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Dimanche 24 juin 7 24 /06 /Juin 20:07
Au doux temps de ma jeunesse (qui n'est quand même pas trop éloigné), j'avais eu l'idée de descendre en canoë au mois d'août une rivière du sud-est de la France. J'étais accompagné de celle qui n'était pas encore ma femme. La rivière en question était magnifique en été. Elle offrait de multiples possibilités de camping sauvage dans des endroits quasi inaccessibles autrement que par bateau. C'était déjà la mode du retour à la nature. On jouait à « Délivrance », un film américain qui avait eu un succès fou à l'époque et qui racontait la tragique aventure d'amis pagayeurs dans les Appalaches.

Fort heureusement, cette rivière était beaucoup plus sage, du moins sur le strict plan du débit. Car pour ce qui concerne la tenue de ses canoéistes et autres kayakistes, elle était particulièrement dissipée. Disons-le tout net : c'était un véritable lupanar aquatique. L'équipement vestimentaire des pagayeurs était, il est vrai, des plus sommaires. Une femme sur deux ne portait pas de soutien-gorge et un homme sur deux ramait la bite à l'air. Forcément, ça crée des rapprochements, d'autant qu'on traversait de temps à autres des campements de naturisme sauvage avec des jeunes (ou moins jeunes) tout nus qui nous éclaboussaient en se baignant. Lorsqu'on découvrait un canoë garé sur une petite plage, ses occupants se trouvaient presque toujours en train de manger, de bronzer ou de baiser, parfois successivement.


Quelques mots sur ma future femme d'abord. Grande, blonde et sportive, elle était déjà dotée à l'époque d'un appétit sexuel au-dessus de la moyenne, qu'elle préférait satisfaire en appartement, sans rechigner cependant aux sous-bois et autres endroits bucoliques. L'amour de groupe ne l'emballait guère mais elle y avait sacrifié deux fois pour me complaire et se conformer à la mode du moment. Sur le bateau, elle portait un maillot de bain réduit à sa plus simple expression : le tissu du slip couvrait à peine le pubis et la raie des fesses cependant que le soutien-gorge se limitait à deux timbres-poste qui ne dissimulaient même pas l'intégralité de ses mamelons, il est vrai d'une circonférence appréciable. Quand je dénouais les minces cordons, de ma place de pagayeur arrière, elle comprenait le message. Nous allions nous échouer sur un petit banc de sable et nous faisions l'amour en plein soleil avant de nous plonger dans l'eau fraîche. Le bonheur total !

Nous nous conformions, au fond, aux us et coutumes du lieu, comme l'attestent deux scènes qui m'ont particulièrement marqué. Amarré parmi les herbes, un canoë semblait attendre ses occupants. Mais pagayant au ras du bord, nous surprîmes ceux-ci dans une attitude spectaculaire. La femme, plus toute jeune, ronde, les cheveux poivre et sel et la peau caramélisée, était à quatre pattes sur le sable. L'homme, poilu comme un gorille, chauve comme un caillou et les fesses couleur pain brûlé, se trouvait collé à elle, non à genoux mais jambes fléchies, comme pour se rehausser. Chacun de ses coups de rein était ponctué par le ballottement des volumineux nibards de la femme, qui nous regarda passer en nous adressant un rictus dont je ne sus s'il était de connivence ou de plaisir :

- J'ai l'impression qu'il est en train de l'enculer, dis-je à ma copine, quand notre embarcation eut dépassé le couple libidineux.

Mais sur l'eau, le son porte bien. Aussi fus-je à peine surpris d'entendre une voix féminine me répondre :

- Gagné !

Un autre jour, en plein après-midi, nous étions tombés sur une véritable partouze de kayakistes. Les filles, jeunes pour la plupart, se faisaient prendre sur les rochers dans toutes les positions par des types chevelus et musclés. L'une d'elles nous fit un signe de la main, comme pour nous inviter à nous joindre à leurs ébats. J'étais assez tenté car il y avait de superbes morceaux mais ma copine me découragea tout de suite :

- Si tu y vas, je continue toute seule et tu rentres à la nage.

Les circonstances allaient toutefois l'obliger à réviser ces dispositions quasi conjugales. Je l'ai dit, la rivière était plutôt calme mais il y avait quand même, ici ou là, quelques passages qui nécessitaient un minimum de technique. Nous étions en fin d'après-midi et peut-être un peu fatigués. Ma copine ne put compenser suffisamment le courant qui l'entraînait vers un gros rocher. Moi-même, j'avais vu venir le coup trop tard. Notre canoë se mit en travers et un mauvais réflexe nous précipita tous les deux à l'eau avec notre matériel de camping, notre bouffe et nos vêtements. La catastrophe !

Après avoir récupéré le bateau et les pagaies en nageant, nous réussîmes à rejoindre le bord, au creux d'une petite gorge où aboutissait un chemin de pêcheur très en pente. Précisions importantes : j'étais entièrement nu et ma copine n'avait que son mini-slip. Tout le reste était parti dans le courant.

Faisant fi de toute convention sociale, je décidai de monter le chemin en tenue d'Adam, espérant trouver des naturistes, fort nombreux dans le coin. Ma copine resta avec le canoë.

En haut de la falaise, il y avait une petite maison avec une terrasse offrant une vue imprenable sur la gorge. Et sur la terrasse, un couple qui prenait l'apéro tranquillement. Mon arrivée flamberge au vent les laissa le verre en l'air. Certes, les gens nus faisaient partie du paysage par ici mais plutôt à l'heure de la baignade qu'à celle de l'apéritif. Je me hâtai d'expliquer la situation et le couple éclata de rire. La femme disparut à l'intérieur et en revint avec un slip de bain parfaitement démodé, que je m'empressai d'enfiler. Je me sentis tout à coup plus sûr de moi.

- Euh, vous n'avez pas un soutien-gorge aussi ? Parce que ma fiancée, en bas...

La femme me prêta un haut de bikini, avant de m'interpeller :

- Vous ne pouvez pas repartir comme ça ce soir, sans avoir rien mangé et sans rien pour dormir.

Et c'est ainsi que nous fûmes invités à dîner par de parfaits inconnus qui attirèrent très vite notre sympathie.

C'était un couple d'une quarantaine d'années, genre un peu hippie sur le retour. Lui avait les cheveux longs et une barbe de pope, un corps élancé et maigre qui lui aurait donné l'air d'un ermite si sa musculature très apparente n'avait révélé l'ancien athlète. Elle avait un casque d'abondants cheveux frisés, des petites lunettes rondes fumées à la Yoko Ono et une ample robe de lin qui permettaient à ses formes généreuses de vivre leur vie. J'avais tout de suite remarqué qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, à la mode de l'époque mais quelque chose me disait qu'elle ne portait pas non plus de slip et j'en eus la confirmation lorsqu'elle se baissa jambes fléchies pour ramasser une petite cuiller, découvrant un buisson aussi épais que sa crinière.

Le repas fut gai, alimenté par notre mésaventure mais aussi par les scènes décrites plus haut, qui divertirent fort nos hôtes.

- Nous aussi, il nous arrive d'aller au bord de l'eau pour faire l'amour, avouèrent-ils.

Le couple n'était pas du genre bégueule. Je remarquai que le barbu n'était pas insensible à la poitrine (il est vrai superbe) de ma copine. Quant à la frisée, elle avait lancé plein d'allusion à ma virilité exposée. Bref, à la fin du repas, une atmosphère légèrement érotique flottait dans la cuisine.

Avant de monter nous coucher, ma copine et moi allâmes prendre l'air pour retrouver un peu d'intimité et faire le point de la situation. À l'évidence, il fallait employer les grands moyens, c'est-à-dire solliciter un mandat de nos parents pour nous rééquiper et finir cette randonnée aquatique, puisque nous avions encore notre embarcation. Le couple nous emmènerait jusqu'au village le plus proche et s'ils voulaient bien nous héberger un ou deux jours, nos vacances pourraient se poursuivre.

Dans le couloir, une chambre était ouverte et allumée mais ce n'était pas la nôtre. Nous avons tout de suite compris ce qui se passait. Le son ne laissait aucun doute et la lumière nous permit de le vérifier : nos hôtes baisaient. Elle nous faisait face, en travers du lit, à quatre pattes avec toujours ses petites lunettes sur le nez. Il la besognait debout, par derrière, avec des « han ! » de bûcheron canadien. Ils s'exhibaient sans complexe et sans pudeur. Il nous fit un clin d'œil et elle nous tira la langue. Puis ils changèrent de position et je pus alors découvrir le volume impressionnant des organes génitaux de l'homme, inversement proportionnels à la minceur de ses fesses. Couché sur le flanc, il pénétra sa compagne de biais par derrière, la longueur de son pénis lui permettant d'aller et venir en profondeur sans dépenser beaucoup d'énergie.

Je sentis la main de ma copine sur mon sexe et je compris qu'il était grand temps de se mettre à l'unisson après les émotions de la journée.

Le lit de notre chambre était d'une largeur inusitée mais le spectacle nous avait tellement excités que ce détail nous échappa sur le moment. Dans la pièce d'à côté, ça devenait très chaud. La femme bramait de plaisir et ma copine se crut obligée de relever le défi. C'était à celle qui poussait le cri le plus strident. Mais nous avions commencé plus tard et quand nous prîmes notre pied, il y avait beau temps que nos hôtes avaient rendu les armes. Ce qui ne les empêcha pas de nous mater dans l'encadrement de la porte qu'ils avaient ouverte sans vergogne. Morts de fatigue, nous ne nous formalisâmes pas et nous endormîmes dans le vaste pieu.

Le lendemain, le petit-déjeuner fut grivois. La femme, qui s'appelait Nadine, ne tarissait pas d'éloges sur ma virilité. L'homme, prénommé Roger, complimenta ma copine sur son corps et sa sensualité. Quant à nous, nous les félicitâmes pour leur liberté d'esprit et de mœurs :

- Nous sommes libertaires en politique comme en amour, répondit Roger. Il n'y a pas très longtemps, nous vivions encore dans une communauté.

Serviables, ils ne se firent pas prier pour nous emmener au village le plus proche, afin que nous puissions téléphoner. Ils nous prêtèrent même de l'argent pour nous acheter chacun un short, un tee-shirt et un maillot de bain. L'après-midi, nous descendîmes à la rivière pour nous baigner nus et voir passer quelques bateaux occupés, comme d'habitude, par une population le plus souvent jeune et dénudée. Nadine avait un corps un peu lourd mais ses formes opulentes, lorsqu'elles étaient raffermies par l'eau, lui conféraient un érotisme torride de star italienne. J'étais fasciné par les larges aréoles brunes de ses seins cuivrés, massifs et droits comme ceux d'une négresse. Quant à ma copine, je vis bien qu'elle était fascinée par les tablettes de chocolat et surtout l'entrejambe de Roger. Elle me lâcha dans un souffle :

- Il a vraiment le paquet, ce type. J'ai toujours pensé que ceux qui n'en ont pas beaucoup derrière en ont beaucoup devant.

Au dîner, le couple entreprit de nous raconter sa vie. Tous deux étaient d'anciens professeurs de lycée, lui en EPS, elle en français.

- Au début, on ne se fréquentait pas, raconta Nadine, nous évoluions dans deux sphères totalement distinctes. Je le trouvais bel homme, mais ça s'arrêtait là. J'étais mariée, lui aussi et nous avions chacun deux enfants. Puis mai 68 est arrivé. On s'est retrouvé dans les manifs et les AG. C'était une atmosphère un peu foldingue, on rentrait très tard à la maison, on n'en finissait plus de discuter et de refaire le monde. On s'appréciait de plus en plus et un jour, on a fait l'amour ensemble. Pour moi, ç'a été une révélation. Avec Roger, je pouvais avoir deux ou trois orgasmes dans chaque rapport alors qu'avec mon mari, je savais à peine ce que c'était. On squattait une chambre chez des copains et on ne quittait plus le lit. Pour nous, mai 68 s'est arrêté dans un plumard. Quand l'été est arrivé, on a tout plaqué, famille et boulot. On a trouvé cette maison et depuis, je vis de cours par correspondance et Roger enseigne le yoga au village de vacances voisin.

