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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 08:16
— Karine, tu devrais t’inscrire dans « Facebook », c’est génial, m’interpelle Maud.

Nous sommes assises à la terrasse d’un café où nous reprenons quelques forces après une séance de shopping.

— Cela m’a permis de reprendre contact avec une amie de pensionnat que j’avais perdu de vue, m’explique-t-elle. Et pas n’importe laquelle, ma chère, ajoute-t-elle avec un regard espiègle… Celle, me glisse-t-elle à l’oreille en se penchant vers moi, qui m’a fait découvrir les plaisirs saphiques.

Très intéressée, je ne peux m’empêcher de répondre :

— Raconte-moi ça !
— J’avais juste 18 ans. J’étais en terminale.


Mon amie Maud est toujours pour moi une source d’étonnement. Comme vous le savez, (voir chapitre 5) nous sommes très différentes. Le côté physique d’abord : je suis une grande brune mince toute en jambes avec guère de poitrine, elle, une petite blonde aux yeux bleus, craquante et pulpeuse. Le caractère ensuite, Maud est une extravertie 100%, drôle, insouciante, vivant au jour le jour, tout le contraire de ma pomme, longtemps complexée et coincée (voir Chp 1). Pour finir, côté vie amoureuse et sexuelle, nous sommes aux antipodes. Maud multiplie les aventures et se donne à qui lui plaît avec la bénédiction d’Alex son compagnon qui en fait autant de son côté, tandis que moi, sentimentale et idéaliste, je n’ai aucune envie de tromper Pierre, mon mari.

— Ma mère m’avait mise en pension au fin fond de la Normandie parce que j’étais enragée, m’explique-t-elle en riant. Je ne supportais pas l’idée qu’un jour elle puisse se remarier et j’étais infernale avec tous les hommes qui lui faisaient la cour. Elle en a eu marre.
— Logique.
— Le pensionnat ne prenait que des filles. Il n’y avait dans ma classe que trois garçons boutonneux qui venaient des villages voisins. Ils ne parlaient que de foot, tu vois le niveau.
— Pas de quoi tomber amoureuse, effectivement.
— Ma nouvelle voisine de dortoir m’intéressait beaucoup plus, c’est elle dont je te parle. Elle se vantait d’avoir déjà couché avec une dizaine de mecs.
— Vrai ?
— Sûrement car elle avait un appétit sexuel féroce. En réfléchissant, c’est probablement à cause de ça que ses parents l’avaient cloîtrée en pension, conclut-elle avec un éclat de rire.
— Et alors ?
— Je vais te dire un truc marrant, Karine. Au bout d’un certain temps en pension, nous avons toutes nos ragnagnas en même temps. C’est bizarre hein ?
— Toutes les élèves ?
— Oui, les profs, je n’en sais rien, dit-elle en riant d’un rire communicatif.
— Ce qui veut dire, continue-t-elle, que toutes les filles ont leur pic de libido en même temps. Tu vois le topo ? Ces jours-là, ma chère, il y a de drôles de bruits dans les dortoirs.
— Tu veux dire que toutes les filles se masturbent ?
— Pas toutes, bien sûr. La proportion c’est une sur deux en général, mais en pension c’était plutôt neuf sur dix. Nous étions toutes en manque de câlins et de tendresse et il y avait une certaine émulation. Un jour j’ai dû laisser échapper quelques soupirs suggestifs et j’ai écouté ma voisine me chuchoter à voix basse :


— Tu te caresses ?
— Euh, je… je… oui, ai-je répondu toute penaude.
— Il n’y a pas de honte, je le faisais aussi. Viens on va aller dans la salle de douches, nous serons tranquilles pour continuer et on pourra se parler.


— Dis-toi bien, Karine qu’à l’époque, il y a 15 ans, dans ce genre de pension, c’était la galère. Nous étions censées être de vraies jeunes filles et le sexe était un sujet tabou. Tout était filtré, censuré. Pas question de lire une revue ou un bouquin décrivant un tant soit peu une relation sexuelle. J’étais donc ravie de faire parler une fille qui avait de l’expérience.
— Maud, arrête ! Tu me racontes des salades, tu n’avais rien à apprendre. Tu n’étais plus vierge depuis longtemps.
— Pas depuis longtemps. J’avais une vie très orthodoxe à l’époque.
— Admettons.
— Tu ne me crois pas ? Cela s’était passé dans une 205, l’été d’avant, je ne te dis pas le confort ! explique-t-elle avec un petit rire. Mon amoureux au moment crucial m’avait sorti de la boîte à gants tout un stock de préservatifs.
— Tu t’étais fait piéger, ma cocotte.
— Oui et alors ? s’exclame-t-elle en haussant le ton, attirant l’attention de notre voisin, un papy rondouillard et rougeaud plongé dans un journal de Turf et en train de noter des numéros avec un crayon. À 17 ans, c’était temps, non !
— Si tu le dis.
— Bon j’en reviens à cette fille. À un moment, elle m’a demandé si j’aimais me faire lécher. Je lui ai répondu que je n’avais jamais eu droit à ce traitement de faveur dans la 205 de mon copain. Cela l’a surprise : « Tu ne t’es jamais fait lécher la chatte ? C’est top, tu vas voir, je vais te le faire ».

