Nous partons à trois avec ma cousine Pauline et ma sœur Carole. Nous avons tous entre vingt et vingt-cinq ans et nous nous entendons assez bien. J'aurais préféré skier avec une petite amie mais je n'en pas pour le moment et il me sera impossible de rencontrer quelqu'un sur place à cause des mes compagnons de voyage. Pauline et Carole pensent que je ne suis qu'un obsédé qui ne respecte pas les femmes et elles adorent me « casser la baraque » quand je flirte avec une fille. Ce n'est pas grave, ça m'amuse presque mais je ne cherche même plus à jouer les séducteurs quand elles sont dans les parages.
Ce sont d'ailleurs ces deux vipères, comme j'aime les appeler quand elles ne sont pas là, qui ont trouvé la voiture pour la fin du voyage. C'est Florian qui passera nous chercher, sa copine dort chez sa grand-mère dans un village non loin du nôtre, et il pourra donc nous déposer à la station de ski. La solution n'est pas trop mal mais je n'aime pas beaucoup Florian, voire pas du tout même. En fait je suis jaloux de lui car il sort avec la fille la plus jolie, gentille, rigolote que je connaisse : Emma, celle-là même qui va dormir à quelques kilomètres de nous.
Je reconnais être un peu amoureux d'elle, mais je n'ai jamais eu l'occasion de tenter ma chance parce que cet enfoiré de Florian sort avec elle depuis toujours. J'ai même appris qu'ils allaient se fiancer et ils vont faire ça à la montagne, pendant mes vacances, à côté de ma destination !
Nous arrivons à la maison dans l'après-midi pour avoir le temps de nous installer. Nous pensions trouver un minimum de confort, mais notre court séjour va ressembler à du camping. C'est l'hiver, la maison n'a pas été chauffée depuis longtemps et il n'y a que deux lits d'une personne au même étage que la cheminée. Ce n'est que pour une nuit, alors on prépare de quoi faire du feu et les filles dormiront ensemble, comme elles le faisaient parfois étant plus jeunes.
Je finis d'installer les lits et duvets quand on frappe à la porte. Carole va ouvrir et revient accompagnée d'Emma. Je reste figé un instant sous le choc : l'objet de mes phantasmes, la fille qu'il me faut, est juste devant moi, plus belle que jamais. Sa grand-mère a eu un petit malaise, rien de grave, mais elle est à l'hôpital et Emma ne peut pas avoir les clés.
- Emma, tu es la bienvenue, mais comment va-t-on faire pour dormir ? dis-je.
Regardant autour d'elle, Emma comprend la situation un peu précaire de notre couchage. Pour Pauline, la solution est simple, elle dort avec Emma et moi avec ma sœur.
- Tu ne vas pas dormir avec mon abruti de cousin de toute manière, dit Pauline
- Si j'ai pas le choix, ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. Je suis sûre qu'il sera un gentleman.
- Bien sûr, je sais me tenir. Et si je peux choisir, je préfèrerais dormir avec toi, tu es plus petite que Carole, on se gênerait moins, dis-je.
Emma fait mine d'hésiter puis accepte en me faisant promettre d'être sage.
Je promets et me voilà forcé de dormir en copain avec la superbe Emma. Ne pas la toucher, ne pas caresser ses petits seins si adorables, ne pas l'embrasser, ne pas peloter son petit cul ferme... ça va être la nuit la plus dure de ma vie.
Il est déjà tard, nous ne tardons pas à nous mettre au lit. J'ai un jogging en guise de pyjama et Emma s'approche de mon lit en culotte avec une grande chemise par-dessus. Ses jambes sont superbes, galbées et fines.
- Je suis désolée, je n'ai pas prévu de pyjama, j'en ai un chez ma grand-mère d'habitude.
- C'est pas grave, je te préfère comme ça de toute façon...
- Petit coquin, va ! Attention, tu as promis d'être sage !
- Mais oui, ne t'inquiète pas.
Emma entre dans mon lit trop petit pour deux. Elle se serre contre moi et nous éteignons la lumière. Je la distingue mal dans l'obscurité mais je sens ses cheveux sur mon bras ainsi que son léger parfum. Pour avoir plus de place elle me tourne le dos et mon bras est par-dessus son épaule. Je la tiens presque dans mes bras, elle est tout contre moi, j'ai envie de la toucher, de l'embrasser... Je dois résister.
Je la sens bouger et plaquer ses fesses contre moi, elles sont juste sur mon sexe qui ne tarde pas à bander très dur. Emma ne peut pas n'avoir rien remarqué. Elle commence un léger va-et-vient avec sa croupe, je n'en peux plus. Emma se retourne doucement pour ne pas faire trop de bruit car nous sommes dans la même pièce que les deux vipères. Elle approche sa bouche de mon oreille, me chuchote de ne pas faire de bruit et dans le même temps sa main rejoint mon sexe. Elle me branle doucement à travers mon pantalon et me fait promettre de garder tout ça secret. Je suis aux anges.
