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Aline et sa blog team.

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Mercredi 27 décembre 3 27 /12 /Déc 18:26
Nous allons passer des vacances aux sports d'hiver cette année ! Les réservations sont faites ; les skis, les combinaisons, tout est prêt, seul le trajet aurait pu être plus simple. Mes parents nous emmènent à mi-chemin environ, nous passons la nuit dans une veille maison de campagne familiale qui est vide depuis bientôt un an et on passe nous chercher le lendemain matin pour le reste du trajet.

Nous partons à trois avec ma cousine Pauline et ma sœur Carole. Nous avons tous entre vingt et vingt-cinq ans et nous nous entendons assez bien. J'aurais préféré skier avec une petite amie mais je n'en pas pour le moment et il me sera impossible de rencontrer quelqu'un sur place à cause des mes compagnons de voyage. Pauline et Carole pensent que je ne suis qu'un obsédé qui ne respecte pas les femmes et elles adorent me « casser la baraque » quand je flirte avec une fille. Ce n'est pas grave, ça m'amuse presque mais je ne cherche même plus à jouer les séducteurs quand elles sont dans les parages.


Ce sont d'ailleurs ces deux vipères, comme j'aime les appeler quand elles ne sont pas là, qui ont trouvé la voiture pour la fin du voyage. C'est Florian qui passera nous chercher, sa copine dort chez sa grand-mère dans un village non loin du nôtre, et il pourra donc nous déposer à la station de ski. La solution n'est pas trop mal mais je n'aime pas beaucoup Florian, voire pas du tout même. En fait je suis jaloux de lui car il sort avec la fille la plus jolie, gentille, rigolote que je connaisse : Emma, celle-là même qui va dormir à quelques kilomètres de nous.

Je reconnais être un peu amoureux d'elle, mais je n'ai jamais eu l'occasion de tenter ma chance parce que cet enfoiré de Florian sort avec elle depuis toujours. J'ai même appris qu'ils allaient se fiancer et ils vont faire ça à la montagne, pendant mes vacances, à côté de ma destination !

Nous arrivons à la maison dans l'après-midi pour avoir le temps de nous installer. Nous pensions trouver un minimum de confort, mais notre court séjour va ressembler à du camping. C'est l'hiver, la maison n'a pas été chauffée depuis longtemps et il n'y a que deux lits d'une personne au même étage que la cheminée. Ce n'est que pour une nuit, alors on prépare de quoi faire du feu et les filles dormiront ensemble, comme elles le faisaient parfois étant plus jeunes.

Je finis d'installer les lits et duvets quand on frappe à la porte. Carole va ouvrir et revient accompagnée d'Emma. Je reste figé un instant sous le choc : l'objet de mes phantasmes, la fille qu'il me faut, est juste devant moi, plus belle que jamais. Sa grand-mère a eu un petit malaise, rien de grave, mais elle est à l'hôpital et Emma ne peut pas avoir les clés.

- Emma, tu es la bienvenue, mais comment va-t-on faire pour dormir ? dis-je.

Regardant autour d'elle, Emma comprend la situation un peu précaire de notre couchage. Pour Pauline, la solution est simple, elle dort avec Emma et moi avec ma sœur.

- Tu ne vas pas dormir avec mon abruti de cousin de toute manière, dit Pauline

- Si j'ai pas le choix, ça ne me dérange pas plus que ça tu sais. Je suis sûre qu'il sera un gentleman.

- Bien sûr, je sais me tenir. Et si je peux choisir, je préfèrerais dormir avec toi, tu es plus petite que Carole, on se gênerait moins, dis-je.

Emma fait mine d'hésiter puis accepte en me faisant promettre d'être sage.

Je promets et me voilà forcé de dormir en copain avec la superbe Emma. Ne pas la toucher, ne pas caresser ses petits seins si adorables, ne pas l'embrasser, ne pas peloter son petit cul ferme... ça va être la nuit la plus dure de ma vie.

Il est déjà tard, nous ne tardons pas à nous mettre au lit. J'ai un jogging en guise de pyjama et Emma s'approche de mon lit en culotte avec une grande chemise par-dessus. Ses jambes sont superbes, galbées et fines.

- Je suis désolée, je n'ai pas prévu de pyjama, j'en ai un chez ma grand-mère d'habitude.

- C'est pas grave, je te préfère comme ça de toute façon...

- Petit coquin, va ! Attention, tu as promis d'être sage !

- Mais oui, ne t'inquiète pas.

Emma entre dans mon lit trop petit pour deux. Elle se serre contre moi et nous éteignons la lumière. Je la distingue mal dans l'obscurité mais je sens ses cheveux sur mon bras ainsi que son léger parfum. Pour avoir plus de place elle me tourne le dos et mon bras est par-dessus son épaule. Je la tiens presque dans mes bras, elle est tout contre moi, j'ai envie de la toucher, de l'embrasser... Je dois résister.

Je la sens bouger et plaquer ses fesses contre moi, elles sont juste sur mon sexe qui ne tarde pas à bander très dur. Emma ne peut pas n'avoir rien remarqué. Elle commence un léger va-et-vient avec sa croupe, je n'en peux plus. Emma se retourne doucement pour ne pas faire trop de bruit car nous sommes dans la même pièce que les deux vipères. Elle approche sa bouche de mon oreille, me chuchote de ne pas faire de bruit et dans le même temps sa main rejoint mon sexe. Elle me branle doucement à travers mon pantalon et me fait promettre de garder tout ça secret. Je suis aux anges.

Je déboutonne tout doucement sa chemise, le plus silencieusement possible. Ses seins sont déjà dans mes mains, ils sont doux et chauds, leur contact me fait frémir. Ma bouche est attirée irrémédiablement par ses mamelons qui durcissent rapidement sous les assauts de ma langue.

Emma baisse doucement mon pantalon jusqu'à mi-cuisses. Elle pelote mes fesses en se serrant davantage contre moi, mon sexe ainsi libéré et fièrement dressé est contre sa petite culotte. Elle est déjà toute mouillée, j'essaye de l'enlever mais ce n'est vraiment pas pratique dans notre situation. Emma m'arrête et le fait pour moi. Je passe le bout de mes doigts sur les quelques poils de sa vulve, ils sont doux et moites. Le souffle de ma belle s'accélère un peu, je m'approche alors pour l'embrasser.

