Lundi 17 juillet
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02:10
Entre la plage et le barbecue, si on prenait cinq minutes pour se tenir au courant du monde musical et des méchants pirates
Une première info plutot générale: Le feu vert au mariage Sony/BMG a été annulé par le tribunal de première instance de l'Union européenne Pas de quoi se réjouir encore, rien n'est encore joué, et puis cela finirai presque pas faire plus de mal que de bien l'autorisation avait été donnée en Juillet 2004 et depuis les sociétés avait en un sens fusionnées. On verra le jugement en appel, il risque d'être beaucoup plus clément que ce coup de canon.
Par contre l'intérêt de ce jugement, et de ralentir voir peut être d'empecher un seconde fusion ou alliance entre EMI-Warner. Cela éviterait au secteur musical de se retrouver aux mains de quelques très grands acteurs dont les parts de marché avoisineraient 25%. En effet, le partage entre EMI-Warner 24,7 % du secteur arriverait devant Sony-BMG (21,5 %) et derrière Universal (25,5 %). Les trois majors cumuleraient donc une part du marché du disque supérieure à 70 %... Un bon point pour la création ? Je ne le pense pas. Il y a un fort risque que ce marché basé sur la création et l'offre, contrôlé par seulement trois acteurs se transforme en bataille de hit dont la rentabilité serait jugée sur une semaine. On le voit déjà au cinéma ou un week-end fait ou défait la carrière d'un film.
Impala, un groupe représentant quelque 2.500 labels indépendants à l'origine de la plainte contre Sony-BMG, s'est félicité de la décision de la justice européenne en ces termes:
"La Communauté européenne a eu le courage de passer au crible et de corriger ses erreurs", a déclaré Hein van der Ree, vice-président d'Impala et directeur général d'Epitaph Europe. "La porte se referme sur une fusion EMI/Warner, heureusement, et les portes du marché restent ouvertes pour les petits."
En France coté peer to peer, après le vote de la loi DADVSI, deux actions la création d'un parti lobbyiste "pirate". Cette idée provenant de pirates scandinaves a fait des émules aux Etats-Unis et, maintenant, en France. On verra ce qu'il adviendra d'un mouvement qui semble avoir plus envie de peser sur la présidentielle que de débattre au grand jour et d'avancer des propositions.
Une initiative tardive des députés socialistes qui demande l'avis du Conseil constitutionnel afin de retarder la promulgation de la loi. Vous vous êtes bien battus à l'assemblée nationale mais on n'aimerait que cette ultime tentative ne disparaisse pas avec les départs en vacances. Qu'elles sont vos idées pour avancer ? On n'espère que vous n'aurez pas oublié lorsque vous reviendrez de vacances.
Par Aline
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Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 15 juillet
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19:47
Un petit article provenant du journal libération qui fait le point sur les poils.
Comme quoi dix-huit ans de métier conduisent à tout, y compris là, dans l'étouffante cabine d'un institut esthétique. Où, sobrement vêtue d'un élégant string en papier, on attend, avec autant d'impatience que pour se faire arracher une dent à vif, que la gentille Jennyfer ait préparé la cire chaude, pattes écartées comme aux étriers. « Vous êtes sûre, vous restez sur le "maillot culotte", vous ne voulez pas essayer le "brésilien", insiste la jolie brune. Vous savez, ça plairait beaucoup à monsieur...» Non, non, ça ira bien comme ça, finissons-en . Application de la cire chaude, tirage du poil par petites bandes sans ménagement, glapissements étouffés du cobaye, qui se jura qu'on ne l'y prendrait plus, à «l'épilation maillot», même pour le travail. «Ah ben, c'est sûr que c'est plus sensible que les mollets, hein ?»En effet.
Brésilien ou américain ?
Et tout ça parce qu'une fine observation de nos contemporaines dans les douches d'un club de gym a mené à la conclusion suivante : la fille est de plus en plus nombreuse à pratiquer l'épilation «maillot intégral», donc à subir par voie de cire, de crème dépilatoire, d'un mélange de miel et de sucre, l'éradication de tout poil en zone intime (sillon fessier inclus).
La gracieuse Mady, qui gère un centre spécialisé en épilation depuis 2002, confirme le phénomène : «La grande mode, c'est d'abord le brésilien, ou ticket de métro. C'est-à-dire une bande de poils plus ou moins fine, et les lèvres épilées. Ensuite vient l'intégral, ou l'américain, qu'on nous demande de plus en plus. Vous avez aussi l'épilation qui suit le string, très échancrée, mais on ne touche pas aux lèvres.»Et enfin, le truc le plus ringue, demandé par les mamans et les mamies : «L'épilation qui suit juste le contour de la culotte».
Tout d'un coup, on se sent vieille. «L'intégral, les femmes trouvent ça plus hygiénique, plus joli,poursuit Mady. Très souvent, c'est le mari ou le mec qui est prescripteur. Elles, elles disent qu'elles s'en fichent, mais que ça lui plaît...» Et pourquoi ? «Pensez aux actrices pornos...»,sourit l'épileuse.