Je jette un coup d’œil furtif au papy qui ne perd plus rien de notre conversation et qui paraît pétrifié.

— Karine, pourquoi aurais-je refusé ? Tu sais, dans ce genre de pensionnat c’est courant.
— Ah ?
— Les filles qui n’ont pas de tabous au lieu de se caresser seule, le font à deux. C’est quand même mieux.
— Ben, euh… effectivement.

Il va en avoir des choses à raconter à Bobonne, ce gros papy,… il me fait penser à Bidochon. Il a le même look.

— Cela ne veut pas dire qu’elles soient lesbiennes, c’est faute de garçons. Ce n’est pas compliqué à comprendre.
— Je ne dis rien. J’ai capté. Continue.
— Elle m’a allongée sur le carrelage froid, m’a remonté ma chemise de nuit et je me suis retrouvée avec sa tête entre mes jambes. Je te fais un dessin ?
— Décris-moi quand même un peu la scène.

Bidochon pourra me dire merci.

— Si tu veux. J’avoue que mon cœur battait la chamade, et que j’étais plutôt crispée, mais elle me tenait fermement par les hanches, je ne pouvais pas me soustraire, ni crier bien sûr. Tu t’imagines si une surveillante s’était pointée ?
— Cela aurait pu être une surveillante lesbienne.

Maud hausse les épaules et embraye.

— Quand elle a attaqué mon bouton, j’ai perdu toute résistance, j’ai fermé les yeux, j’ai ouvert mes cuisses en grand et je me suis laissée aller. Elle a écarté ma vulve pour faire saillir mon clito et elle a commencé à le sucer et à le téter. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil, je le sentais grossir, gonfler à chaque aspiration, atteindre une taille inimaginable. C’était très différent de mes propres caresses, très doux et très intense à la fois. Quand elle m’a senti mûre, elle s’est mise à le balayer à vif de petits coups de langue à une allure folle, c’était presque insoutenable, je me suis tortillée dans tous les sens, mais elle a tenu bon et j’ai explosé. J’ai failli hurler.
— Elle savait y faire. Tu as eu du pot.
— Attends, ce n’était pas fini. J’avais à peine repris mon souffle que j’ai senti un doigt me pénétrer, puis deux, puis trois. C’était bien plus gros que le sexe du propriétaire de la 205. J’ai chuchoté : « Oui… oui… vas-y à fond… » et elle a commencé à me fouiller dans tous les coins. Je me sentais couler comme une fontaine. Puis je n’ai plus fait attention à rien car un plaisir très différent du premier montait, montait… c’était tout mon bas-ventre qui s’embrasait. L’orgasme m’a terrassée, et m’a tenue plus d’une minute. Je suppliais : « Continue… continue… »

Punaise, Bidochon est scotché, tout pâle, les yeux fixés sur ma copine, la bouche ouverte comme s’il manquait d’air… Il va nous faire une syncope…

— Ne me dis pas que c’était pas ton premier orgasme, Maud. Ton petit copain t’avait déjà fait grimper au plafond de la 205, j’imagine.
— Oui, mais pas avec cette intensité. Je venais d’avoir deux orgasmes de suite, très différents, je découvrais que je ne savais encore rien de mon sexe. Plus rien n’était pareil. Je ne pensais plus qu’à recommencer.
— Tu n’as pas dû t’en priver.
— Oui, avec elle et avec d’autres, avoue-t-elle en souriant.
— Pourquoi tu souris ?
— Aux vacances de Pâques, elle avait ramené un petit vibro offert par son petit ami de l’époque. Je ne te dis pas le succès qu’elle avait eu avec cet engin. Elle s’était mise à organiser des expériences sexuelles, une sorte de compétition d’orgasmes, tu vois le genre.
— Non, pas bien.
— Le plus rapide, le plus long, la manière la plus originale pour y arriver.
— Attention aux tricheuses.
— Oui, elle avait aussi fait le concours de la meilleure simulation. C’était à mourir de rire.
— Je vois que tu as appris des choses intéressantes dans ce pensionnat, ma chère Maud.
— Oui, je sais depuis que toutes les femmes sont bisexuelles par nature. C’est juste un interdit moral à transgresser. N’est-ce pas Karine ? ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Tu ne peux pas me contredire, je prêche une convaincue, toi, la grande sentimentale soi-disant 100% fidèle à ton mari, tu as bien passé une nuit avec Ayaan et ne me dis pas que tu n’as pas aimé, elle m’a tout raconté.