Tout doucement je pose un baiser sur ses lèvres, puis un autre, encore un autre, je lèche à présent les lèvres douces et sucrées qui s'offrent à moi. Sa langue me répond et lèche la mienne. Elles se mélangent, se confondent presque, qu'est-ce qu'elle embrasse bien ! Je lèche son palais, ses dents, j'essaye d'aller le plus loin possible dans sa bouche quand je sens le sexe d'Emma tout contre le mien, elle titille mon gland avec ses poils tout en malaxant mes fesses. Ses deux mains sont maintenant au niveau de ma queue, l'une me branle et l'autre masse mes boules. Elle sait vraiment y faire, c'est exquis. Elle murmure :

- J'ai envie de te sucer, tu crois que je peux ?

- J'adorerais ça, mais on risque de réveiller les filles.

- Pas si tu ne gémis pas trop fort, tu crois que tu pourras ?

Emma marque une pause, elle m'embrasse, embrasse ma tempe et passe un coup de langue sur mon oreille.

- Allez, leçon de self-contrôle ! me dit-elle d'un ton ironique avant de s'enfoncer dans le sac de couchage.

Je ne sais pas comment elle y arrive, mais elle est pliée au fond du sac et sa bouche atteint enfin mon gland. Je suis plus qu'heureux, je plane complètement. Emma passe sa langue sur toute la longueur de ma queue puis enserre mon gland dans ses lèvres, le titille de sa langue et enfin avale ma queue en entier. Elle me procure un tel plaisir, je suis fou de cette fille ! Mon plaisir monte au fur et à mesure que ma bite est léchée, aspirée, suçotée, j'ai envie de hurler, j'ai le réflexe de mordre l'oreiller pour étouffer mes cris. Emma continue de me sucer en aspirant toujours plus fort. Je me retire de sa bouche d'un mouvement un peu brusque, je ne tiens plus et je ne crois pas que lui éjaculer en pleine figure sans prévenir soit la meilleure chose à faire. Ma bite se repose un peu, je reprends le contrôle quand Emma ressort la tête du duvet.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi ? À ton tour... je veux te sentir en moi.

Emma est en train de se branler tout doucement sur ma cuisse, je descends une main le long de son corps doux et voluptueux à souhait et arrive à sa petite chatte.

- Laisse-moi faire, lui dis-je.

Je glisse mes doigts contre sa fente déjà trempée, sans difficulté j'en glisse un puis deux à l'intérieur et l'excite comme ça quelques minutes. Elle dégouline sur ma main et mon poignet. Sur un ton presque implorant et s'accrochant fort à mon cou :

- Je ne tiens plus, viens en moi tout de suite, je t'en supplie !

Quelle joie de l'entendre prononcer ces mots ! Tout doucement, avec un maximum de précautions, je la fais passer sous moi, elle m'accueille entre ses cuisses et je la pénètre en appréciant chaque centimètre de ce chemin de plaisir. Ma queue est toute entière dans son ventre, je commence à la besogner dans le plus grand silence. Sa chatte est parfaite, assez étroite : elle serre ma queue à merveille. Emma souffle de plus en plus fort, elle est sur le point de gémir ; par réflexe, je plaque la main sur sa bouche en la limant de plus belle. Elle arrive à calmer son envie de crier, enlève ma main de sa bouche et me demande de ne pas jouir en elle car elle ne prend plus sa pilule. Elle prévient juste à temps, je me retire et éjacule à grosses giclées sur son petit ventre avant de m'écrouler sur elle.

Nous restons ainsi dans les bras l'un de l'autre avec cette sensation d'être dans une bulle de verre, coupés du monde, le temps n'existe plus. Enlacés, nous finissons par nous endormir, encore poisseux de mon sperme.

Je me réveille seul, Emma est déjà dans la salle de bain, lavée, habillée, prête à retrouver son copain Florian. Il ne devrait plus tarder à arriver pour nous emmener au ski et ensuite continuer vers le chalet de ses parents où il leur présentera Emma. La gentille petite Emma qu'il croit fidèle et pas trop portée sur le sexe. À cet instant je ne suis plus autant jaloux de lui qu'avant... je me demande bien pourquoi...
Par Pholius - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 17 décembre 7 17 /12 /Déc 18:23
J'ai écouté ce matin l'émission de Philippe Meyer  sur France Culture et je voulais vous faire partager un extrait de sa chronique : la lettre dans laquelle Mme de Lafayette décrit les tourments d’un amour qui croit decouvrir qu’il n’est plus partagé.

Jamais douleur n'a été pareille à la mienne. Je croyais que vous aviez pour moi une passion violente ; je ne vous cachais plus celle que j'avais pour vous, et dans le temps que je vous la laissais voir tout entière, j'appris que vous me trompiez et que vous en aimiez une autre. (…) Je feignis d'être malade pour cacher le désordre de mon esprit ; mais je le devins en effet, et mon corps ne put supporter une si violente agitation. Quand je commençai à me porter mieux, je feignis encore d'être fort mal, afin d'avoir un prétexte de ne vous point voir et de ne vous point écrire. Je voulus avoir du temps pour résoudre de quelle sorte j'en devais user avec vous ; je pris et je quittai vingt fois les mêmes résolutions ; mais enfin je vous trouvai indigne de voir ma douleur, et je résolus de ne vous la point faire paraître. Je voulus blesser votre orgueil, en vous faisant voir que ma passion s'affaiblissait d'elle-même. Je résolus de vous écrire des lettres tièdes et languissantes, Je pensais que je ne vous punirais pas assez en rompant avec vous,(…). Je trouvai qu'il fallait que vous m'aimassiez pour sentir le mal de n'être point aimé, que j'éprouvais si cruellement. Je crus que si quelque chose pouvait rallumer les sentiments que vous aviez eus pour moi, c'était de vous faire voir que les miens étaient changés ; mais de vous le faire voir en feignant de vous le cacher, et comme si je n'eusse pas eu la force de vous l'avouer. Je m'arrêtai à cette résolution ; mais qu'elle me fut difficile à prendre, et qu'en vous revoyant elle me parut impossible à exécuter ! Je fus prête cent fois à éclater par mes reproches et par mes pleurs ; l'état où j'étais encore par ma santé me servit à vous déguiser mon trouble et mon affliction. Je fus soutenue ensuite par le plaisir de dissimuler avec vous, comme vous dissimuliez avec moi ; vous vîtes (…) que mes sentiments étaient changés. Vous en fûtes blessé ; vous vous en plaignîtes. Je tâchais de vous rassurer ; mais c'était d'une manière si forcée, que vous en étiez encore mieux persuadé que je ne vous aimais plus. Enfin, je fis tout ce que j'avais eu intention de faire. La bizarrerie de votre cœur vous fit revenir vers moi, à mesure que vous voyiez que je m'éloignais de vous. J'ai joui de tout le plaisir que peut donner la vengeance.
Par Juju - Publié dans : plaisir
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Mardi 5 décembre 2 05 /12 /Déc 02:53