Quand le temps fut venu de regagner notre chambre, Nadine et Roger s'invitèrent dans notre lit géant, le plus naturellement du monde, comme une évidence. Ils étaient évidemment dans le plus simple appareil.

- Ce pieu n'est pas fait pour un couple mais pour deux, rigola Nadine.

Sans doute pour nous mettre à l'aise, nos hôtes ne s'occupèrent pas de nous mais d'eux-mêmes. Nous assistâmes in vivo à leurs préliminaires bucaux-génitaux, nous écoutâmes leurs petites cochonneries verbales et Roger pénétra Nadine et ses lunettes rondes sous nos yeux, sans que nous ayions seulement commencé de nous caresser, fascinés que nous étions par l'exhibitionnisme du couple. Après avoir besogné tranquillement sa compagne, au rythme lent du laboureur, l'homme se retira et présenta sans façon sa verge luisante de Priape devant le visage de ma copine. Celle-ci eut d'abord un petit mouvement de recul, comme effrayée par la dimension de l'engin. Elle me regarda avec l'air de s'excuser et mue par une force irrépressible, sa bouche engloutit le gland congestionné de notre hôte.

Pendant ce temps, la vaste crinière brune de Nadine s'était rapprochée de mon giron et une langue délicieusement agile prit possession de mon pénis, moins puissant mais tout aussi gonflé. Ma copine, que je croyais à mon usage exclusif, avait maintenant les chevilles contre les oreilles de l'athlète qui l'avait pliée en deux pour la pénétrer le plus profondément possible et le lit s'agitait comme chaloupe en tempête. A l'autre bout de la couche, Nadine, les jambes très écartées, les genoux fléchis, la vulve béante sous sa luxuriante végétation, offerte, consentante, attendait mon bon vouloir :

- Prouve-moi que tu es viril, toi aussi.

Ce genre de défi, il ne fallait pas me le lancer deux fois, surtout venant d'une Vénus lascive de lupanar agreste. Oubliant ma copine, qui couinait de plaisir derrière moi, je me ruai sans précaution dans le vagin de Nadine qui cria :

- Eh doucement, je ne suis pas une génisse !

Mes assauts furieux devaient avoir une certaine consistance car elle manifesta très vite une ardeur symétrique. Elle me griffait le dos en me traitant de petit salaud et me verrouilla si bien les reins par la pression de ses talons que j'éjaculai dans la même position, la laissant pantelante et, je crois, satisfaite, malgré la relative brièveté du coït. Mais à la tête du lit, le gars Roger était loin d'avoir fini son boulot. Ma copine le chevauchait en nage et je regardai épaté les circonvolutions enthousiastes de son beau fessier. Où donc était-elle passée, la fille qui me traitait comme un mari ? Stimulé par la main de Nadine, je recommençai à raidir. Roger désarçonna sa partenaire et lui proposa une double pénétration avec mon concours :

- D'accord, répondit-elle, mais c'est mon copain qui m'encule.

Et nous voilà partis dans une figure compliquée, où les jambes se mêlaient aux bras et les sexes aux sexes. Nous étions tous sportifs, heureusement. Nadine exigea le même traitement et obtint un orgasme aussi violent avec des positions masculines inverses de l'acte précédent. Apparemment, elle acceptait la matraque dans son fondement épanoui avec aisance et satisfaction. J'avais éjaculé une nouvelle fois alors que Roger, parfaitement maître de lui-même, était toujours gaillard. Ma copine le prit alors par la main et le conduisit dans la cuisine :

- Viens, j'ai envie que tu me prennes sur la table.

C'était chez elle un fantasme que je connaissais bien pour l'avoir plusieurs fois satisfait, mais là, en terrain inconnu, c'était assez exotique. Nadine et moi, nous les suivîmes. Allongée sur la table, ma copine subissait les assauts de l'homme debout qui la tenait fermement par les cuisses et qui avait remplacé le rythme lent du laboureur par le staccato du métronome. La table se déplaça de trois bons mètres pour se bloquer contre l'évier et ils prirent l'un et l'autre leur plaisir dans un vacarme de cris et de grognements qui nous laissa, Nadine et moi, à moitié assourdis. Ma copine regarda l'homme, les yeux éperdus de reconnaissance, et je me demandai si je n'allais pas devoir ramer tout seul les jours prochains. Nadine n'avait-elle pas tout cédé elle-même à cette bête de sexe ? Heureusement qu'elle était là mais curieusement, elle ne semblait pas du tout jalouse.

Le lendemain, la question se posa si nous allions rester quelques jours ou pas. Nous eûmes, ma copine et moi, une petite scène dans notre chambre : je voulais repartir, pas elle et je comprenais trop bien pourquoi. Du reste, elle n'en faisait pas mystère :

- J'en encore envie de baiser avec ce type. Tu ne m'as jamais déçue mais lui, c'est autre chose, il est phénoménal de puissance et de virilité. On a l'impression qu'il est capable de se retenir indéfiniment et d'attendre tranquillement le plaisir de la femme.

Il y avait de quoi faire des complexes et je manifestai une certaine agressivité, alors que j'avais moi-même usé et abusé de la sensualité de l'épouse.

- Et tu crois que sa femme va accepter une nana plus jeune sous son toit ?

L'argument ne porta pas car elle croyait à la répétition des parties à quatre. En revanche, l'attitude du couple fut sans ambiguïté.

- On s'est bien amusé ensemble mais il vaut mieux que vous repartiez, dit Roger. Vous avez des tas de choses à faire en commun et nous aussi. Restons-en là, n'est-ce pas ?

Deux heures plus tard, nous étions sur notre canoë, ma copine un peu tristounette mais la magie de la rivière aidant, nous retrouvâmes vite le goût de l'aventure. Jeunesse, jeunesse, que tu es versatile ! Nous avions pris pour repère une autre embarcation devant nous et nous accélérions l'allure pour la rejoindre, par jeu. Arrivé à hauteur, nous nous aperçûmes que les deux pagayeurs étaient un monsieur d'âge mûr chauve comme un caillou et poilu comme un gorille, accompagné d'une dame grisonnante aux cheveux très courts et aux formes opulentes, tous deux aussi nus et bronzés qu'on peut l'être. C'était notre couple libidineux de l'autre jour ! Ils nous reconnurent et une discussion amicale s'engagea. Ils nous proposèrent un camping commun au bord de l'eau que nous acceptâmes bien volontiers. Une autre aventure commençait.

(À suivre)
Par Yannick - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 23 juin 6 23 /06 /Juin 22:44
Le téléchargement illégal sur Internet va devenir un sport beaucoup plus dangereux pour certains internautes.

En effet,  l’annulation de la décision du 18 octobre 2005 de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) qui refusait à quatre sociétés d'auteurs (Sacem et SDRM) et de producteurs (SCPP et SPPF) la mise en place d'un dispositif de détection automatisée d'utilisateurs illicites des réseaux peer to peer, ouvre la porte à un fichage informatisé et rapide des adeptes du peer to peer.

En effet, ces sociétés vont mettre en place un système informatique leur permettant d'identifier les pirates les plus actifs. La recherche des internautes téléchargeurs sera aléatoire basée sur une liste de 10 000 titres qui changera régulièrement.

Une information qui est sortie en même temps indiquait qu’une fois découvert, l'internaute, sera sous surveillance pendant 15 jours. S'il télécharge environ 500 titres au cours de cette période, il sera assigné devant les juges en vue de lui faire payer des dommages et intérêts. Si le nombre de morceaux téléchargés atteint les 1 000 titres et plus, il aura droit au rude parcours de la justice pénale.  500 titres cela paraît extrême, surtout si par internaute on parle d’une adresse IP ?
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 13 mai 7 13 /05 /Mai 23:40

Bon cela m'a aussi permis de ne rester neutre du point de vu de l'élection présidentielle.  Bon maintenant on a choisi.

Présidentielles, président j'en profite pour vous montrer cette petite photo certes volé par des paparazzi de monsieur Berlusconi en fort galante compagnie et fort nombreuses compagnie. Celui que l'on élu et qui semble apprécier les yachts de luxe et  le cliquant nous fera peut être découvrir une autre facette de la présidence qui est  depuis Mazarine plutôt sage dis t on ....

On a vu pendant cette campagne beaucoup d'information je veux revenir sur le rapport de L'INSERM concernant la sexualité de français qui une fois le court temps médiatique passé a disparu au oubliette de la campagne, rouleau compresseur médiatique.

j'ai sauvegardé le PDF du rapport et le voila disponible. j'espère que vous prendrez le temps de le lire. Il est plu nuancé que ce que l'on a bien voulu lui faire dire. Il montre cependant que la libération des mœurs se poursuit et bon je dois dire pour le plaisir de tous. .. et je dois bien dire de manière égoïste le mien  et j'espère le votre

Des nouvelles voyons voir dans le un peu bizarre j'ai vu apparaître ces derniers jours l'article suivant. Un titre qui attire et qui inquiète tout a la fois. L'homme moderne a le clic facile et se précipite dessus pour découvrir...

Ma fois pas grand chose du moins des informations a confirmer par des études plus pousser par contre la plupart des articles sont accompagnés d'un plus ou moins grand paragraphe sur ce vaccin très médiatisé dans les pays anglo-saxon de la a penser que c'est une campagne publicitaire il n'y a qu"un pas. A vous de juger

 

 




Les papillomavirus humains, responsables de la plupart des cancers utérins, sont aussi liés à certaines tumeurs cancéreuses de la gorge. Le risque que ces tumeurs se développent augmenterait nettement pour les personnes ayant des relations sexuelles bucco-génitales (fellation et cunnilingus), selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Même sans fumer ou consommer de l'alcool, le fait d'avoir une infection de la bouche avec des papillomavirus et des relations sexuelles bucco-génitales avec de multiples partenaires paraît constituer le principal facteur de risque de certains types de cancer assez rares de la gorge, ont conclu des chercheurs de la faculté de médecine de l'université Johns Hopkins (Maryland). "Le public devrait toutefois être rassuré car le cancer de l'oropharynx (situé à l'arrière de la langue) est relativement rare et la grande majorité des personnes ayant une infection buccale avec des papillomavirus ne développeront probablement pas un cancer de la gorge", explique le Dr Maura Gillison, épidémiologiste et principal auteur de cette recherche.

Son étude a porté sur 86 hommes et 14 femmes qui venaient d'être diagnostiqués d'un cancer de l'oropharynx et qui étaient déjà infectés par des papillomavirus. Ils avaient 32 fois plus de risques de développer ce cancer. Ce taux est trois fois plus élevé que pour les fumeurs et deux fois et demi plus élevé que pour les personnes buvant régulièrement de l'alcool, précise le Dr Gillison.

Les participants à cette étude ayant indiqué avoir eu des relations bucco-génitales avec plus de six partenaires durant leur vie avaient 8,6 fois plus de risques d'avoir un cancer lié à une infection avec des papillomavirus. Cette recherche montre aussi que le fait de fumer ou de boire de l'alcool n'a pas accru les risques de cancer de la gorge chez ceux ayant une infection de la bouche avec des papillomavirus. Et le Dr Gillison d'affirmer : "C'est bien le virus qui provoque le cancer".
Par Aline - Publié dans : plaisir
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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 02:09
Ce récit est la suite du texte « Retour de soirée »

Comme convenu, Alban nous a téléphoné. Le vendredi, en fin de journée, nous passons le prendre chez lui pour aller voir son « bon copain » qui, lui, habite dans une autre petite ville de l'Hérault.

Arrivés à une belle villa, nous sommes accueillis par un Africain, l'ami d'Alban. De grande taille, bien bâti, Jérôme, élégamment habillé, nous fait visiter la maison : quatre chambres à coucher, deux salles de bain...

Ses parents actuellement à l'étranger, ce jeunot de 23 ans est donc seul dans cette vaste villa. Dans le salon, une grande table basse est garnie d'une dizaine de flûtes à champagne, divers amuse-gueule et petits fours et, en son centre, un splendide bouquet de fleurs parmi lesquelles jaillit une merveilleuse rose rouge.