Pas du tout, rétorque Lahmia, professionnelle dans un institut chic de Paris. « Chez nous, c'est culturel[les sociétés musulmanes, ndlr], explique la plantureuse brune, qui s'est lancée il y a cinq ans dans l'épilation à la cire orientale. C'est bien plus propre. Et la lingerie féminine est de plus en plus transparente. 90 % des clientes me le demandent. Et si elles viennent pour un brésilien, je les convertis à l'intégral. Elles sont ravies...»Sauf une, se souvient-elle, qui est tombée dans les pommes de surprise en se découvrant un sexe de petite fille.
Au club de gym, Marie-France (épilation intégrale) trouve l'opération magnifique, « comme une statue». Il y a aussi les fausses blondes. Ebeline, par exemple : « Comme ça, c'est ni vu ni connu ».Ou celles qui prennent de l'âge : «J'enlève tout, plutôt que d'attendre que le mont se clairsème»,explique Suzanne, presque 70 balais. Beaucoup de femmes enceintes, aussi, comme Agathe, 31 ans, qui s'est fait faire un brésilien à la cire, « parce qu'ils te rasent quand tu accouches, et ça pique quand ça repousse».
Sapin et coeur en strass
En déco, il y a des variantes : « De temps en temps, on nous demande de faire juste un petit triangle, de dessiner un petit sapin[pour Noël ? et un oeuf pour Pâques ? ndlr] , un petit coeur en strass pour la Saint-Valentin ou un anniversaire de mariage»,poursuit Mady. Voire, comme ça se pratique dans certains instituts, d'écrire «Patrice»en poils avec un système de calque.
«Il y a dans cette recherche contemporaine du propre, du lisse, du net pas de poils, pas de rides, pas de graisse une demande formulée par les hommes. Car le lisse pubien connote l'érotisme,analyse l'ethnologue Christian Bromberger (2). Le ticket de métro témoigne d'un compromis entre deux images : celle de la fille prépubère un peu poupée Barbie et celle de l'actrice porno, avec, toutefois, le souhait de"garder ce qu'il faut" .» Lise, la trentaine, a tenté l'expérience du tout lisse à la demande d'un garçon : « Ça m'a immédiatement replongée en enfance. C'est perturbant, mais excitant. On redécouvre le contact du tissu sur une peau sensible. Et des sensations peau avec peau avec l'homme, épilé lui aussi, tout à fait inoubliables.»
Dans le secret de la cabine
Une transgression du tabou, qui touche à l'enfant ? «Il n'y a rien de pédophile, puisque la femme est formée et mature. Plutôt une chosification»,selon le sexologue Gérard Leleu, cité dans la revue suisse Largeur(3). Est-ce à dire que les femmes refuseraient ce qu'elles sont ? «Elles ont peur de leur aspect sauvage»,d'une certaine animalité, quoi. Encore, que si on réfléchit bien, la zone sexuelle chez la bestiole est généralement non velue. Ou est-ce apprécié par nos amis les hommes pour cette simple raison élégamment résumée par Lucky sur un site consacré à la question : « Qui aurait envie de fourrer sa langue dans une perruque ?» Vu comme ça...
A l'institut de Mady, ça défile pour l'épilation maillot. « Souvent, elles demandent "juste échancré" à la caisse, puis "intégral" dans le secret de la cabine.»Les hommes s'y mettent eux aussi. Comme ce petit papy qui a demandé l'intégral. Mady : « Ah, mon pauvre monsieur, vous allez à l'hôpital ?» Pas du tout, lui a répondu l'ancien d'un air gourmand, « j'ai une partouze demain, et mes maîtres m'aiment bien lisse».Par Emmanuelle PEYRET LIBERATION : Mercredi 5 juillet 2006
Par Juju
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Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 9 juillet
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21:57
[...] On procède à la première de ces façons, je veux dire celle de la main,
ainsi que tu l'as vu tout à l'heure, Eugénie ; on secoue comme si l'on pompait
le membre de son ami ; au bout de quelques mouvements, le sperme s'élance ; l'homme vous baise, vous caresse pendant ce temps-là, et couvre de cette liqueur la partie de votre corps qui lui plaît le mieux. Veut-on le faire mettre entre les seins ? on s'étend sur le lit, on place le membre viril au milieu des deux mamelles, on l'y presse, et au bout de quelques secousses l'homme décharge de manière à vous inonder les tétons et quelquefois le visage.
Cette manière est la moins voluptueuse de toutes, et ne peut convenir qu'à des femmes dont la gorge, à force de service, a déjà acquis assez de flexibilité pour serrer le membre de l'homme en se comprimant sur lui. La jouissance de la bouche est infiniment plus agréable, tant pour l'homme que pour la femme.
La meilleure façon de la goûter est que la femme s'étende à contresens sur le corps de son fouteur : il vous met le vit dans la bouche, et, sa tête se trouvant entre vos cuisses, il vous rend ce que vous lui faites, en vous introduisant sa langue dans le con ou sur le clitoris ; il faut, lorsqu'on emploie cette attitude, se prendre, s'empoigner les fesses et se chatouiller réciproquement le trou du cul, épisode toujours nécessaire au complément de la volupté.
Des amants chauds et pleins d'imagination avalent alors le foutre qui s'exhale dans leur bouche, et jouissent délicatement ainsi du plaisir voluptueux de fairee mutuellement passer dans leurs entrailles cette précieuse liqueur, échamment dérobée à sa destination d'usage. [...]