C'est après la lecture de plusieurs articles ses dernières semaines que j'ai décidée d'écrire ce post sur la schizophrénie qui règne de nouveau sur le net à propos des échanges Peer to Peer.

Après le vote d'une loi très controversée "DADVSI", en France on assiste au retour d'une politique répressive, je suis sur que vous avez lu ou entendu parlé du cas de Anne-Sophie Lainnemé. On est loin de ce qui avait été annoncé par le ministre dans le cadre de la loi, peut être les décrets d'application n'ont pas encore été signés ? On est quand même étonné de la jurisprudence que cela risque d'entraîner pour d'autre internautes dans le même cas.

Ce cas a remis l'accent sur la piraterie et son impact sur le monde. Et c'est avec non sans ironie qu'il y a quelques semaines on voyait un spécialiste du marché témoigner de manière plus ou moins clair dans différents média, justifiant la déconfiture du marché du DVD cette année par le fait que le prix des DVD n'était pas assez élevé. ""On a assisté pendant des années à un phénomène de "gavage", de surabondance de l'offre, avec comme corollaire des opérations de bradage sur Internet.  […] la baisse des prix des DVD - stabilisés à plus de 12 euros - a désorganisé le marché. […] Il a manqué un prix unique du DVD semblable au prix unique du livre."

Depuis quand le DVD ne pourrait avoir différent niveau de qualité donc de prix. Je ne suis pas sur d'avoir envie d'acheter un DVD avec plein de bonus au même prix qu'une série B que je préfère pas cher et sans bonus.

 

Ces arguments sont généralement suivis de l'éternelle tirade: pirates méchants voleurs….

Ce n'est que très rarement que l'on aborde d'autre problèmes comme la petitesse de l'offre dans les magasins de distribution classique, la durée de vie extrêmement courte de chaque DVD en magasin, plus promotion qu'offre réelle d'ailleurs, et maintenant l'apparition de standard différents ne va pas rassurer les clients.

Autre problème de l'offre dans ce cas de l'offre musical et de plus en plus cinématographique sur Internet, le bridage de plus en plus strict des offres, on apprend qu'Apple a des soucis avec Hollywood parce que son système de téléchargement de films permet de charger le films plus de cinq fois. Etes vous sur qu'en bridant  l'offre le client sera satisfait ? Euh…

On lis parfois que le prix unique de la musique sur Internet, pourrait être remis en cause sur le même principe que celui du prix des DVD, un prix trop bas décourage l'achat.

On notera par exemple l'offre de CBS et ABC aux états-unis qui offre le lendemain de la diffusion en ligne de l'épisode son visionnage en ligne gratuite moyennant moins de 5 minutes de pub répartie en trois coupures. Cela a considérablement réduit le piratage et la mise en ligne des épisodes dans le réseau Peer to Peer. En effet, cette solution offre à l'internaute sans perte de qualité un moyen flexible de voir l'épisode d'hier ou de la semaine dernière sans tomber dans l'illégalité et sans perte financière pour le diffuseur ou le studio. Est-ce que cela sera possible en France ?

Pourquoi ne pas favoriser l'inovation et l'expérimentation au lieu de limiter, borner et niveler...

Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 4 décembre 1 04 /12 /Déc 00:00
Il est sacré pour moi, c'est mon premier beau jour,
Le seul dont je me plaise à fêter le retour,
Ce jour heureux où ta présence
Ouvrit mon cœur paisible au trouble de l'amour,
Et d'un bien inconnu m'apporta l'espérance.
J'assistais, attentive, à ce concert fameux
Où de Saint-Huberty de la voix mélodieuse,
Où du célèbre Raul la flûte harmonieuse
Des transports de Vénus exhaltaient tous les feux.
    Muette, étonnée, attendrie,
    Je m'abandonnais doucement
    A cette vague rêverie
Qui pour une âme neuve est presque un sentiment.
Un son voluptueux qui meurt à mon oreille
Me fait tressaillir malgré moi :
Je lève mes regards; ils s'arrêtent sur toi.
Je doute un instant si je veille.
Ce front majestueux, ce regard séducteur,
Et ce sourire plein de douceur,
Et cette auréole de gloire
Dont resplendit l'amant des filles de Mémoire,
Portent le délire en mon cœur.
Que ne va point rêver ton amante trop vaine !
Je crois d'abord, je crois que le maître des dieux,
Revêtant une forme humaine,
Pour m'éblouir quitte les cieux.
Que dis-je ? Jupiter semble moins radieux
Alors que, triomphant d'une nymphe éperdue,
Sur son char orgueilleux il sillonne la nue;
Mars, du sein de Cypris s'élançant au combat,
A moins de grâce, moins d'éclat.
   Délicieusement émue,
En silence sur toi j'ose attacher ma vue.
Mais, ô combien s'accroit mon désordre enchanteur,
Lorsque, cédant aux voeux d'un monde admirateur,
Ta voix, plus douce encor qu'une douce musique,
Nous révèle Apollon, qui sur sa lyre d'or
Des beautés de son art déroule le trésor !
Pour te mieux écouter, je retiens mon haleine.
Tu cesses de chanter, une ivresse soudaine
Fait circuler au loin un murmure flatteur :
Chaque applaudissement retentit dans mon coeur ;
C'est là que sont gravés et tes vers et toi-même.
Dieux ! combien je jouis d'admirer ce que j'aime,
D'entendre son éloge en tous lieux répété,
Et de sentir déjà ton immortalité !
Hélas ! Ce seul bonheur permis à ma tendresse,
J'en veux jouir du moins jusqu'à mon dernier jour.
   Je dois te cacher mon amour;
   Mais je le chanterai sans cesse.
Par Mme Dufrénoy (Moutardier, Libraire 1827, pp. 13 à 15) - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Jeudi 23 novembre 4 23 /11 /Nov 23:05