Installée sur le canapé, entre mon mari et Alban, Jérôme nous sert le champagne, du brut. La consigne a bien été passée ! Puis il s'assied dans un fauteuil, me faisant face. Durant la conversation, il me regarde avec un sourire qui découvre une belle dentition. Je porte une jupe courte, noire, et un chemisier légèrement saumoné, dont l'échancrure vaut le coup d'œil. Jérôme ne se fait pas prier pour regarder lorsque je me penche vers la table basse pour taper dans les amuse-gueule et petits fours. Alban pose sa main gauche sur mon genou bien découvert ; la chaleur de sa main passe comment un courant le long de ma cuisse et, instinctivement, mes cuisses s'entrouvrent légèrement. Le regard de Jérôme s'y glisse rapidement. Je lui souris ; il se lève alors, prend la rose rouge et vient me l'offrir. Je me lève ; il me serre doucement par la taille, contre lui, tandis que moi, tenant ma rose d'une main, je pose l'autre sur son épaule et plaque bien mon bas-ventre contre le sien, pour discrètement mesurer l'intensité de sa forte érection. Il m'embrasse sur les joues et me glisse dans l'oreille des mots plus qu'aimables qui feraient rougir une jeune vierge, alors que moi, je les ressens avec une intense salacité.

Mais voilà que l'on sonne à la porte. Jérôme s'excuse et va voir. Alban m'interroge :

- Comment le trouves-tu, Jeanine ?

- Gentil ! Bien balancé, mais je te préfère beaucoup, toi, Alban !

- Ouais ! Tu vas avoir une bien grosse surprise, chérie !

On entend parler à l'entrée. Il semble qu'il y ait trois personnes, trois voix d'hommes. Au bout de quelques instants, Jérôme revient accompagné de deux hommes, deux Africains.

- Voici deux de mes copains, de passage dans la région. Je ne peux pas leur refuser de prendre champagne avec nous. Je vous présente Didier et Emile.

Ah ! ce Didier, qu'il est mignon ! Nos regards se sont accrochés. Son sourire timide me va droit au cœur. Il comprend, lui aussi, qu'il me plaît, que je lui plais. Les deux nouveaux venus s'installent en face de moi. Je n'ose faire voir aux autres que j'ai un « ticket » avec Didier, aussi je fais des sourires à tous. Puis soudain, je comprends tout ! Ils ne sont pas de passage ! Ce n'est pas un « bon copain » qu'Alban voulait me présenter, mais bien trois ! J'ai comme une boule à l'estomac, je sens mes jambes qui flageolent ; heureusement que je suis assise ! J'entends à peine la conversation. Je vide ma coupe et en prends une autre. Pierre me jette un œil ; je crois que lui aussi a compris que je suis tombée dans une souricière ! Il s'assied à côté de moi et murmure :

- Ça va, Jeanine ?

- Hum ! Hum ! Oui.

Je dois me ressaisir, après tout ce n'est que l'effet de surprise.

Je m'excuse auprès de ces messieurs et vais à la salle de bain. Là, une petite retouche du visage, rouge à lèvres et le grand jeu... je retire mon soutien-gorge, ajuste une bonne ouverture à ma blouse et retire ma culotte. Je passe mes doigts sur ma vulve pour constater, avec une agréable surprise, que mon frottement avec Jérôme et la touche avec Didier ont eu un effet magique. Tant mieux ! Mes mâles vont en profiter et moi tout autant. C'est donc avec grande assurance que je retourne auprès de ces messieurs.

Ah ! Quel formidable ravissement de voir tous ces regards concupiscents qui me transforment en une femelle en rut ! Le terme est fort, mais exprime bien l'état dans lequel je me trouve. Oui, je me l'avoue, cela fait des lustres que je n'ai pas eu une telle envie de saillies, comme les premières connues avec Pierre !

Sur le divan, je m'installe entre mon mari et Jérôme qui a tôt fait de repérer ma blouse généreusement échancrée et d'y introduire sa grosse patte tandis que de l'autre il finit de la déboutonner pour en faire jaillir mes seins ; l'un est étonnamment malaxé avec douceur, tandis que le téton de l'autre est sucé par ses lèvres épaisses. Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse et régale les yeux de mes autres mâles de mes cuisses largement offertes.

C'est alors que mon mari intervient :

- Jérôme, avant de continuer ton amoureuse dégustation, je crois qu'avant les grandes manœuvres auxquelles vous êtes tous conviés, il faut préparer le terrain. Pourquoi ne pas dégager les meubles dans un coin de ce vaste salon et placer des matelas sur le parquet ?

L'accord étant unanime, tous, déjà torses nus, s'activent à déplacer les meubles. Je fais un clin d'œil à Didier pour qu'il m'aide, avec mon mari, à ranger les verres et les plateaux pendant qu'Alban, Emile et Jérôme montent à l'étage pour aller chercher les matelas. Didier et mon mari rient, tout en rangeant la verrerie. Je m'approche près de Didier, par derrière, entoure sa taille, colle ma joue sur son dos nu et chaud et dis à Pierre :

- Serais-tu d'accord mon chéri pour que Didier, seul, vienne un soir à la maison ?

- Tout à fait d'accord ma belle. J'ai vu que Didier et toi, ça a fait un beau « tilt ».

- C'est vrai Pierre ta femme me plaît énormément. Dès que je l'ai vue j'ai craqué ! Tu peux me croire, Pierre, je la traiterai avec respect et douceur tant que tu le voudras, sans m'imposer afin de ne pas briser votre vie à deux.

Toujours plaquée contre lui, ma main droite glisse sur ses abdominaux, puis s'insinue doucement dans le pantalon... Pierre regarde mon geste, l'approuve. Je touche au but :

- C'est vrai que Didier m'aime énormément ! J'en tiens la preuve vivante !

Je dois faire vite, les autres redescendent ; j'offre mes seins à Didier...

Tout est en place, le parquet est matelassé. Allongée sur le dos, blouse détachée, genoux relevés, cuisses entrouvertes, je regarde ces messieurs enlever pantalons et slips, tandis qu'ils admirent avec une convoitise exacerbée la proie dont ils vont se repaître. De mon côté, je suis stupéfaite, ravie, de voir quatre queues noires, tendues à l'extrême, bien dressées, frôlant les ventres, positionnées à une heure, confirmant ainsi la tendre jeunesse de mes prétendants.

Encore cette petite angoisse qui resurgit : ma gorge se sèche, j'entends les battements de mon cœur. Oui, je vais subir les assauts de ces quatre membres noirs, dont celui de Jérôme est d'un très impressionnant calibre. Pour la première fois cinq hommes vont disposer de moi ! Pierre doit comprendre mon inquiétude car il se place à côté de moi, tandis qu'Alban ôte ma blouse et me murmure des mots doux d'encouragement. Emile, dont j'avais quelque peu oublié la présence, me sourit et cela semble m'apaiser. Je fixe mon Didier qui s'agenouille à mes pieds, caresse mes jambes pour remonter le long de mes cuisses. Le bien-être que je ressens alors me les fait ouvrir davantage. Je suis heureuse de lui offrir en priorité mon intimité que ses doigts pénètrent délicatement ; je ferme les yeux et me sens beaucoup plus détendue, plus réceptive.

Je ne sais qui retire ma jupe... Je suis entièrement nue, à la merci de mains qui parcourent mon corps. Une langue sur chaque sein, une troisième qui flâne sur mes cuisses pour remonter vers mon antre, deux hampes fermes, chaudes, déjà ruisselantes qui coulissent dans mes mains tandis qu'une troisième sollicite ma bouche. J'ouvre les yeux, j'aperçois Didier dont la langue fourbit mon sexe, et la queue qui frôle ma bouche est énorme : celle de Jérôme ! Voilà la grosse surprise à laquelle Alban faisait allusion ! Puis les mains qui tripotaient mes seins, les ont désertés ; les membres qui s'agitaient dans mes mains, se sont retirés. Le champ est libre pour Jérôme qui me sourit. Il est costaud, je crains sa brutalité, mais non. Ses gestes sont délicats ; il se place au-dessus de moi, glisse ses genoux sous mes aisselles pour me présenter, avec un sourire qui me met en confiance, son gros gland noir décalotté. Je lui rends son sourire ; mes lèvres frôlent son engin puissant, chaud et déjà abondamment juteux. Appuyé sur ses avant-bras, il s'infiltre légèrement entre mes lèvres ; nos regards sont rivés, complices et avec une infinie précaution il s'enfonce dans ma bouche. Ma main droite saisit le fabuleux sceptre, le maintient bien décapuchonné, tandis que ma gauche palpe les fesses musclées. La langue qui me fourbit me fait exploser ; de ma bouche obstruée par l'imposant visiteur sortent mes grognements de plénitude. Sur ma gauche, j'aperçois mon mari dont le regard grave mais plein de tendresse contemple ma besogne ; j'en suis à la fois émue et fière. Un autre bienfait m'envahit : mon entrecuisse s'ouvre pour recevoir, et avec quel délice, une lente et profonde saillie de je ne sais qui ; elle me comble, aux deux sens du terme, à tel point que j'en perds ma concentration sur la queue de Jérôme. Celui-ci se penche vers mon visage pour me susurrer :

- Tu fais merveille ma belle. Attention ! Tu ne vas pas tarder à déguster la récompense que je vais te verser.

Je retire le membre de ma bouche que je laisse ouverte en attente de la récompense. Pierre ne veut rien manquer ; il m'embrasse sur la joue et moi, toujours la splendide queue en main, je joins mes lèvres aux siennes. Nos langues se lient tandis que la virilité de Jérôme s'insinue entre nos bouches qui se dessoudent. Je masturbe lentement la colonne noire dont le gland sécrète le suc pour moi si exquis. Pierre voit la pointe de ma langue se diriger sur le méat pour récupérer le filet qui s'en écoule. Je comprime le gland pour provoquer un autre écoulement que je déguste sous le regard contemplatif de mon cher époux ; quel intense bonheur pour moi de voir mon mari partager cet instant, tous ces instants sublimes avec mes jeunes amants ! Ma libido m'est revenue certes, mais en même temps je prends encore plus conscience du sentiment amoureux qui me lie incroyablement à Pierre.

Jérôme craque ! La force de projection est étonnante et l'éjaculation très généreuse ! Alors que je savoure cette abondante sève chaude, Pierre s'empresse de me couvrir de baisers tout en me témoignant par des mots crus sa satisfaction. Quel bonheur !

Mon solide gaillard bascule sur le côté et je constate la rapide défaillance de sa superbe, cause du délicieux traitement que je lui ai administré et avec quel plaisir !

C'est Alban qui me baise ! Ah que je suis heureuse ! Nous échangeons un sourire. De chaque côté de mon visage, Emile et Didier, à genoux, me présentent leurs offrandes. Comme ils sont généreux ! Comment ne pas honorer ces si majestueux présents ! Didier se penche vers moi pour me murmurer :

- Emile est puceau.

Voilà donc ce qui explique son air tristounet, embarrassé. Je me sens, tout à coup, pleine de compassion pour lui. Mon devoir me commande de prendre en mains, si je puis dire, ce jouvenceau qui en bave déjà ! Ma main droite le maintient décalotté et l'attire gentiment vers mes lèvres. Je vais le gamahucher comme il se doit. Je me tourne brièvement vers Didier pour lui faire un clin d'œil ; il comprend que je vais soigner son copain et libère ma main gauche.

Mais Alban me tringle avec délice et mon plaisir va crescendo. L'apothéose ne saurait tarder car la baguette du maestro mène bien le concerto ! Ça y est ! Pour moi c'est le final et c'est tout juste si je ne hurle pas ma félicité. Ouf ! Foutrement bon, les contractions de mon utérus sous les chaudes aspersions !

