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Dimanche 19 août 7 19 /08 /Août 19:39
Les Zogs existent-ils vraiment ? Une question une peu étonnante. Mais ...

Une bobine de film est retrouvée, montrant la vie d'extra-terrestres : les Zogs. Ceux-ci sont en de nombreux points semblables aux humains, si ce n'est que la tête et les organes sexuels sont "au mauvais endroit". L'assistance qui découvre le film est outrée par l'existence d'êtres aussi scandaleux et demande l'extermination des habitants de la planète Zog.

Seul Dwight Hokum sait que les Zogs ont déjà envahi la terre. Lui seul peut sauver la planète.

Deux mille ans plus tard la flotte de vaisseaux spatiaux qui a quitté la terre parcourt toujours l'univers à la recherche de la planète Zog. L'équipage est partagé entre ceux qui croient à l'existence des Zogs et ceux qui la rejettent. Dans cette lutte acharnée entre les deux camps, Adam et Eva Hokum sont résolus à trouver le bonheur ensemble. La planète Zog sera-t-elle un paradis pour eux ?



La bande annonce:
http://www.premiere.fr/premiere/cinema/films-et-seances/bandes-annonces/video/intolerance
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 12 août 7 12 /08 /Août 21:07
L'abbaye médiévale de Lagrasse, dans l'Aude, devait être le lieu de rassemblement culturel dont le sujet cette année était la Nuit Sexuelle, avec ventes et discussions autour de livres, projections de films et débats. Des films sulfureux comme  Salo ou les 120 journées de Sodome, de Pasolini ou L'Empire des sens, d'Oshima, qui seront projeté dans l'ancienne cuisine des moines.

En effet, le lieu de cette rencontre est l’abbaye médiévale de Lagrasse partagée entre chanoines traditionalistes à qui appartient en partie l'édifice et Le conseil général de l'Aude qui possède le reste de l'abbaye.

Cependant rien ne c’est passé comme prévu. Dans la nuit du mercredi 8 au jeudi 9 août la librairie du Banquet du Livre a été saccagée par des inconnus ayant pénétré sans commettre d'effraction dans l'abbaye. Selon les organisateurs, un mélange de gasoil et d'huile de vidange a été répandu sur les livres, détruisant entre 8 000 et 10 000 ouvrages. Le SRPJ de Carcassonne a commencé son enquête jeudi 9 août au matin. Pour l'heure, l'acte n'a pas été revendiqué. "L'événement de ce matin est assez choquant (...) Ca ressemble à la symbolique de l'autodafé", s'indigne Valérie Dumontet, la chargée de mission au cabinet du président du conseil général, qui a porté plainte.

Ils semblent que certaines personnes voient dans la tenue de cette manifestation dans ces lieux une provocation. Le lieu ne serait pas le adéquate pour tenir lectures, conférences et débats philosophiques sur le plaisir et la représentation des relations hommes femmes dans le monde.

Les organisateurs et les participants du Banquet ont décidé de maintenir, jusqu'à son terme, le programme de la manifestation.
Par Lulu - Publié dans : Sortir
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Mardi 31 juillet 2 31 /07 /Juil 01:51
Ah l’été la chaleur, tous vas plus doucement et pourtant…
En proie à son désir pour les femmes, Richard O. explore les arcanes sinueux de l'érotisme, à travers Paris au mois d'août et ses habitantes estivales.

Ce film, la quête de Richard O, oh bien sur rien avoir avec l’autre histoire.
Que cherche cet homme lors de ces rencontres ? le plaisir ? son plaisir ou se cherche t il lui même ?

Le film de Damien Odoul rassemble ces treize éclats de jouissance.  13 rencontres, 13 femmes, 13 expériences...


Par Juju - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 29 juillet 7 29 /07 /Juil 18:06
Voici un extrait d'un livre à lire l'été mais pas seulement... le titre et plus dans quelques jours....

Je suis une pétasse. De celles que vous ne pouvez supporter; de la pire espèce, une pétasse du XVIe, mieux habillée que la maîtresse de votre patron. Si vous êtes serveur dans un endroit «branché» ou vendeur dans une boutique de luxe, vous me souhaitez sans doute la mort, à moi, et à mes pareilles. Mais on ne tue pas la poule aux œufs d’or. Aussi mon engeance insolente perdure et prolifère‑t‑elle…

Je suis le symbole éclatant de la persistance du schéma marxiste, l’incarnation des Privilèges, l’effluve capiteux du Capitalisme.

En digne héritière de générations de femmes du monde, je passe plus de temps à me laquer les ongles, à me dorer la pilule au Comptoir du soleil, à rester le cul sur un fauteuil et la tête dans les mains d’Alexandre Zouari, à lécher les vitrines de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, que vous à travailler pour subvenir à vos petits besoins.

Je suis un pur produit de la Think Pink generation, mon credo : sois belle et consomme.
Embrigadée dans le tourbillon polycéphale des tentations ostentatoires, je suis la muse du dieu Paraître sur l’autel de qui j’immole gaiement chaque mois l’équivalent de votre salaire.
Un jour, je ferai sauter mon dressing.
Je suis française et parisienne et je n’en ai que faire, je n’appartiens qu’à une seule communauté, la très cosmopolite et très controversée Gucci Prada tribe; le monogramme est mon emblème.
Je suis un peu caricaturale. Avouez que vous me prenez pour une sacrée conne en total look Gucci, sourire bleeching et cils papillonnants.

Vous avez tort de me sous-estimer, ce sont des armes redoutables, c’est grâce à elles que je dénicherai plus tard un mari au moins aussi riche que papa, condition sine qua non de la poursuite de mon existence si délicieusement et exclusivement futile. Car travailler n’entre pas dans la liste de mes nombreux talents. Je me ferai entretenir et voilà. Comme mère et grand-mère avant moi. Cela dit, depuis quelques décennies, la concurrence est rude sur le marché matrimonial de grand luxe. Les bons partis sont sollicités de toute part par une armada de mannequins, de secrétaires, et autres soubrettes ambitieuses dont les dents blanches rayent le parquet et qui ne reculent devant rien pour se tailler la part du lion. La part du lion = un appartement de réception rive droite + une classe A + une armoire de fringues griffées de mauvais goût + deux têtes blondes + narguer les anciennes collègues moins bien tombées.

Et oui, Paris ouest, nous sommes tous beaux, nous sommes tous riches.
Riches, vous y croyez sans peine, vu le prix du mètre carré, si nous n’étions pas riches, nous n’habiterions pas là. Beaux, je vous sens dubitatifs. Réfléchissez un peu. Dans un monde où la promotion sociale par le cul fait rage depuis des générations, les familles laides ont été épurées à coup de mésalliances qui, unissant un gros plein de soupe et de millions à une arriviste bien foutue, ont abouti en général à la progéniture parfaite, puisque dotée du physique de maman et du compte en banque de papa. On ne gagne pas à tous les coups, certes, et pour peu que papa se fasse rouler par son homme d’affaires et que les gènes de maman n’arrivent pas à s’imposer, l’enfant peut également naître laid comme papa et pauvre comme maman. C’est ce qu’on appelle la malchance, mais je ne m’étendrai pas sur ce point. Je n’ai pas pris la plume pour vous décrire l’existence de gens pauvres et laids : primo, j’en ignore tout, secundo, ce n’est pas un sujet des plus réjouissants.

Vous savez, le monde est divisé en deux, il y a vous et puis il y a nous. C’est sibyllin, je vous l’accorde…
Je m’explique. Vous avez une famille, un job, une voiture, un appartement que vous n’avez pas fini de payer. Embouteillages, boulot, dodo, tel est votre lot si vous avez de la chance. Métro, ANPE, insomnie car problèmes d’argent pour les moins bien lotis. Votre avenir se résume à la répétition de votre présent. Vos enfants, s’ils se débrouillent, vivront peut-être dans 50 mètres carrés de plus et recouvriront de cuir les sièges de la Safrane familiale. Vous serez fiers d’eux. Ils vous amèneront les petiots en vacances dans la maison que vous achèterez dans le sud de la France une fois retraités et à bout de forces.
Vous êtes des bourgeois moyens, vous savez réparer une télé et madame fait bien la cuisine. Heureusement pour elle, sinon vous la largueriez pour la même en plus jeune, étant donné que cela fait vingt ans qu’elle vous fait le coup de la migraine. La dernière fois que vous l’avez touchée remonte au dernier match France-Italie, quand vous avez agrippé fébrilement son bras parce que la France marquait à trente sec de la fin. «Excuse-moi, chérie.»

Vous avez quelques soucis en ce moment; vous devez réparer la machine à laver, Jennifer s’est teint les cheveux en rouge et se révèle plus adepte des piercings que du catéchisme, Kevin a adopté un accent des banlieues des plus déplaisants. Tous deux sont médiocres, et laids. Ce doit être l’hérédité. Votre femme frustrée laisse intentionnellement traîner sur votre bureau des exemplaires de Men’s Health. Vous vous surprenez à rêver de votre secrétaire en string, de votre nièce en string, de tout le monde en string. Votre vie ne vous satisfait plus.
Cela pourrait être pire. Vous pourriez habiter un trois-pièces-cuisine en banlieue, sans télé et sans lave-vaisselle. La version avec télé serait pire encore, car vos six enfants la feraient hurler en permanence, en particulier pendant les émissions de real TV.

