quinquagénaire alors qu'il chevauchait sa fille. Cela lui sembla surréaliste. Cependant il laissa son regard déshabiller sa belle-mère. Elle était blonde, cheveux remontés en chignon, bronzée, yeux bleus, taille fine malgré son age, bouche aussi pulpeuse que celle de sa fille, seins hauts placés et généreux, bien conservée. Elle portait une robe du même genre qu’Angela mais de couleur bleue qui rehaussait la blondeur de ses cheveux et de son bronzage. C'était une femme encore très séduisante, veuve depuis 5 ans. Balou lui donnait approximativement 55 à 60 ans.
- Vous allez bien Balou ? Vous me regardez sans me voir on dirait, ça va ?
- Euh oui Madame j'étais sur la lune
- Allons allons arrêtez de m'appeler Madame ça me gène, appelez-moi Bettina dit-elle en rigolant à gorge déployée et en lui jetant un regard très appuyé.
C'est ainsi que notre Balou national avait conquis sa belle maman
- Dites moi mon Balou, en arrivant j'ai entendu des hurlements. Vous vous disputiez avec ma fille ?
Un grand blanc. Balou ne sus que répondre.
L'arrivée d'Angela lui sauva la mise.
- Maman j'ai une faim de louve !!

À suivre
Par Balou - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 00:00
Voici Jem artiste à découvrir. Le son Jem est entre le mélancolique et le surf spirit.  Un grand échantillon de styles pour une voix toujours parfaite.

Jem est née au pays de galles. Elle chante depuis l'age de 13 ans et c'est a ce moment la qu'elle a décidée d'être chanteuse. Elle n'a pas franchi le pas tout de suite. Elle a commencée par devenir DJ après l'université avant de diriger le label Marine Parade. Cependant elle n'avait pas oublié son premier rêve devenir chanteuse.
Jem portait d'une artiste
En novembre 1999, elle laisse tout tomber, elle se lance dans la composition et la chanson. Elle enregistre quatre demos avant de déménager pour londres. Londres ou elle collabore avec d'autres artistes et producteurs dont Guy Sigsworth, Madonna, Talib Kweli: On entend Jem dans la piste six d' American life de madonna. Et oui c'est déjà la preuve d'un grand talent.
En novembre 2002 elle rencontre Yoad Nevo c'est la que le son Jem se structure vraiment. Sa chanson la plus connue Finally Woken devient un hit au USA

L'album 'Finally Woken' est sorti en 2004, il est disque de platine au royaume unis depuis quelques mois..  Il commence a être dispo en france mais pas encore assez. Maintenant vous la connaissez alors plus d'excuse découvrez et faites découvrir. Agitez ce monde musical !!!

Son site pour en savoirplus :http://www.jem-music.net/

 Finally Woken Jem artist

Plus de paroles:
 You see I’ve finally woken
From a long sleep
I’m ready to jump
To make that blind leap
Coz I now believe
I have the power in me
I’ve got the faith baby
I can truly be free
Finally woken - Jem
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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