Emile, quelque peu penaud de voir mon visage ravagé de plaisir, fait doucement coulisser son prépuce. Quelques instants pour reprendre mon souffle, mes esprits et j'entreprends la flûte, ô ! combien enchantée, de mon jouvenceau. Mes lèvres l'enrobent juste au bourrelet du gland ; j'alterne succions et petits coups de langue sur le méat pour, toujours par égoïsme, me délecter des préludes de cette verge d'ébène. Le jeunot s'impatiente ; ses poussées se faisant insistantes, d'une main je soupèse ses boules bien gonflées, de l'autre je lustre son instrument, tandis que ma langue virevolte pour une mélodie de bonheur dont la fin prochaine m'est annoncée par les longs et profonds gémissements du jeune mâle. Ça y est ! Je reçois l'abondance de sa jouissance que je garde dans mon palais jusqu'à ce que, lentement, le membre s'évade hors de ma bouche ; je l'entrouvre pour permettre à mon mari de voir la copieuse semence que j'absorbe par petites gorgées.

Et maintenant Didier ! Ce garçon me plaît beaucoup, j'en suis folle. Bien entendu il y a le fort attrait sexuel mais aussi un côté sentimental indéfinissable. La douceur de son visage, ses mains fines, sa poitrine presque imberbe, son corps svelte, athlétique sans trop, la couleur de sa peau, noire bien sûr, mais pas d'un noir charbonneux. Comble du bonheur pour moi et pour l'usage bien particulier que je souhaite en faire, sa queue n'est pas trop épaisse mais d'une mesure impressionnante, s'approchant du diaphragme. Or, entre le pubis et le nombril, la distance moyenne étant de 20 cm et du pubis au diaphragme de 30 cm, j'évalue cette belle pièce de 25 à 28 cm. Ayant fait part de mon estimation à Pierre et Didier, ce denier me confirme les 28 cm.

- Ne crois-tu pas que je devrais offrir mon petit passage à la splendide queue à Didier ? demandé-je à Pierre.

- Oui ma chérie, je suis d'accord et Didier ne dira certainement pas non.

Didier et moi échangeons un sourire ; je fixe son gland ruisselant de désir que mes lèvres attendent d'envelopper. Il s'approche ; mon odorat est sensibilisé par les puissants effluves du scrotum qui me grisent, m'enivrent. Le gland frôle mes lèvres. J'ai tellement envie de le goûter que l'attente me paraît extrêmement longue. Ah ! Enfin il caresse mes lèvres et avec quelle douceur il les écarte, s'introduit dans ma bouche pour glisser sur ma langue. Ô queue, tu es bonne ! J'apprécie ta chaleur, la douceur satinée de ton gland et le généreux suc dont tu veux bien me gratifier.

Didier, à genoux au-dessus de moi, s'enfonce dans ma gorge ; mes mains malaxent ses fesses fermes. Son rythme est lent, c'est agréable, mais il ne va pas assez profond. De mes mains je fais alors pression sur ses fesses pour qu'il s'enhardisse ; il a compris : dès que je relâche la pression, il remonte. La cadence est maintenant bonne. Par moments je suis légèrement étouffée, mais c'est un vrai délice ! Ouf, les sensations sont extra ! Je sens que ma chatte mouille abondamment. Je voudrais bien, là, une langue ou une pénétration. Mais Didier se retire pour me laisser reprendre mon souffle. Je le fais mettre sur le dos et moi à genoux entre ses cuisses. Je prends la belle chose en mains sous les yeux de Pierre accoudé à ma gauche, toujours spectateur attentif et admiratif. Il jubile de voir mes lèvres lisser lentement le gland, en suçoter juste la pointe ; puis je le maintiens décalotté dans l'attente d'une coulée de sève, prémices de sa jouissance. Une première s'écoule lentement sur le frein, puis une seconde. Je regarde mon mari qui attend de voir ma langue éponger cet albumen dont je raffole. Je comble son désir, celui de Didier et le mien ! Ma langue récupère le précieux fluide. Didier ne tient plus, aussi j'absorbe au mieux toute sa queue.

Mon mari s'est éloigné de nous. J'en suis étonnée mais, pas longtemps ! Les éclairs d'un appareil photo saisissent la scène. Tant mieux ! Je pourrais ainsi revoir tous ces magnifiques instants avec Didier, toutes les saillies dont j'aurais profité, mes seins honorés de la semence de tous mes mâles, ma bouche sollicitée par ces jeunes membres.

Mes succions s'accentuent sur le gland de Didier. Il commence à gémir, son plaisir s'intensifie. Il nous avertit de sa fin prochaine. Je le prends en main, le masturbe lentement mais fermement, ne recouvrant pas le gland. Du méat, je vois sourdre mon nectar préféré. Mes lèvres pompent, et avec quel délice, la pointe du gland. J'aspire comme pour vider mon chérubin de tout son jus. Brusquement je m'emballe. J'accélère mes va-et-vient ; une sorte de frénésie s'empare de moi. Je retire la queue de ma bouche pour m'en badigeonner tout le visage et, en alternance, la sucer encore. À Pierre, émerveillé, je dis mon bonheur. Didier ne tient plus et son expulsion est proche. J'ouvre ma bouche, tends la langue afin que Pierre assiste au spectacle. Brusquement, de la queue noire, jaillissent quatre à cinq jets puissants qui tapissent mon palais d'une onctueuse et chaude semence ! Pierre peut en mesurer l'abondance et sous son regard je déguste le nectar de mon jeune amant.

Délicatement ma bouche recueille le membre déjà quiescent pour en absorber l'ultime reliquat ; puis Didier bascule sur le côté.

Mon mari m'offre une coupe de champagne, geste que j'apprécie, ce qui va encore, si besoin était, me plonger dans une griserie nouvelle. Ma bouche ainsi rincée, il goûte à mes lèvres, fouille mon palais, nos langues se mêlent. Je le fais coucher sur le dos et me place entre ses cuisses. Son gland est remarquablement baigné d'une généreuse onctuosité, due à la forte excitation du spectacle que je lui ai offert. Ma langue commence à recueillir le merveilleux suc qui s'écoule lentement. Je prends le gland en bouche et avec quel délice je savoure ce précieux jus si doux, si velouté ! J'aspire goulûment la sève de mon mari. J'en veux davantage ! Quel bonheur est le mien de sucer Pierre ! De l'entendre gémir sous ma caresse m'excite terriblement. Je sens mon désir s'accroître entre mes cuisses. Tout en le gardant dans ma bouche, Pierre et moi nous nous plaçons sur le côté. Il m'annonce qu'il va craquer. Je cesse de le masturber et ralentis mes succions. Je le lèche lentement. Ça y est ! Il se vide, me coule sa crème tiède. Je n'avale pas tout de suite ; j'apprécie la perte de son énergie, sentir fondre rapidement son membre. Je le garde jusqu'à ce qu'il retrouve la mesure de celui d'un enfant ! Le gland est maintenant tout petit. Pierre me sourit :

- Tu n'as pas encore avalé ma chérie ?

Je fais non de la tête. Il me sourit :

- Gourmande !

Ma bouche toujours garnie de sa petite présence, je déglutis lentement sa semence. Puis il s'évade de mon chaud refuge. Pourtant je ne puis résister au plaisir d'enfourner son sexe si diminué et son scrotum. Un bon moment, je garde le tout, bien au chaud, dans ma bouche, jusqu'à ce que Pierre s'assoupisse.
Par Haoma - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 02:35
Retour de soirée - « in vino veritas ! »

Ce dernier samedi d'avril, nous revenons, mon mari, Pierre, et moi, Jeannine, d'un dîner chez des amis.

Après trente ans de mariage, mon mari est toujours insatiable, tandis que moi depuis quelques années, ma libido a disparu, et la « chose », que mon corps réclamait si intensément, m'est aujourd'hui bien indifférente, même insupportable, car la pénétration m'est fort douloureuse.

Nous avons tous les deux soixante ans. Lui 1,80 m, svelte, toujours plein d'humour. Moi 1,63 m, 59 kg, visage agréable, même joli, dit-on, lèvres pulpeuses, certes, exquises pour les baisers, mais aussi, à la bonne époque, pour un autre délice ! Les formes sont généreuses aux bons endroits, par exemple pour mes avantages : un 90 D !

À ce dîner, nous n'étions pas quatre, soit deux couples, mais cinq ! Un jeune noir, dans la vingtaine, que le mari de ma copine avait connu lors d'une mission en Afrique, Alban, venu à Paris pour ses études en médecine, est aussi grand que mon mari mais beaucoup plus athlétique. Les traits de son visage sont fins, sa voix est suave, en harmonie avec la calme personnalité du jeune homme.


En voiture, nous reconduisons Alban. Arrivés devant chez lui, il nous fait la remarque :

- Nous n'avons pas pris de café... Voulez-vous monter en prendre un ?

- Tiens, c'est vrai ! Tu es d'accord, Jeannine ?

J'acquiesce, et nous voilà dans son petit appartement modeste, mais propre et tout en bon ordre.

- Je vous avoue, Alban, que votre café est bienvenu ; il va m'aider à me dégriser car le repas était bien arrosé...

Alban nous fait installer dans son salon, puis passe dans sa petite cuisine. Mon mari, constatant que je suis bien pompette, me demande si je n'ai pas quelques nausées. Je le rassure tout en lui disant que je piquerais bien un somme.

- Tu as remarqué, Jeannine, comme Alban te regardait ? Il a l'air d'en pincer drôlement pour toi !

- Oui, je l'ai remarqué... Mais je n'y puis pas grand-chose et cela m'est bien égal ! Ceci dit, je vais aux toilettes...

Après avoir fait mon petit besoin et quelques légères retouches au visage, je retourne au salon où je trouve mes deux hommes installés dans le divan, mais pas de café dont je sens pourtant l'arôme en provenance de la cuisine. Alban s'explique :

- Jeannine, j'ai deux bouteilles de champagne au frais... Cela vous tente ? Mais attention, c'est du brut !

- Ah du brut ! C'est ce que je préfère ! D'accord pour le champagne, Alban !

Petite discussion banale sur le dîner de nos amis ; alors que nous en sommes à notre troisième coupe, Alban se lève pour mettre un peu de musique, un slow et m'invite à danser.

- Avec plaisir, Alban, cela fait si longtemps que je n'ai pas dansé.

Me voilà dans des bras d'un autre continent. Cette danse est langoureuse, je me sens bien, légère, heureuse et tout naturellement ma tête se pose sur l'épaule de mon partenaire. Je sens son odeur, son musc un peu fort, mais que j'apprécie. La main d'Alban fait pression sur ma taille ; au gré des pas, mon bas-ventre frôle une puissante érection. Je suis étonnée de ma réaction, car ce contact, bien loin de me révolter, semble m'attirer, m'exciter !

Toujours est-il, que prise d'un délicieux vertige, comme dans une semi-inconscience, par des frottements pressants, je manifeste mon intérêt pour cette jeune et ferme tige. Là, Alban, encouragé, prend les choses en main en saisissant ma croupe qu'il commence à malaxer. Mon regard croise celui de Pierre ; nous échangeons un sourire ; il se lève, se place derrière moi pour détacher ma jupe. Alban en profite pour glisser ses mains dans ma culotte étant ainsi en prise directe avec mes fesses. Je ferme les yeux pour apprécier la douce chaleur qui m'envahit et me décolle légèrement de mon cavalier, invitant ainsi mon mari à libérer mes deux hémisphères.

Dans la chambre, jupe et culotte abandonnées dans le salon, Alban détache ma blouse, Pierre, derrière moi, la fait glisser de mes épaules. En soutien-gorge pigeonnant, ultime voile, je ressens fortement la convoitise du jeune mâle qui ne résiste pas à déposer un baiser sur mes seins. Lentement Pierre dégrafe, Alban fait glisser les bretelles.

Ah ! le regard d'Alban lorsqu'il aperçoit mon offrande ! Encore aujourd'hui je mesure l'émerveillement d'un homme au vu des seins. Comme il est écrit : « Le sein nourrira l'enfant et réjouira l'homme ! » Alban les soupèse, et ne tarit pas de compliments ; il me suce les mamelons et je tressaille.

- Vos seins sont lourds et étonnamment fermes, Jeannine !

- C'est toujours ce que j'apprécie, ajoute mon mari.

Je retrouve mes sensations d'autrefois ou je rêve ?

En écrivant ces lignes, mon mari et moi, nous interrogeons. Fallait-il donc quelques coupes de champagne ? In vino veritas : dans la vérité est dans le vin ! Mais aussi, et surtout, un ensemble de circonstances favorables pour un tel choc émotionnel ?