Apres une période de spéculation plus ou moins longue selon les différentes personnes c'est la fin d'un Emythe si l'on peux les appeler ainsi. Voila que madame Spears ou ex-ferderline n'est pas encore divorcée que l'on entend parlé de la sex tape la fameuse cassette qui montrerait les deux amants prenant du plaisir.

Un email, un article, et un lien vers une vidéo ou l'on voit une femme pratiquant une fellation. Ressemblance avec Britney oui sans doute. Il faudra 24 heures pour que le emythe s'écroule.


En effet, une vidéo plus longue existe et démontre que ce n'est pas britney. C'est en effet une fellation, peut être pas la meilleur...

 

Par Laure - Publié dans : plaisir
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Mardi 21 novembre 2 21 /11 /Nov 02:31
Mes parents étaient partis en week-end et ma sœur Cindy passait la fin de semaine chez l'une de ses copines. À moi la maison et le repos total, malgré les révisions pour les futurs partiels qui s'annonçaient comme une nuée de sauterelles.

Mais avant de me mettre en chantier, je flâne dans la maison et je retrouve mon ballon de foot. Je vais jouer aux abords de la propriété, cela fait longtemps que je n'ai pas frappé dedans et un peu de détente me fera le plus grand bien. Le mur du garage me sert de gardien, mais j'ai perdu de ma dextérité, quand, d'un coup de pied un peu trop appuyé, le ballon atterrit dans la propriété voisine.

Je suis du regard la trajectoire de l'engin qui roule jusqu'au lit de soleil de ma voisine qui se dore nue sous les rayons chauds du soleil.


Les haies de ma voisine n'excédant pas un mètre, du trottoir on pouvait jeter un œil dans sa propriété.

Mandy, conseillère en gestion informatique âgée d'une trentaine d'années, étendue et sereine goûte le plaisir de quelques jours de repos, elle venait de signer un contrat avec une grosse firme du coin.

Elle entend le ballon rouler sur le gazon fraîchement tondu, s'assoit sur le bord de son lit de soleil quand, d'un coup, je débourre dans sa propriété en quête de mon ballon, je commençais mal la fin de journée.

Evidemment, je ne peux rien ignorer de la nudité de ma belle voisine, qui, sans se précipiter, se couvre de son paréo, de ses seins à ses genoux, mais la transparence du tissu en contre-jour ne dissimule quasiment rien de son corps.

Tout en avançant vers ma voisine, j'observe sous le tissu diaphane de son paréo, les deux aréoles et les tétons de ses seins qui tendent le tissu. Quant au pubis, il ressort en un léger renflement.

Je me force à soutenir le regard de Mandy, bien trop attiré par le dessin de sa plastique. Jamais supplice ne m'a paru si intolérable, je m'excuse auprès de ma voisine pour mon intrusion, en bafouillant comme il m'arrive de le faire quand j'ai fait une bêtise ou que je suis dans mon tort...

-Bonjour ! me dit Mandy de sa voix sensuelle qui eut l'effet d'un courant électrique dans l'échine de mes reins.

La vue de ce corps à peine dissimulé et le doux murmure de sa voix eurent pour effet de déclencher en moi une érection spontanée. Surtout que Mandy ne fait rien pour se cacher et qu'une légère brise, soulève le paréo largement au-dessus de son ventre, mettant à nu son bas-ventre où la toison de son pubis brille comme une nova.

Un peu gêné par mon érection, j'essaie de dissimuler tant bien que mal mon émoi, honteux et confus. Je soutiens momentanément le regard de Mandy, mais je baisse les yeux sur le pubis ainsi dévoilé.

Mandy sourit devant mon audace et passe sa langue sur ses lèvres.

Tout en ne la lâchant pas des yeux, je jette un œil vers la piscine de ma voisine dont l'eau bleue, miroite de mille feux. Mandy qui m'observe alors, ne manque pas de remarquer mon intérêt pour sa piscine, le soleil avait chauffé l'air toute la journée, au point d'asphyxier toute la ville, c'est certain, un bon bain serait le bienvenu.

J'avais déjà par le passé réclamé à mon père, la construction d'une piscine, mais en homme cartésien, il n'avait pas jugé nécessaire une telle installation, toutefois, il n'avait pas dit non, ni oui d'ailleurs. Mais bon, inutile de demander à Mandy de profiter de sa piscine, je venais déjà de lui gâcher sa bronzette.

-Veux-tu te baigner par cette chaleur ? me demande Mandy.

Comme si elle avait lu dans mes pensés, elle avait rendu sa voix plus suave, afin d'observer l'effet qu'elle avait sur moi et qui en général trouble les Hommes.

-Arf ! Ce serait avec plaisir, mais je n'ai pas mon maillot de bain, dis-je à Mandy.

-Ne t'en fais pas, tu n'en as pas besoin, vas-y plonge, elle est délicieuse.

J'hésite une seconde, puis je baisse son short. Ma verge jaillit d'un seul coup, je porte ma main discrètement vers mon sexe et comme un dératé, je plonge dans la piscine, le contact de l'eau sur mon corps chaud me procure une délicieuse sensation de bien-être.

Pour goûter pleinement la fraîcheur de l'eau, je fais un sous l'eau et je ressors sur le dos, sans me soucier que ma verge dépasse tel le périscope d'un Uboat 571.