Oh, punaise, pourquoi, je me sens fautive tout à coup ? Que répondre ? Je ne vais pas dire que je regrette, ce n’est pas vrai.

— Oui, j’ai aimé, mais je peux t’affirmer que je ne suis pas du tout attirée par les filles.
— Alors comment expliques-tu que tu aies complètement flashé sur elle ?

Oh, la vache, elle appuie où ça fait mal…

— Tu le sais bien.
— J’aime te l’écouter dire, répond-elle avec un large sourire.
— Elle m’avait fait jouir comme une folle sur sa table de massage. Voilà, j’ai avoué, tu es contente ?

Coup d’œil au papy qui ne prend même plus la peine de faire semblant de lire son journal et qui laissant tomber Maud, me dévisage à mon tour.

— Cela ne me suffit pas. Je veux la suite.
— J’étais comme envoûtée, je me caressais la nuit en pensant à elle. J’ai fini par tout raconter à Pierre.
— Il a été malin ton mec de t’autoriser à faire ce qui de toute manière serait arrivé.
— Cela m’a sidérée, car il est plutôt possessif.
— Il est jaloux ?
— Non pas jaloux, possessif. Il me laisse entièrement libre mais il serait inconsolable si j’en profitais.
— Heureusement qu’il n’a pas assisté à vos ébats, conclut-elle en me fixant avec un regard ironique. Raconte un peu.
— Maud, tu n’auras pas de détails. Ce que je peux te dire c’est qu’elle m’a appris un tas de choses et que je n’avais jamais eu autant d’orgasmes en une nuit. Elle m’a épuisée sexuellement, ajouté-je en souriant. Cela te va comme confession ?

Pourquoi Bidochon me gratifie-t-il d’un sourire graveleux ? Il croit qu’il a une ouverture parce que cela fait plusieurs fois que je le regarde ? Il est grave !

— Cela me va parce que tu avoues que tu n’as pas besoin d’être amoureuse pour accéder au septième ciel.
— Je le concède mais il faut quand même en avoir envie. Un mec grand, séduisant, avec un sexe bien vigoureux, d’accord, mais (en regardant Bidochon) un petit vieux qui déballe une saucisse molle, défraîchie et qui sent la pisse, c’est mission impossible.

Message reçu ? S’il n’a pas capté, ce vieux débris… Maud, qui a tout compris, me gratifie d’un clin d’œil et poursuit :

— Pour terminer mon histoire, Karine, ensuite je suis rentrée en fac et j’ai perdu de vue ma copine. Cela va me faire tout drôle de la revoir, ajoute-t-elle en me regardant avec ses grands yeux bleus… Si elle a toujours le feu aux fesses, les retrouvailles vont être chaudes, ajoute-t-elle avec un rire communicatif.
— Et à la fac, Maud, pas d’autres expériences du même genre à me raconter ?
— J’ai eu deux ou trois petits amis… à la suite, très classiquement, rassure-toi. Mais j’ai surtout rencontré Géraldine.
— Géraldine ? Je ne connais pas.
— Une nana complètement déjantée qui a bouleversé ma vie.
— Une lesbienne ?
— Pas du tout. Pourquoi ?
— Tu dis qu’elle a…
— Elle m’a fait découvrir le monde du sexe. Elle a eu l’idée de partir en vacances à Ibiza.
— La réputation des boîtes de nuit ?
— Oui. Un reportage télé qu’elle avait vu. Si je te raconte ça, je vais te choquer, prude comme tu es.
— Vas-y, je suis assise.

Je sens que cela va plaire à Bidochon. Il fait semblant de s’être replongé dans son journal, mais il a toujours les oreilles qui traînent. Va-t-il pouvoir tenir le choc sans éjaculer dans son slip kangourou ?