Allongée sur le lit, nue, les pieds par terre, les fesses sur la tranche du matelas, les cuisses largement ouvertes, me voici offerte. Dans une profonde euphorie, je me sens bien détendue et aperçois un membre noir, lui, bien tendu. Alban s'agenouille sur le bord du matelas, sa queue touche mon nombril, glisse sur mon ventre pour remonter entre mes seins, que je réunis, pour l'emprisonner. Après un court temps d'arrêt, qui me permet d'apprécier le poids exquis et chaud du scrotum, Alban entame ses glissades ; son gland effleurant mes lèvres, j'ai soudainement envie de le happer. Pierre me sourit ; Alban se dégage de mes seins pour me poser son gland sur ma bouche. J'accueille le fruit noir, si chaud à mon palais ! Pierre jubile, baise mon front, caresse mon visage. Mais Alban se retire de ma bouche : ses lèvres aspirent fortement mes mamelons et je me sens comme électrisée. Sa langue descend le long de mon ventre, s'attarde quelque peu sur mon nombril, rôde vers mon aine, tandis que sa main caresse mon pubis. Ma chair attend... Être allongée devant lui, nue, pétrie, qui plus est au regard de mon mari, éveille au niveau de mon plexus un charivari qui se propage maintenant jusqu'à mon entrecuisse.

Ses lèvres s'emparent délicatement de mon clitoris, l'aspirent. Tous les replis de ma vulve sont léchés par sa brûlante langue. À mon grand étonnement une manifestation du désir semble poindre, s'amplifier même. Je commence à couiner et ne peux me retenir de clamer à mes deux hommes que je vais défaillir. Dans un geste lascif, mes bras se tendent, mes doigts s'incrustent dans les cheveux crépus et je maintiens la tête de mon amant pour mieux sentir sa bouche sur mon sexe, sa langue me fouiller au plus profond. Je m'agrippe à ses cheveux, par peur de chavirer. Ouf ! Mais quel délice ! Je n'ai pas le temps de sentir arriver mon orgasme et, bouleversée par son intensité, j'exulte dans cette ivresse enfin retrouvée.

Alban reprend son souffle, me sourit, satisfait de m'avoir fait revivre. Il hume ma chair quelques instants, puis de nouveau sa langue reprend un délicat balayage comme pour apaiser mes sens. J'apprécie beaucoup et très détendue, je flatte cette tête qui me procure un tel ravissement. Je me laisse aller ; je souris à Pierre qui caresse mes seins ; nos lèvres s'unissent pour un profond baiser. Je suce avidement sa langue, tandis que celle d'Alban s'active dans mon sexe. La langue se retire pour laisser place au doigt qui glisse lentement sur ma vulve abondamment détrempée de salive. Il écarte mes grandes lèvres, joue longuement avec les petites, puis s'insinue précautionneusement à l'entrée de mon vagin. Maintenant, son doigt me visite par petites touches.

- Dis-moi si tu sens la moindre douleur Jeannine ; dans ce cas, j'arrêterai.

Comprenant que Pierre lui a fait part de ma douleur à la pénétration, je lui souris :

- Merci pour ta délicatesse, Alban ; je ressens en effet un déchirement, parfois plus intense, mais continue de m'ouvrir tout doucement, j'ai tellement envie que tu me pénètres, Alban. Mon désir l'emportera peut-être sur la douleur.

Alban retire son doigt pour le porter à sa bouche ; il me sourit.

- Ta légère lubrification prouve que tu es encore très excitable Jeannine et c'est donc le bon moment pour rouvrir le passage de ton plaisir.

- Enfin une excellente nouvelle, chérie ! s'exclame mon mari. On te devra énormément, Alban et tu pourras, comme nous deux, en profiter !

Deux doigts se glissent, ébréchant un peu plus ma fente. Je ressens une sensation de brûlure, de déchirement, mais en même temps le désir semble poindre. Les doigts se retirent puis la langue revient me butiner avec une telle allégresse que mon bassin se soulève, s'agite, mes mains caressent le visage, mes cuisses l'emprisonnent. Je halète de plus en plus, Pierre masse mes seins, pince mes mamelons... Je veux aller plus loin. Je fais placer Alban sur le dos...

- Tu as raison Jeannine, viens sur moi !

Pierre bande tellement que je suce son gland abondamment juteux ; puis je passe à mon mélanoderme. De saisir le membre si chaud et bien dur du jeune mâle, décuple ma lascivité. Alban, les jambes jointes, je me place au-dessus de lui en écartant largement mes cuisses ; son gland est tout aussi ruisselant que celui de mon mari. Je le dépose sur ma vulve pour l'y faire glisser brièvement : je me sens tout électrisée. Alors, lentement, je m'empale sur le long pieux d'ébène, je pousse afin qu'il m'écartèle et ouvre à nouveau le passage ; mes chairs se distendent. La sensation est comme lorsqu'on retire le pansement d'une plaie. Je marque une courte pause. Alban abandonne mes seins pour m'attirer sur lui. Ses mains caressent mes fesses, puis les écartent. Je m'attends à la visite de son médius. Ce que je ressens alors est sublime : la langue chaude de mon mari flattant mon huis. Mon désir s'accroît d'autant qu'Alban fait palpiter sa queue. Mon envie de jouir est tellement intense que je décide de pousser à fond sur le membre du jeune carabin. Mes chairs se déchirent et je ne peux retenir un cri de douleur, mais je sais que le passage est de nouveau ouvert. Alban me murmure :

- Ne bouge plus, ma chérie. Lorsque tu te sentiras à l'aise, tu reprendras l'initiative. Tu peux aussi, si tu veux, te retirer.

- Merci Alban. Je crois que cela va aller. Te sentir en moi est si merveilleux. Je veux tellement jouir avec toi, chéri !

Et pour la première fois nous échangeons un baiser profond. Ses lèvres épaisses se soudent aux miennes, nos langues fraternisent, tandis que celle de Pierre s'active merveilleusement dans mon anus.

- Tu es très excitable, Jeannine... Maintenant, après cette nouvelle défloraison, tu devrais avoir des pénétrations plus régulières, plus fréquentes afin de bien entretenir ton chaleureux passage.

J'acquiesce et accélère légèrement ma cadence sur ce phallus d'ébène dont le coulissement m'est davantage supportable, voir même beaucoup plus agréable malgré une sensation moindre de plaie à vif. Comme j'en rends compte à mes deux mâles, mon mari me suggère d'être prise en levrette, lui désirant se placer sous moi pour me passer sa langue. Chose dite, chose faite. Je me positionne au-dessus de la tête de Pierre alors qu'Alban place sa queue entre mes cuisses. Appuyée sur mes bras, mes fesses malaxées par les mains d'Alban, je sens son membre tendu et ruisselant glisser sur mes grandes lèvres. Mes seins garnissent les mains de mon mari, alors que sa langue flatte, savoure mon bouton et passe savamment sur ma vulve ; je suis pénétrée par la queue de mon jeune amant.

Ses va-et-vient, très lents, sont de plus en plus profonds, mais d'une grande délicatesse ; malgré cette vive irritation qui m'incommode, je sens naître le plaisir grâce à la si délicieuse conjonction langue-queue. Curieuse aussi, je m'efforce de voir, sous moi, mon mari qui me lèche ; il marque une pause, déplace légèrement sa tête. J'aperçois alors, bien sûr, sa bouche au ras de ma chatte, mais aussi les lents allers et retours du membre noir. Alban se retire complètement, puis, voulant à nouveau me pénétrer, son gland frôle les lèvres de mon mari et, pour un bref instant, trouve refuge dans un nouvel antre. Ma surprise est de courte durée, car Pierre me réintroduit le précieux sceptre. Je ressens encore de la difficulté, mais mon passage me paraît bien rouvert. Encouragé par les ondulations de ma croupe, Alban accélère un peu son rythme. L'activité linguale aidant, mon désir va crescendo et je commence à ahaner bruyamment.

- Alban, mon chéri, vas-y plus vigoureusement ! Pilonne-moi fort !

- Avec plaisir, Jeannine, mais n'hésite pas à me dire si tu as mal.

Entendant nos propos, Pierre s'exclame :

- Chérie, je veux voir ça ! Change de position ! Mets-toi sur le dos, jambes en l'air !

Je me positionne donc, jambes en l'air, maintenues par Alban.

- Pierre, tu veux voir ma queue noire dans la chair blanche de ta femme ?

- Oui, Alban, la voir entrer et sortir lentement ; voir le visage de ma femme irradié de bonheur...

- Ah, mon mari, si de me voir faire l'amour avec un jeune amant de couleur te procure un immense plaisir, tu ne peux pas imaginer combien, en ta présence, le mien est encore plus fort !

Je demande à Alban de me pilonner plus vigoureusement. Ses coups de boutoir se font plus longs, plus profonds. Mon corps se cambre sous chacune de leurs poussées, les avale. J'ai l'impression de voler avec lui. Le plaisir croît, malgré la douleur encore persistante. Je sens son sexe enfler, puis comme une vague puissante déferlant sur la grève, je sens venir mon spasme tout aussi puissant. Alors que d'un cri rauque, je manifeste ma jouissance, une seconde vague se propage intensément dans mon être tout entier : je connais un anéantissement sublime. Je m'effondre. Ma respiration est haletante, comme après une course. Je reprends mes esprits, encore stupéfaite de ce moment d'ivresse impressionnant.

Mes deux hommes, quelque peu abasourdis de me voir dans un si magnifique état, me sourient. La queue d'Alban est toujours en moi, elle palpite comme pour réclamer son dû. Je comprends que lui n'a pas eu son plaisir. Je ne peux le laisser ainsi, je me dois de le récompenser mais aussi, et surtout, je vais aussi m'accorder un autre plaisir que je n'ai guère savouré depuis longtemps.

Alban, allongé sur le lit, les fesses sur la tranche du matelas et les pieds par terre, je suis agenouillée entre ses cuisses largement ouvertes et je contemple cette fabuleuse merveille d'ébène. D'une main, je soupèse le lourd scrotum, de l'autre je masse délicatement ce membre qui m'affole. Je l'hume, je badigeonne mon visage du mélange de nos sécrétions. Pierre me regarde, si étrangement heureux. Le fixant dans les yeux, lentement ma langue caresse le gros bourgeon noir d'où s'écoule le premier jus précurseur du flot dont je vais libérer mon jeune amant.

- Oui, ma chérie, tu es magnifique ainsi ! Fais-toi plaisir et fais plaisir à Alban en le suçant à fond. Montre-moi bien l'instant où sa semence se déversera dans ton palais. Je serai comblé !

Alors, je me mets à la délicieuse besogne, suçotant le bout du gland, ma langue faisant des vrilles. Ma main coulisse sur le membre, descend lentement très à fond pour remonter, sans cependant, recouvrir complètement le fruit noir dont j'attends l'écoulement du suc. Mon bel éphèbe soulève ses reins pour tenter de glisser le fruit gonflé entre mes lèvres. Mais, souriante, je retarde encore abaissant fermement le prépuce. Ma patience est récompensée : une première petite coulée de suc clair s'échappe du méat, glisse sur le frein. Comprimant légèrement le gland, une seconde vient, lubrifiant davantage le frein et déferle lentement le long du membre. Alors ma langue entreprend d'abord quelques caresses sur les bijoux de mon heureux supplicié pour, ensuite remonter le long de la hampe et savourer cette liqueur, prélude à la jouissance, que j'apprécie bien plus que l'ultime. Alban gémit, soulève davantage ses reins ; il veut que je l'enfourne. Pierre me regarde, son membre ruisselant du même suc ; je vais, là aussi, me délecter.

Revenant à Alban, j'absorbe son gland, ma tête commençant de lents va-et-vient tandis que d'une main, je le masturbe. Mon bienheureux s'agite et me supplie. Sentant la fin de son tourment proche, nous changeons de position : moi sur le dos, lui au-dessus de moi, ses genoux sous mes aisselles. Je laisse alors Alban, appuyé sur ses avant-bras, coulisser dans mon palais. Il fait l'effort de se retenir pour ne pas s'emballer au risque de m'étouffer. Comme il a pris la bonne mesure, mes mains caressent ses fesses tandis que mon médius s'introduit légèrement dans son petit passage.