Vous pourriez vivre dans la rue.

Vous pourriez aussi être des nôtres…

Mais qui sommes-nous?

Nous sommes tout simplement les héritiers des Domini de la Rome Antique, des Suzerains du Moyen Age, de la noblesse d’épée de la Renaissance, des grands industriels du xixe, l’infime fraction de privilégiés qui détiennent dans leurs serres constellées de bijoux Cartier 50 % du patrimoine français.
La propriété est à l’origine de l’inégalité parmi les hommes. Nous ne nous en plaignons pas.
Nous, nous pouvons tout faire, tout avoir, puisque nous pouvons tout acheter. Nés avec une petite cuiller en argent dans nos bouches VIP, nous enfreignons gaiement toutes les règles car la loi du plus riche est toujours la meilleure.
C’est jouissif d’agiter notre abondance-décadence sous le nez de la pauvreté roide et vertueuse; Prada festoie au siège du Parti communiste, J.-M. Messier lui-même-maître-du-monde exhibe ses chaussettes trouées, Galliano s’inspire des clochards du bois de Boulogne pour concevoir sa collection hiver 2000… Nous ne le faisons pas exprès. Y en a marre d’être des riches qui faisons les riches. Gucci sort des bracelets de force, les «fils de» se rasent le moins possible, les bonnets pullulent avenue Montaigne, Helmut Lang balance de la peinture sur un jean sale et le vend mille deux cents balles…
A deux cents à l’heure dans les rues de Paris où il ne fait pas bon traîner quand nous sommes au volant, nous mêlons l’alcool à la beu, la beu à la coke, la coke aux ecstas, les mecs baisent des putes sans capotes et jouissent ensuite dans les copines de leurs petites sœurs, qui se font de toute manière partouzer du soir au matin. Nous sommes en plein délire, emportés dans une course effrénée de gaspillage gargantuesque, de luxe luxurieux. On prend du Prozac comme vous prenez du Doliprane, on a envie de se suicider à chaque relevé bancaire, parce que c’est vraiment honteux quand on pense qu’ailleurs, il y a des enfants qui crèvent de faim, alors qu’on s’empiffre et qu’on s’en met plein le pif. Le poids de l’injustice du monde repose sur nos frêles épaules d’ex-enfants délicats. Vous, vous en êtes victimes, mais on ne peut pas vous le reprocher.

De toute façon, quoi que nous fassions, c’est honteux.

Oui, nous nous balançons le contenu de magnums de grands crus millésimés à travers la gueule sur les plages de Pampelonne. Et alors? Ce n’est pas vous qui payez la note? Et puis j’ai remarqué l’été dernier que la plage publique accolée à la Voile Rouge ne désemplissait pas. Ça sunbathait là, comme si de rien n’était, et quand une Porsche passait, même une banale Boxster (entre nous surnommée la Porsche du pauvre à cause de son prix qui n’excède pas les trois cent mille), c’était l’effervescence, ça en perdait son bob, ça lâchait son panini ou son beignet, ça coupait son walkman, les bras vous en tombaient, vous n’arriviez plus à respirer et vos oh et vos ah couvraient le bruit du moteur… Une Ferrari, et alors là, c’était l’infarctus de masse. Pas la peine de nier, j’étais dedans, je vous ai bien vus… Vos yeux brillants, vos mains tendues… vous transpiriez l’envie, vous escaladiez même la palissade mitoyenne pour entr’apercevoir un bout de string, un mauvais profil de star et respirer les effluves exquis d’un dom pérignon 85 séchant sur un maillot de bain Erès et une peau dorée de jet-setteuse… Vous auriez donné n’importe quoi pour être à notre place.
Vous vous faites du mal.
Avec hargne, vous jetez l’opprobre sur notre conduite. Vous voulez nous donner mauvaise conscience de dépenser un fric que vous ne posséderez jamais. C’est raté.
Je vous signale tout de même que nous payons des impôts, que sur douze mois d’éreintant labeur à donner des ordres aux autres, le fruit de six d’entre eux, nous n’en verrons jamais la couleur, l’Etat nous détrousse pour que vos enfants aillent à l’école. Alors laissez-nous tranquilles.

Enfin, pour l’heure, ça va pour moi. Ma seule préoccupation, c’est la tenue que je vais porter aujourd’hui. Je déjeune avec Victoria au Flandrin, et je devrais déjà y être, mais comme elle est aussi ponctuelle que moi, je peux me permettre de partir dans une demi-heure, et encore parierais-je bien mon sac Gucci que je l’attendrai dix bonnes minutes de plus.
J’ai donc trois quarts d’heure pour m’habiller, et ce n’est pas une sinécure. J’inventorie le contenu de mon dressing et de mes deux armoires. L’abondance n’est pas un cadeau, vous pouvez me croire, le problème étant la multiplicité des choix. Toutes ces fringues, et rien à me mettre. Je reste plantée au milieu de ma chambre en string, clope au bec et pleurant presque d’impuissance, ça m’ÉNERVE. Sans grande conviction, je finis par enfiler une robe Joseph rose pâle que j’ai déjà portée à Saint-Tropez le week-end de Pâques, et je mets une heure à trouver le pashmina assorti.
Mes mules Prada sont dans l’entrée, évidemment, ici, personne ne range. J’attrape le sac Gucci précité et heureusement que je viens d’acheter les toutes dernières lunettes Chloé, ce qui me remet de bonne humeur. Belle, bronzée et monogrammée, je quitte mon appartement en sautillant, le cœur léger.

Mon portable vibre.
Numéro privé.
— Oui?
— Ça va ma chérie, t’es où?
Ce n’est qu’une vague connaissance, et d’où se permet-il de m’appeler ma chérie?
— Je sors de chez moi, je vais déjeuner au Flandrin avec Victoria.
— Attends, je suis dans le coin, je passe te prendre.
— OK, dépêche-toi.
Il débarque trois minutes après, fait la roue dans sa Porsche, comme d’hab, je suis au téléphone avec Victoria qui est encore dans son bain, je m’y attendais, mais je lui hurle quand même dessus pour marquer le coup. Elle est morte de rire, elle s’en fout.
Nous filons comme l’éclair avenue Henri-Martin, on pousse à 150 et on manque d’écraser un beauf…
Cinq minutes après, nous arrivons au Flandrin. La terrasse est déjà surbondée, qu’importe, s’il n’y a plus de table, les serveurs m’en inventeront une. Ah, le Flandrin…
Dans le Paris grisâtre du métro et des gens anonymes, existe quelque part un îlot de gaieté luxueux et rassurant. Havre de paix, lieu de retrouvailles, siège de notre communauté, Saint-Tropez en plein mois de septembre.
Ici, les rayons de soleil ne meurent jamais. L’un d’eux frappe les cheveux d’or de cette fille splendide au nez recouvert d’un pansement chirurgical, il change de direction pour aller caresser le pare-chocs lustré de la Bentley bleu nuit d’un vieux beau qui déjeune, il se réverbère ensuite sur les lettres dorées d’un sac Dior, et fait scintiller de mille feux le cœur en strass de mes lunettes Chloé, son éclat anime une boucle de ceinture Gucci, puis se joue dans les deux ors Chaumet d’une Libanaise qui lit Points de vue, il heurte mon briquet Dupont et se perd dans les bulles de ma coupe de champagne…
Victoria vient d’arriver. Elle s’installe, commande des tomates mozzarella, et commence le lynchage de toutes les personnes présentes. Voir et être vu? Non, lyncher et se faire lyncher. Outre la qualité du service et de la cuisine (mis à part les desserts qui sont infects, comme chacun sait), le Flandrin, c’est la foire aux mondanités, c’est le rendez-vous de tout Paris, et un inépuisable champ d’action pour les mauvaises langues comme nous. Nous ne sommes pas les seules, d’ailleurs. Il faut voir ces jeunes filles en fleur et en total look saisonnier, aux cheveux mordorés, aux membres graciles, déjeuner délicatement, coudes aux corps et air de ne pas y toucher…
Approchez-vous… plus près… et écoutez leurs voix rauques et véhémentes…
Regarde, elle s’est fait refaire le nez… Et Julian, c’est qui la pouffiasse avec qui il déjeune? C’est une fille de l’Est, il l’a achetée à Vittorrio…. Je savais pas que Vittorrio faisait du trafic de filles de l’Est… Comment tu crois qu’il paie les bouteilles, tu sais bien que sa famille n’a pas dix francs, il sort de nulle part, ce mec… T’as vu Cynthia, elle a un sac Chanel à douze mille… Elle sort avec Benji le fou en sous-marin, il lui paye tout… D’où il tire tout ce fric, celui-là? Il vient d’acheter la nouvelle M3?… De la Bourse, mais ça va pas durer, t’en fais pas… Te retourne pas, y a l’amour de ta vie… Il est avec qui?… Avec l’amour de ma vie… Ils disent bonjour à Cynthia… Allô, ouais, ça va… Au Flandrin… nobody interesting… Tu nous rejoins… OK, bisou ma chérie… S’il vous plaît, je pourrais avoir une crème brûlée? Merci… C’est à qui cette Ferrari? Comment tu vas? Assieds-toi… Marbella, je pense, j’ai un ami vénézuélien qui loue un yacht de cinquante mètres… Ou alors Bali avec mes parents, me déconnecter un peu de tout ça, c’est tellement creux… Une fortune au casino… Je peux pas le voir, ce mec… Je suis défoncée, hier, je suis passée chez Chris, on a tellement tapé… Super mignonnes tes lunettes Chanel… Merci, je me suis acheté une Smart cab aussi… Tu sais pas avec qui j’ai baisé hier soir?… On s’en va?…
Dans le taxi qui me ramène chez moi, j’ai mal à la tête d’avoir trop fumé, et bizarrement, j’ai l’impression d’avoir perdu mon temps.