— Tu comprends, Maud, m’avait expliqué Géraldine, j’ai 20 ans, dans deux ou trois ans je serai peut-être casée et je n’ai aucune envie de tromper mon futur mari. Alors, si je veux profiter de la vie et m’amuser un peu, c’est maintenant ou jamais. Viens avec moi, à Ibiza. Là-bas, personne ne nous connaîtra, on va pouvoir s’éclater, ni vue ni connue.
— Tu n’as pas dû être difficile à convaincre.
— Nous avons acheté nos billets d’avion et nous sommes parties à l’aventure. Nous avons sympathisé avec un couple de jeunes qui nous ont conduits dans leur club de vacances. Nous avons pu trouver une petite chambre en allumant le responsable, un bel hidalgo de 50 balais. Géraldine lui a fait comprendre que s’il s’arrangeait pour ne pas nous faire payer, nous pouvions être très, très gentilles avec lui.
— Mais, Maud… (Je suffoque indignée) c’est de la prostitution !
— Mais non ! s’esclaffe-t-elle. Il aurait fini dans notre lit même s’il n’avait pas eu le pouvoir de nous rendre service. Il était un peu vieux pour nous, d’accord, mais il était vachement séduisant, bien bronzé, pas un poil de bedaine, un sourire ravageur à la Julio Iglésias, un vrai tombeur, pas du tout le look pervers pépère de notre voisin aux grandes oreilles.

Oh, punaise, le papy va avaler son dentier… il nous regarde, tout rouge, va-t-il se fâcher ?

— Et surtout il avait un gros savoir-faire, ajoute-t-elle avec un grand sourire et un clin d’œil salace à Bidochon qui du coup semble se calmer.
— Ça, tu ne l’as su qu’après, ma cocotte…
— Tout de suite après, dans la chambre. Ce qui nous a rassurées pour nos débuts, c’est qu’il nous voulait toutes les deux à la fois. On l’a vite épuisé, ajoute-t-elle en riant.
— À 50 ans, avoir deux nymphos dans son lit ! Vous auriez pu le faire crever.
— Penses-tu ! C’était un bon. Pas du genre à avoir besoin de Viagra, lui ! (nouveau clin d’œil vers Bidochon qui dégoûté par cette attaque à sa virilité se lève et nous quitte sans un regard.) Résultat, continue Maud, nous changions de chambre sans arrêt, au gré des trous du planning mais nous n’avons jamais rien payé.
— Je ne sais pas si je dois te féliciter.
— Tu peux, c’était un club super avec une ambiance très cosmopolite, tout le monde vivait la nuit et ne pensait qu’à faire la fête. Reste assise, Karine. En quinze jours, j’ai dû me taper une cinquantaine de mecs.
— Mais… (Je calcule horrifiée)… Maud, ce n’est pas possible, ça fait plus de trois par jour !
— Ça va vite, Karine, explique-t-elle en riant de mon indignation. Entre elle et moi c’était presque une compétition. Au début, on s’était fait piéger, on avait suivi un mec rencontré en boîte soi-disant dans une soirée privée et on était tombé sur une véritable partouze.
— Vous ne vous êtes pas enfuies ?
— On était scotchées. Géraldine a été traînée vers un lit par un grand blond tout nu un peu plus rapide que les autres. Moi, j’hallucinais devant le spectacle. Cela baisait dans tous les coins. Comme les filles à l’œuvre avaient l’air de prendre beaucoup de plaisir, je me suis dit : "Merde, je ne vais pas me contenter de regarder, je peux bien faire ça une fois dans ma vie."
Alors, tu t’es faite partouzée… (Voix épouvantée)
Je me suis laissée entraîner par mon copain d’un soir qui m’a culbutée sur le coin d’un lit déjà pris par un couple en pleine action. Un autre mec est venu nous regarder, puis un second. C’était la première fois que je faisais l’amour en public, cela m’a fait un effet terrible et j’ai eu un orgasme très rapidement. Mon copain en se retirant m’a glissé à l’oreille : « Ils attendent leur tour. Tu es nouvelle, super mignonne et tu jouis facilement, tous les mecs vont vouloir t’essayer. Vérifie leurs préservatifs et amuse-toi bien. »

Punaise, Bidochon est parti trop tôt, il a manqué le meilleur…

— Il est parti tenter sa chance ailleurs, continue Maud, et le premier arrivé a pris aussitôt sa place entre mes jambes. Au début c’est génial. Tu comprends, ton mec sauf s’il est mort de faim, il ne te baise pas deux fois de suite, il lui faut un petit temps de récupération. Tandis que là, tu viens à peine de prendre du plaisir avec le premier qu’un autre le remplace, tout aussi vigoureux, tout aussi fougueux, tu n’as pas le temps de refroidir.