Pierre a vu mon geste et me fait part de son approbation. Il contemple avec un ravissement indescriptible les lentes entrées et sorties de cette queue noire dans ma bouche, puis je garde le gland seul pour lui administrer de fortes succions. Alban nous avertit qu'il va éclater. Il s'agenouille. Pouce, index et majeur, de ma main droite, saisissent alors son pieu, le masturbent par petites et fermes saccades sans recouvrir le gland qui repose sur ma langue tendue. Bouche bien ouverte, j'attends l'expulsion de bonheur de ce gentil et beau garçon qui a su faire renaître le mien et, tout aussi important, celui de mon cher époux. Alban nous avertit qu'il va éclater ; mon mari, à ma gauche, approche son visage et assiste alors aux trois ou quatre jets puissants de la semence propulsée dans mon palais. Le membre perd de sa consistance, je le comprime pour en extraire un reliquat, non négligeable, qui échoue sur ma langue. Je souris à Pierre en déglutissant cet abondant élixir ! Le jeune mâle ne manque pas de compliments, puis bascule sur le côté.

- Viens, mon chéri, je veux, toi aussi te sucer... Cela fait tellement longtemps que dure ton sevrage.

Il n'est pas long et son expulsion n'a guère la vigueur ni l'abondance de la précédente reçue. Qu'importe, elle me comble, me souvenant de notre jeune temps. Comme à cette époque, au lieu de s'assoupir, Pierre veut me satisfaire à nouveau. Il me fait placer au-dessus de lui, mes genoux sous ses aisselles, et entreprend de me lécher jusqu'à me faire jouir !


oooOOOooo


Allongée entre mes deux hommes, je les regarde dormir. Alban m'attire vertigineusement. Je relève le drap, pose doucement ma tête sur son ventre tandis que ma main cajole sa queue encore inerte. Tendrement, j'extrais de son capuchon, le petit fruit noir encore trempé, pour le réchauffer de mes lèvres, de ma bouche où je le garde. Ce n'est pas long. Ma bouche et mon palais se remplissent d'un remarquable volume.

Mon mari, réveillé, assiste à la scène et bande ; son gland ruisselant trouve, un bref instant, asile entre mes lèvres.

Alban prend tendrement mon visage dans ses mains. Je lâche le précieux membre pour m'avancer lentement vers son visage et au passage de mes seins, je caresse la splendide virilité de mon fougueux mélanoderme. Pierre nous regarde. Je lui souris car je sais ce qu'il attend que je fasse. Je glisse le pieu d'ébène entre mes seins que je réunis de mes mains.

- Quel magnifique contraste, ma chérie ! N'est-ce pas, Alban ?

- Oui Pierre, les seins de ta jolie femme sont somptueux ! Mes 22 centimètres y sont bien au chaud ! Ils ont presque disparu ! Ah je vois la tête sortir ! Tu dois faire un mètre de poitrine Jeannine ?

- Oui Alban, 98 cm ! J'en ai de la chance avec toi chéri ! Tu es bien membré, mais la grosseur ? Tu sembles plus gros que Pierre...

- 13 cm de circonférence ; je crois que la fourchette est de 11 à 14,20 cm.

- Ah c'est le même calibre que Pierre ! Pourtant tu me parais plus gros que lui.

- Ma chérie, Alban a vingt et un ans. Il bande beaucoup plus fort que moi ; la différence est là ! Et quatre centimètres de long en plus pour te combler, ce qui n'est pas rien ! Vas-y, ma chérie, masturbe Alban entre tes fastueux appas ! Que je suis heureux de voir cette belle queue noire entre tes beaux seins ! Admirable de te voir, tout à l'heure, pomper un tel morceau, ma chérie !

Alban m'interroge :

- Chérie, maintenant que tu as retrouvé ton tempérament de jeunesse, est-ce que tu aimerais rencontrer un de mes très bons amis ?

Quelque peu étonnée de cette proposition :

- Mais Alban, je ne voudrais pas tout de même passer pour...

- Je comprends ce que tu veux me dire, Jeannine. Ne te préoccupe pas de ça et je crois que Pierre sera de mon avis, profite donc du bonheur que cela peut t'apporter ! Une femme a cette chance de pouvoir jouir plusieurs fois avec trois ou quatre hommes et même plus, alors que nous, nous sommes bien limités.

- Alban a raison, ma chérie. Quant à moi, je suis pleinement d'accord pour te voir prise par trois ou quatre jeunes mâles. La décision t'appartient donc et tu pourras vérifier, d'une part, si tu ressens encore quelque gêne à la pénétration et, d'autre part, juger de ta capacité de jouissance.

Je ne donne pas suite à cette proposition, mais dans le fond et imperceptiblement, je reconnais qu'une telle salacité me comblerait.

Alban bien enserré, je commence donc le doux supplice.

Quel bien-être de sentir la chaleur, la fermeté, mais aussi la douceur de ce membre entre mes seins ! Un ravissant contraste, ce noir enveloppé de blanc ! Il disparaît et resurgit successivement ! Enivrant spectacle, lorsque le gland noir, gonflé, émerge d'entre mes deux blanches rondeurs. Alban pousse un peu plus, j'ouvre la bouche et le cueille. Alban gémit. Du plaisir de voir mes seins emprisonner une telle proie, Pierre exulte et bande fort. Son bonheur est à la mesure du mien ; ses doigts prennent possession de ma chatte en rut, un autre s'enfonce divinement dans mon petit trou. Je ne sais plus où j'en suis. Mon plaisir, ma jouissance. Je bascule sur le dos, mes seins et ma bouche libèrent la belle queue d'ébène. Mes cuisses s'ouvrent sous le feu qui me dévore. La bouche, la langue de Pierre viennent à mon secours, suçant, fouillant dans mon antre, tandis qu'Alban se place à genoux au-dessus de moi. D'une main, je malaxe avec douceur ses couilles dont l'odeur m'affole, de l'autre je saisis sa splendide queue la décalotte pour enfin me délecter du gros fruit au suc abondant. Pierre me lèche et me boit à merveille. J'aspire goulûment et branle, lentement, l'énorme salsifis dont j'attends la chaude sève. Mais ma bouche le lâche pour pouvoir expulser un râle puissant d'extase ! Mon orgasme me bouleverse ; je tente de reprendre mon souffle, alors que la queue formidablement tendue s'agite sur mon visage.

Pierre est maintenant placé près de nous pour voir Alban me badigeonner le visage de son gland ruisselant des prémices de sa jouissance qu'il glisse plusieurs fois sur mes lèvres sollicitant leur ouverture. Ma main prend l'imposant phallus d'ébène ; je respire profondément son puissant parfum exaltant qui me rend lubrique. La pointe de ma langue virevolte sur la gourmandise noire. Alban pousse gentiment, cherchant le passage. Mes lèvres s'arrondissent, ma bouche s'entrouvre, juste ce qu'il faut, pour l'entrée du visiteur tellement désiré. Il est là, mes lèvres et ma bouche l'enveloppent et au niveau du bourrelet du gland, très délicatement, mes dents l'enserrent. À chacune de ses incursions, il est, ainsi, soumis à un voluptueux limage. Le jeune amant noir veut plus encore et moi je le veux encore plus profond. Une bonne respiration, je tends son prépuce et enfourne tout ce que je peux des 22 cm ; je le branle, lentement, mais à fond.

Alban me demande de le serrer fort ; ma langue et mes lèvres répondent à son désir ; il se met à coulisser dans ma bouche. Quelque peu étouffée, je me délecte, néanmoins, de la chaleur, de la grosseur, de la saveur du fabuleux membre. Alban m'annonce que sa fin est proche ; voulant apprécier les jets de son bonheur et que mon mari en soit le témoin, bouche bien ouverte, je tends la langue sous son gland. Ma main s'agite sur la colonne et un, deux, trois jets chauds, violents sont propulsés dans mon palais, les derniers s'échouant sur ma langue. Je garde sa laite épaisse, au goût très relevé et déjà l'ex-superbe queue fond et le gland glisse hors de mes lèvres que je ferme aussitôt.

Tandis qu'Alban bascule sur le côté, je souris à Pierre ; j'ouvre la bouche et il constate l'abondante rasade de semoule que je déglutis lentement sous ses yeux.

Alban somnole.

- Jeannine, je voudrais tant te faire jouir avec ma langue ! J'aime ta chatte, son odeur, son goût... Ah, combien je t'aime, Jeannine !

- Si tu veux Pierre ! Tu sais comme j'adore ça, mais je crains que ce soit long.

Il me fait mettre à genoux au-dessus de lui. Je lui offre ma chatte, lui plaque sur sa bouche. Ses lèvres aspirent les miennes, sa succion merveilleuse me donne la sensation que ma vulve est à moitié absorbée par sa bouche avide. Maintenant, de sa langue Pierre me fouille au plus profond, tellement que son nez s'écrase sur mon pubis.

- C'est bon mon chéri ! Tu vas me faire jouir encore Pierre !

Il saisit mes fesses, je sens son doigt gratouiller mon petit trou, il me colle sur sa bouche et y va de succions alternées de coups de langue. Je m'agite intensément.

- Pierre, Pierre ! Continue, chéri, je vais jouir...

Je suis au bord de mon plaisir. Je ne tiens plus. Ah, j'aime quand mon mari me bouffe comme ça !

Violemment je frotte mon sexe sur sa bouche. Son nez fourbit mon clito, sa langue me balaye sublimement...

- Ah, Pierre ! Je viens, je viens ! Oh que c'est bon, mon chéri !

Je m'allonge sur le dos, souffle et me détends quelque peu.

- Tu n'as pas joui mon amour ? Viens ! Je veux te sucer chéri.

Il accepte et je lui administre le même traitement qu'à Alban. Il n'est pas long à me couler sa semence, pas avec la même puissance et abondance que mon jeune étalon, mais quel bonheur ! Quelle joie de voir Pierre me sourire lorsque j'ai en bouche la virilité du bel éphèbe Alban !

Grâce à la compréhension de mon mari, j'ai retrouvé mon tempérament de jeune femme. On ne sait ce que nous réserve l'avenir, mais je ferai le nécessaire pour profiter de ma sexualité retrouvée avec des mâles qui seront de mon goût mais aussi en tenant compte de l'avis de mon époux.

Lorsque je me réveille, il est 4 heures 30 ! Je fais lever Pierre pour rentrer chez nous. Alban se lève.

Nous fixons un rendez-vous pour la semaine suivante.

Rentrés chez nous, je fais part à Pierre de cette nuit extrêmement surprenante.

- En effet, ma chérie, je crois que tu l'as, comme moi, beaucoup appréciée. Mais il y a une chose que tu n'as pas faite avec Alban et que j'adorerais te voir faire...

- Tu penses à quoi ? Ah ça y est, je devine ! Faisons-la alors tous les deux, tout de suite, et bien sûr, la prochaine fois ça sera avec Alban.

Chose promise, chose due : j'ai offert mon petit passage à Pierre qui l'a d'abord généreusement fourbi de sa langue pour ensuite... Vous devinez la conclusion.
Par Haoma - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 25 février 7 25 /02 /Fév 19:23
Allez après une petite pause salutaire, revoilà de l'activité sur ce blog. Entre les débats vifs de ce début de campagne présidentielle voici deux découvertes musicales. Une belle gifle et une douce caresse.

La giffle: Paperplane

Un groupe Paperplane et particulièrement un titre Grow Young :  Je tiens à le dire c'est pas sur les ondes mais cela devrait assez vite y trouver une petite place.  Moi j'adore. Ecoutez les paroles c'est de la bonne pop.

Pour en savoir plus sur: http://www.myspace.com/paperplanemusic et pour écouter (si cela marche ?) http://www.mydatabus.com/public/electricmelody/z/Paperplane_-_Grow_Young__Vogel_Remix_.mp3



La caresse: Nouvelle Vague - Bande a Part

Nouvelle Vague, New Wave, Bossa Nova...En trois langues différentes, une même expression symbolise des mouvements artistiques qui ont bouleversé l’ordre des choses entre 1960 et 1980. 