Qu’ai-je fait aujourd’hui? J’ai très bien déjeuné de tomates mozzarella, d’une sole que j’ai renvoyée en cuisine une première fois pour qu’on me la prépare, et une seconde fois parce qu’elle avait refroidi pendant qu’on me la préparait, ainsi que d’une assiette de macarons trop sucrés.

J’ai invité Victoria, huit cents balles pour un déjeuner de copines, c’est honnête.
Un con nous a fait porter une bouteille de Bollinger, que nous avons vidée. Par politesse.
Se sont joints à nous Julien, David, et David, respectivement le fils d’un chanteur très connu que j’ai pécho, le fils d’un PDG très important que j’ai pécho, et le fils d’un ex-ministre que je n’ai pas pécho car il est très cheum.
J’ai dit bonjour à quarante-deux personnes; dont six que je ne connaissais pas et qui m’ont été présentées.
Une Ferrari Maranello immatriculée au Luxembourg a retenu mon attention. Son propriétaire ne s’est malheureusement pas manifesté.
Le fils de l’ex-ministre très cheum est parti se taper un trait dans les chiottes, et les fils du chanteur très connu et du PDG très important ont brocardé avec enjouement la mère du fils de l’ex-ministre que leurs pères respectifs avaient tous deux retournée à maintes reprises.
Coké et requinqué, le fils de l’ex-ministre, revenu des chiottes, a profité de l’éloignement du fils du chanteur très connu qui vitupérait par portable interposé contre le garage Porsche qui n’en finissait pas de réparer sa boîte de vitesses massacrée lors d’une course, perdue d’ailleurs, contre un certain Andrea sur le périph à trois heures du mat deux jours auparavant, donc, à ce moment-là, le fils de l’ex-ministre m’a appris que le chanteur très connu n’avait plus dix balles.

— Son fils roule tout de même en Porsche?
— Signe extérieur de richesse basique, à peine plus représentatif qu’un 8210.
— Ah.

Et vous qui rêvez de notre opulence éclatante et dorée… ce n’est que du plaqué. Du fric, des bagnoles, des amis, des maisons partout, nos entrées partout… Et on n’a jamais rien à faire. Et on se crache tous à la gueule.
La vérité, c’est qu’on s’emmerde profondément parce qu’on n’a plus rien à désirer.
Le monde est trop petit, à huit ans, on en avait déjà fait dix fois le tour en business class…
Par Aline - Publié dans : Sortir
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Samedi 21 juillet 6 21 /07 /Juil 21:47
Le train venait de s’arrêter dans une gare de moyenne importance et des voyageurs étaient montés en partance pour Lyon ou Paris. La porte du compartiment dans lequel il était installé s’ouvre sur une ravissante jeune fille d’environ 20 ans, blonde, avec un petit nez retroussé Il a eu à peine le temps d’enregistrer ces détails que son regard est attiré comme par un aimant, vers le chemisier de la jeune fille. Bon sang se dit-il, je n’ai jamais vu de seins aussi pleins et pointus Elle n’a pas de soutien gorge ma parole. Dieu que c’est beau. Et aussitôt il sent une nouvelle fois sa queue bondir dans son jean et heurter la fermeture éclair.

-Vous pouvez m’aider à mettre ma valise dans le filet à bagages s’il vous plaît?

La fille a parlé mais il met quelques secondes à réagir tellement il est ému.

-Euh..oui, bien sûr; il empoigne la valise et, sans effort la pose dans le filet
au-dessus de lui. Voilà c’est fait.

A cet instant le train redémarre avec une petite secousse qui oblige la fille à se raccrocher à lui pour éviter de tomber. Il la rattrape et son regard tombe sur l’ouverture du chemisier, ce qui lui permet d’admirer deux magnifiques seins fiers et bronzés qui ne demande qu’à se laisser caresser. Le parfum de la jeune fille lui monte à la tête d’un seul coup et il bégaye plus qu’il n’articule un « excusez-moi, c’est le train qui... ». Sa phrase reste en suspend devant le sourire de la jeune fille. C’est le même que celui de sa cousine quand elle jouissait dans ses bras.

-Ce n’est pas grave, et merci pour la valise.

Elle s’est assise en face de lui légèrement décalée de façon à ne pas toucher ses pieds par inadvertance. Elle sort un livre de son grand sac à main et commence une lecture attentionnée sans se préoccuper de Claude qui n’en peut plus dans son jean décidément trop étroit. La couverture du livre est masquée par un couvre livre et il n’arrive pas à savoir ce qu’elle lit. Il voudrait bien lui parler mais n’ose pas la déranger. Elle a l’air tellement absorbée par sa lecture qu’elle l’intimide. Il reprend donc le fil de ses pensées tout en regardant à la dérobée les pieds de sa voisine. Au bout d’un moment, il est surpris par leur mouvement. La fille les croise, les décroise, les frotte l’un sur l’autre comme si... Son regard remonte le long de ses jambes bronzées. Des mouvements imperceptibles les agitent, les genoux se frottent , les cuisses se contractent parfois. Non, se dit-il, je rêve, elle est en train de se masturber, comme sa cousine l’avait obligé à faire un soir dans le dos de ses parents devant la télé. Elle l’avait forcé à coincer sa queue entre ses cuisses et, par un lent mouvement de va et vient, à le faire jouir au bout d’une bonne demi-heure sans émettre le moindre son ni le moindre mouvement suspect. Il avait profité d’un bruit plus fort à la télé pour lâcher son sperme entre ses jambes et, ensuite, il avait dû s’essuyer avec les doigts que sa cousine suçait voluptueusement.

Ce souvenir avait ravivé son excitation et maintenant il bandait dur comme fer et sa culotte en était humide. Comme si elle avait deviné ses pensées, la fille lève les yeux de son livre et surprend son regard sur son entrejambes. Il rougit violemment et réussi à articuler quelques mots histoire de sauver la face.

-Votre livre est intéressant ?

Les yeux bleus de la fille sont brillants, un petit air coquin les anime :

-Oh oui dit-elle, en souriant

-Et de quoi s’agit-il ?

-Un roman du Marquis de Sade, vous connaissez cet auteur ?

-Bien sûr lui répond-il, et c’est lequel ,

-Justine ou les infortunes de la vertu

-Ah oui, je vois dit-il, ce n’est pas le meilleur paraît-il, mais l’histoire de cette jeune pucelle marquée du sceau des putains a quelque chose d’effrayant ou de comique. Cela dépend de l’état d’esprit du lecteur, ou de la lectrice. Qu’en pensez-vous ?

Elle ne répond que par un sourire qui a pour effet de ranimer sa flamme qui s’était un peu calmée durant la discussion. Ce sourire est à la fois angélique et plein de promesse, de sous-entendu.

Il a retrouvé un peu de son sang-froid et, profitant des bonnes dispositions de son interlocutrice il lui demande son prénom:

-Je me prénomme Marie-Claude, mon grand-père était suédois.

Il s’enhardit un peu et lui propose de venir s’asseoir à coté d’elle pour lire le livre ensemble. « Ca me rappellera des bons souvenirs, Ah au fait mon prénom est Claude, c’est moins exotique que Marie-Claude mais je l’aime bien »

Elle accepte sans hésiter son invitation et il soulève l’accoudoir placé à sa droite pour lui faire de la place. Maintenant son parfum lui monte à la tête et, avec les secousses du train, leurs jambes se touchent à intervalles régulier et de plus en plus rapprochés d’ailleurs. Malgré l’épaisseur de son jean, il sent la chaleur de ses cuisses, surtout que sa jupe légère est remontée assez haut quant elle s’est assise près de lui.

-J’en suis arrivé au chapitre au cours duquel elle est recueillie par les moines

-Ah, dit-il, c’est effectivement un passage assez ...relevé !

Puis ils se taisent, lisant chacun silencieusement le chapitre en question. Ne sachant pas trop comment placer son bras droit qui le gêne pour la lecture, il l’a posé sur les épaules de Marie-Claude, sans qu’elle proteste ou l’enlève.

-Je peux tourner la page  lui demande-t-elle ?

-Euh..., oui, j’ai fini

Elle mouille son doigt sur sa langue rose et tourne la page lentement. Ils continuent à lire comme cela, page après page, doigt mouillé à chaque fois et sans prononcer une seule parole. Seule la chaleur de leur corps a augmentée et il la sent de plus en plus collée à lui. Au moment où elle lève son doigt pour la cinquième fois afin de tourner la page suivante, il bloque son geste avec sa main libre et, posant son index sur la bouche de Marie-Claude, lui ordonne d’une voix rauque,

-Suces mon doigt, c’est moi maintenant qui vais tourner les pages!