Punaise, c’est kiffant comme truc mais il faut être raide dingue…

J’arrive à balbutier :

— Et… et ensuite ça se gâte ?
— Jusqu’au cinquième c’est meilleur à chaque fois mais après il faut être entraînée. Les mecs me prenaient sans même me changer de position. Arrive un moment où tu es complètement défoncée, tu ne les comptes plus, tu es shootée, tu peines à tenir tes jambes, à bouger comme il faut pour ne pas les décevoir, tu les confonds, tu ne sais même plus qui t’a déjà baisée ou pas, lesquels font ça bien ou pas, tu as mal aux cuisses, mal au sexe.

J’avais peur pour Bidochon et c’est moi qui vais tomber raide…

— Alors, Karine, continue-t-elle, j’ai fait une pause, j’ai été me laver un peu car il y avait un impatient qui s’était branlé sur mes seins. J’ai fait un tour pour m’en mettre plein les yeux et, évidemment, au bout d’un certain temps, devant le spectacle l’envie m’est revenue. Cette nuit-là, j’ai dû me faire enfiler par une vingtaine de mecs. Tous ceux qui le désiraient.

Tous ??? Alors là, c’est le pompon ! Ce n’est pas possible ! Elle a un pet au casque.

— Tu… tu ne les choisissais pas ?
— Non, cela ne se fait pas. Dans ce genre de soirée, seul le sexe compte. Un garçon peut être moche, poilu ou grassouillet mais avoir une queue magnifique et faire ça super bien. Je vais même te dire que les mecs trop beaux sont rarement des fines braguettes.
— Ah… Mais… euh… (J’en ai les neurones qui disjonctent)… et… et les filles ?
— Quoi, les filles ?
— Les jolies doivent être surbookées et les autres délaissées, non ?
— Pas du tout ! D’abord il y a nettement plus d’hommes que de femmes et ensuite une fille canon peut être une vraie planche ou bouger à contretemps tandis qu’une autre moins jolie ou moins jeune peut avoir des rondeurs appréciées, un grand savoir-faire ou une chatte surprenante.
— Une chatte surprenante ?
— C’est une chatte musclée qui donne aux mecs un max de sensations. Demande à ton mari ce qu’il en pense, il a bien dû connaître ça avant que tu lui mettes le grappin dessus.
— Laisse mon mari où il est et termine ton histoire hallucinante, Maud.
— Pour en revenir à cette partouze, Karine, c’était trop. Overdose. Je n’avais pas l’entraînement, j’ai eu des pertes pendant deux jours. Plus question de se faire traîner dans un piège pareil en suivant des mecs dans un lieu inconnu. Chaque soir, on se contentait de ramener chacune un garçon. Comme nous n’avions qu’une chambre pour deux on devait leur expliquer que ce n’était pas grave et qu’il fallait faire avec. La plupart de temps cela se terminait en partie carrée.
— Tu m’étonnes.
— Je t’ouvre des horizons, Karine ?
— Cela ne me branche pas du tout mais j’admets que ton histoire m’a fait mouiller ma petite culotte.
— Si un jour, tu changes d’avis, je peux te faire inviter à des petits dîners libertins quand ton mari sera en voyage.
— Non, Maud.
— Bon… Je n’insiste pas. J’en reviens au décompte. Tu vois, deux par nuit, plus tous ceux de la petite soirée, j’arrive à une cinquantaine et Géraldine encore plus, elle ne savait pas dire non. À la fin du séjour, elle ne mettait même plus de petite culotte pour partir en boîte.
— Heureusement que je suis assise, effectivement. Qu’est-elle devenue cette copine nympho ? Tu l’as perdue de vue, comme l’autre ?
— Oui. Elle a totalement coupé les ponts avec moi quand elle a rencontré son futur mari.
— Evidement. Elle n’avait pas envie que tu racontes ces vacances à son fiancé.
— Elle devait aussi avoir peur que je me le fasse. Ce qui est ridicule. Tu me connais, je sais ce qu’il faut faire et ne pas faire. Je n’ai jamais dragué ton Mari, Karine, et pourtant il est craquant.
— Je t’en remercie beaucoup, Maud (avec un air ironique).
— Sans rire, ces vacances ont réellement changé ma vie. Je suis revenue d’Ibiza complètement libérée. De retour à Paris, je me suis mise à pratiquer le sexe comme un sport.
— Un sport ?
— Je me suis mise à fréquenter un club libertin. Mais c’est une autre histoire. Tu as vu l’heure ? Il faut que j’aille récupérer ma fille. Je l’ai collée à ses grands-parents mais ils s’épuisent vite. Je me sauve. À plus.