Par DAFS
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Vendredi 7 juillet
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02:12
Depuis quelques temps je suis dans un autre monde. Depuis que j'ai rencontré pierre je ne pense qu'à lui. Je pensais qu'il repasserait dès le lendemain. Non aucun message et aucune réponse à mes messages sur le répondeur.
Je me prépare donc déçue, à ma régate ce week-end. Je rencontre Pierre dans le carré de l'organisation. Une bise rien d'autre pas un mot. C'est sur le ponton qu'il vient me voir.
-"Luce, j'ai envie de toi. Ce soir je passerai chez toi."
-"Pierre. Oui vers qu'elle heure?"
-" Je ne sais pas, Lucie, tu verras bien"
La régate se déroule bien. J'adore ça comme sport. Je suis vannée je rentre chez moi vers 17H. Je passe sous la douche avant de m'effondrer sur mon sofa. Ah Pierre j'espère que tu vas venir. Je me laisse aller. A l'intérieur de mon short ma main parcours mon intimité, un doigt s'attardant parfois sur mon clitoris. Etourdie de désir, je prenais seule du plaisir.
A 21h pierre n'est toujours pas passé. Le plaisir se dissipant, la faim reviens et je me mitonne des pâtes. Je ne sais pas qui du sport ou du désir mon ouvert l'appétit
Sonnerie... Le voila je me précipite pour lui ouvrir. Je me jette sur lui. Je l'embrasse. Nos langues s'entremêlent. Il m'explique qu'il n'a pu venir plus tôt. "
Je suis sur mes bras autour de son cou, lui il m'entraîne sur le canapé.
-"Lucie, il faut que l'on discute."
-"Oui que veux tu dis en l'embrassant."
Il décroche mes lèvres des siennes -"Lucie je veux plus de toi."
-"Oui tout ce que tu veux, Pierre"
-"Lucie je te veux entièrement, ... totalement.... en permanence."
-"Oui Pierre, je ferais tous pour toi."
-"Lucie, mon dieu, cela fait combien de temps que tu n'as pas baiser."
-"Un an pourquoi."
-"Je crois que tu as besoin d'un male, un dresseur à temps complet. Un male qui te fera découvrir le plaisir"
-"Pierre je te veux c'est tout"
Bien, bien Luce, maintenant montre moi comme tu as envie de moi. Retire d'abord ton sweat. C'est bien. Tu es belle. Un délice.
-"Maintenant déshabille toi.... Bien en face de moi. Et ne te déhanche pas, s'il te plait. Mets toi à genou. "
Pierre se lèvre ouvre sa braguette et sort son sexe encore mou. Il s'assoit.
-"Luce tu vois cette belle bête rends la dure, allez à quatre pattes."
Je me baisse et avance vers lui. J'ouvre ma bouche et prend son sexe avec mes lèvres. Je l'aspire et avec ma langue je le parcours. Je donne de petits coups de langue sur toute sa longueur jusqu'aux testicules. Pierre se détend à mesure que sa queue durcie.
-"Luce tu es douée, arrête viens t'asseoir à coté de moi."
Il me serre dans ses bras, m'embrasse. Ma langue se perd dans sa bouche. Ses mains parcours mon corps. Là entre deux doigts il excite un téton, là il palpe mes seins. Son doigt malicieux parcours mes lèvres intimes.
-"Luce il faudra que tu rases cela."
-"Euuh..."
"Mais oui Luce, je te veux lisse pour ce week-end. Je veux pouvoir manger sur cette partie de toi."
-"Tu le feras??"
"Oui Pierre je le ferais."
-"C'est bien Luce, allez maintenant je vais de faire crier......"
Il se jette sur moi, moi aussi j'avoue. Il me dévore les seins. Je le veux en moi. C'est la débauche, il se déshabille, il attrape une capote.
Il me place sur le sofa. Il m'écarte. Je le veux. Il me caresse. Je l'embrasse. Il écarte mes lèvres. Avec son doigt doucement il me pénètre. Il me fait goûter, essuie son doigt sur mon visage dans mes cheveux. Je l'aspire, le lèche. Il ne s'arrête que lorsque mon visage est maculé avec ma propre mouille.
Ca y est il est la au bord de moi. Un mouvement il me pénètre. Cette intrusion est accueillie par un " ah " de plaisir qui l'incite à continuer. Il me pénètre avec des mouvements lents, il sort, me pénètre à nouveau...Il met toute mon énergie dans mes coups de reins, mes seins ballottant au rythme qui m'est imposé. Je hurle de plaisir. -"Pierre...."
Nous passons la nuit ensemble pour la première fois. J'ai un homme dans mes draps. Je jouie, il me dévore, au chaud contre lui je m'endors. Il est parti lorsque le réveil sonne.
Par Lucie_plaisir
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Mardi 4 juillet
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18:03
Une idée de sortie pour ceux qui se trouve cette semaine du coté du sud ouest. Comme 'été est déjà bien installée et le surf revient à l'honneur sur nos cotes.
Le roxy jam l'année dernière en Cornouailles a lieu cette année en france. Pas de shortboard cette année, c'est le Championnats du Monde de longboard féminin qui se déroule du 03 au 09 juillet 2006 à Biarritz .
Les surfeuses brésiliennes degauche à droite Luiza Tavares, Angela Bauer, Cristiana Pires and Sabrina Olas ont réussi à mettre une très bonne ambiance sur la plage.
