Samedi 3 novembre
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enfin faire tout cela sans en avoir honte, en prenant du plaisir... Oui se masturber.
Voila le délicieux programme que va nous proposer Arte le vendredi 23/11. Réservez votre soirée. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le plaisir solitaire sans jamais oser le demander.
De tout temps, l’homme s’est branlé (la femme aussi). De Diogène à Catherine Millet, en passant par Rousseau, Freud et Dali, un parcours illustré de la masturbation à travers les âges. Ludique, instructif et jouissif. Deux blogueurs, un garçon et une fille, dialoguent sur le thème de la masturbation, avec, au coin des lèvres, une pointe d’excitation (pour elle) et de culpabilité (pour lui).
Se prenant au jeu, ils se disent tout (ou presque) par écran interposé, incrustent extraits de films et de spectacles, échangent récits, expériences, lectures, dessins, fantasmes et citations diverses. Par jeu et par curiosité, ils vont interroger des “spécialistes” de la question : le psychiatre Philippe Brenot, dans son livre Éloge de la masturbation, raconte la découverte des spermatozoïdes et revient sur la condamnation du vice onaniste ; Catherine Millet, auteur incontournable de La vie sexuelle de Catherine M., déchiffre une toile de Dali au titre édifiant et trompeur, Le grand masturbateur ; la photographe Ariane Lopez-Huici a réalisé Solo, une élégante série de photos sur un homme qui se masturbe ; la philosophe Beatriz Preciado parle de la théorie du corps chez ce bon vieux docteur Tissot ;l’écrivain Philippe Sollers lit des lettres de James Joyce à sa compagne, lettres sans équivoque…
Chacun répond de bonne grâce aux questions les plus directes et illustre un chapitre de la petite histoire de la branlette, dont les titres s’égrènent avec autant de sérieux que d’humour : “Histoire d’un tabou”, “Machines à coudre et bicyclettes”, “Masturbation et santé”, “Le magasin des accessoires”… Très vite, nos deux charmants blogueurs doivent accepter l’évidence : la main est aussi un organe sexuel.
“Je mets des petits jouets dans ma culotte…”
“Les yeux fermés devant un miroir…”
“Deux fois par jour au moins, sur un scooter lancé à pleine vitesse…”
“Avec une peluche sur mon lit…”
“C’est avec le jet d’eau que je jouis le plus…”
(Paroles de branleurs, paroles de branleuses)
Plus de détails : 23/11/2007 22.15
M la maudite: Documentaire de Jean-Paul Fargier (France, 2007, 52mn)
Coproduction : ARTE France, Ex Nihilo, Dérives, Lapsus, RTBF
Par Lulu
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Publié dans : La revue de presse
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Mardi 30 octobre
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Cet article fait suite au post suivant : Un livre ...
Le premier chapitre que vous avez pu lire est un extrait de ‘’Hell’’
Ce livre de Lolita Pille décrit le quotidien morose d'une adolescente, jeune, belle, et riche - bien trop riche - des quartiers huppés de Paris. A travers les doutes, les souffrances et les questionnements du personnage de Hell, l’auteur se penche sur ces jeunes privilégiés, qui ont tout pour être heureux, mais qui ne savent que faire de leur liberté. Lolita Pille a écrit à 17 et publié à 18 ans.
Sans être le livre du siècle, ce livre est plein de cynisme, et d’éclat de réalité certes pas les plus brillant, pas ceux que nous renvoie le miroir du glamour et du clinquant. Même si il souffre parfois d'une écriture un peu répétitive.
Certes, on ne vit pas cette vie et on ne le veux pas mais la consommation de tout, de rien, tout le temps sans but juste sur celui de s’occuper n’est pas si éloigner note vie.
Comment trouve t on le bonheur dans la consommation ?
Par Aline
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Publié dans : Sortir
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Dimanche 28 octobre
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20:47
Suite de: Marie-Claude, Jeune Fille Au Pair - Chapitre 3
Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis son arrivée dans cette famille et elle avait été bien occupé par les enfants d’une part et par Madame Taylor d’autre part qui avait tenu à lui montrer toute la maison et toutes les boutiques où elle avait l’habitude de se servir. Les jeux érotiques avec les enfants avaient été très limité du fait de son emploi du temps et de la surveillance étroite de leur mère. Elle voulait toujours savoir ce qu’ils faisaient. Il n’y avait que le soir qu’elle pouvait vérifier auprès de Marie et de John ses premières impressions et ma foi elle n’avait pas été déçue.