Surprise, mais déjà obéissante, elle prend dans sa bouche le doigt de Claude et le suce lentement, sur toute sa longueur, durant de longues secondes qui donne à Claude l’impression de durer une éternité. Il retire son doigt mouillé, luisant de la salive de Marie-Claude, et tourne la page du livre sulfureux. Leur lecture commune continue. Le bras droit de Claude serre davantage ses épaules attirant vers lui le corps brûlant de la jeune fille. Elle lui résiste un peu mais pas trop quand même. Il pourrait renoncer à ses projets qu’elle devine. Sa respiration s’est accélérée et il entend son cœur battre la chamade.

Ils continuent à lire mais, maintenant, chaque fois qu’il faut tourner la page, elle attend qu’il lui tende son doigt, qu’il le pose sur ses lèvres humides. Alors, doucement, elle l’avale et le suce longuement jusqu’à ce qu’il décide de le retirer. Il ne le retire pas d’un seul coup, non, il le retire, l’enfonce à nouveau, le retire jusqu’au bord des lèvres et l’enfonce à nouveau  et cela plusieurs fois de suite simulant ainsi un coït buccal qui les excite au plus haut point. Marie-Claude sent que sa culotte est mouillée, elle ruisselle de foutre; jamais elle n’a bandé comme cela. Elle a envi qu’il la baise, là, sur le champ, dans ce wagon où la température est montée brusquement de plusieurs degrés. S’il le lui demande elle obéira sans discuter, sans un mot. Claude a deviné l’état de Marie-Claude. Il a senti le corps de la jeune fille se contracter de plus en plus alors que ses lèvres devenaient de plus en plus molle, de plus en plus humides. Une forte odeur de transpiration se dégage de son corps, comme cela se passait avec sa cousine quand elle bandait dans ses bras. Il connaît les filles depuis ces expériences passées. Il sait qu’elle est prête à tout pour se faire baiser et jouir, jouir pour relâcher la tension qui serre son bas-ventre.

Alors il se décide. Il enlève son bras qui entourait les épaules de Marie-Claude et, d’une voix autoritaire mais douce à la fois il lui ordonne de se lever et d’aller fermer la porte du compartiment et de tirer les rideaux. Le contrôleur est déjà passé, il n’y a plus d’arrêt avant Lyon. Il pense qu’ils ont plus d’une heure devant eux pour s’amuser un peu. Marie-Claude ne dit rien, elle attend les ordres. Il ne lui déplaît pas de se faire commander même si ce n’est pas dans ses habitudes. Une fois de temps en temps ce n’est pas désagréable. Sur son ordre, elle éteint la lumière et le compartiment est plongé dans la pénombre de cette fin de journée. Alors qu’elle à encore le bras levé vers l’interrupteur, il en profite pour détailler à nouveau sa silhouette. Superbe, cette fille est superbe, reste à savoir si elle tient ses promesses.

-Stop, ne bouges plus , lui dit-il, reste dans cette position avec un bras en l’air, oui comme cela, et maintenant tournes toi, que j’admire le coté face. Magnifique, enlèves ta jupe.

Elle la déboutonne lentement, la fait glisser le long de ses jambes bronzées sur lesquelles un léger duvet blanc apparaît. En passant d’un pied sur l’autre, elle l’enlève complètement  et sur son ordre, la lui donne. Durant ce strip-tease improvisé, elle a quitté ses chaussures. Pieds nus sur la moquette du compartiment, elle attend les ordres. Lui pendant ce temps, a renifler le tissu de la jupe et l’odeur du sexe de Marie-Claude est là, présent !!

-Tu es très belle comme cela et cette culotte noire te va à ravir. Approches.

Elle s’avance vers lui et sur son invitation, elle s’assoit à califourchon sur ses genoux, écartant ainsi largement ses cuisses. Les mains brûlantes de Claude se posent dessus et remontent lentement vers son entrejambe, pour redescendre vers les genoux et remonter encore plus près de la culotte noire Finalement il la caresse dans entrejambe, au travers de la culotte, qui ressemble d’ailleurs plus à une éponge qu’à un vêtement sec. Elle est mouillée et Claude sent sous ses doigts les replis de la peau qui entoure sa vulve. Les petites lèvres roulent sous ses doigts agiles, sa cousine l’a bien éduqué. Ses caresses se font précises et Marie-Claude gémit, halète de plaisir retenu. Il s’arrête un peu, pour lui laisser reprendre un peu ses esprits.

-Tu es vierge? lui demande-t-il  avec un sourire sur les lèvres.

-Non, cela fait bien longtemps que j’ai été dépucelée par mon petit ami de l’époque.

-A quel âge cela est arrivé ?

-J’avais 15 ans environ.

-C’est jeune, et il a fait ça bien au moins. Ce serait dommage de faire souffrir un bijou comme toi.

Elle sourit pour la comparaison et le rassure. «  Oui ça s’est bien passé car il avait l’expérience des femmes. C’était un homme d’une vingtaine d’années, un vieux quoi ! ». Et elle rigole au souvenir de ce dépucelage.

-Tu es marié maintenant, fiancée peut-être ?

-Non, pas du tout, j’ai des amants pour satisfaire mes envies.

- Des amants! Combien, un régiment, une équipe de foot ? Claude est surpris, même s’il ne veut pas le laisser paraître.

-En ce moment j’en ai 3. Un très jeune, 16 ans, qui est inépuisable, une merveille, toujours près à bander et me défoncer la chatte quand l’envie me prend. Je lui téléphone et 5 minutes après, je suis dans ses bras et il me baise sans s’arrêter jusqu’à ce que je sois épuisée. Ca peut durer une heure voire plus certains jours. Le deuxième est un père de famille d’environ 45 ans pas très rapide mais un véritable artiste. Il est capable de me maintenir au bord de l’orgasme des heures durant tout en me baisant par tous les orifices de mon corps. Quand il m’encule je devient complètement folle et il fait de moi ce qu’il veut, je suis incapable de lui dire non. Le troisième est un retraité pas performant mais pas exigeant non plus. Par contre il sait se montrer très généreux et c’est intéressant surtout en fin de mois!

Claude est estomaqué et il ne peut s’empêcher de lui dire «  Ben ma salope, tu ne t’embêtes pas toi au moins. On peut dire que ton cul et le trait d’union entre les générations ». Il éclate de rire en disant cela, et elle ri aussi.

Tout en lui parlant, Claude a continué à explorer le corps de Marie-Claude. Le chemisier fermé du départ n’est plus qu’un lointain souvenir, il est largement ouvert sur la magnifique poitrine de Marie-Claude. Ses seins sont maintenant entre les mains de Claude qui les pelote avec tout le soin nécessaire. Une large aréole brune entoure les pointes des mamelons qui, sous l’effet des caresses de Claude, sont largement dressés et ont durci sous ses doigts. Il les pétrit et les serre doucement entre ses doigts ce qui a pour effet de faire gémir Marie-Claude à chacune des pressions qu’il exerce à intervalles réguliers. Chaque fois elle a l’impression qu’il lui enfonce une aiguille dans le mamelon mais ce n’est pas douloureux, au contraire. C’est une onde de plaisir qui parcoure ses seins, puis son ventre pour se focaliser à la pointe du bouton qui orne l’entrée de sa vulve. Le clitoris de Marie-Claude est gonflé, tendu comme le sexe de Claude, du moins se l’imagine-t-elle puisqu’il ne lui a rien donné à voir ou à toucher encore

Marie-Claude n’en peut plus, elle veut jouir, sa chatte dégouline d’une liqueur odorante dont l’odeur commence à remplir l’étroit compartiment. Elle veut jouir et le lui dit en haletant les mots plus qu’en les disant « fais moi jouir, je t’en supplie, tu m’as eu, je suis à toi, mais fait moi jouir. Aaaah, c’est bon, continu, oui oui encore »

Mais lui ne presse pas, il alterne les caresses, celles qui l’amène au bord de l’orgasme et celles qui l’en éloigne. Cette science il l’acquise à ses dépends et maintenant il veut en tirer profit avec cette fille que le hasard lui a envoyé.

Marie-Claude est affolée par le plaisir lancinant qui vrille son bas-ventre, lui empli le sexe sans jamais déboucher sur l’orgasme libérateur. Son vagin se contracte au même rythme que les doigts de Claude et son anus fait pareil. Tout son corps bat au même rythme. Sa bouche est sèche à force de respirer par à-coups comme un petit chien, elle lui répète encore et encore «  fais moi jouir Claude je t’en supplie, je suis à toi, fais ce que tu veux de moi, je t’appartiens, je suis ta reine , ton esclave , Aaah je veux jouir, encore, encore des caresses, là ne t’arrêtes pas, c’est bien, oui encore, encore Ooooh oui tu me fait du bien, serres moi fort oui, ouiii ». Mais une fois de plus il a ralentie le rythme et elle s’affaisse un peu  frustrée de ne pas jouir, heureuse qu’il continue à la peloter, à la fouiller avec ses doigts magiques. Il l’attire vers lui et s’empare de sa bouche doucement d’abord, puis, de plus en plus avidement. Sa langue pénètre la bouche de Marie-Claude et exécute de savants va et vient. Il prend possession de sa langue, la domine, la maîtrise et finalement comme il a vaincu le corps de Marie-Claude il devient le maître de sa langue. Il la tient entre ses dents, sans serrer fort mais fermement quand même et il la suce comme elle lui sucerait la queue s’il le lui demandait.