Maud me claque deux bises et me laisse seule toute pensive devant mon thé froid. Punaise, et si je me musclais la chatte ? Pour voir.
Par Karine2x - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 06:35
Pour approfondir le débats lancé par la présentation de la loi Hadopi au conseil des ministres et de ses conséquences sur Internet et son utilisation, voilà une émission qui s’annonce intéressante sur ce sujet.  Pour ceux qui ne seront pas sur le sable.

Sur France Culture l’émission Place de la toile le vendredi de 11h à 12h présente et débat des différents aspects de la révolution numérique. L’émission du vendredi 4 juillet 2008 sera donc consacrée à : Création et Internet : débat autour d'un projet de loi

La loi HADOPI, ou loi Création et Internet, présentée le 18 juin au conseil des ministres, va commencer son parcours législatif à la rentrée. Issue des conclusions de la mission Olivennes sur le téléchargement, elle est l'objet de débats tranchés. Place de la Toile fait le point sur les arguments des différentes parties, auxquels vous pouvez joindre les vôtres, ainsi que vos réflexions plus générales sur le droit d'auteur, le téléchargement et la circulation en ligne des oeuvres culturelles et intellectuelles, en cliquant ci-dessous sur le bouton "commentaires".



Les sites de l’émisssion :
France Culture
Place de la Toile
Par Marc - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 28 juin 6 28 /06 /Juin 10:13
Depuis plusieurs minutes le souffle des deux femmes entrelacées sur le lit, est devenu plus régulier. Elles dorment du sommeil des amantes épuisées alors qu’Harry et Marie-Claude commence à avoir des crampes dans les muscles de leur corps qui n’ont pas eu le plaisir de se détendre pour cause d’orgasme avorté à répétition.

C’est Harry qui parle en premier en appelant doucement Marie-Claude.

- Marie-Claude tu dors mon petit ange ?

- Non, j’ai mal dans les bras et les jambes et je suis trop tendue pour penser à dormir. Et toi ?

Moi c’est pareil. Je vais essayer de me détacher, j’ai l’impression qu’un de mes liens s’est détendu.

En joignant le geste à la parole, Harry se tortille sur sa chaise et, effectivement, la corde qui retient son pied droit commence à se dégager et quelques minutes plus tard, il a un pied de libre. Par contre il ne peut rien faire pour les autres malgré tout ses efforts. Marie-Claude de son coté n’est pas restée inactive et elle a réussi à libérer ses deux pieds. Du coup elle fait glisser tout doucement sa chaise vers celle d’Harry en prenant garde de ne pas faire de bruit et en surveillant le sommeil de deux amantes.

Minute après minute Marie-Claude se rapproche d’Harry qui regarde sa partenaire du moment, celle qu’il a à moitié violée l’autre jour, se rapprocher de lui.

Plusieurs minutes passent et Marie-Claude est maintenant contre Harry. Elle souffle fortement car l’effort a été intense et son souffle caresse Harry qui se sent tout chose. Ca le fait bander d’avoir cette belle jeune fille qui suce si bien contre lui et son membre traduit son émotion en reprenant en quelques minutes une dimension prometteuse.

Marie-Claude a les yeux fixés sur le membre tendu et a une folle envie de s’empaler dessus mais manifestement elle n’en a pas encore la possibilité. Il faut d’abord se détacher. Marie-Claude fait pivoter sa chaise pour se trouver dos à dos avec Harry et ses mains commence à s’activer sur les nœuds qui maintiennent Harry.

Au moment où elle pense avoir réussi, elle entend Joana qui parle doucement à Julia en lui murmurant des mots doux.

-Réveilles toi ma douce, j’ai de nouveau envie de toi, et nos tourtereaux ont besoins de soins, tu ne crois pas ?

-Mmmm laisse moi amour, je dors, tu m’as épuisée et j’ai sommeil.

-OK mon ange, dors je vais boire un coup et je reviens.

Ce faisant, elle se retourne et se lève d’un bon au spectacle des deux tourtereaux si proche l’un de l’autre.