Par Juju
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Vendredi 30 juin
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02:27
Un petit message de regret en apprenant la fin de Charivari. Charivari l'émission de France Inter qui m'a permis de faire tant de découverte de Tinariwen à Guy debord et le mouvement situationniste jusqu' à Nancy sinatra pour n'en citer que trois. Merci Frédéric Bonnaud et toute l'équipe dont le maintenant fameux H2M.
Merci d'avoir passé trois ans à nous cultiver. De tout, de rien, d'émissions légères à d'autre plus graves mais toujours prenantes, A toujours laisser parler l'invité, pour notre, mon plaisir.
Bonne continuation, bonne chance à toi.
Par Aline
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Mardi 30 mai
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/Mai
10:25
Sandrine a une vie bien tranquille. Un job qui lui convient, un adorable petit studio et deux amants qu'elle adore. Elle s'est pomponnée tout l'après midi, mettant un peu plus de noir à ses yeux qu'à l'habitude. Une soirée pas ordinaire se prépare, mais ça, elle l'ignore encore.
Tout a commencé la veille, par un coup de téléphone d'un de ses amants, rien de surprenant à cela, mais quand celui-ci lui a dit ce qu'il désirait, elle a été très surprise. Elle l'écouta avec attention, puis après un moment de réflexion accepta enfin la proposition étrange de Paul. Porte-jarretelles, bas, string, bustier moulant soutenant bien sa forte poitrine, une paire de bottes, un maquillage soutenu et un long manteau, voilà ce que Paul lui a demandé de porter, en précisant qu'il passerait la prendre à dix neuf heures.
Elle est nerveuse car il n'est pas dans les habitudes de Paul de lui demander de telles choses, mais en revanche elle a une confiance aveugle en cet homme, alors elle s'exécute.
Dix neuf heures approche. Un dernier coup de brosse à ses cheveux, un raccord maquillage, et enfin après une attente insoutenable, l'interphone sonne.
- J'arrive !
Elle enfile un long manteau qui lui donne une silhouette de femme très classe, ferme sa porte à clefs et descend les escaliers. Paul l'attend dans le hall. Après l'avoir félicitée sur son effort de maquillage, il lui ouvre la porte et la conduit à la voiture. Un large sourire illumine soudain son visage. Bastien est assis à l'arrière de la voiture. Elle est ravie, car Bastien voyage beaucoup et ne vient la voir que très rarement. C'est Paul qui, il y a quelques mois, avait présenté Bastien à Sandrine, et elle l'accepta de suite comme son deuxième amant. Apres quelques effusions, le trio est prêt à partir. Impossible pour la belle de savoir où ces deux matous la conduisent. Après maintes questions, la seule réponse qu'elle obtient c'est un : « Fais-nous confiance ! ».
La voiture roule péniblement dans les encombrements. Feux rouges après feux rouges, elle se fraye un chemin vers sa destination. C'est à Opéra que Paul lui demande d'écarter le bas de son manteau. Elle refuse d'un ton sec. Un autobus est arrêté à leur hauteur, et il est hors de question de dévoiler quoi que ce soit aux passagers qui instinctivement regardent dans les voitures. Bastien s'avance vers le siège avant et d'une voix sèche, lui dit :
- Si telle est ta confiance en nous, autant faire demi tour et rentrer chacun chez soi !
Elle baisse la tête et, un peu honteuse, fait glisser les pans du manteau. Pas trop, juste pour faire apparaître sa peau blanche au dessus de la couture de ses bas. Paul sourit et essaye de voir dans le bus, mais sa position de conducteur lui interdit d'apercevoir quoi que ce soit. Bastien, lui, du bon coté du véhicule, lève les yeux. Six personnes au moins on le regard fixé sur les jambes de Sandrine. Deux femmes et quatre hommes. Si ces dames ont l'air offusqué, ces messieurs, eux, sont à la fête et ça se voit. De larges sourires et des bouches en rond se dessinent sur leurs visages. L'un d'eux, d'un signe, fait comprendre qu'il aimerait voir un peu plus haut. Bastien fait part du désir de ce passager à Sandrine, qui n'a toujours pas relevé la tête.
Timidement elle défait le premier bouton, et le manteau s'ouvre jusqu'aux hanches, dévoilant ainsi le petit string rouge et le porte-jarretelles. Paul lui demande de relever la tête. Elle lève les yeux vers le bus et sent ses jambes trembler quand elle croise le regard de ces voyeurs involontaires. Jambes que Paul, de sa main droite, écarte doucement, puis d'un doigt expert et rapide, il tire sur le petit bout de tissu et dévoile au grand jour une belle fente rasée de près, rose et semble t-il humide.
Dans le bus, des pouces se lèvent en signe de satisfaction. Mais le feu passe au vert, mettant ainsi fin à cette exhibition improvisée. Sandrine, rouge de honte, ne dit rien, et reboutonne son manteau. Paul lui demande si elle est fâchée, mais elle affirme que non et esquisse un léger sourire.
Le voyage continue, laissant la belle dans l'ignorance totale de sa destination.
C'est dans une petite rue proche de la tour Eiffel que Paul se gare enfin. Bastien se penche à nouveau et doucement, donne les dernières instructions :
- C'est le point de non retour. Ou tu suis sans poser de questions, décidée à nous faire confiance à chaque instant, ou tu renonce et nous repartons de suite sans que tu ne saches jamais le pourquoi de cette soirée.