Elle ne résiste plus du tout, s’abandonne complètement dans les bras de ce jeune homme qu’elle ne connaissait pas une heure auparavant. C’est fou, il a fait d’elle une esclave de l’amour dans ses bras. Lui est heureux. Il l’a vaincu par sa science des caresses et, intérieurement, il remercie sa cousine pour ses leçons.

Marie-Claude veut se branler car la tension dans son ventre est trop forte. Il faut qu’elle jouisse. Mais il bloque son geste et lui ramène les deux mains derrière le dos.

-Laisses tes mains comme cela sinon je t’attache, lui dit-il. Elle s’exécute sans broncher. Voyons voir dans quel état tu te trouves.

D’un geste lent il écarte la petite culotte noire et passe un doigt curieux sur les bords de son vagin. La vulve est mouillée, une vraie rivière, le clitoris est plus que gonflé, turgescent pourrait-on dire. Au contact de ses doigts, elle s’est remise à gémir. Les doigts de Claude glisse sans peine sur les chairs humides. Il enfonce un doigt dans son vagin et sent immédiatement une contraction. Il refait son geste plusieurs fois en imprimant un lent mouvement de va et vient à son index. Plusieurs minutes s’écoulent, rythmées par les cris et gémissements de Marie-Claude et le bruit du train sur les rails. Claude s’est accordé sur le bruit du train, il trouve le rythme à son goût. Marie-Claude elle aimerait être dans un TGV!

-Plus vite je t’en supplie, regarde ce que tu as fait de moi, plus Aaaah, plus vite, ouii encore accélère.

Jouir, elle veut jouir; ses jambes s’affolent, elle les écarte, veut aussitôt les refermer mais Claude la bloque et lui impose un grand écart en écartant ses genoux. Elle est au-delà de ce qu’elle fait d’habitude en gymnastique mais l’excitation l’a rendu très souple et ouverte à tout.

Claude retire ses doigts du vagin et, d’un geste rapide il l’encule avec son pouce et la pénètre à nouveau avec son index. Elle a poussé un cri quand il l’a enculée. Elle a eu mal, mais très vite le plaisir est revenu. Le pouce et l’index se touche à travers la cloison vaginale et Claude continu son petit jeu Sa main est inondée, le miel de Marie-Claude coule sur ses doigts. Voilà, se dit-il, elle est prête pour l’assaut final maintenant. Je peux la baiser sans problème. D’un geste rapide, il ouvre la fermeture éclair de son pantalon, déboutonne la ceinture et met à nu son sexe qui se redresse d’un seul coup et a pris des proportions gigantesque, enfin presque!

Marie-Claude le regarde avec envie et, sur l’ordre de Claude vient s’empaler sur le membre dressé avec un feulement de bête fauve. Les deux gémissent à l’unisson, trouvant un bonheur suprême à cette pénétration. Ils vibrent à l’unisson, réglant les coups de reins sur le bruit du train «  oui, encore, oui encore, oui, encore... ».

Le freinage du train les surprend en plein effort. C’est déjà la banlieue de Lyon, vite, vite qu’ils en finissent sinon tout cela n’aura servi à rien? Claude se met debout, soulevant sans peine Marie-Claude toujours empalée sur sa queue. Elle s’accroche à ses épaules et il la plaque contre la vitre du compartiment. Il continu à la baiser, ses coups de reins sont de plus en plus violents. Plus le train freine, plus il accélère ses coups de queue. Elle hurle de plaisir, gémit, secoue la tête dans tous les sens et finalement explose dans un orgasme titanesque qui la prend des doigts de pieds jusqu’au cerveau qui s’illumine de millions de petites étoiles comme un feu d’artifice intérieur. le plaisir la parcoure par ondes successives qui ne finissent pas. Claude qui l’a suivi de peu se répand en elle et à l’impression de se vider complètement. Jamais auparavant il n’avait fourni une telle quantité de sperme, Ses testicules se contractent pour mieux se vider et il a l’impression que son sperme ressort pas la bouche de Marie-Claude tellement l’odeur du sexe est forte dans la petite pièce.

Ils redescendent doucement sur terre en retrouvant leur souffle. Marie-Claude, toujours empalé sur le sexe de Claude ressent une bienheureuse fatigue, une sorte de béatitude que rien ne pourrait détruire, sauf un coup de frein plus brutal que les précédents et qui la fait redescendre brutalement sur terre. Le train entre en gare et les premiers voyageurs qui vont descendre à Lyon commencent à passer dans le couloir. Elle repousse Claude et descend de son perchoir redevenu bien modeste d’ailleurs! Vite il faut qu’elle se rhabille. Elle attrape sa jupe, l’enfile en réajustant comme elle peut sa culotte. Le sperme lui coule sur les mains et elle suce ses doigts machinalement ce qui la fait frémir à nouveau. Ah si elle avait le temps elle aurait fini par le dompter ce jeune amant. Le tout c’est de les épuiser une bonne fois et après ils deviennent plus malléables. La femme est supérieure à l’homme sur le long terme! Elle en est sure.

Elle boutonne rapidement son chemisier en se trompant d’ailleurs, mais elle n’a plus le temps maintenant. Tant pis Claude, galant malgré tout, a descendu sa valise et lui fait une bise tendre, pleine des regrets sur ce qu’ils auraient pu encore faire dans ce wagon. Mais Marie-Claude doit descendre là, on est venu la chercher.

-Au revoir Claude, tu as été merveilleux, je ne t’oublierais jamais. Ce jour  restera gravé dans mes souvenirs à jamais. Elle pense néanmoins dans sa tête, qu’un jour elle trouvera, peut-être, un amant de passage encore meilleur, avec un sexe plus long ou plus gros qui sait. Cette pensée la fait sourire et Claude, se méprenant, pense qu’il s’adresse à lui !

-Adieu Marie-Claude, je ne t’oublierais pas non plus.

Marie-Claude sort du compartiment en courant, car le train est immobilisé maintenant depuis deux minutes. Elle saute sur le quai et aperçoit au loin toute une famille qui cherche quelqu’un. « Ce sont eux se dit-elle, voilà ma nouvelle famille pour plusieurs mois ». Elle vérifie sa tenue une dernière fois, et en profite pour reboutonner discrètement son chemisier. Un dernier signe d’adieu à Claude dont elle sent le sperme encore brûlant couler entre ses jambes, et elle se dirige vers la famille qui va l’accueillir comme jeune fille au pair jusqu’à l’été prochain.

Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 8 juillet 7 08 /07 /Juil 17:55
Après cet après-midi un peu spécial, j'avais revu Éric avec qui je m'étais entretenu plus longuement à propos d'Iela et de ses fantasmes.

En fait, elle avait un véritable cheptel de garçons et de filles à sa botte, qui lui étaient entièrement dévoués, voire soumis. Nul n'avait le droit de s'afficher clairement avec elle, ou de se vanter de leur relation. Elle avait l'exclusivité totale sur eux, ils devaient lui obéir au doigt et à l'œil, et en particulier flirter avec ceux ou celles qu'elle leur désignait. C'est ainsi que j'appris qu'elle était bi, avec une nette préférence pour les filles, et qu'elle se servait d'elles quand elle voulait avoir les faveurs d'un garçon.

En peine de confidences, Éric me raconta la journée d'anniversaire d'Iela, qui s'était déroulée peu de temps auparavant.


Comme ses parents étaient partis en week-end, elle invita son groupe, garçons et filles, à une fête dans la propriété parentale. En venant, ils acceptaient expressément de faire tout ce qu'elle leur imposerait, sous peine de ne plus la revoir. Amoureux et amoureuses comme ils l'étaient tous, il n'y eu aucune défection. Chacun des invités devait se présenter entièrement nu et épilé.

Dès leur arrivée, Iela prit chacun d'eux en photo, une première en pied, et la seconde leur sexe en gros plan et les cuisses bien écartées. Elle leur attribua ensuite un numéro en fonction de leur ordre d'arrivée. Elle était la seule à être vêtue, une jupe blanche assez courte et très transparente, et un petit top de la même couleur largement échancré, laissant apparaître de magnifiques seins qui n'avaient besoin d'aucun maintien.

Elle plaça ses invités côte à côte, les mains derrière la tête, et passa ensuite sa troupe en revue. Elle caressa quelques seins et pinça un téton par ici, flatta plusieurs sexes fièrement érigés et cajola diverses bourses par là. Elle les obligea ensuite à se pencher en avant les mains posées au sol, puis continua son inspection côté pile. Il sembla qu'elle préférait ce côté de ses invités, car tous les fessiers eurent droit à un petit attouchement. Certains eurent même la surprise de sentir un de ses doigts s'infiltrer un peu plus profondément entre leurs fesses.

- Cet après-midi sera consacré à de nombreux petits jeux plaisants, annonça-t-elle. À chaque fois vous vous mettrez dans l'ordre des numéros que je vous ai alloués. Pour le premier jeu, l'un d'entre vous sera bien récompensé, et malheureusement un autre devra être sanctionné. Dans tous les jeux, il y a un gagnant et un perdant.

Pour commencer, ils durent se mettre en file indienne, le premier sur le dos, le second à quatre pattes la tête au niveau du sexe de sa ou son prédécesseur, et ainsi de suite en fonction de leur numéro. Les garçons plus nombreux, se retrouvaient parfois avec un autre garçon devant eux, les filles eurent plus de chance, une seule se retrouva avec un minou face à elle.