John se branler tous les soirs et il s’arrangeait chaque fois pour jouir juste à son arrivée ce qui donnait lieu parfois à des situations excitantes. Il demandait à Marie-Claude de lui sucer les doigts gluants de sperme, ce qu’elle faisait par jeu, en suçant lentement chacun d’entre eux ce qui avait le don de le faire bander à nouveau. De temps en temps elle prenait alors son sexe entre ses doigts et par de longs mouvements en alternance avec de savants coups de langue elle faisait jouir le petit John qui donnait de grands coups de rein dans le vide en gémissant de plaisir. Après cela, c’est lui qui suçait les doigts de Marie-Claude tout en s’endormant car ces doubles jouissances l’épuisait.
Pour Marie, le coucher était différent. Il donnait lieu à des caresses plus précises, mais pour lesquelles les deux filles devaient faire très attention car la chambre des parents était contiguë à la sienne. Et c’était assez fréquent qu’elles soient obligées de s’interrompre en pleine montée de plaisir car les parents arrivaient. Dans ces cas là, elles en étaient réduites à se branler chacune de leur coté en rêvant à des lendemains meilleurs.
Tout cela laissait Marie-Claude sur sa faim et elle commençait à rêver à des queues bien chaude et bien grosse avec lesquelles elle pourrait jouer toute une nuit. Mais la seule queue à portée de sa main était celle de Monsieur Taylor et elle était inaccessible. Madame Taylor surveillait et se charger de réduire les envies de Monsieur bien au-delà du raisonnable. Les bruits qu’elle entendait à travers les murs, de l’autre coté du couloir, étaient assez éloquents. Madame Taylor avait du tempérament et entendait être satisfaite par son époux aussi souvent que possible et même davantage.
C’est dans cet état d’esprit de frustration accumulées et d’envies non satisfaites que Marie-Claude arriva à son premier week-end de liberté depuis son arrivée à Lyon.
Elle décida donc de partir en chasse et de se farcir le plus grand nombre possible de mecs durant ces deux jours. Elle choisit ses vêtements en conséquence : pas de lingerie fine, des chemisiers suffisamment transparents pour avoir l’air décents, pas de pantalons mais des jupes courtes très moulantes également. Dans le car qui l’amenait vers le centre ville les regards des passagers étaient éloquents mais pas un seul n’osa l’approcher. Ils étaient intimidés par cette jeune fille à l’air si décidé.
-Mince se dit-elle, je leur fais peur. Il faut que je change d’attitude sinon personne ne viendra me draguer.
En descendant du car, elle prit donc un air de jeune fille sage pour marcher dans la rue. Le petit sac à dos qu’elle portait marquait ses seins en les faisant pointer à travers la mince épaisseur du chemisier. Les bouts étaient dressés et cela se voyait. Sa vulve était humide et elle sentait le plaisir monter en elle. Elle entra dans le grand magasin devant lequel elle se trouvait, suivi par deux jeunes gens très intéressé par sa silhouette. Elle les avait repérés et ma foi les trouva plutôt mignons surtout le black. Les grandes manoeuvres avaient commencé. Elle décida de les laisser faire.
Au troisième étage du magasin, ils se décident enfin à passer à l’attaque Il y a moins de monde et volontairement elle se dirige vers le coin le plus isolé. Ils sont près d’elle et le grand black l’interpelle :
-Salut, comment tu t’appelles ? Je ne t’ai jamais vu par ici.
-Marie-Claude, c’est mon prénom dit elle en rougissant légèrement. Cette demande directe l’a un peu désarçonné mais elle se ressaisi très vite.
-Et vous deux c’est quoi vos prénoms,
-Antoine et voici mon pot Mike dit le deuxième garçon.
-Ravie de vous connaître. C’est vrai c’est la première fois que je viens à Lyon, je suis jeune fille au pair dans une famille anglaise. C’est mon premier
week-end de liberté. J’en profite pour me balader.
-On serait ravi de te servir de guide lui dit Antoine en s’inclinant avec un large sourire.
-OK j’accepte très volontiers. Je suis un peu perdue dans cette ville.
-Et si on allait boire un verre plutôt que de rester dans cette boutique. Il fait une chaleur à crever.
-D’accord Mike on y va dit-elle, je vous suis.
Ils passent devant elle et ils rejoignent rapidement la rue et entrent dans un bar situé un peu plus loin sur le même trottoir.
-Qu’est ce que tu bois ? lui demande Antoine.
-Un jus de fruit et vous ?
-De la bière pression.
Le garçon repart avec la commande et revient bientôt avec un plateau chargé de trois verres. C’est Mike qui paye et le garçon les laisse seuls. Ils ont choisi un coin discret du bar où on ne les voit pas du comptoir. Marie-Claude est très excitée et sa vulve est très humide. Elle a envie qu’ils la touchent mais ils n’osent pas encore. C’est elle qui engage la conversation.