Mandy s'approche de la piscine, laisse tomber son paréo et franchit les quelques marches qui mènent progressivement au faux-plat du fond de la piscine. Le contact de l'eau sur son corps brûlant lui donne la chair de poule, ses seins se gonflent, tandis que ses tétons ne demandent qu'à exploser. Je n'en reviens pas, ma voisine nue devant moi, s'approche d'une démarche lente et calculée, les seins arrogants et tuméfiés. J'ouvre la bouche pour faire un compliment, Mandy en profite pour venir se coller à moi, elle sent bon le parfum de marque. Un peu paniqué, je ne sais pas trop quoi faire, pris entre la stupeur et l'étonnement, je me hasarde à téter le sein offert et ma main peu experte pétrit le deuxième avec maladresse.

Mandy m'allonge sur les marches de l'escalier de la piscine, seul le haut de mon corps d'éphèbe dépasse de l'eau, les bras en croix, je me laisse porter par la caresse de la langue de Mandy sur mes pectoraux. La langue experte de Mandy s'enfonce dans ma bouche et l'effet fut si convaincant que ma verge se tendit davantage.

Les lèvres parfumées de Mandy descendent lentement le long de mon ventre pour s'attarder sur mon nombril, puis la bouche pulpeuse engloutit mon gland d'un seul coup. La langue repousse le prépuce et excite le frein, le gland enfle, les lèvres humides glissent tout le long de ma verge. Au rythme régulier du battement d'une aiguille de pendule, la bouche maquillée happe le gland et les bourses en de délicieuses caresses. Je me laisse bercer, je sens en moi monter la sève de vie, je vais avoir un orgasme et rien qu'à l'idée de m'abandonner dans la bouche de Mandy, ma jouissance vient, incontrôlable. Ma verge tressaute dans sa bouche et j'éjacule quatre jets de sperme tiède... Mandy me conserve dans sa bouche tout au long de ma jouissance, puis libère ma verge et voit mon visage radieux. Elle me sourit, nullement vexée par la brièveté de l'instant, elle a sûrement l'habitude que ses amants durent plus longtemps dans sa bouche.

Elle s'allonge à son tour sur les marches de la piscine, comme pour offrir au soleil, son corps parfait. Elle cambre légèrement les reins, ses seins bondissent, son ventre se creuse, seul son pubis baigne au ras de l'eau et comme la corolle d'une fleur, ses jambes s'ouvrent, les petites vagues de la piscine clapotent sur sa vulve.

En bon élève, je me dis qu'il faut rendre la pareille à ma bienfaitrice, je lui lèche les tétons, les mordille doucement pendant que mes mains courent le long du ventre plat de la jeune femme. Bien que l'on m'ait inculqué que le sexe était sale, j'approche ma bouche de l'entrejambe de Mandy, une envie de forcer la barrière des lèvres de son sexe me fait avancer un doigt vers la fente légèrement ouverte, j'y glisse deux doigts, tandis que ma langue monte et descend le long de l'antre du bonheur. Cela a bon goût, on m'avait raconté des bêtises ! Ma langue rencontre une petite excroissance, je la sens grossir, la mords tendrement, ce qui a pour effet d'arracher à Mandy un soupir d'extase et bientôt un orgasme. Elle jouit ainsi sous les coups de ma langue, sa vulve se dilate et elle explose un jet de suc dans ma bouche. Mandy se cabre sous le désir, j'enfonce deux de mes doigts dans son sexe en une petite caresse de haut en bas, je les retire de son vagin, pour mieux les plonger à l'intérieur de son ventre. Mes doigts lubrifiés glissent d'un seul coup sur le bas du vagin et s'enfoncent dans l'anus de Mandy qui pousse un râle rauque et bruyant. Excité par la vue de mes doigts dans les reins de Mandy, j'introduis mon pouce dans son vagin. Mandy se laisse caresser un instant dans ses deux orifices intimes, mais elle se dégage lentement des doigts inquisiteurs pour s'allonger sur le ventre, face aux escaliers. Dans cette position, les fesses de Mandy ressortent encore mieux, elle m'offre ainsi, en plein soleil, la vue de son anus brun clair et de sa petite chatte. Et si c'était une invite discrète ?

Je m'agenouille entre les cuisses de Mandy qui avait relevé le bassin, j'ai retrouvé force et vigueur, la grosseur de ma verge en atteste. Je ne peux résister à l'envie d'embrasser les fesses offertes et de lui sucer tout l'entrejambe. Ainsi, je peux lui lécher l'entrée du vagin et l'anus d'un seul coup de langue.

Ma main dirige mon phallus entre les fesses de Mandy, le contact est délicieux, je m'enfonce comme dans un pot de miel, c'est chaud et étroit, mon gland se décalotte entièrement, je ressens une légère douleur. Mais je n'y prête guère attention, le fait de me voir m'introduire dans ses reins occulte le tiraillement du frein de ma verge dû à l'étroitesse des lieux. Je plonge à l'intérieur de Mandy qui, surprise, laisse échapper un cri de bonheur, elle adore qu'on la sodomise sans préparation. D'abord doucement, les muscles de son anus cèdent sous la pression, mon gland disparaît dans les fesses de Mandy et d'une poussée plus hardie, ma verge est absorbée par l'anneau serré. À grands coups de reins, je fais aller et venir ma verge dans son anus, l'étroit fourreau glisse sur ma hampe en la comprimant, je ne vais pas tarder à jouir, mais il faut que je me rattrape sur le coup d'avant. J'avais joui comme un égoïste sans partager avec Mandy, (toutefois, mon hôtesse ne m'en avait pas fait le reproche, signe de sa parfaite éducation) aussi, fallait-il que je lui montre que je savais moi aussi donner avant de recevoir. Je me concentre d'avantage sur le plaisir de Mandy en passant une main sur son entrecuisse pour lui caresser la vulve. Tels des archéologues, mes doigts fouillent son vagin à la recherche de son clitoris et des profondeurs de son intimité. Le caveau de son antre est humide, mes doigts y jouent comme sur un terrain de hockey sur glace, j'adore cette sensation qui résulte de l'activité de ma main sur le sexe de Mandy. Comme en mécanique, j'associe les forces en présence, ma verge plantée dans les reins de Mandy et mes doigts dans son vagin devraient lui extirper une jouissance. Sous le soleil, le corps de Mandy luit de sueur, elle a encore écarté davantage les jambes et creusé ses reins, pour mieux apprécier mes palpations...