Marc Collin et Olivier Libaux, tous deux corréalisateurs de cet album, célèbrent la culture new-wave en proposant une lecture inédite de chansons écrites par des groupes reconnus (tels que Joy Division, The Clash ou The Cure) ou malheureusement un peu oubliés (comme XTC, Tuxedomoon, Modern English ou The Specials).

Ils ont convoqué 8 jeunes chanteuses, dont la surdouée Camille. La plupart d’entre elles, nées en même temps que le punk, ne connaissaient pas ces titres avant de les interpréter.

Pour Love Will Tear Us Apart c'est ELOISIA  qui chante dans les plus célèbres cabarets brésiliens, elle opte pour la voie de la musique, et participe à de nombreuses séances d’enregistrement. Cette musique est entêtante et c’est vraiment un petit coin de plage d’après midi au soleil, du bonheur.

Nouvelle Vague accueille Camille, auteur d’un très remarqué premier album chez Source: «Le sac des filles». C’est elle que vous pouvez entendre sur «Too drunk to fuck», «Guns of Brixton», «In a manner of speaking» et «Making plans for Nigel».


Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 3 février 6 03 /02 /Fév 20:20
Président un film sortie en septembre que l'on peut revoir en ce debut d'année éléctorale. En quelques mots le synopsis: Albert dupontel incarne un Un jeune Président charismatique, entouré d'une équipe brillante et déterminée.Un Président engagé en faveur de la justice sociale et de la paix mondiale. Un Président solitaire et tourmenté, qui n'a qu'un amour dans sa vie, sa fille Nahema, mélanie Doutey.

Si cela aurait pu être une fresque sur la présidence le partis pris est différent, exposer les coulisses du pouvoir, et sans tabous. Sans tabou oui mais aussi avec excès ce qui est un peu dommage. Un personnage tire son épingle du jeu, Claude Rich jouant le rôle de Frédéric Saint-Guillaume, mentor du président retiré de la vie politique mais toujours puissant et père de Nahema par procuration. Ses interventions et la voix de Claude Rich en font le principal acteur du film. Je sais j'ai été sensible à la voix de Claude Rich...

Le jeune Mathieu a un rôle plus trouble dans le film et cela aurait mérité d'être creusé. La scène du discours sur la place du village est une des mieux réussis sur les conseillés politique. Le films politiques il y en a pas de milliers alors ce films, deuxième réalisation de Lionel Delplanque est certes imparfaite mais elle est dense et fait mouche sur certain aspect du pouvoir.

A vous de voir.



Réalisation : Lionel Delplanque
Scénario et dialogues : Lionel Delplanque et Raphaël Meltz
Producteurs : Pierre Forette et Thierry Wong
Co-Producteurs : Alain Terzian et Christine Gozlan
Production : Cine Nomine
Co-Production : Alter Films, Thelma Films, France 2 Cinéma.
Musique: Frédéric Talgorn
Date de sortie : 20 septembre 2006
Durée : 1h37

Ce Président est-il un personnage recommandable ?
Humainement non, techniquement oui. Est il possible d’être les deux ? C’est la question que pose le film.


Par juju - Publié dans : Films and zik !!
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Mercredi 31 janvier 3 31 /01 /Jan 02:29

Pour réussir le cocktail Dark Angel, il faut trois ingrédients : une canette de Red Bull, 1 cl de Jägermeister et enfin 1 cl de vodka noire. Certains rajouteront un zeste de citron et d'érotisme...

La porte sonne et je pose rapidement les bols de biscuits apéritifs sur la table basse. Je vais vers la porte en criant :

- Oui ! Ouiiiiiiii ! J'arrive Camille.

En effet, il ne peut s'agir que d'elle, puisque je l'ai invitée ce soir pour une petite soirée entre nous, entre nanas, et depuis peu je devrais même dire entre deux célibataires !

Dès que j'ouvre la porte, Camille saute dans mes bras, nous sommes très contentes de nous retrouver et de passer une soirée où seuls le délire et la détente seront de rigueur. Elle me montre aussi le contenu des deux grands sacs qu'elle a amenés. Au programme, alcools, vidéos et magazines. Un cliché peut-être ? Nous assumons. Ce soir, nous n'avons pas envie de nous prendre la tête sur ce genre de questions, on veut du fun, ni plus ni moins et les autres on s'en moque !

Camille et moi sommes depuis plus de cinq ans d'excellentes copines. On s'est rencontré au lycée et on a poursuivi le même parcours en faculté. Liées et bien plus même, nous avons toujours apprécié ces soirées totalement infantiles, mais tellement énergisantes et marrantes !

Puis la période mérite, au moins, une soirée détente avec ma meilleure amie, malheureusement dans une situation similaire, concernant les amours, c'est-à-dire elle et moi avons endossé le rôle de la fille plaquée ! Elle pour une autre blonde et moi pour une rousse !

Nous nous installons dans mon salon qui fait également office de chambre, les joies de la vie estudiantine...

La soirée se déroule comme tant d'autres, on se raconte nos histoires, de boulot et de cœur surtout. Le tout devant un film, c'est Love Actually qui débute le bal, parfait pour nous remonter le moral. De toute façon, Camille et moi l'avons vu des dizaines de fois, le film n'est pas le but de cette soirée, on veut se détendre et oublier nos déceptions sentimentales et éventuellement se mettre une cuite en ragotant sur nos ennemies et en enchaînant bêtises sur délires.

Love Actually ne fait qu'un temps et c'est au tour d'un ersatz de ce dernier de prendre la relève. Le rhum et le Bailey diminuent et c'est à ce moment que Camille exhibe fièrement de son sac, délaissé sur le côté du canapé, une bouteille contenant un liquide noirâtre.

- Dis donc, c'est quoi ça ? C'est bizarre ton truc ! dis-je à Camille qui se positionne telle une assistante de magicien la bouteille énigmatique entre ses mains.
- Tu connais pas, hein ? J'en ai bu une fois, à la soirée de Sophia, c'est pas mal du tout, et tu devrais adorer c'est de la vodka ! De la vodka noire ! me répond Camille, le sourire triomphant.
- Noire ? Eh beh à la gueule c'est bizarre ton truc ! Mais j'veux bien essayer ! Allez à nous...
- ...et pas aux autres ! termine Camille. Je vais même te faire une recette... un Dark Angel !
- Waaa un ange noir ! Impressionnant ! lui lancé-je pour la taquiner sur son accent anglais !
- C'est ça, fous-toi de moi ! En attendant, c'est pour ça que Marc t'a plaquée, miss sarcastique !
- Oh t'as pas le droit, méchante ! dis-je en lui tirant la langue et lui lançant un coussin, sachant néanmoins qu'elle me taquine, elle aussi.

À mon grand dam, le coussin atterrit sur sa tête et elle renverse accidentellement un peu de vodka noire sur son débardeur.

- Oups ! Désolé ! Pas fait exprès, frotte vite pour retirer la tache ! dis-je de suite, gênée.
- Bravo ! Miss catastrophe ! Ce n'est pas grave, je vais le retirer dans la salle de bain et j'peux te piquer un vieux t-shirt en attendant ?
- Oui vas-y. T'inquiètes ! Si tu pouvais même prendre un ancien de Marc et éventuellement le tacher aussi, ça m'arrangerait, il passe demain tout récupérer ! répondis-je, contente de ma vengeance.

Pour toute réponse, j'obtiens un clin d'œil complice de ma meilleure amie et un fou rire mutuel qui nous vient simultanément. Camille se dirige vers ma chambre et je l'entends farfouiller dans ma chambre à la recherche d'un des fameux t-shirts de Marc. Pendant ce temps, je fais un peu de place dans le salon en poussant les magazines et je mets un cd dans la chaîne hi-fi. Puis je décide de rejoindre Camille qui, au vu de la lumière sur le tapis, est dans ma salle de bain maintenant.

Lorsque j'ouvre la porte, elle frotte la tache avec un produit, elle fixe mon regard à travers la glace devant elle et me sourit.

Soudain, elle retire son t-shirt et le dépose dans le lavabo qui est rempli d'eau savonneuse. Camille me fait découvrir son dos blanc laiteux. Sa couleur de peau m'a toujours surprise, un brin excitant, car mystérieuse, une telle blancheur c'est presque provocant, si pure. Je sais que tous ses anciens copains ont toujours été attirés par sa peau, voire ont fantasmé dessus. Comme pour amplifier ce phénomène, elle porte un soutien-gorge noir, ce contraste est assez saisissant, je dois bien l'avouer.

Mes réflexions s'arrêtent quand je vois ses doigts parcourir cette plage de sable blanc pour défaire son soutien-gorge et dévoiler ses deux menus seins dans le reflet de la glace où seuls deux petits tétons marron trahissent cette étendue de blanc.

- Je le retire, il me fait mal, je serai plus à l'aise, me dit Camille.
- Vas-y, te gêne pas ! Exhibitionniste va ! réponds-je en rigolant.
- M'étonnerais ça ! Ce n'est pas avec ces deux petits seins que je vais montrer grand-chose ! T'as de la chance toi, là-dessus j't'ai toujours enviée, confesse-t-elle, avec une pointe de tristesse dans les yeux qui m'attendrit aussitôt.
- Oh ! Camille t'es toute belle. Complexe pas. Puis si tu avais des gros seins, tu serais parfaite, ça serait dégueulasse pour les autres nanas. Puis toi au moins, on regarde tes yeux ! C'est pas comme moi !

Tout en la réconfortant, je lui fais un tendre bisou sur la joue et un clin d'œil à la glace pour la faire sourire et oublier son petit complexe. Elle retrouve une étincelle de bonheur dans ses yeux bleus pétillants, puis elle enfile un t-shirt large et ample, bien trop grand pour elle. Mon amie se retourne et me lance avec un grand sourire, signe que la soirée repart sur des bons offices :

- Bon on s'le fait ce fameux cocktail ? Allez, crois-moi, tu vas adorer.

Nous revenons dans le salon et nous nous asseyons en tailleur l'une en face de l'autre adossée sur le canapé. Camille prend nos deux verres et les pose à terre, puis elle décapsule les canettes de Red Bull enfouies au fond du sac. Elle m'étonne par la dextérité avec laquelle elle exécute cette fameuse mixture. Ensuite, elle ouvre la bouteille de vodka noire, la hume et me la fait sentir, on se regarde tout sourire avec une pointe d'impatience et de curiosité pour ma part.

J'ai les yeux grands ouverts, lorsque je vois le cocktail prendre forme, en effet, la vodka reste au-dessus et forme une couche noire qui donne un effet visuel étonnant.

Mon amie saisit les deux verres et m'en tend un.

- Santé un peu, amour beaucoup, sexe follement et amitié toujours !

Nous trinquons et je déguste le désormais célèbre Dark Angel.

Certes, c'est une boisson forte, mais le Red Bull estompe un peu la sensation d'alcool, toutefois les effets sont instantanés, mes joues deviennent brûlantes et sans doute rouge, une bouffée de chaleur monte en moi et mon nez me pique un peu. En face de moi, à l'identique Camille plisse un peu son nez en raison de la force de la boisson.

À la différence près qu'elle boit une seconde rasade qu'elle a du mal à finir en raison d'un étranglement issu d'un début de rire. Je la regarde étonnée, ne sachant absolument pas la cause de gloussement.

Heureusement, Camille s'aperçoit vite de mon air hébété et après avoir retrouvé un semblant de contenu, elle me pointe du doigt et m'annonce :

- Toi, tu vas vite t'apercevoir de la spécificité de cet alcool ! T'as les lèvres légèrement noircies et les dents noires aussi !
- Quoi ? Qu'est ce que tu racontes ? dis-je perplexe.
- Bah c'est simple, regarde...

Pour illustrer ces propos, elle tire la langue exagérément et à ma grande surprise, sa langue est noire !

- Eh oui, reprend-elle. La vodka noire laisse des traces sur la langue et un peu les lèvres ! T'en as plein, t'as l'air maligne ! pouffe-t-elle.
- Merde ! C'est délire ton truc ! Heureusement quand même qu'on est qu'entre nous, car on doit avoir l'air bête !