-Ah ben merde alors, comment ont-ils fait? Julia réveilles toi, nos amoureux veulent nous quitter sans nous avertir.

Julia émerge doucement de son rêve en se frottant les yeux pendant que Joana fait le tour du lit pour s’approcher des deux chaises. Marie-Claude et Harry sont tétanisés. Leur tentative a échoué et ils savent que les deux femmes n’attendaient que cela pour s’amuser avec eux et jouer de leurs corps pour en tirer le maximum de plaisir.

Le sexe d’Harry perd progressivement de sa superbe ce qui amuse beaucoup Joana et d’un geste rapide elle s’en empare et tire dessus comme pour l’arracher puis elle prend les couilles dans sa main et les malaxe sans s’occuper des gémissements de douleur et des soubresauts qui parcourent le corps d’Harry. Pendant plusieurs minutes Joana joue ainsi avec le sexe créant tantôt la douleur tantôt le plaisir et mettant ainsi les nerfs du malheureux Harry à vif. Puis c’est le tour de Marie-Claude qui devient le souffre douleur temporaire. Les mains de Joana jouent cette fois ci avec les seins et la bouche de Marie-Claude. Les seins de Marie-Claude sont tout rouges en quelques minutes à force d’être tordus, malaxés, pétris, les mamelons sont pincés, tordus, pincés et écrasés par les doigts de Joana. Aucune pitié, aucune larme ne l’arrête. Elle veut vaincre toute résistance et dominer totalement ces deux êtres. Marie-Claude pleure et gémie mais rien n’y fait. Joana s’arrêtera quand elle l’aura décidé et non quand ses victimes le lui demanderont.

Julia la regarde faire, un peu inquiète au début puis, finalement, excitée par le spectacle que Joana lui offre elle se branle, allongée sur le dos, les cuisses largement écartées, et tout en s’enfonçant un doigt dans le cul elle se branle furieusement jusqu’à hurler son plaisir pour Joana qui la regarde, mi surprise par tant d’ardeur, mi amusée par ce spectacle.

Les derniers frissons parcourent le corps de Julia qui finie par s’écrouler sur le lit.

- Que c’était bon ma chérie, tu sais, j’ai adoré te voir torturer cette fille, je dois être tordue dans ma tête, tu ne crois pas ?

- Peut-être, mais compte tenu de tout ce qui s’est passé aujourd’hui, je ne pense pas que ce soit une maladie. Tu sais cela m’est déjà arrivé quand je fouettais le cul de mon ex petit ami. Il est vrai que c’est un peu à cause de ce genre de plaisir qu’il m’a quitté. Il trouvait que j’avais tendance à en abuser. Le week-end je le fouettais trois ou quatre fois par jour. Il a fini par se lasser surtout que je jouissais tellement en me branlant tout en le fouettant que je n’avais plus envie de baiser avec lui. Je peux le comprendre non ?

- Ouais tu as raison et je pense qu’il a eu raison de te quitter.

En disant cela Julia regardait Joana et les deux femmes se mettent à rire aux éclats et vu la tête de leurs victimes attachées, leur rire redouble. Joana se jette sur Julia en l’embrassant sauvagement. Elle a décidé de la prendre, de la violer s’il le faut car elle n’en peut plus il faut qu’elle jouisse. Son corps se frotte à celui de sa partenaire qui, tout d’abord submergée par tant de fougue réussi à se dégager suffisamment pour renverser Joana, lui écarter les cuisses et plonger sa bouche sur son sexe en feu qu’elle lèche goulûment, titille avec sa langue, puis lui mord l’intérieur des cuisses ce qui fait frissonner Joana des pieds à la tête.

- Ahhh salope, tu as trouvé mon point faible, aïe, encore j’aime ça, oui, suce mord Ahhh encore, encore, baises moi, encore, fourre moi avec ta langue, tes doigts encore suce, lèche ouiiiiii c’est bon encore …..

Julia s’active comme une folle sur le sexe de son amie, de son amante, de sa maîtresse, elle ne sait plus comment l’appeler. Elle suce, elle lèche ce sexe avec une seule idée en tête, provoquer un orgasme gigantesque, titanesque qui la rendra maîtresse de la situation.

Elle sent monter la pression dans le ventre de Joana, son abdomen se gonfle se tend de plaisir et soudains un cri sort de la bouche de Joana qui annonce la délivrance, le plaisir absolu, l’orgasme qui vous assomme, vous entraîne dans un trou noir, rouge, vert, bleu.