À mon grand ravissement, Mandy donne des signes de faiblesse, sa vulve se gonfle et du fin fond de son vagin, jaillit un jet de suc vaginal. Elle ne fait pas dans la discrétion, bien sûr, elle est chez elle, et c'est sans retenue, dans un spasme de plaisir, qu'elle me gratifie d'un :

- Je... jouis... continue... !

Je m'exécute, ses désirs sont des ordres ; aussi pendant qu'elle jouit, tel un travailleur consciencieux, je m'applique dans ses orifices, ce qui a pour effet de me faire jouir aussi. Etroitement emprisonnée dans son anus, ma verge éjacule mon plaisir tant retenu en une délicieuse libération de lave qui courait dans mon ventre.

Tout en jouissant presque à l'unisson, je reste enfoui dans Mandy à goûter son plaisir et le mien.

Une fois rassasiée, elle se dégage de l'épée, son anus béant se referme lentement pour laisser échapper un jet de sperme qui coule jusqu'à l'entrée de son vagin.

J'adore ce moment divin de l'expulsion des souillures du plaisir, mes mains ayant saisi les hanches de Mandy, je regarde s'écouler mon liquide de ses entrailles et toujours en érection, je pénètre une fois encore son anus offert.

Blotti contre Mandy, je lui susurre des mots tendres, comme un amant comblé.

Quelle carnassière, cette Mandy !
Par Armitage - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 18 novembre 6 18 /11 /Nov 21:41
Célhia de Lavarène, new yorkaise journaliste de formation et combattante du droit des femmes est arrivée au Libéria en 2004 pour mettre en place un programme de lutte contre le trafic des êtres humains.

L'Afrique de l'ouest est en effet un des endroits du monde ou le trafic humain se propage à grande vitesse. Il n'y a pas de pas de mots assez fort pour décrire Monrovia et la corruption endémique qui frappe tout le monde, riche et pauvre. Au Libéria, passer la nuit avec une gamine de 15 ans coûte 300 $, l’acheter coûte entre 4000 $ et 6000 $.

Là bas, elle va au rencontre du monde de la nuit évaluation de la situation.
Pour les membres des contingents de l'ONU elle est la "garce blonde". Pour certain c'est la "garce blonde qui est arrivée, alors  on va plus pouvoir tirer un coup".

Elle rencontre dans les night-clubs des filles de Russie, Ukraine et du Maroc qui n'ont même pas quinze ans. Le marché aux esclaves, qu'elle découvre basé sur le trafic de jeunes femmes d'Afrique du nord ou d'Europe, est très lié aux trafics de drogues et d'armes.

Avant d'être connue dans Monrovia, elle réunit alors une équipe de policiers internationaux afin de mettre fin au plus grand nombre de trafic. Les clients de ce trafic sont les hauts diplomates libériens, les diplomates, les membres d’organisations humanitaires, les casques bleus. C'est avec l'aide de combattant népalais et à la manière d'un général qu'elle dirige l'assault contre certains nightclubs.

Dans Visa pour l’enfer – Une femme combat les marchands du sexe, elle raconte l’histoire de ces tout jeunes gens en provenance d’Ukraine, de Russie, du Maghreb, kidnappés ou vendus, privés de passeport, battus et forcés à se prostituer.

Célhia de Lavarène - Auteur de Un visa pour l'enfer - Une femme combat les marchands du sexe (Fayard) - Présidente de l'association Stop Trafficking of People (STOP).


Pour écouter l'émission: http://www.tv-radio.com/ondemand/france_culture/MATINS/MATINS20061116.ram
Par Juju - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 12 novembre 7 12 /11 /Nov 23:42
Sandrine trouvait sa bonne copine Romane bien trop absorbée par d'autres choses que le sexe ; confidente privilégiée, elle savait qu'elle n'avait connu qu'un garçon à 20 ans passés et cela semblait la perturber. Elle qui n'était pas une collectionneuse d'hommes, mais qui ne rechignait jamais à passer un moment agréable, avait sa petite idée pour dévergonder un peu sa copine...

Ce week-end, ses parents étaient partis en province et elle avait l'appartement pour elle toute seule ; enfin, elle allait pouvoir s'envoyer en l'air confortablement et en prenant tout son temps avec Vivien, son boy-friend, ce qui allait les changer de la voiture.


Comme elle avait une idée derrière la tête, elle invita Romane dès le samedi après-midi. Comme elles étaient plus que bonnes copines, cette dernière ne se fit pas prier pour venir ; chez ses parents, la promiscuité était bien souvent de mise et il n'y avait jamais moyen d'être tranquille quand une copine venait, alors...

En début d'après-midi, donc, Romane arriva. Sandrine la fit entrer et elles allèrent directement dans sa chambre, où Vivien pianotait sur le PC. Bien qu'elle ne le connaisse pas vraiment, ça n'étonna pas Romane, qui savait qu'ils sortaient ensemble ; elle se doutait bien qu'avec un week-end complet sans les parents, ça allait être chaud entre eux deux ! Les trois jeunes gens discutaient, rigolaient, bref, passaient un bon moment. Romane alluma une cigarette.

- Ah, j'ai pas de cendrier ici, lui dit Sandrine. Tu n'as qu'à aller en chercher un dans la cuisine... et ramène donc du Coca et des verres pendant que tu y es !

Quelques minutes plus tard, quand elle vint les rejoindre, elle faillit laisser tomber le plateau qu'elle tenait. Vivien était assis sur le lit, pantalon baissé, et Sandrine, accroupie à ses pieds, était en train de le sucer. Elle demeura pétrifiée devant cette scène ; Sandrine se leva et se dirigea vers elle.

- Ben fais pas cette tête-là, ma chérie ! Vivien commençait à bander et une si belle queue, je n'allais pas rester là à ne rien faire !

Oui, une belle queue. Longue, assez fine, toute lisse, bien dressée ; Vivien était aux anges.