Pétrifiée, elle reste là sans bouger, puis après les avoir regardés tour à tour avec de grands yeux de chatte apeurée, elle descend de la voiture. Les deux hommes la rejoignent et, lui prenant le bras, se dirigent vers un immeuble cossu du quartier. Dans l'ascenseur personne ne parle. Plus de sourires, les visages sont fermés.
L'angoisse qui monte en Sandrine fait augmenter son rythme cardiaque. Elle espère se calmer en fermant les yeux et en prenant une longue inspiration, mais sa respiration se bloque au moment ou l'ascenseur s'arrête.
Ils descendent. Face à eux, une grande porte imposante, la seule sur le palier. Paul lui demande de sonner. Après un très court instant d'hésitation sa main se lève. Bastien lui attrape le poignet :
- Attend !
Il passe derrière elle et lui attache un collier autour du cou, lui expliquant qu'il représente la confiance qu'elle lui porte. Elle n'a pas eu le temps de le voir, et c'est au touché qu'elle le devine en cuir, clouté tout autour et orné d'un petit anneau sur le devant. Sa main quitte le collier et se rapproche de la sonnette. Mais c'est au tour de Paul d'arrêter son geste :
- Ce n'est pas tout !
De sa poche il sort un bandeau noir, du genre de ceux que l'on trouve dans les avions pour se protéger de la lumière quand on veut dormir. Il lui tend et lui demande de le mettre, insistant lui aussi sur le fait qu'il représente la confiance qu'elle lui porte. D'une main elle le pose sur ses yeux et de l'autre glisse l'élastique derrière sa tête.
- Maintenant tu peux sonner !
Sa petite main tremblante tâtonne le montant de la porte et son doigt finit par enfoncer le petit bouton doré. Un léger 'ding dong' se fait entendre. Les pas qui approchent laissent deviner un épais tapis posé sur un parquet grinçant, le tout rajoute à l'ambiance un parfum de mystère.
- Ha ! Vous voilà enfin ! Tout est prêt, nous allons pouvoir commencer.
Sandrine se laisse guider dans ce qu'elle pense être un long couloir, puis le son devient plus ample mais feutré, comme absorbé. C'est un grand salon très stylé. Aux fenêtres, de lourdes tentures vertes semblent bouger suivant la valse des flammes des bougies disposées de ci de là. Dans un coin, sur une table basse d'une taille impressionnante, des verres attendent qu'on les remplisse de ce champagne qui se rafraîchit dans son seau. Un grand canapé d'angle occupe l'autre partie de la pièce et au centre un tapis épais et moelleux accueille le trio.
Sandrine a tellement peur qu'elle éprouve du mal à avoir des pensées cohérentes, les choses ne s'arrangent pas quand elle sent une main défaire les boutons de son manteau. Une fois libéré de ses attaches, la main l'aide à s'ouvrir, à glisser sur ses épaules, puis le manteau tombe à ses pieds. Elle a un sursaut. Deux mains se posent sur ses épaules, et la font tourner sur elle-même. Ces même mains descendent le long de son corps, accrochent les ficelles du string, et continuent vers le bas entraînant le bout de tissu rouge.
Le silence le plus complet règne dans la pièce. Paul s'approche de l'oreille de Sandrine. Son souffle la fait frémir.
- Agenouille-toi !
Elle tourne la tête. Deux doigts la prennent par le menton et lui replace le visage droit.
- Agenouille-toi !
Elle s'apprête à tourner la tête de nouveau, mais finalement s'abstient. Ses genoux se plient, descendent doucement et s'enfoncent enfin dans le tapis. Assise sur ses talons, les mains au creux de ses cuisses, pour tenter de cacher sa nudité, elle ignore que cinq paires d'yeux la contemplent avec envie.
- Faites les présentations !
Une fois de plus, elle sursaute en entendant la voix de leur hôte. Paul lui relève les fesses pour qu'elle ne soit plus assise, mais que son corps forme un angle de quarante cinq degrés parfait, et lui met les mains dans le dos. Puis avec délicatesse, il écarte ses genoux afin que l'objet de tous les plaisirs soit visible de tous. Sa poitrine, sous le bustier serré, témoigne de son angoisse en se soulevant rapidement à chaque respiration. Bastien prend la parole et, d'une voix solennelle, déclare :
- Voici Sandrine, trente deux ans, voici sa bouche, voici ses seins, voici sa chatte, voici son cul. Ce soir, elle a accepté que notre volonté soit la sienne, aussi, nous sommes très fiers de vous offrir une soirée de rêve érotique. Messieurs, elle est à vous !
« Messieurs », ce mot claque à son oreille comme un coup de fouet. Sa poitrine se soulève encore plus, emportée par une respiration qui devient incontrôlable. Des applaudissements retentissent. Ses doigts noués se crispent, et...et... ? Et dans un coin elle entend des murmures, des bouchons de champagne qui sautent, elle croit même reconnaître le déclic d'un appareil photo. Elle est perdue au milieu de tous ces sons, nue, agenouillée, offerte. Les minutes lui semblent une éternité. Puis un nouveau sursaut. Une coupe de champagne touche ses lèvres. Elle boit quelques gorgées et, sans savoir à qui elle s'adresse, dit un petit « merci » timide. Une goutte tombe sur sa poitrine. Sans attendre une bouche chaude se pose sur son sein afin de lécher la goutte qui tente de s'échapper dans la gorge profonde, et comme pour éviter une autre évasion, deux mains sortent délicatement les seins prisonniers du bustier.