-Vous faites quoi dans la vie
-Nous sommes étudiants tous les deux à la fac de lettre. Et ils lui racontent leur vie d’étudiants. Les cours, les soirées, la petite chambre de cité U. C’est surtout Antoine qui parle. Mike lui s’est collé contre Marie-Claude et il a de plus en plus chaud. Marie-Claude a vite réagi à ce contact et la main de Mike est maintenant sur sa cuisse et remonte lentement vers le point le plus chaud. Les cuisses de Marie-Claude se sont ouvertes et le doigt de Mike caresse lentement sa vulve. Elle mouille tout en gémissant. Vite qu’il se dépêche. Qu’il la fourre là sur la table si il veut. Elle veut sa queue dans son ventre mais n’ose pas lui dire comme cela.
Antoine s’est tu. Il a compris la situation et vient se placer de l’autre coté de Marie-Claude et il s’empare de ses seins qu’ils pétri avec douceur mais fermeté. Marie-Claude écarte largement ses cuisses et Mike peut la pénétrer avec deux doigts qu’il fait aller et venir dans sa vulve en feu. Antoine n’a pas perdu de temps non plus et sa langue fouille la bouche de Marie-Claude qui ne lui résiste pas. Elle s’abandonne complètement à leurs caresses. Ses mains n’ont pas perdu de temps et elle tient une queue dans chaque. Les formes sont différentes mais elles sont aussi chaude l’une que l’autre. La taille de celle de Mike est particulièrement imposante. Elle les sent prêtes à jouir mais cherche à faire durer le plaisir de ses partenaires.
Mike le premier a réagi. Il écarte doucement ses doigts de la vulve de Marie-Claude et lui murmure à l’oreille
-Je crois que nous ferions mieux d’aller chez moi nous serions plus tranquilles.
Elle émerge doucement et ouvre les yeux comme si elle sortait d’un rêve. Après quelques secondes, elle a enfin compris la remarque de Mike et acquiesce avec un sourire.
-Tu as raison Mike, allons chez toi nous pourrons faire tout ce dont nous avons envie.
Il réajustent leurs vêtements, finissent leurs verres et sous l’oeil amusé du garçon, quittent le bar en se tenant tous les trois par la taille.
Le trajet vers l’appartement de Mike en car leur semble particulièrement long même si en réalité il de dure qu’un quart d’heure. Pendant tout le trajet ils n’ont pas cessé de la serrer de près et s’ils avaient osé ils l’auraient baisé sur place. C’est donc dans un état d’excitation porté à son plus haut niveau qu’ils entrent chez Mike. Les deux garçons l’entraînent sans un mot dans la chambre et en moins de temps qu’ils ne faut pour le dire elle se retrouve allongée sur le lit, complètement nue et les cuisses largement écartées par les mains autoritaires d’Antoine.
-Vas y Mike commence, elle est prête tu peux la fourrer sans problème. Mike a juste fini de se déshabiller et, sa queue congestionnée se dresse telle un épieu devant la vulve de Marie-Claude qui pousse un petit cri devant un tel engin.
-Doucement s’il te plaît, j’ai peur que tu ma fasse mal murmure-t-elle à l’adresse de Mike. Ca fait longtemps que l’on ne m’a pas baisé.
Mais Mike n’en a cure, au contraire, les craintes de Marie-Claude ne font que l’encourager dans sa démarche et, de toute façon, Antoine la maintien fermement. Il s’approche d’elle et guide son sexe vers la grotte humide. Le gland énorme appuie sur les lèvres de la vulve et d’un geste lent mais ferme il s’enfonce dans le ventre de Marie-Claude qui pousse un long gémissement fait de plaisir et de douleur mélangés. Elle sent le sexe de Mike qui la pénètre, bousculant son petit vagin glissant sur les parois humides jusqu’au plus profond d’elle même.
Quand la queue de Mike touche le fond du vagin elle s’arque boute pour résister mais Mike et sans pitié. Il la maintien fermement en lui bloquant les main au-dessus de sa tête et commence de savants va et vient qui ont le don de faire vibrer Marie-Claude au plus profond de son être. Elle voulait une queue, elle est servie.
Les coups de queue se font de plus en plus rapides et son vagin s’est parfaitement adapté à son invité Elle suit le rythme imposé par Mike et le plaisir l’envahit complètement, ses reins sont brûlants, elle crie, elle gémie.