Sandrine referma la porte et débarrassa sa copine. Romane avait l'air choquée ; en d'autres lieux, elle aurait sûrement piqué un fard et se serait enfuie en courant, mais là, un zeste d'excitation et de curiosité lui titillait l'esprit. Quand elle sut qu'elle ne partirait pas sans demander son reste, Sandrine se remit à l'ouvrage. Vivien s'affaissa sur le lit et l'ingénue le suça bruyamment. Il prenait un sacré pied, mais il semblait lui aussi un peu gêné, n'osant pas croiser le regard de la copine.

Romane s'assit alors, histoire de mieux profiter de ce qui s'offrait à elle. Quand elle sentit sa copine intéressée, Sandrine se hissa sur Vivien et lui susurra quelque chose à l'oreille. Il redressa la tête, la regarda et acquiesça. Sandrine tendit la main à Romane pour qu'elle se rapproche. Hésitante, elle se leva, fit un pas, puis s'avança franchement.

- Comment tu le trouves, ma puce ?

- Heu... ben, il est pas mal ! lui répondit-elle en bégayant.

- Et sa bite, tu la trouves comment ? lui demanda-t-elle, les yeux pétillants d'excitation.

Là, Romane fut terriblement gênée. Vivien le remarqua en premier et s'allongea complètement sur le lit, le visage vers le plafond. Sandrine reprit :

- Ah, oui, c'est vrai... Tu n'as jamais sucé de garçon...

- Ben... heu... ben non, tu le sais bien...

Sandrine, qui tenait absolument à la mettre en confiance, se colla contre elle et l'embrassa dans le cou.

- Vas-y, approche-toi, prends-la en main... lui dit-elle posément.

Romane tremblait. Elle était envahie par un mélange d'envie, de gêne, d'excitation et de honte. Elle avait des picotements dans les jambes, des frissons lui parcourent tout le corps. Sandrine lui dit des mots gentils, tendres, apaisants, mais elle ne les entendait déjà plus ; ses yeux étaient rivés sur le chibre rutilant de Vivien. Elle semblait à point. La copine lui prit délicatement la main et la rapprocha du sexe du garçon. Silence dans la chambre ; seule la respiration brutale de Romane se faisait entendre.

Sandrine la fit doucement s'agenouiller puis passa derrière elle. Elle caressa ses beaux cheveux blonds, l'embrassa sur la nuque et l'enjoignit de prendre cette queue en main. Encore quelques centimètres, et ça y serait ! Le chibre immaculé de Vivien était prisonnier de sa main tremblante. La garce commença alors à la guider verbalement, sans mots brusques, et pour la première fois de sa vie, Romane branlait un garçon. Et le garçon, il était rudement heureux, justement ! Fou d'excitation face à cette situation peu commune, il jubilait de tout son être sous les va-et-vient désordonnés de la douce main de la jeune fille.

- Doucement, ma puce, pas trop brusque... Voilà, comme ça... Ça va Vivien, c'est bon ?

- Hum...

- Maintenant, mets-la dans ta bouche...

Minute après minute, Romane acquit de plus en plus d'assurance et était de moins en moins hésitante. Elle approcha sa bouche du gland violacé du garçon, sortit la langue et commença à lui titiller le frein avant de le gober délicatement. Sandrine observait : un oeil sur sa copine, un oeil sur son boy-friend. A en juger par le plaisir qu'il prenait, elle avait l'air de bien se débrouiller, très bien, même...

Tout en la guidant de sa voix suave, Sandrine se rapprocha alors au plus près et se mit également à sucer Vivien. Que pourrait-il demander de plus ? Rien ! Les deux merveilleuses jeunes femmes s'occupaient de lui avec un tel talent, qu'il avait du mal à garder les yeux ouverts pour profiter visuellement du spectacle.

De manière sporadique, la langue de Sandrine venait toucher celle de Romane. Celle-ci sembla confuse ; elle avait une petite idée de la suite des réjouissances, mais laissa faire Sandrine sans objecter la moindre remarque. Puis, tandis que leurs lèvres submergeaient le gland, chacune pour moitié, leurs langues s'emmêlèrent et elles se donnèrent un savoureux baiser. Comme si son instinct l'avait prévenu, Vivien se rehaussa un peu et garda cette fois-ci les yeux bien ouverts. Il se redressa sur le lit, ce qui obligea Romane à faire de même pour continuer à le sucer.

Sandrine passe alors derrière elle et commença à la peloter, tout en déboutonnant son chemisier. Romane s'ébouriffa de plaisir quand elle sentit les mains de son amie caresser ses petits seins par-dessus, puis par-dessous le fin soutien-gorge. Ce faisant, Sandrine ôta sa robe et fit glisser la jupe de Romane qui ne cessait de masturber et de sucer Vivien de plus en plus bruyamment ; elle mouillait, la coquine !

La maîtresse des lieux se plaça alors derrière elle, lui caressa les fesses et la fit se redresser légèrement. Elle tira sa culotte le long de ses cuisses et découvrit sa vulve, toute rose, toute fine, trempée de cyprine.

- Ah, mais tu te rases la chatte ? Tu m'avais caché ça...

Romane se retourna furtivement et lui lança un petit sourire complice.

- Ben oui, comme toi ! Enfin, j'imagine...

- Ah ah ! Je te laisserai découvrir ça tout à l'heure... lui répondit-elle.

A peine sa phrase terminée, elle fit pénétrer un doigt dans la moule juteuse de Romane. Guère surprise, celle-ci cessa quand même de sucer Vivien qui était sur le point de décharger. Elle aurait bien envie de goûter à son foutre, mais pour l'heure, elle aussi désirait ressentir des choses...

Sans que Sandrine n'eût à la guider, Romane se releva et s'allongea sur le lit en levrette, les cuisses plaquées contre le sommier. La queue à la main, Vivien s'assit près de sa coquine de petite amie et tous les deux léchèrent goulûment l'abricot de Romane. Elle s'agrippait violemment au dessus de lit et se laissait aller au plaisir, quand elle sentit deux doigts directement au fond de sa tirelire et une langue qui lui lapait la rondelle. Lequel des deux la léchait, lequel des deux la doigtait ? Ca n'avait pas la moindre espèce d'importance ; ce qui comptait, c'est qu'elle en jouisse.