Une petite coulée de champagne, volontaire cette fois, éclabousse sa poitrine. La bouche redouble d'effort pour tout récupérer et finit sa course en se positionnant sur le téton droit. Le petit bout de chair rose est tout dur, droit, gonflé. Sandrine sent cela et culpabilise intérieurement de son état d'excitation.
Mais très vite ces pensées sont stoppées par des faits nouveaux. Une caresse dans les cheveux, une légère pression sur la nuque et un gland brûlant se pose sur ses lèvres. La surprise passée, elle entrouvre la bouche et laisse glisser le sexe gonflé de plaisir. Elle le suce avec application, et ne se rend pas compte que son cœur s'est calmé, que sa respiration a presque retrouvé une cadence normale, et que son plaisir monte, monte...
Elle s'en aperçoit quand une main venant de derrière, passe entre ses cuisses et que des doigts agiles commencent à la fouiller. Elle se sent humide et chaude. Son clito lui envoie des secousses à chaque fois qu'un doigt le sollicite. On décroise ses mains et, dans chacune, des hommes déposent leurs queues raides et referment ses longs doigts autour. Dans son monde sans lumière, elle voit des étoiles, elle n'est plus elle, elle n'est plus qu'une immense sensation. Elle semble rentrer en transe. Elle masturbe, elle suce, se fait aspirer les tétons et jouit de cette main fouilleuse, qui a fini par lui glisser un pouce dans l'anus sans qu'elle s'en rende compte tout de suite. Dans sa bouche tout s'accélère, le mouvement de plus en plus rapide annonce une délivrance. Le sexe gonfle par petites secousses saccadées, et dans un râle inhumain l'homme laisse échapper son plaisir en longues giclées de semence chaude.
La bouche remplie de cet organe ne peut pas tout contenir, et des paquets de foutre s'écoulent à chaque commissure. Cette gourmandise l'emporte, elle aussi, dans un tourbillon de délices et elle laisse échapper quelques sons entre deux succions, ne laissant aucun doute sur son état. D'un coup, d'un seul, elle se retrouve à nouveau seule. Le sperme aux coins de sa bouche coule sur ses seins. Elle tente de s'essuyer, mais n'y parvenant pas et en désespoir de cause elle remet ses mains dans son dos. Elle sent une présence, et un mouchoir en papier vient l'essuyer délicatement.
- Qui est ce ? demande t'elle d'une voix tremblotante.
- Chuttt ! Tu ne dois parler que si on te le demande.
La voix de Paul la rassure un peu. Apres quelques minutes qui lui semblent des heures, une nouvelle coupe arrive à ses lèvres. Cette fois-ci, on l'autorise à tenir elle-même la coupe. C'est comme un cadeau pour elle, tant ses sens sont bouleversés.
Puis on la lève et l'assoit dans un canapé, en prenant bien garde que ses fesses soient au bord. Quelqu'un passe les bras sous ses genoux et les lève. Une langue experte vient lécher les grandes lèvres roses, puis forçant un peu, s'aventurent plus profond. Elle rentre, sort, titille le petit clito gonflé, redescend et tourne autour de l'anus et remonte encore. Il ne faut pas longtemps à Sandrine pour se laisser emporter par une vague de plaisir, et juste au moment où elle ouvre la bouche pour lâcher un soupir, la langue s'arrête. Mais elle est très vite remplacée par un membre vigoureux qui pénètre la belle lentement tout d'abord et de plus en plus fort ensuite. Les coups de butoir font soupirer Sandrine, les sons qui sortent de sa bouche s'amplifient, et enfin elle lâche un « ouiiii » de jouissance.
Le pilonnage continue. Elle sent des personnes monter sur le canapé, de chaque coté d'elle. Un gland force l'entrée de sa bouche, pendant qu'un autre caresse sa joue, attendant son tour bien sagement. Après les avoir pris dans ses mains, elle les dévore à tour de rôle, les aspire, les lèche, les suce, cherchant à faire monter la chaude liqueur. Elle approche les deux glands l'un vers l'autre, puis quand ils arrivent enfin en contact, elle entreprend de les sucer ensemble. La salive coule de sa bouche qui devient bruyante de sons, de léchages et de succions. L'homme qui la prend perd le contrôle et lâche une longue giclée bouillante dans les entrailles de Sandrine, qui ne peut s'empêcher de relancer un « ouiiiii » de satisfaction. Une fois sa vulve libérée de tout assaut, on la retourne et l'installe à genoux sur le canapé. Les deux glands reviennent aussitôt reprendre sa bouche. Des mains puissantes la prennent par le bassin et une queue de bonne taille plonge dans l'intimité de Sandrine, encore dégoulinante du foutre du partenaire précédent.
Les va-et-vient du membre dans l'orifice outragé font gémir sa bouche encombrée. Tout va très vite et son esprit déborde de sensations et d'émotions. D'autres mains sont venues à l'assaut de sa poitrine, elle perçoit toujours le son des verres qui trinquent, des bouchons qui sautent, le déclic des appareils photos qu'elle devine nombreux. Tellement emportée dans ce tourbillon, elle ne sent pas les quelques gouttes froides qui, d'un tube, coulent sur son anus.