-Non plus vite, oui continu, tu me tues, c’est bon encore; sa tête roule dans tous les sens, Ahhh encore, ouiiii; Bon sang que c’est bon encore, ouii Ahhhh.
De mini orgasmes la secoue, elle bave de plaisir, elle ne sait plus où elle est, avec qui, son univers se résume à cette queue qui va et vient.
Antoine a libéré ses jambes et elle peut maintenant s’en servir pour entourer le torse de Mike. Son plaisir s’en trouve augmenté et elle suit son rythme.
-Antoine qu’est ce que tu fait ? Cria-t-elle d’un seul coup. Elle a senti un doigt qui s’enfonce dans son anus et cela l’a surprise.
-Je t’encule ma belle, les pouliches dans ton genre sont faites pour tout accepter; et joignant le geste à la parole il enfonce un deuxième doigt dans son cul. Marie-Claude à poussé un cri mais vite étouffé par un baiser de Mike dont la langue fouille sa bouche avec ardeur. Elle est prise de tous les cotés et dans un dernier sursaut elle s’abandonne complètement à ses deux amants. Elle est prête à tout maintenant, tout ce qu’elle veut c’est jouir, jouir toute la nuit sans s’arrêter.
Son premier orgasme la prend par surprise et lui coupe le souffle. Tout son corps a vibré et un long frisson l’a parcouru des pieds à la tête. Mike ne s’est pas arrêté pour autant. Il continu à la fourrer mais d’un mouvement de reins puissant il la fait passer sur lui et elle se retrouve à cheval sur sa queue. Antoine a suivi le mouvement avec ses doigts et il peut sentir la queue de son ami à travers la cloison vaginale. Mais ce n’est pas ce qu’il veut faire. Maintenant que l’anus est dilaté, il retire ses doigts et s’emparant d’un tube de vaseline, il en badigeonne l’entrée généreusement. D’un geste rapide il a sorti sa queue qu’il introduit dans l’anus de Marie-Claude. Elle pousse un cri de douleur mais une grande claque sur les fesses lui fait comprendre qu’elle n’a rien à dire. Mike rigole.
-Ca y est, tu l’a eu, depuis le temps que tu rêvais d’enculer une jolie fille, tu as réussi. Et maintenant voyons ce qu’elle a dans le ventre. Vas y défonce la, je te suis.
Marie-Claude sent les deux queues se mouvoir alternativement dans son cul et son vagin. La sensation est énorme, elle se sent complètement à nu, son intimité la plus secrète vient d’être profané et ....elle aime ça. Les mouvements des garçons s’accélèrent et elle les suit aussi vite qu’elle peut. Elle a perdu toute notion de la réalité, seule compte la jouissance qu’elle sent monter en elle forte, puissante, gigantesque, comme jamais elle n’en a connue. Mike et Antoine ne sont pas en reste, eux aussi sont parcouru de frissons, ils ont chaud dans les reins et jusqu’aux doigts de pieds qui s’écartent comme pour mieux absorber ce qui se prépare.
-Ahhhh oui, c’est bon, c’est la, ouii bon Dieu elle est bonne cette fille; c’est Mike qui vient d’exploser dans le vagin de Marie-Claude et elle sent la liqueur chaude l’inonder et ruisseler sur ses cuisses.
Dans les minutes qui suivent c’est le tour d’Antoine qui lui rempli le cul d’une liqueur chaude et gluante tout en serrant convulsivement les seins qu’il tenait entre ses mains depuis le début de cette séance de sodomie.
Ces mouvements ont le don d’exciter Marie-Claude qui se sent partir dans un orgasme qui sans être très fort est beaucoup plus long que le précédent ce qui lui permet d’en profiter pleinement tout en appréciant les mouvements alternés des deux queues qui n’ont pas cessés pour autant.
Au bout de quelques minutes, épuisés, vidés, leurs corps se séparent et ils roulent tous les trois sur le lit de Mike, pêle-mêle en essayant de retrouver leur souffle.
Par Christian
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Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 28 octobre
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00:34
Une enquête Novatris pour FRANCE 24 et L'Express sur la sexualité en Europe et aux Etats-Unis montre que les adultes français et américains impliqués dans une relation à long-terme sont plus enclins à pardonner les écarts de leur partenaire sexuel que leurs homologues, allemands, italiens, espagnols et britanniques. Ces derniers sont par ailleurs les moins enclins à pardonner à leur conjoint leur infidélité.
L’enquête Novatris, a été effectuée sur un échantillon de 5430 adultes entre 16 et 64 ans en France, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Espagne et aux Etats-Unis.