- Le jeu est très simple, vous allez donner du plaisir au partenaire devant vous, vous n'avez le droit qu'à votre bouche, votre langue et vos lèvres, l'usage des mains est interdit. Le ou la première qui jouira sera puni pour toute l'après-midi, et le dernier qui aura réussi à se retenir passera la fin du week-end avec moi.

Superbe récompense, mais gare à celui qui perdait, car l'imagination d'Iela en matière de punition était très fertile. Chacun s'activait pour faire essayer de faire perdre son prédécesseur. Iela ne perdit pas de temps, et reprit des clichés de tous en pleine action. Ces photos n'alimentaient pas uniquement sa libido torride, mais serviraient également à faire taire les plus bavards, ou pourraient être utiles pour quelques pressions plus tard.

Trois ou quatre minutes seulement après le début, un garçon nommé Régis ne put se contenir sous la langue experte qui le caressait. L'inspiratrice reprit tout de suite la place vacante, pour essayer d'éliminer un autre concurrent. Il était évident que ce serait un garçon qui perdrait, les filles étant plus longues à la détente.

Près d'une demi-heure plus tard, il ne restait que deux filles en position de 69. Tout le monde regardait ce magnifique duo en pleine action saphique. L'une d'elles se tortilla davantage et se raidit peu de temps après. Elle enrageait d'avoir perdu si près de la victoire. Gwela, l'heureuse gagnante, se précipita dans les bras d'Iela qui l'embrassa amoureusement. Certains disaient que c'était sa favorite du moment.

- Eh bien, maintenant, il est temps de s'occuper de notre perdant. Vous allez l'attacher contre un arbre, bien écartelé et de manière à ce qu'il profite bien du spectacle, car il n'aura plus que le plaisir des yeux jusqu'à ce soir.

La punition ne semblait pas si terrible, encore que cela cachait peut être autre chose.

- À chaque fois qu'il perd la forme, vous irez ranimer son ardeur jusqu'à l'extrême, mais sans qu'il ne se lâche. Celui ou celle qui lui aura donné trop de plaisir ira le rejoindre. Pour le deuxième jeu, venez avec moi les filles, pendant ce temps les garçons iront donner un peu de vigueur à Régis.

Un moment plus tard, les filles sont revenues harnachées d'un double gode-ceinture, une partie ancrée dans leur intimité, et l'autre pointant fièrement devant elles.

- Nous allons faire le petit train maintenant, dit Iela en souriant. Mettez-vous tous à quatre pattes, l'un derrière l'autre. Dans un premier temps, vous allez honorer le petit trou qui sera devant vous, en ne vous servant que de votre langue bien sûr. Je passerai vers chacun de vous, et je veux voir votre langue enfoncée le plus profondément possible.

Un des garçons hésita un moment avant de se baisser, puis préféra déclarer forfait. Il repartit honteusement sous le regard noir d'Iela, son avenir avec elle était joué, mais elle savait qu'elle se vengerait plus tard grâce aux photos.

Une fois tout le monde en position, et comme elle l'avait annoncé, elle fit le tour de la colonne une badine à la main, et prit de nouvelles photos. Elle semblait satisfaite de son petit train, hormis un ou deux fessiers qui reçurent quelques encouragements, et qui gardèrent les traces de son mécontentement pendant plusieurs jours.

- Ce n'est pas mal, vous pourriez presque rivaliser avec la SNCF. Maintenant que le train est formé, il ne reste qu'à accrocher les wagons. Vous allez donc grimper sur votre prédécesseur, et le ou la prendre par derrière. Comme les garçons et les filles se ressemblent de ce côté-là, vous verrez messieurs ce que l'on ressent dans cette position. Ce sera peut être un peu difficile pour vous au début, mais il faudra vous y faire.

L'un après l'autre, ils escaladèrent leur voisin. Les filles n'eurent pas l'air trop désemparées face à cette situation, elles pratiquaient déjà toutes cette pénétration particulière. Il leur fut par contre un peu plus difficile « d'accrocher le wagon », elles n'avaient pas l'habitude d'être dotées d'un attribut mâle.

Pour les garçons ce fut une autre paire de manches : si la pratique leur était assez courante, ce n'étaient généralement pas eux qui étaient la cible. D'autant que les sexy-toys des filles affichaient une grosseur assez honnête.

- Allons messieurs, un peu de courage, appliquez-vous ! N'oubliez pas que vous êtes ici pour me faire plaisir : c'est mon anniversaire aujourd'hui.

Il est vrai que certains faisaient une drôle de tête, car c'était la première fois qu'ils subissaient une sodomie, et l'olisbos fiché entre leurs reins n'était pas de taille courante. Dès que tous eurent pénétré leur voisin, Iela alla s'asseoir sur son fauteuil style Emmanuelle, et leur ordonna de faire avancer leur train en tournant autour d'elle. De temps en temps elle se levait pour aller faire goûter de sa badine à ceux qui manquaient de conviction, ou prendre quelques clichés.

- Le train arrive en gare, il est temps de décharger les bagages. Messieurs, pressez-vous de vous libérer dans vos partenaires, d'autres surprises nous attendent.

Tous les garçons se mirent à s'activer en cadence. Le spectacle aurait pu être drôle en d'autres circonstances. Les premiers à jouir restèrent fichés dans leurs condisciples, n'ayant pas reçu d'ordres, ils ne savaient pas s'ils pouvaient se retirer, et les colères d'Iela pouvaient être terribles. Dès que le dernier parvint à ses fins, elle leur ordonna à tous de se retourner et de nettoyer, toujours avec la langue, l'objet qui venait de les prendre. Ce fut alors un concert de succion et de léchage infini, ils attendaient toujours la directive de mettre fin à leurs calvaires. L'après-midi était loin d'être terminé.
Par Monsieur Pat - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 7 juillet 6 07 /07 /Juil 19:47

Un petit post pour un livre que l’on peut lire sous le parasol. Son titre : Sexe machines : 50 découvertes scientifiques qui changent nos idées reçues sur la sexualité

Il regroupe en quelques deux cents pages des articles relatant des découvertes scientifiques souvent amusant  sur les coulisses de l'amour et du plaisir, dont le but est  de balayer un certain nombre d'idées reçues

Les questions abordées sont par exemple :  Existe-t-il un gène du désir ? Peut-on reproduire un coup de foudre en laboratoire ? Pourquoi les stars multiplient-elles les partenaires ? Peut-on manipuler les gènes de l'homosexualité ? En quoi la taille du sexe compte-t-elle malgré tout ? Quel est le rôle du visage dans le succès sexuel ? La frigidité est-elle héréditaire ? Peut-on estimer la fidélité de son partenaire en observant son cerveau ? Des implants vont-ils stimuler nos orgasmes ?

Bonne lecture…

Par Pierre - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 17:41
Sofia est un documentaire, un mélange de documentaires en 16mm de Frederick Wiseman et d’action à la Quentin Tarantino, sur un sujet : une surfeuse professionnelle et péruvienne, Sofia Mulanovich.

Il dépeint des événements, des faits des avis sans utilisation des interviews formels. Sofia est une histoire de Sofia et de l’influence d'une personne, par l’inspiration et les rêves sur un pays le Pérou qui en pleine l'émergence était et est peut être encore dans la recherche de modèles.

Sofia est présentée comme l'un des grands modèles dans l'histoire péruvienne récente, simplement en faisant ce qu'elle aime, surfant. Son comportement humble et jovial est magnétique et à captivé de nombreuses personnes particulièrement après son tire de championne du monde.

Au milieu des années 90, sa ville a été bombardée.  Elle  a trouvé  trouver sa voie dans l'océan comme évasion faces aux problèmes des centres urbains. Elle s’est rapidement améliorée et a réussi à atteindre son objectif être un jour la meilleure surfeuse au monde. Aujourd'hui, un peu plus de deux décennies son rêve est devenu réalité.


L'adresse : http://www.sofiadoco.com/


Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 30 juin 6 30 /06 /Juin 14:20
Claude était monté dans le train pour Lyon depuis maintenant deux bonnes heures et il commençait à somnoler sur la banquette du compartiment de deuxième classe. Dehors le temps était splendide et les paysages qu’il apercevait à travers la vitre sale du wagon annonçaient le retour du printemps et des premières chaleurs.

    Le soleil de fin de journée qui entrait à flot dans le compartiment chauffait l’atmosphère et une douce langueur l’envahissait. Il sentait sa queue se durcir de manière épisodique au rythme des secousses imposées par la configuration de la voie ferrée. Plusieurs fois il avait eu envie de se branler mais à chaque fois des voyageurs étaient passés devant son compartiment et il avait dû renoncer. Il était un peu timide et à 18 ans on est toujours partagé entre l’envie de se branler comme un adolescent et l’espoir de trouve une femme avec qui faire l’amour.


    Se branler! Cela lui rappela des souvenirs de jeunesse, pas si lointain que ça d’ailleurs. Un jour, au cours des vacances d’été, il s’était retrouvé seul avec sa cousine Chantale dans sa chambre de la maison dans laquelle il séjournait; Elle avait un peu plus de 15 ans et lui 14 seulement. Les parents les avaient laissés seuls pour aller au supermarché voisin faire les courses de la semaine. Trois bonnes heures de liberté !