Elle sent tout le monde s'éloigner, les glands quittent sa bouche et les hommes descendent du canapé. Seul celui qui est en elle continue sa besogne. Elle croise les bras sur le dossier du canapé, et y pose sa tête. Elle gémit de plaisir, et instinctivement se cambre pour relever ses fesses, pour être plus offerte que jamais. L'homme sort doucement son sexe dégoulinant du plaisir de Sandrine, et vient le frotter légèrement sur son anus, à l'endroit précis ou le lubrifiant sexuel a fini sa course. Puis d'une lente poussée, il entreprend de faire disparaître son membre dans le trou tabou. Le visage de la belle se crispe un peu, puis se détend lentement au fur et à mesure des allers retours du sexe dans son cul. La manœuvre est de courte durée. L'homme se retire doucement, lui tapote les fesses et la laisse là, cambrée, les fesses en l'air, l'anus dilaté, les seins pendants.
Riche des expériences du début de soirée, elle attend qu'un verre se pose sur ses lèvres. Elle sent le canapé s'enfoncer près d'elle. Quelqu'un vient de s'asseoir. Soudain, elle est soulevée et littéralement empalée sur le sexe de cet individu. Apres quelques coups de butoirs violents, il la serre dans ses bras, comme pour la maîtriser. Deux nouvelles gouttes froides viennent de tomber. Elle comprend très vite que se serait une erreur de vouloir se dégager et préfère inspirer longuement pour se détendre. C'est avec une douceur exemplaire que l'anus est de nouveau envahi. Les deux membres se remettent en route, tels une machine, faisant progresser lentement leur vitesse.
Les craintes, les appréhensions de Sandrine, tout disparaît pour faire place à un plaisir encore inconnu d'elle. Elle se sent frustrée quand soudain ils se retirent. Ils la lèvent, la font remettre à genoux et la penchent en arrière .Elle manque de tomber et se retient de ses bras. Une main lui ouvre la bouche et une voix lui ordonne de ne plus bouger. Elle entend les bruits de masturbation autour d'elle, les râles qui montent en puissance. Un premier jet lui strie la joue, un autre jaillit directement dans sa bouche, puis encore un qui traverse son visage éclaboussant son bandeau, son nez. C'est un déluge de sperme chaud qui s'abat sur elle. Sa bouche se remplit et le foutre déborde sur son menton, sa poitrine. Son visage est quasiment recouvert. Un doigt appuie sur son menton pour lui fermer la bouche. Sans résister, elle la ferme, grimace, et la ré-ouvre vide avec un sourire triomphant et en tirant la langue.
Très vite, elle est essuyée, lavée avec de l'eau chaude savonneuse légèrement parfumée et séchée. Elle se sent un peu reine, et apprécie tous les petits soins qu'on lui prodigue. On va même jusqu'à lui laver son minou et ses fesses. On la relève. Ces genoux sont rougis par le frottement du tapis. Paul s'approche d'elle, et replace les deux seins lourds dans le bustier, puis il se baisse et remet le petit string rouge, ajuste les ficelles sur ses hanches et dépose un baiser sur son ventre.
Sandrine, debout, les bras le long du corps n'ose plus bouger. Bastien s'approche d'elle à son tour, lui donne une coupe de champagne dans les mains, l'embrasse dans le cou et à l'oreille lui susurre un petit « Bravo ! ».
Les hommes réunis dans la pièce posent leurs verres et applaudissent Sandrine. Elle rougit et avale sa coupe d'un trait. Paul l'aide à enfiler son manteau et leur hôte les raccompagne à la porte en retraversant le long couloir.
- Bonsoir et merci.
La lourde porte se referme. Bastien retire le collier, et Paul soulève délicatement le bandeau. Le maquillage qui a coulé ne laisse aucun doute sur le fait qu'elle a pleuré. De peur, de douleur, de plaisir, ça, elle ne le dira jamais. L'ascenseur les ramène au hall d'entrée, et comme ils sont venus, ils retournent à la voiture. La nuit est fraîche. Sandrine respire à fond et monte dans la voiture. Le retour est calme. A Opéra il n'y a plus de bus depuis longtemps. Paul regarde la belle et lui demande si ça va, alors sans rien dire, elle glisse sur son siège, déboutonne le premier bouton de son manteau, écarte les jambes, ferme les yeux et commence une douce et longue masturbation qui coupe le souffle aux deux hommes. Paul croise le regard de Bastien dans le rétroviseur.
Ils sont fiers de leur amie.
Par Claude lamour
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Vendredi 26 mai
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26
/05
/Mai
11:57
ce texte fait suite à la deuxième leçon
Mardi...
Voila je suis sortie du boulot. J'avoue que je n'avais pas la tête à travailler. Pierre allait passer ce soir. Pas de coup de téléphone de sa part, cela ne me choquait plus.
J'avoue, je l'attendais. Le repas était près des pâtes carbo. Je ne tenais pas en place. La sonnerie.
-"Bonsoir pierre."
-"Bonsoir Luce, tu es superbe".
Nous rentrons. Il se dirige vers la cuisine.
-"Oh c'est bien le repas est prés, j'ai très faim. Je t'ai amenée des Magnum pour le dessert".
-"Merci. Si tu veux on peut manger de suite."
-"Oui vraiment."