D’après le sondage, les habitudes sexuelles sont les mêmes au début de la vie sexuelle d’une part et d’autre de l’Atlantique. Ainsi, la perte de la virginité intervient en moyenne à 18 ans, tous sexes et toutes nationalités confondues. Ce n’est que plus tard que les différences émergent ; les Américains et les Européens ou encore les hommes et les femmes ayant une approche différente de la question.
Des différences qui émergent sur le tard
Alors que les femmes ont tendance à moins pardonner aux hommes leurs infidélités, l’enquête a montré que les Françaises sont beaucoup plus indulgentes que leurs consoeurs d’Europe de l’ouest et des Etats-Unis. Alors que 28% d’entre-elles ont déclaré qu’elles pardonneraient leur époux infidèle, seules 13% des Britanniques ont déclaré y être prêtes. Aux Etats-Unis, elles sont environ 25%. Quant à la monogamie, elle serait un idéal qui requiert une certaine souplesse au sein du couple. Pourtant, d’après le sondage, les ardents défenseurs de la thèse « monogame » ne craignent rien, le nombre de partenaires sexuells n’étant pas en rapport avec le nombre de fois où un couple fait l’amour.
A titre d’exemple, alors que les hommes italiens sont ceux qui affirment avoir eu le plus grand nombre de partenaires sexuels l'an passé, ce sont les Français, hommes et femmes, qui sont les plus actifs sexuellement. Les hommes et les femmes interrogés ont déclaré faire l’amour en moyenne 8,9 fois par mois. Suivis de près par les hommes italiens qui ont en moyenne fait l’amour 8,8 fois par mois.
Parler de sexe sans tabous ?
Cette étude montre également que ce sont les Américains qui sont les moins réticents à parler de leur vie sexuelle. De l’usage des préservatifs à l’infidélité, en passant par la fréquence des rapports sexuels ainsi que les rencontres sur internet, une majorité d’Américains a répondu sans tabous aux questions concernant leur vie privée. C’est le cas aussi pour l’avortement, sujet pourtant sensible aux Etats-Unis. Alors que 28% des Allemands ont refusé de se prononcer sur l’avortement en cas de grossesse involontaire, seuls 12% des Américains ont refusé de répondre. Dans les 5 pays d’Europe occidentale précités, ainsi qu’aux Etats-Unis, les femmes sont plus favorables à l’avortement que les hommes. Surtout en France où 56% des femmes sont pour contre seulement 38% d’hommes. D’après le sondage, la France est le pays le moins réfractaire à l’avortement. 48% des Français et Françaises ont répondu qu’ils n’hésiteraient pas à opter pour un avortement si nécessaire. Aux Etats-unis, par contre, le pourcentage de personnes réfractaires à l’avortement est le plus élevé : 65% des personnes interrogées ont déclaré rejeter cette option.
Let's not talk about sex, baby
Dans les années 90, les rencontres sur internet ont fait couler beaucoup d’encre. Selon ce sondage réalisé pour France 24 et l’Express, une majorité d’Européens et d’Américains n’ont jamais eu de rapports sexuels avec un partenaire rencontre initialement sur internet. Bien que ces sites de rencontre soient des sources énormes de revenus dans certains pays, notamment les plus conservateurs en matière de mœurs, mais qui connaissent une forte croissance économique tels que l’Inde ou la Chine, les Etats-Unis et surtout l’Europe occidentale ne semblent pas emballés par cette alternative. 70% des personnes interrogées en France et en Grande-Bretagne et 72% en Espagne, ont répondu qu’ils n’avaient jamais couché avec un partenaire rencontré sur le Web. Les Américains, eux, sont plus séduits. 25% d’entre eux disent avoir eu des rapports sexuels avec une personne rencontrée sur Internet.
Ces derniers sont également les moins réticents à utiliser des médicaments favorisant l’érection tels que le Viagra, le Levitra et le Ciallis. Médicaments qui ont moins de succès auprès des Européens surtout auprès des Allemands. A titre indicatif, 28% des Américains envisagent d’y avoir contre seulement 5% des Allemands. Un pourcentage à nuancer cependant, sachant que 23% d’entre eux ont refusé de répondre.
Ainsi, qu’il s’agisse de sexe ne change rien. Une fois de plus, à la réserve européenne s’oppose la franchise américaine.
Crédit: http://www.france24.com/france24Public/fr/archives/debats/20070724-ete-sexe-enquete-europe-americains-tromper
Par Novatris FRANCE 24 L'Express
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Samedi 20 octobre
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18:46
Voici qu'une gallerie de Londres propose une exposition sur l'art et la sexualité est classée X. Le centre culturel Barbican de Londres retrace à partir de 12 octobre la représentation de la sexualité dans l'art au cours des 2500 dernières années. Cette exposition a été interdite aux moins de 18 ans.