    Chantale l’avait entraîné dans sa chambre sous le prétexte de lui montrer sa collection de boites d’allumettes. Mais rapidement elle lui avait fait comprendre que les boites c’est bien, mais jouer au papa et à la maman c’est mieux, surtout quand il s’agit de jouer à aller se coucher comme s’il faisait nuit. Pour cela elle avait fermé les volets de sa chambre et, dans la pénombre ambiante, s’était approchée de lui. Il était intimidé et ne savait pas trop quoi faire. Leurs respirations étaient devenues plus rapides et le silence qui les entourait leur laisser entendre les battements précipités de leurs cœurs.

    Elle ne portait sur elle qu’une robe d’été légère qui, par transparence lui avait permis de deviner la couleur blanche de sa culotte Petit bateau. En lui prenant les mains, elle lui avait montré comment ouvrir sa robe. Ses doigts tremblaient et il n’arrivait pas à la déboutonner. Les deux adolescents étaient excités comme jamais ils l’avaient été. Claude sentait sa queue dure dans son slip, mais la toile du jean qu’il portait la coinçait. Finalement le dernier bouton céda et il pu faire glisser la robe sur les épaules de sa jeune cousine. Ses petits seins étaient durs comme de la pierre et quand il les lui pris timidement dans ses mains elle gémit en sursautant légèrement comme sous l’effet d’une piqûre d’insecte. Que c’était bon de se faire caresser. Les mains de Claude s’activaient maladroitement sur cette gorge dénudée mais sa cousine avait l’air d’apprécier le traitement parfois rugueux qu’il imposait à ses tétons.

-Continu, ne t’arrête pas lui souffle-t-elle. Encore, encore! Oui pinces moi les bouts. Ouiii! Arrêtes je vais jouir. Encore, Ahh c’est bon tu sais !

    N’y tenant plus elle glisse une main dans sa culotte et commence à se caresser. Son bouton se dresse aussitôt. Elle est toute mouillée et son doigt glisse sur sa fente juteuse comme un beau fruit d’été.

-Continu, encore Ah, c’est bon.

Ses doigts accélèrent et lui ne sait plus trop ce qu’il doit faire. Le visage de sa cousine reflète la douleur, le plaisir. Il ne sait pas. Il n’a jamais vu de fille jouir. C’est la première fois qu’il assiste à un tel débordement de cris, de gémissement et il est un peu affolé.

-Continu comme cela Claude c’est merveilleux ce que tu me fait, Ah je t’aime, prend moi dans tes bras, je veux jouir contre toi. Oui comme ça, c’est bien, c’est merveilleux, encore ne t’arrêtes pas ! Et dans un spasme nerveux puissant et profond elle se serre contre lui. Plusieurs fois elle est secouée par de grands frissons qui la parcourent des pieds à la tête. Elle a l’impression que jamais cela ne s’arrêtera et elle ne veut pas que ça s’arrête. Ses doigts s’activent encore et encore sur son sexe qui ruisselle de bonheur. Mais ce premier orgasme dans les bras de son cousin a été si fort que plus rien n’est possible.

    Lentement elle revient sur terre et reprend son souffle. Une odeur de sueur se dégage de leur deux corps enlacés, debout au milieu de cette chambre de jeune fille.

-Merci Claude, tu as été formidable.

    Lui ne comprend pas très bien mais il est rassuré, sa cousine va bien, elle ne souffre pas comme il avait craint à un moment. Par contre lui, il souffre; sa queue est toujours coincée dans son jean et il aimerait bien se détendre un peu

    Chantale en se serrant contre lui a bien senti la bosse dans le pantalon de Claude et elle se doute du problème.

-Viens, lui dit elle, et, le prenant par la taille elle le pousse vers son petit lit, le fait asseoir puis le pousse par les épaules pour qu’il s’allonge.

C’est à son tour de respirer plus vite. Il sent qu’il va se passer quelque chose mais n’en n’est pas très sûr. Et pourtant si, il avait bien compris.

Le jeu de papa maman continu mais c’est maman qui déshabille papa. C’est fait rapidement et il sent son jean glisser le long de ses jambes, ses sandalettes tomber par terre et sa queue s’épanouir dans sa culotte, blanche elle aussi.

    Chanlate passe doucement sa main sur la bosse, curieuse et légèrement effrayée à la fois. Ses copines lui ont raconté des tas de choses sur le sexe des garçons mais elle n’en a jamais vu. Elle est fille unique. Bien sûr, elle a déjà vu des taureaux à la ferme du village, mais il est impossible que celui de Claude soit aussi gros et velu. Doucement elle appuie sa main et c’est Claude qui, n’en pouvant plus, guide rapidement sa main sur l’objet en question.

    Sous sa main qui tremble un peu, Chanlate sent le morceau de chair palpiter et vibrer. C’est doux, c’est chaud, la verge de son cousin lui semble à la fois dure comme de la pierre et fragile comme un oisillon. Elle n’ose pas bouger.

-Branle-moi je t’en supplie lui souffle-t-il, je n’en peut plus.

-Comment je fait, je sais pas, explique moi, montre moi. Fiévreusement il guide sa main vers sa queue et lui montre le chemin.

-Fait aller ta main de haut en bas, oui comme cela, plus haut, oui jusqu’au bout Ah que c’est bon. Plus vite je t’en prie.

    Mais science infuse ou innocence d’une pucelle, elle n’accélère pas au contraire elle ralentie le mouvement car elle aussi elle veut en profiter de cette tige chaude et humide qui lui remplie la main. Le plaisir pour Claude est gigantesque, jamais quand il se branle il n’a éprouvé un tel plaisir. Sa cousine est démoniaque. Elle a vite compris que son cousin était prêt à tout pour qu’elle continu. Elle ralenti son mouvement jusqu’à s’arrêter.

-Continu, encore je t’en supplie, je ferais tout ce que tu veux mais continu sans t’arrêter.

-Tu feras tout ce que je veux, vraiment?

-Oui tout c’est promis

-Juré ?

-Juré!

    Sa main reprend le mouvement de va et vient d’abord doucement puis plus vite, elle ralentie, repart à nouveau et intuitivement, chaque fois qu’elle sent le sexe sur le point d’éclater elle s’arrête pour repartir quelques secondes après.

- Chantale fais moi jouir, Ah que c’est bon, je deviens fou quand tu t’arrêtes, je veux jouir de ta main Ah oui ça vient Ah!

    Le membre viril de son cousin palpite dans sa main et, d’un seul coup, Claude est, à son tour agité de spasmes violents, il pousse son bassin donnant des coups de reins imaginaires comme s’il pénétrait sa cousine! En fait dans sa tête il la prend, la possède comme un fou, sans bien savoir d’ailleurs comment il devrait faire si tel était le cas. Son sperme a jailli comme un flot de lave brûlante inondant la main de sa cousine et ses jeunes seins en reçoivent des gouttes. Sous la chaleur de cette liqueur odorante la pointe de ses seins se redressent et réclament encore des caresses. Elle lâche la queue de son cousin et se masse frénétiquement les seins avec le sperme de Claude. Sa chatte se mouille à nouveau et elle serre ses cuisses en tremblant. Une onde de plaisir la parcours. Elle est heureuse l’après-midi ne fait que commencer et son cousin est prêt à lui obéir. Un sourire triomphant éclaire ses lèvres humides.

    Petit à petit Claude a retrouvé son calme tout en contemplant sa cousine avec admiration. Elle l’a fait jouir comme jamais et il n’est pas prêt d’oublier cette après-midi. Si elle veut bien le branler encore, il est près à lui obéir les yeux fermés. La suite de ses vacances lui prouva que son obéissance allait être mise à rude épreuve.

    Pendant qu’il rêvait à sa cousine, celle-ci n’avait pas perdu de temps et elle était de nouveau en train de se caresser.

-Viens près de moi Claude, lui ordonna-t-elle, et lèche moi la poitrine. Ton sperme m’a sali et tu dois me laver avec ta langue.

    Interloqué, il se redresse n’osant pas faire ce qu’on lui demande mais d’une main ferme sa jeune cousine lui attrape la tête par les cheveux et l’oblige à plaquer sa bouche sur ses seins.

-Lèches moi et vite sinon gare!

    Vaincu et content à la fois, il entreprend de lui nettoyer les seins, la gorge et le ventre qui se tend sous l’effet des coups de langue. Claude s’applique du mieux qu’il peut même si le goût de son sperme lui donne un peu la nausée. C’est fort et âcre à la fois. D’un autre coté, il sent bien que cette soumission a quelque chose d’excitant!  D’ailleurs sa queue commence à reprendre de bonnes dimensions. Mais Chantale n’en est plus là. Elle commence à gémir et à se tortiller sous l’effet de la langue de Claude. Elle se branle de plus en plus vite, sa fente est humide, inondée même.

-Oh Claude tu me fais du bien, tu es un bon garçon, continu, Ah! Encore, tu m’appartiens, je ferais de toi mon esclave, suce moi, lèche moi, met tes mains dans mon dos, oui comme cela, Ah! C’est bon, je mouille, je bande, c’est merveilleux et dans un dernier râle elle s’écroule à nouveau dans les bras de son cousin en haletant. Des frissons la parcours des pieds à la tête et sa main s’active toujours sur sa chatte mouillée.