Nous voila à table il me dévore. Pervers. Il me pose des dizaines de questions sur ma vie. Il aime avoir des détails sur ma vie sexuelle. Il est rude dans ses propos. -"Alors comme cela tu n'as pas tirée depuis un an".
Je rougie presque à chaque question. Il sourit. La fin du repas approche. Je lui demande. -"Tu veux un dessert? Un magnum? "
Le repas était très bon. Merci Luce. Mais je c'est toi le dessert. Si nous allions au salon.
-"Euh oui"
-Il s'assoit sur le canapé. Je m'approche de lui.
-"Non reste debout. Viens par ici. Déshabilles toi Luce"
-"..."
-"Allez montre toi je te veux nue, totalement nue."
Je m'exécute lentement.
-"Luce laisse moi voir ta poitrine."
Après plusieurs minutes me voila nue. Les mains sur mon sexe. En soupirant, il me fait signe de retirer mes mains.
-"Mets moi tes mains dans ton dos, ne te cache pas!!" dis il rapidement.
C'est bien Luce tu es superbe.
-"Vas me chercher un Magnum, un seul et ne traînes pas. Et ne ramasse pas tes vêtements vas y". J'y vais. Il se lève et d'un geste rapide il jette mes vêtements dans un coin du salon.
Je reviens avec un magnum. "Vas y ouvre le". Viens la donne le moi. Luce non, tu n'as pas droit à l'esquimau." "Luce suce moi. Mets toi à genou. Bien. Vas y prend la en bouche. Durcie la moi, et je vais t'apprendre deux ou trois petite choses!"
Je me met à genou il est là a sucer son Magnum. Je prends son sexe déjà en érection dans ma bouche. Aussitôt sa main se place sur ma tête et donne le rythme.
-"Je t'ai déjà dis sert toi de ta langue, Luce".
-"C'est bien "
-"Tu aimes cela"... "Réponds moi!!".
-"Oui j'aime cela"
-"je vais te donner l'occasion de t'en servir."
Soudain, le sexe droit luisant de salive, il fait tomber son magnum sur le sol.
Je relâche son membre et regarde ce gâchis. Luce tu voulais de la glace lèches le maintenant.
-"euh, non??"
-" Vas y oui à quatre pattes". Sors moi cette langue qui était active tout a l'heure."
Je me résigne et j'avance vers la glace. Il regarde sa main sur mon dos.
Je commence à lécher, lui s'accroupit près de moi. Sa main palpe mes seins, parcours mon intimité, s'attarde pénètre.... "Plus vite lèche", m'ordonne t'il. "Vraiment tu n'es pas douée avec ta langue, continue".
Cela dure, j'ai de la glace sur tout le visage. Le salon est rempli de ce bruit de lapement, de sucions. Il m'attrape le pied et me m'éloigne un peu de la glace. D'une main ferme, il me retourne.
-"Tu es magnifique lucie. Maintenant écarte bien tes jambes. Voila c'est bien, encore un peu. Tu vas me recevoir"
Debout il se déshabille. Il est nu, il me regarde pervers. Lentement il enfile un préservatif. Je le regarde excitée, paralysée de désir. J'utilise ma langue pour nettoyer mes lèvres recouvertes de glace. Il se met a genou. "Ma petite Luce, je vais te prendre." M'annonce t'il.
Il me caresse lentement. Mon bassin me porte vers son sexe. Il me pénètre. Mon vagin se dilate brusquement, il m'emplit le ventre d'un seul coup. Il est rude. J'essaye de m'agripper à lui avec mes bras et jambes. Il repousse mes bras. Il me lime sans vergogne. Grognant de plaisir. Empalée, trempée de sueur, je m'abandonne, que de plaisir....
Un râle, je sens les spasmes du sexe de Pierre. Il se retire. Le l'aperçoit déposer son préservatif sur la table. Je suis là béante et paralysée.
Il passe par la salle de bain et en quelques minutes il est habillé. Il s'approche de moi me redresse.
-"Luce tu es une cochonne tu as de la glace partout, je ne te fais pas la bise. Je t'appelle on se voit bientôt?"
-"Euh... Oui bien sur. Attend...Quand"
Il franchi le palier je ne le suit pas. Ma pudeur réapparaît j'ai honte. Je me précipite sur une serviette de bain. J'ai froid...
J'ai rêvé de Pierre longtemps sous la douche ce soir...
Par Lucie_plaisir
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Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 21 mai
7
21
/05
/Mai
17:24
Je vous parlais de Pauline ado, jeune surfeuse française qui monte qui monte, voici un nouveau portrait d'une surfeuse qui sort du lot mais qui ne fait pas encore la une des magazines.
Cette surfeuse, c'est Claire Bevilacqua. Elle est née à Perth, Western Australia le 29 janvier 1983. Elle est rentrée dans le WQS à 17ans.
Bevo comme certain la surnomme est une boule de nerf avec un surf explosif, pas forcément constant, et d'ailleurs pas forcément aimé des juges. Elle détonne dans ça deuxième année sur le WCT, après avoir été presque éliminée l'année dernière. Et oui, il parait que la compétition pour la rookie of the year, était trop intense. On espère tous que cette année, elle mettra à profit ses progrès, particulièrement dans les grosses vagues, et son expérience. Elle est en ce moment huitème du classement WCT.
Par Aline
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Publié dans : La revue de presse
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