"Séduit: l'art et le sexe de l'Antiquité à nos jours" présente du 12 octobre au 27 janvier plus de 70 artistes, pour certains non identifiés, dans "une des expositions les plus ambitieuses" jamais organisées par le Barbican, qui célèbre cette année ses 25 ans.
Près de 250 travaux érotiques sont exposés, à commencer par des marbres romains et des objets grecs, des peintures murales de Pompeï, des manuscrits indiens, des oeuvres Renaissance et Baroque, des peintures chinoises, des gravures japonaises, des manuscrits arabes, ainsi que des livres, photographies et vidéos.
"Chacune de ces créations a été censurée à un certain moment", a souligné l'une des commissaires de l'exposition. "Tout est dans le degré d'acceptabilité à une époque donnée."
En plus de l'expositions de nombreux débats sur l'art érotique, le cinéma ou simplement la place du plaisir dans le monde sont organisés.
Plus d'info : http://www.barbican.org.uk/artgallery/talks.asp
Voici la vidéo très intéressante proposée par la BBC en anglais 4min26s
http://news.bbc.co.uk/media/avdb/news/world/video/126000/bb/126288_16x9_bb.ram
Tracey Emin, Is Legal Sex Anal?, 1998. Photo Stephen White © Tate, London 2007.
Par Lucie
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Publié dans : Sortir
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Dimanche 14 octobre
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17:44
Une très intéressante émission de France Culture disponible pendant encore quelques temps àl'adresse suivante : http://www.tv-radio.com/ondemand/france_culture/REPLIQUES/REPLIQUES20071006.ram
Ci dessous voici quelques livres sur ce sujet parfois croustilliant et toujours plein d'intérets.
Aline
Irène Théry: Distinction de sexe, une nouvelle approche de l'égalité
Odile Jacob - 4 octobre 2007
Qui sommes nous ? Homme ? Femme ? Homme dans un corps de femme ou femme dans un corps d’homme ? Est-ce vraiment notre sexe qui détermine notre identité ?
Pour comprendre les questions d’identité que posent le féminisme et les nouvelles formes d’alliance et de parenté, Irène Théry repense de fond en comble les distinctions de sexe. Non plus attributs naturels mais attributions sociales. On n’est pas un homme ou une femme, on agit comme un homme ou comme une femme. Mais aussi, et le plus souvent, comme une personne tout à la fois partenaire d’une vie sociale, congénère de l’espèce humaine, mâle ou femelle d’une espèce naturelle, et dépositaire des valeurs humaines.
Irène Théry reprend le flambeau du féminisme en sociologue défendant le retour à une anthropologie comparative capable de mettre à distance les nouveaux mythes de nos sociétés individualistes. Son livre fraye de nouvelles voies à notre quête démocratique de l’égalité des sexes.
Aline Rousselle : Histoire de la différence sexuelle
les Nouvelles presses du Languedoc - 25 septembre 2007
D'abord, les humains ont pensé que la femme, dont la grossesse et l'accouchement sont bien visibles, était seule à l'origine de la naissance des enfants. Puis ils constatèrent que la participation d'un autre être était nécessaire à la conception. Mais avant de comprendre ce qui vient de chacun et comment... il faudra des millénaires, jalonnés d'avancées et de reculs, d'interdits et de croyances, qui retarderont la connaissance biologique de la sexualité. Et qui engendreront des comportements personnels et sociaux, dont généralement les femmes seront les premières victimes.
Ce sont ces balbutiements, ces errances, ces élucubrations, ces pertinences aussi et parfois ces fulgurances, ces discussions philosophiques et théologiques, ces découvertes scientifiques et technologiques que nous rapporte Aline Rousselle. En se tenant autant que possible, dans son commentaire, à ce que savaient ou croyaient savoir les savants de chaque époque : depuis la Grèce antique, où naquit la science au sens où nous l'entendons encore, jusqu'aux années actuelles où les idées continuent d'évoluer, au rythme des découvertes les plus récentes - parfois encore méconnues du grand public et révélées ici, par exemple en ce qui concerne la détermination du sexe apparent et la conscience du genre.