D'un seul coup, elle sentit quelque chose qui butait contre sa moule : c'était Vivien, bien sûr, qui la pénétrait par derrière et se mettait à la limer sans ménagement, tandis que Sandrine essayait de faire rentrer sa langue dans son anus. Comme elle s'imaginait très bien toutes les cochonneries qu'ils allaient pouvoir faire à trois et le plaisir qu'elle pourrait en retirer, pas le moindre soupçon de gêne ne lui vint à l'esprit.

Romane était une frêle jeune fille, très mince, d'apparence fragile et réservée. Véritable blonde, sa peau était très pâle, laiteuse, et son petit cul un véritable appel à l'amour si l'on en jugeait par l'entrain que mettait Vivien à la baiser royalement.

Sandrine, brunette légèrement typée et pulpeuse, était à l'opposé de sa copine. Garce, hardie, sans aucune pudeur, elle aimait se donner entièrement à celui qu'elle avait choisi et malgré ce qu'elle laissait supposer par son assurance, c'est la première fois pour elle aussi qu'elle avait un contact amoureux avec une autre fille.

Et Vivien ? Lui, il prenait la vie comme elle se présentait. Un peu baba-cool sur les bords, l'air négligé, il semblait satisfait que Sandrine prenne toujours les choses en main... et particulièrement cet après-midi !

Sandrine se leva alors et s'assit devant Romane tout en la redressant un peu, tandis que Vivien continuait de lui faire son affaire. De peur de jouir trop vite, il ralentit le rythme, ce qui laissa Romane récupérer un peu ses esprits. Sandrine l'embrassa, la caressa, la fit frissonner de plaisir et de désir. Elle plaqua ses gros seins aux larges aréoles et aux mamelons protubérants, rugueux et durcis de jouissance, contre ceux de Romane, qui ne put s'empêcher de les lécher, les croquer, tout en enfouissant sa main entre ses cuisses.

- C'est vrai, toi aussi tu es épilée ! eut-elle la force de lâcher.

- Hé bien, qu'est-ce que tu attends pour y fourrer ta langue ?

Sandrine écarta largement les cuisses et offrit son intimité à sa copine qui plongea immédiatement son visage dedans. Quelle chatte, et quel contraste avec la sienne ! Des petites lèvres vraiment très grosses et très sombres, un clitoris bandé, une senteur corsée, Romane était vraiment dingue d'excitation et elle lui prodigua un cunni qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Sandrine transpirait abondamment, se laissant aller à des râles sourds et saccadés. Malgré les prouesses de Vivien, Romane était plus discrète dans l'extase, question de tempérament. N'empêche qu'elle n'avait dorénavant plus besoin qu'on lui dise ce qu'elle devait faire pour donner et recevoir du plaisir.

Quand elle sentit que Vivien n'allait plus pouvoir se retenir, elle vint s'asseoir entre les cuisses de Sandrine, qui en profita pour l'enserrer et lui pétrir les seins. Vivien lui dit de se lever et de se remettre à le sucer. Très adroite, très sûre d'elle, elle le masturba dans sa bouche tout en lui malaxant les couilles. Lui, il se mit à gigoter dans tous les sens, à se crisper, à crier presque, et il déchargea dans sa bouche alors que Sandrine l'embrassait baveusement dans le cou et lui croquait les lobes.

- Tu n'en perds pas une goutte, hein ! s'exclama alors Sandrine.

- Hum hum hum... lui répondit-elle en tournant légèrement la tête.

Tout en le regardant droit dans les yeux d'une manière très coquine, elle suçait, elle léchait, elle aspirait et avalait tout le foutre du garçon qui s'écroula, repu de bonheur. Puis, elle se retourna et embrassa Sandrine à pleine bouche pour lui faire profiter un peu de la semence. Celle-ci ne fut pas surprise de ce geste, juste un peu du fait qu'elle ait tout avalé lors de sa première fellation.

- Oh, c'est trop bon ! Comment ai-je pu être coincée comme ça ? lâcha Romane.

- Hé bien toi, quand tu t'y mets...

Vivien se releva alors et vint les rejoindre sur le lit, s'empressant de complimenter Romane qui en retira une grande fierté.

- Oui ma puce, tu as été parfaite et tu nous as donné un sacré plaisir à tous les deux...

- Hum... Comme c'était bon... Un homme et une femme en même temps, c'est génial !

- Et le week-end ne fait que commencer ! ajouta Vivien.

Romane avait les yeux qui brillaient à l'idée de ce qu'elle allait découvrir.

- Oui, on a tout notre temps, et naturellement, ce soir, tu restes avec nous hein ?

- Ouiiiii !

- Ton trou du cul me fait envie ! lui dit Vivien.

- Heu... ça... heu... jamais fait ! répondit-elle avec une toute petite gêne.

- Je m'en doute, ma chérie, c'est pas grave. Vivien va s'en charger... et moi aussi !
Par Evangelion - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Mardi 7 novembre 2 07 /11 /Nov 04:14
Un groupe US complètement méconnu en France et que j'espère bien vous faire découvrir.

3 Doors Down c'est une voix Brad Arnold, Matt Roberts guitariste, Todd Harrell bassiste, Daniel Adair  percu et Chris Henderson guitariste. En quelques chiffres, 3 Doors Down c'est quand même 12 millions d'albums vendus depuis 2000.

Ils se connaissent depuis leur enfance et on pour l'instant éviter les pièges tendus par le show business. Leur premier succès  fut leur passage à la radio prés de leur ville natale Escatawpa. L'arrivé d'Henderson qui à apporter son expérience à donner un coup de pouce non négligeable au groupe qui ne sortait pas des soirées en potes et radio régionales. Le big-bang fut la sortie de Kryptonite. Sortie en pleine superman mania elle a cartonnée.

Bon bien sur ce n'est pas que 3 Doors Down, lorsque l'on écoute leur musique on sent une vraie évolution. Oui, il y a eu au début des bêtises, avec une BO American Pie 2 modifier pour les besoins de la production et du film. 



Un conseil donc, ne restez pas à Kryptonite laissez vous tentez pas Running out of Days ou Ticket to Heaven. Certains d'entre vous trouverons le groupe, la musique trop américain, a vous de juger.

Plus de site: http://www.3doorsdown.com

Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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