Je déboutonne tout doucement sa chemise, le plus silencieusement possible. Ses seins sont déjà dans mes mains, ils sont doux et chauds, leur contact me fait frémir. Ma bouche est attirée irrémédiablement par ses mamelons qui durcissent rapidement sous les assauts de ma langue.
Emma baisse doucement mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Elle pelote mes fesses en se serrant davantage contre moi, mon sexe ainsi libéré et fièrement dressé est contre sa petite culotte. Elle est déjà toute mouillée, j'essaye de l'enlever mais ce n'est vraiment pas pratique dans notre situation. Emma m'arrête et le fait pour moi. Je passe le bout de mes doigts sur les quelques poils de sa vulve, ils sont doux et moites. Le souffle de ma belle s'accélère un peu, je m'approche alors pour l'embrasser.
Tout doucement je pose un baiser sur ses lèvres, puis un autre, encore un autre, je lèche à présent les lèvres douces et sucrées qui s'offrent à moi. Sa langue me répond et lèche la mienne. Elles se mélangent, se confondent presque, qu'est-ce qu'elle embrasse bien ! Je lèche son palais, ses dents, j'essaye d'aller le plus loin possible dans sa bouche quand je sens le sexe d'Emma tout contre le mien, elle titille mon gland avec ses poils tout en malaxant mes fesses. Ses deux mains sont maintenant au niveau de ma queue, l'une me branle et l'autre masse mes boules. Elle sait vraiment y faire, c'est exquis. Elle murmure :
- J'ai envie de te sucer, tu crois que je peux ?
- J'adorerais ça, mais on risque de réveiller les filles.
- Pas si tu ne gémis pas trop fort, tu crois que tu pourras ?
Emma marque une pause, elle m'embrasse, embrasse ma tempe et passe un coup de langue sur mon oreille.
- Allez, leçon de self-contrôle ! me dit-elle d'un ton ironique avant de s'enfoncer dans le sac de couchage.
Je ne sais pas comment elle y arrive, mais elle est pliée au fond du sac et sa bouche atteint enfin mon gland. Je suis plus qu'heureux, je plane complètement. Emma passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis enserre mon gland dans ses lèvres, le titille de sa langue et enfin avale ma queue en entier. Elle me procure un tel plaisir, je suis fou de cette fille ! Mon plaisir monte au fur et à mesure que ma bite est léchée, aspirée, suçotée, j'ai envie de hurler, j'ai le réflexe de mordre l'oreiller pour étouffer mes cris. Emma continue de me sucer en aspirant toujours plus fort. Je me retire de sa bouche d'un mouvement un peu brusque, je ne tiens plus et je ne crois pas que lui éjaculer en pleine figure sans prévenir soit la meilleure chose à faire. Ma bite se repose un peu, je reprends le contrôle quand Emma ressort la tête du duvet.
- Tu as vu comme je suis gentille avec toi ? À ton tour... je veux te sentir en moi.
Emma est en train de se branler tout doucement sur ma cuisse, je descends une main le long de son corps doux et voluptueux à souhait et arrive à sa petite chatte.
- Laisse-moi faire, lui dis-je.
Je glisse mes doigts contre sa fente déjà trempée, sans difficulté j'en glisse un puis deux à l'intérieur et l'excite comme ça quelques minutes. Elle dégouline sur ma main et mon poignet. Sur un ton presque implorant et s'accrochant fort à mon cou :
- Je ne tiens plus, viens en moi tout de suite, je t'en supplie !
Quelle joie de l'entendre prononcer ces mots ! Tout doucement, avec un maximum de précautions, je la fais passer sous moi, elle m'accueille entre ses cuisses et je la pénètre en appréciant chaque centimètre de ce chemin de plaisir. Ma queue est toute entière dans son ventre, je commence à la besogner dans le plus grand silence. Sa chatte est parfaite, assez étroite : elle serre ma queue à merveille. Emma souffle de plus en plus fort, elle est sur le point de gémir ; par réflexe, je plaque la main sur sa bouche en la limant de plus belle. Elle arrive à calmer son envie de crier, enlève ma main de sa bouche et me demande de ne pas jouir en elle car elle ne prend plus sa pilule. Elle prévient juste à temps, je me retire et éjacule à grosses giclées sur son petit ventre avant de m'écrouler sur elle.
Nous restons ainsi dans les bras l'un de l'autre avec cette sensation d'être dans une bulle de verre, coupés du monde, le temps n'existe plus. Enlacés, nous finissons par nous endormir, encore poisseux de mon sperme.
Je me réveille seul, Emma est déjà dans la salle de bain, lavée, habillée, prête à retrouver son copain Florian. Il ne devrait plus tarder à arriver pour nous emmener au ski et ensuite continuer vers le chalet de ses parents où il leur présentera Emma. La gentille petite Emma qu'il croit fidèle et pas trop portée sur le sexe. À cet instant je ne suis plus autant jaloux de lui qu'avant... je me demande bien pourquoi...
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