Sylviane Agacinski : Métaphysique des sexes : masculin-féminin, aux sources du christianisme
Points Essais - janvier 2007
Les grands mythes chrétiens dessinent une histoire des sexes. Un drame dans lequel la femme sépare le premier homme de Dieu : la création d'Adam tourne à la catastrophe par la faute d'Eve. Mais si Eve éloigne l'homme de Dieu, Marie rapproche Dieu de l'homme. C'est d'elle que naît le nouvel Adam : Jésus. En philosophie, en théologie, les grands textes fondateurs font le récit d'une vision masculine de l'histoire : la femme diffère de l'homme, jamais l'inverse. Comme si le point de vue viril était l'unique et l'universel - tandis que la femme demeure toujours l'autre, le genre différent. " Il n'y a ni mâle ni femelle ", écrit pourtant saint Paul. Le christianisme aurait-il l'ambition de renverser la " fatalité " de la condition sexuée ? Paul poserait-il ici les fondements d'un universalisme chrétien en annonçant l'égalité des sexes ? Sylviane Agacinski montre au contraire que, comme dans la philosophie grecque, la pensée chrétienne des premiers siècles identifie l'esprit et l'intellect à l'homme, la chair et le péché à la femme. Avec cette Métaphysique des sexes, Sylviane Agacinski décrit un régime de pensée masculin qui survit encore dans l'imaginaire contemporain.
Par Répliques
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Publié dans : La revue de presse
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Mardi 9 octobre
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02:51
Manu Chao, rocker altermondialiste convaincu, a sorti le 3 septembre son nouveau disque, La Radiolina. «Il y a de fortes chances que ce soit mon dernier CD, a martelé le chanteur, sous contrat avec le label indépendant Because Music.
Vu les évolutions technologiques, je réfléchis à d'autres manières de diffuser ma musique. Pourquoi ne pas mettre des chansons sur mon site, en faire une sorte de radio qui grandirait au fil de mon inspiration.» Selon lui, les «majors sont victimes de leur propre loi du marché. Le public choisit le moins cher, voire le gratuit».
Le chanteur n'a pas hésité à joindre le geste à la parole en mettant son premier single, Rainin'in in Paradize, en téléchargement gratuit sur son site www.manuchao.net. Hélas, il s'agissait d'un simple teasing : les quatre titres suivants de l'album ont été ensuite proposés sur le site, mais payants cette fois... La gratuité a ses limites.
par Bertrand Fraysse
- Face aux pirates, deux voix discordantes -
http://www.challenges.fr/recherche/20070913.CHAP1020308/face_aux_pirates_deux_voix_discordantes.html
Par Presse
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Publié dans : La revue de presse
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Lundi 8 octobre
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03:31
Les enfants ont deviné avant leurs parents que la jeune fille qui approchait avec un regard interrogateur était celle qu’ils attendaient avec impatience. Une nouvelle nurse pour s’occuper d’eux tous les jours, et de plus, elle est très belle. Ils se précipitent vers elle au grand dam de leur mère qui souhaiterait un peu plus de retenu de leur part.
La fille et le garçon arrivent à hauteur de Marie-Claude et lui demandent timidement si elle s’appelle bien Marie-Claude .
-Oui, c’est exact, et vous c’est John et Marie n’est ce pas ?
-Oui, oui, papa, maman, c’est elle je vous l’avais bien dit, s’écrit John en repartant en courant vers sa mère
-Du calme fiston, lui dit le père, il faut être poli quand même!
Il tend sa main à Marie-Claude pour l’accueillir tout en lui disant :
-Veuillez excuser les enfants mademoiselle, ils étaient tellement impatients de vous voir. Voici mon épouse Julia et moi même je me prénomme Harris. Vous c’est Marie-Claude ?
-Tout à fait, oui, enchanté de faire votre connaissance.
-Le voyage a été bon, lui demande la mère ?
-Oui, très bon, un peu fatiguant tout de même dit-elle en rougissant légèrement, ce qui n’a pas échappé au regard aiguë du père.
Tiens tiens, se dit-il, le jeune homme qu’elle saluait tout à l’heure à travers la vitre y serait-il pour quelque chose ? Bah, ce n’est pas mon problème, elle est jeune et belle et a bien le droit de s’amuser un peu quand même.
Ils repartent tous ensemble vers le parking où la voiture familiale est garée. Les bagages de Marie-Claude sont placés dans le coffre et Marie-Claude monte à l’arrière entre les deux enfants qui se serrent contre elle. Il manque un peu de place à l’arrière.
La maison des Taylor se trouve dans la banlieue Est de Lyon et le trajet dure environ une heure compte tenu des embouteillages inévitables en fin
d’après-midi. Elle apprend que les Taylor sont en France depuis quelques semaines pour le travail du père dans une filiale de la société anglaise dans laquelle il travaille. Il doit faire de nombreux voyages d’affaires et sa femme l’accompagne régulièrement. C’est pour cela qu’ils ont besoin d’une jeune fille au pair, sérieuse et capable de s’occuper des enfants pendant leurs absences.