Camille retire sa langue outrageusement devant et moi et par jeu tout comme par défi, je fais de même tentant de la tirer le plus possible pour la battre. Il est vrai que sa langue est toute noire. Nos yeux sont grands ouverts et pleins de lueurs, nous sommes bêtes, mais heureuses, aidées par l'alcool et la soirée qui nous fait oublier nos emmerdes.

Et sans savoir pourquoi, comme poussée par l'ivresse du moment, j'ai envie de serrer dans mes bras mon amie, ma meilleure amie et je m'approche un peu plus d'elle. Et dans un mimétisme mystérieux, elle fait de même jusqu'à être toute proche et à s'embrasser...

On se redresse sur nos genoux, la main de l'une maintenant la nuque de l'autre. C'est un baiser foudroyant et foudroyeur. Tout semble vaciller autour de moi et très vite plus rien n'existe autour de nous. Ses lèvres sont douces et fermes, nous nous embrassons sans complaisance, avec fougue et une lueur de passion. Un frisson nous électrise lorsque nos poitrines entrent en contact. Je tombe à la renverse entraînant Camille aussi. Ma tête cogne contre la moquette, je laisse sortir un petit grognement et le temps d'une fraction de seconde tout s'arrête. Nous nous regardons, moi un peu sonnée. Camille tente de dire quelque chose, sans doute un simple « ça va ? ». Mais, elle parvient uniquement à retenir son souffle un court moment. Nous sommes essoufflées, mon cœur bat la chamade, j'imagine au même rythme que le sien.

Une mèche blonde tombe sur son visage et tout se déclenche à nouveau. Elle se jette à mes lèvres, nous nous embrassons encore et encore, découvrant les premiers délices de la féminité de l'autre.

Je suis la première à passer ma main sous nos remparts de vêtements. Je caresse son dos, de l'autre je pousse le fouillis qui traîne à terre pour nous faire plus de place et d'un roulement, la voici allongée et moi au-dessus d'elle. Je lui retire promptement son t-shirt et découvre une nouvelle fois sa poitrine, mais cette fois-ci tout est différent. Je découvre ses seins petits qui s'offrent à moi, ou plutôt à mes baisers. Du simple bout de la langue, je titille ses tétons comme je voudrais que tout amant le fasse, c'est-à-dire dans un élan de douceur avec une pointe de malice. Camille passe une main dans ma chevelure comme pour me confirmer tout le bien qu'elle ressent de ma méthode. Soudain, elle se courbe un bref instant et susurre un soupir.

Je ne peux plus résister, je désire aller plus loin, toujours poussée par un désir profond. Je descends dans une série de caresses et baisers à destination de sa poitrine et son ventre. Mes doigts et yeux arrivent au niveau de son pantalon. Un dernier regard vers son visage me confirme de ne garder aucune retenue. Son jean glisse laissant vite apparaître le tissu noir de sa culotte. Le frottement du jean et accompagné de ma langue qui glisse le long de ses jambes jusqu'à sa cheville gauche. Je remonte me positionner à ses côtés et nous nous enlaçons, ses mains se font plus osées également. Je passe mes doigts sur l'élastique de sa culotte, mais n'ose pas aller plus loin, alors j'appuie sur son bas-ventre qui paraît être brûlant sous cette étoffe de tissu.

Dans un dernier baiser, où elle me mord les lèvres, elle repasse au-dessus de moi.

- C'est à ton tour maintenant, dit-elle.

La comprenant parfaitement comme jamais, je tends mes bras afin de l'aider à retirer mon haut. Camille n'attend même pas que je dégrafe mon soutien-gorge pour embrasser mes seins, les sortir de leur balconnet de dentelle. Ces quelques baisers réveillent en moi des envies insoupçonnées jusque-là. Mon soutien-gorge vole à présent à travers la pièce, lancé dans un geste trahissant l'émotion et l'excitation.

Camille appuie sur mes seins, sans jamais me faire mal, bien au contraire, elle parvient à trouver les caresses adéquates pour mon plus grand plaisir. Je me tourne sur le dos et elle me masse, la nuque en premier avec une grande attention, car je lui ai confessé, lors d'une précédente soirée, que c'était une zone particulièrement érogène pour moi. Son massage explore mes omoplates et le creux de mon dos, ensuite, c'est un délice.

Maintenant, elle appose ses mains sur ma jupe, pile au niveau de mes fesses. Elle froisse un peu le tissu et le remonte. Mes fesses apparaissent au regard de Camille. Je sens une de ses mains tremblantes oser faire le premier contact et me faire rougir simultanément.

Soudain, je sens mon string glisser lentement puis le mouvement devient plus rapide, sans m'en rendre compte, je soulève mon bassin pour qu'elle puisse me déshabiller intégralement. Ma jupe et mon string ne sont qu'un tas de vêtements dorénavant. Me voici nue sous les faisceaux incessants de Camille.

Je sais que mon prochain geste est lourd de conséquences et je prends tout mon courage pour l'exécuter avec le plus d'élégance et de naturel possible afin d'évacuer le restant de gêne qui me tenaille encore le ventre. Délicatement, je me retourne me dévoilant aussi nue que Eve, seule la paume d'une de mes mains retarde ce moment ultime en servant d'abri à mon fin duvet intime. Mais la main de mon amie s'en empare, tendrement, et d'un geste, qu'elle réalise en plongeant son regard dans le mien, elle me dévoile entièrement.

Nous jouons un instant avec nos doigts, faisant un puzzle indéchiffrable. Puis, nous nous enlaçons une fois de plus, lors de cet énième échange de douceur, Camille entreprend une danse dans l'unique but de retirer sa culotte devenue bien trop voyante dans une telle circonstance. Et ses jambes s'enroulent autour des miennes à l'instar de nos langues.

Depuis, notre apprentissage commun de l'amour saphique, c'est elle qui est la plus timide, alors comme pour briser une timidité qui pourrait paraître pour de la retenue voire de la gêne, c'est la première à frôler de sa bouche mon sexe.

C'est une approche des plus sensuelles. Elle commence par un délicat baiser sur mon aine puis sa joue se pose et masse subtilement mes lèvres humides. Et enfin sa bouche s'ouvre sur mon fruit secret. Mes ongles se plantent dans la moquette, mes yeux se ferment par une euphorie jusque-là inconnue.

La timidité de Camille se mue bientôt en frénésie délicieuse. Sa main passe de mes cuisses, à mon ventre, se perdant des fois à travers mes doigts ou le duvet de mon pubis. Mon souffle est indépendant de mon cerveau, une larme me vient à l'œil tant le plaisir est bon et la découverte de cette nouvelle forme d'amour est électrique.

Un duel terrible naît au fond de moi. Continuer à profiter de ce torrent de plaisirs ou faire partager ces sensations mystérieuses. C'est sur un dernier frisson volé que ma décision prend forme. Je referme un peu plus les cuisses et Camille relève la tête, je profite de cet arrêt pour glisser sur elle et inverser nos positions.

Me voici, tout près de son sexe lisse. Cela ajoute à l'érotisme qu'elle ne cesse de dégager depuis le début. Tout le reste de son corps la peau de son bas-ventre est d'une blancheur éclatante. Je dirais même que cet endroit couvert par les ombres de la décence est sans doute encore plus éclatant. Seule la porte de son secret tranche avec cette blancheur. Comme si je buvais le Saint-Graal, je m'approche avec précaution et respect de son sexe et lui apporte toute la grâce de mon être.

Je lèche mon amie tentant de la faire vibrer autant qu'elle m'a fait vibrer. Elle ne tarde pas à trembler et s'agiter de toute part, ses soupirs comblent le silence du moment. À présent, ses soupirs se transforment en gémissements lorsqu'après quelques hésitations et tâtonnements j'arrive à atteindre avec couronnement son clitoris. Ma langue s'agite rapidement sans aucun arrêt, j'entreprends de parfaire mon cunni par l'approche de mon majeur vite accompagné par mon index. C'est un vrai émerveillement de la voir ainsi savourer mes caresses. Sa main sur son ventre comme pour tenter vainement de contenir une émotion qui la dépasse.

Soudain, ses pieds bougent en tous sens, un gémissement trahit tout son intérieur, mes doigts semblent être pris dans un étau. Elle se redresse à moitié dans un sursaut et se paralyse dans cette position incongrue. Puis, elle retombe comme retenue par des bras invisibles dans un mouvement extrêmement lent, son sourire, lui, est figé.

Alors que je crois qu'elle va ainsi irrémédiablement retomber, elle se retient sur ses avant-bras et stoppe ainsi sa chute.

Ses sourcils sursautent et une lueur saisissante jaillit de ses yeux. Elle s'assoit sur les fesses les jambes bien écartées, je fais de même et nous voici l'une presque contre l'autre. Seul un étroit passage nous sépare, seuls nos essoufflements se touchent. Alors que nos baisers nous reposent puis nous redonnent de l'envie, nos mains se faufilent à travers cet espace. Nous caressons l'autre tout en se fixant les yeux dans les yeux et le rouge sur le visage.

Très vite, c'est dans une parfaire harmonie que l'une répond à la caresse précédente de l'autre. Celles-ci se font de plus en vite, de plus en plus profonde. C'est un échange perpétuel de bonheur que l'on se transmet. Ce jeu dure pour notre plus grand plaisir.

Toutefois, Camille se saisit de mon poignet et le serre suffisamment pour que je cesse mes caresses à son encontre. Je devine bien vite son idée, m'offrir la jouissance que je n'ai pas encore eue. Ses doigts vont et viennent en moi à un rythme diaboliquement divin, peu à peu je sens mon être se rapprocher de l'explosion attendue. Une main passe dans son dos, presque sans le vouloir je la griffe, mais au moment où j'allais arrêter, croyant lui faire mal, je m'aperçois qu'elle apprécie au contraire.

C'est lors de cette distraction que tout mon corps s'est étendu et je reçois de plein fouet l'onde de bien-être s'abattre et imploser en moi, me laissant pantois, presque assommée. Je jouis longuement sans retenue, inondée et tout simplement détendue. Camille me prend dans ses bras après un dernier frisson mêlé de douceur.

Nous restons dans les bras, unies et ensemble, proches comme jamais. Nous nous allongeons de cette manière. Mes tempes sont encore bouillantes et vibrantes au rythme de mon cœur battant encore la chamade.

Dans une position indescriptible, les membres mêlés les uns avec les autres, nous restons ainsi collées et ensemble. Ma tête reposant sur sa poitrine, je perçois son cœur battre et reprendre une cadence plus modérée. C'est sur cette berceuse naturelle, qu'épuisée et enveloppée par une béatitude absolue, je m'endors dans un sommeil tendre et complice.

Cette soirée fut la seule, inoubliable et unique, une découverte de l'amour saphique et du paroxysme d'une amitié complice. Nous n'en avons jamais reparlé, mais à coup sûr, cela posa un scellé sur notre amitié. Ce soir-là, nous avons délaissé notre amour des hommes pour celui de la complicité féminine. Une parenthèse sensuelle, une explosion d'envies et une belle amitié, voilà les ingrédients d'un cocktail savoureux au goût éternel...

Par Sophie - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 27 janvier 6 27 /01 /Jan 20:06
Css, "Let's Make Love And Listen Death From Above" mais qu’est ce donc que ce titre « Let's Make Love And Listen Death From Above”? ca bougem c’est pas mal, même très bien, je trouve. Alors en quelques mots CSS c’est un groupe brésilien, jeunes et énergiques. Ce que j’aime chez eux c’est les paroles des fois pas très comprehensible dans lesquelles on peut entrendre presque tout ce que l’on veux . c’est un vrai bordel pas de style défini mais une ligne directrice profitons de la vie, ou l’on parle de mad love plus souvent qu’ailleurs.


Css cela veux dire  Cansei De Ser Sexy "fatigué d’être sexy" en portugais.  La rumeur veut que cela soit une citation de Beyoncé récopiée dans un tabloid. Pour l’info, CSS a signé chez subpop label de seattle, connu pour avoir travaillé avec nirvana, gage de qualité?

Pour plus d’infos le site : http://csshurts.com/ (Aussi bordélique que la musique )!! il y a aussi pas mal de vidéo du groupe sur une csschannel, on arrete pas le progrès.

Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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