Claude termine son nettoyage par un suçage en règle des mamelons dont les pointes restent toujours aussi dures. Maintenant, il attend bien sagement que sa cousine accepte de s’occuper de lui.

-Va me chercher à boire dans le réfrigérateur de la cuisine, dépêches-toi, j’ai très soif

Il part en courant et revient quelques minutes après avec deux bouteilles de jus de fruit.

-Pourquoi as-tu pris deux bouteilles, une seule me suffit

-Mais, j’ai soif moi aussi.

-Tu boiras quand je l’aurais décidé, rapporte cette bouteille où tu l’a prise.

    Il obéi la tête basse et revient auprès de sa cousine en s’asseyant sur le bord du lit. Chantale s’assoit à califourchon sur ses genoux. Ses cuisses sont largement écartées et Claude aperçoit les poils noirs de son sexe qui dépassent de son slip blanc. Maintenant il bande à nouveau et il aimerait bien que sa cousine le branle mais ce n’est pas le cas. Elle passe ses bras autour de son cou et veut l’embrasser sur les lèvres. Ils hésitent un peu tous les deux, comment fait-on, le nez coince mais finalement ce petit problème est résolu, et bientôt leurs langue et leur salive se mélangent joyeusement. Ils se sucent la langue mutuellement y trouvant un plaisir nouveau et étrange. Le goût du sperme remonte dans la bouche de Chantale et elle y prend plaisir. Elle se sépare de lui et lui murmure qu’elle aimerait bien goûter à son sperme.

-Allonges-toi sur mon lit lui dit-elle en lui enlevant son tee-shirt, et branles-toi en me regardant. Il s’exécute et rapidement sa main prend un bon rythme Elle se contente de le regarder faire tout en surveillant le sexe du garçon. Quand elle le voit s’agiter et gémir sur le lit, elle comprend que la jouissance n’est plus loin. Les cris de Claude la confirment dans cette opinion.

-Oui, oui, Ah je vais jouir pour toi mon amour, rien que pour toi, Ah j’aime ça

Un spasme le secoue des pieds à la tête en même temps que le sperme jailli de sa queue et inonde son ventre et ses jambes. Il continu à se branler pour faire jaillir les dernières gouttes tout en reprenant son souffle. Il s’immobilise enfin sous le regard amusé et brillant de curiosité de sa cousine.

-Ne bouges pas, je vais de nettoyer à mon tour.

    Et se penchant vers lui elle commence à lui lécher les jambes, les cuisses, passe au dessus de son sexe redevenu tout mou, continu sur le nombril où elle peut éponger une grosse goutte de sperme. Sa langue s’active maintenant sur le ventre de son cousin, de plus en plus vite. Elle est saisie d’une folle excitation et se rue sur son cousin en s’allongeant sur lui. Ses mains ont saisi ses cheveux et elle lui secoue la tête, son corps ondule frénétiquement sur celui du garçon, ses cuisses s’ouvrent et se referment spasmodiquement et elle donne des coups de reins très violents qui lui écrasent le pubis et lui branle le clitoris.

-C’est pas vrais, je deviens folle, Ah! Ce n’est pas possible que tu me fasses tant d’effet, Ah! A! J’en peu plus, encore, Ah! Oui, tes mains, mets tes mains sur moi, oui comme cela, caresse moi les fesses, Oh oui ! Encore, encore..

    Les coups de reins redoublent d’intensité et les deux corps s’emmêlent, ils roulent l’un sur l’autre et maintenant, c’est Claude qui est entre les cuisses de sa cousine et qui lui donne des coups de rein. Sa queue, ni molle ni dure, cherche la grotte douce et chaude de sa cousine. Il veut la pénétrer mais elle se défend se cabre comme une jument rétive. il la veut, il la veut mais le mince rempart de la culotte tient bon. Ce n’est pas encore qu’il dépucellera sa cousine. Chantale dans un dernier sursaut le jette par terre et tous les deux jouissent à l’unisson en se branlant chacun de leur coté.

    Essoufflés tous les deux, ils restent un long moment immobiles, regardant le plafond et écoutant battre leurs cœurs. C’est Claude qui parle le premier.

-J’ai très soif, je peux aller me chercher une boisson dit, s’il te plaît

    Chantale hésite avant de répondre; pour le moment elle est épuisée et n’a plus envie de jouissance, son corps d’adolescente est repue, comblé.

-OK tu peux y aller

-Merci mon amour s’entend-il dire. Il revient très une bouteille à la main et commence à boire mais sa cousine l’arrête d’un geste.

-Ca suffit, donne moi la bouteille, c’est moi qui vais de donner à boire, approche et mets toi à quatre pattes comme un bon toutou. Il obéit sans rechigner.

    Elle s’allonge complètement sur le sol et verse du liquide dans le creux de son ventre.

-Lèches et tu boiras, et il lui faut pas moins d’un quart d’heure pour vider la bouteille et apaiser sa soif. Il a mal à la langue à force de la lécher mais il découvre le sourire de sa cousine qui semble avoir retrouvé un peu de tonus.

-C’est bien tu es un bon chien et maintenant on va aller se promener. Habilles toi, non donnes moi ta culotte, je la garde en souvenir.

    Le jean lui râpe un peu le sexe mais il le ferme sans trop de mal. Ils sortent de la maison sous un soleil éclatant, et comme sa cousine marche devant lui il en profite pour admirer son corps en contre-jour. Il sent des fourmillements dans sa queue et les frottements du jean aidant il retrouve lui aussi un peu de tonus. Ils marchent ainsi pendant quelques minutes sans parler mais, il sent bien qu’il va se passer quelque chose le concernant. Sa cousine se retourne brusquement avec un sourire au lèvre, le même que celui qu’elle avait tout à l’heure quand elle le faisait attendre avant de le faire jouir !

-Voilà, nous y sommes, dit-elle.

L’endroit est sombre, à l’abri des regards indiscrets et complètement caché de la maison de son oncle. Le sol, légèrement humide, est recouvert d’herbe verte et incite à une petite sieste. La suite devait lui prouver qu’il n’en était rien.

C’était le domaine de sa cousine, son lieu de rendez-vous avec ses petits copains. Elles les retrouvait là pour des parties de touche-touche et des baisers plus ou moins profonds, mais elle n’avait jamais été bien loin avec eux. La peur du SIDA y était pour beaucoup et aussi le risque de grossesse. On peut difficilement acheter des préservatifs à 15 ans à la campagne, en 5 minutes tout le village serait au courant!

-Mets toi à genoux, les mains derrière le dos, lui ordonna-t-elle, ce qu’il fit sans rechigner.

D’un geste rapide, elle lui attache les mains derrière le dos et lui enfile sa culotte sur la tête. Il renifle l’odeur de son sperme qui l’imprègne et son excitation revient. Sa queue durcit à nouveau et vient se coincer sur la fermeture éclair de son jean. Il ne voit pas ce que fait sa cousine qui est allée cueillir une tige d’ortie, sans se piquer. Elle sait comment s’y prendre. Elle s’accroupit devant le cousin et ouvre sa braguette ce qui a pour effet de faire jaillir la verge de Claude dans sa main.

-Eh bien, on peut dire que tu as la santé toi au moins, dit-elle d’un air admiratif. Moi je n’en peut plus, alors pour t’occuper cette nuit je vais te faire un petit massage d’un genre très particulier, et elle éclate de rire.

Tenant le sexe de son cousin dans une main et, après l’avoir branlé pendant plusieurs minutes sans le faire jouir toutefois, elle prend la tige d’ortie et fouette la verge turgescente avec. Son cousin pousse un cri et veut se gratter mais impossible il est attaché. Bientôt, il se roule par terre essayant de calmer les démangeaisons en frottant sa queue dans l’herbe fraîche. Sa cousine ri aux éclats de le voir faire. Il ressemble à un gros ver de terre. Il la supplie de le détacher mais elle lui dit plus tard, qu’ils ont le temps; il est trop drôle comme cela. Claude ne trouve pas ça drôle du tout, il veut se gratter, se branler, faire stopper cette brûlure qui l’excite au plus au point. Finalement il se retrouve à plat ventre dans l’herbe en train de donner des coups de reins dans le sol et ce que sa cousine espérait, se produit finalement, il jouit dans la terre, dans un sursaut énorme qui le soulève du sol avant de le faire retomber épuisé, vidé, sans réaction.

Sa cousine, l’a vaincu, définitivement cette fois-ci, il lui appartiendra pendant toutes les vacances. Il sera tour à tour, son esclave, son amoureux empressé, son chien, son amant, et il ne se souvient plus de tout ce qu’elle a pu lui faire subir durant ces semaines d’été. Il se rappelle avoir fait jouir sa cousine et avoir joui lui-même plusieurs fois par jour, parfois dans sa chambre, mais le plus souvent dans des lieux aussi inattendus qu’étranges comme ceux que l’on peut rencontrer dans une ferme à la campagne. Elle l’obligeait même à se branler en présence de ses parents mais sans qu’ils le sachent bien entendu! Cela se passait au cours des repas ou le soir devant la télé. Bref des vacances affreuses et géniales à la fois qui lui ont laissées un souvenir impérissable. Elles furent épuisantes mais aussi très instructives pour lui. Il savait maintenant beaucoup de chose sur le mystère qui entoure les filles et ses prochaines petites amies allaient en bénéficier.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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