Ils parlent de choses et d’autres, notamment de l’expérience de Marie-Claude comme garde d’enfants dans d’autres familles, de ses talents de cuisinière qui ne sont pas très développés mais suffisant pour nourrir des enfants pendant quelques jours. Ses références, qu’elle a données dans sa lettre de candidature, ont satisfait les Taylor et c’est pour cela qu’ils l’ont embauchée. Elle est toutefois à l’essai pendant un mois pour voir si les enfants l’acceptent.
Pour le moment, cela n’a pas l’air de poser de problème car John s’est endormi la tête sur son épaule ou plutôt son sein droit qu’il écrase un peu, et la main posée sur sa cuisse avec une tendance nette à aller vers entrejambe de Marie-Claude. Elle est d’ailleurs légèrement troublée par l’attitude pour le moins équivoque du garçon. Quant à la fille elle lui a carrément pris la main qu’elle caresse discrètement. La main de Marie est brûlante et cela trouble aussi Marie-Claude. Vu l’âge des enfants, la situation lui apparaît comme ambiguë. Sont-ils entrain de la séduire ou est-ce de l’innocence naturelle ? Elle n’est tout de même pas absolument insensible à ces attouchements discrets et elle se retient pour ne pas y répondre. Mais la nature est ainsi faite que son corps réagi malgré elle. Sa main dans la main de Marie est chaude aussi et elle se surprend à répondre aux caresse de la jeune fille qui manifestement s’échauffe de plus en plus. Marie-Claude voit les cuisses de Maris bouger à travers sa robe rouge et les mouvements ont tendance à s’accélérer au fur et à mesure que les minutes s’écoulent.
La pression des mains de Marie s’accentue de plus en plus et elle l’entend respirer plus vite. Si Claude ne l’avait pas vidé une heure auparavant, elle serait sûrement en train de caresser la fille en douce. Mais là, franchement sa vulve ne répondait plus. Eteinte pour quelque temps! Marie par contre semblait en pleine forme et elle continuait à se masturber en contractant les muscles vaginaux à un rythme de plus en plus rapide. Elle avait découvert ce plaisir discret, un jour par hasard, au cours d’un voyage en voiture avec ses parents et depuis elle passait le temps comme cela. Les voyages lui semblaient beaucoup moins longs depuis cette découverte!
Aujourd’hui son plaisir était plus important car elle tenait la main de Marie-Claude qui, manifestement, l’aidait dans sa quête du plaisir. Cela promettait des moments très agréables dans les semaines à venir. En attendant elle sentait un orgasme puissant monter entre ses cuisses et l’envie de se branler la tenaillait, mais là, dans la voiture ce n’était pas possible. Aussi, elle continuait ses mouvements alternés et d’un seul coup l’orgasme libérateur fut là, lui explosant dans la tête, et provoquant dans son corps un énorme frisson qu’elle eut beaucoup de mal à contenir. Sa main avait écrasé celle d’Marie-Claude qui avait immédiatement compris ce qui se passait dans le corps de la jeune adolescente. Elle l’accompagna du mieux qu’elle pu en serrant très fort la main de Marie et en pressant sa jambe contre la sienne, tout en répondant aux questions des parents de Marie qui, eux, n’avaient rien remarqué.
Marie reprenait doucement son souffle, le regard vague encore, essayant de redescendre de son paradis. Elle sourit à Marie-Claude d’un air complice et ferma les yeux pour revivre ce moment d’intense émotion. Elle s’endort presque aussitôt.
Marie-Claude s’aperçut qu’elle était excitait à nouveau et que cette petite scène avec Marie l’avait remise en forme. Mais voilà il n’y avait pas de possibilité de satisfaire son envie renaissante, pas de sexe en vue, pas de verge à sucer ou branler et encore moins pour s’empaler dessus à grand coups de reins. Tant pis pour elle, ce soir elle se rattraperait avec son vibromasseur, cadeau de son vieil amant qui n’arrivait pas toujours à la satisfaire.
Par Christian
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Mercredi 22 août
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«Mais c'est surtout dans les théâtres et leurs gradins en demi-cercle que tu chasseras: ces lieux t'offriront plus que tu n'en peux désirer. Là, tu trouveras de quoi aimer, de quoi lutiner, de quoi faire une conquête passagère, de quoi nouer une liaison durable. [...] Les femmes dans leurs atours se pressent aux jeux où va la foule. C'est pour voir qu'elles viennent; mais elles viennent aussi pour être vues: l'endroit est dangereux pour la chaste pudeur.»
Ovide (43 av. J.-C. - 17 ap. J.-C.), L'Art d'aimer
Par Ovide
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