-Ahhhhhhhhhhh, ouiiiiii, ouiii, ouii, oui c’est bon, c’est géant, jamais j’ai joui comme cela, encore julia aussi longtemps que tu veux, je suis à toi, ouiiiiiiii tu es la meilleure, ah que c’est bon, que c’est bon.

De longs frissons font vibrer le corps de Joana qui petit à petit retrouve ses esprits et se jette dans les bras de Julia pour l’embrasser à pleine bouche plusieurs minutes durant.

Les deux corps enlacés tombent sur le lit et il leur faut de longues minutes pour retrouver leurs souffles et leurs esprits.

Pendant ce temps, Harry et Marie-Claude sont restés immobiles, n’osant pas bouger, sur leurs chaises, à moitié nus mais à la merci des deux femmes qui se relèvent en les regardant avec un drôle de petit sourire.

C’est Julia qui parle la première.

- Tu t’occupes d’Harry, je prends Marie-Claude en charge. Rendez-vous dans une demi-heure pour voir qui de nous deux a le mieux traité son sujet

Et c’est sur ces paroles mystérieuses que Julia et Joana se dirigent vers Harry et Marie-Claude. Elles les détachent des chaises mais pour aussitôt leur attacher les mains derrière le dos.

Julia entraîne Marie-Claude vers le sous-sol et Joana tire Harry par le sexe vers la cuisine. Les réjouissances d’un nouveau genre vont commencer.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 21 juin 6 21 /06 /Juin 06:55
Mais qu’est ce donc ? C’est la  Haute Autorité pour la Diffusion des Oeuvres et la Protection des Droits sur Internet. C’est aussi le nom du projet de loi présenté mercredi aux ministres pour lutter contre le piratage sur internet. En ces temps de livre blanc, l’arme miracle pour résoudre le problème des majors.

C’est cette haute autorité qui contrôlera et punira les internautes qui se livrent au téléchargement illégal. C’est aussi ce que certain appelle la riposte graduée en effet si vous êtes repéré lors de vos téléchargement alors vous recevrez émails d’avertissement puis lettre recommandé puis si vous continuez fini internet.

Rapidement résumé mais je crois que j’ai bon, il y a les détails technique sur tout les sites spécialisés. Evidement ce genre de réponse de la part d’une haute autorité cela froisse certains.

L'association européenne des consommateurs a qualifié de "mesure disproportionnée" et "inefficace" la coupure d'accès à Internet, qui "viole certains droits fondamentaux comme la présomption d'innocence ou la protection des données personnelles." Eh, oui maintenant sans Internet on fait plus grand chose. Et quid de la surveillance par des entreprises privées ?  du téléchargement légal ? du filtrage sur le volume ? les fichiers ? les contenus ??

Pour résumer, la chasse au pirate va sonner, les chiens sont lâchés et déjà les plus pro laissent tomber les plate-formes connues pour un réseau souterrain de petit site, d'échange coopter et de site a inscriptions payantes. Oui évidement on ne voit pas arriver les contenus intéressants, attractifs innovants, cela fait combien d’année que le concept un mp3 pour 0.99centime est sorti? en prime les DRMs (protection contre la copie) ne vous laisseront pas tranquilles.

Maintenant youtube et autre site de visionnage fournissent gratuitement la plupart des vidéos et des mp3 pour les pirates. Et le gouvernement annonce que la loi hadopi a pour but de faire baisser de 70 a 80% le piratage…impressionnant.

La loi sans contrepartie attractive je pense que cela revient à mettre la charrue avant les bœufs. alors qu'il que le bœufs sont déjà partie depuis longtemps. En effet exemple du livre. Un objet dont on a plusieurs fois creusé la tombe mais qui est toujours là. En effet pour un livre « Surfer la nuit » payé 7 euros. Vous avez accès un objet 200pages que vous pourrez utiliser aujourd’hui demain, dans 10 ou 20 ans et plus. Pour 15 euros vous aurez 15 fichier musicaux sur une galette de plastique qui ne fonctionnera plus dans 5 ans. Alors que cette même galette pourrais contenir bien plus. Le contenu. La diversité. Si ces deux éléments sont présents alors le produit est attractif.

Deux sites:
http://www.audionautes.net/

Michel Rocard: contre la riposte graduée, pour la licence globale
Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 14 juin 6 14 /06 /Juin 11:20
En ces temps de débâcle pour les bleus, et de surabondance des petits bonhommes en shorts et en sueur dans le petit écran, cela est peut être le moment de regarder un peu ailleurs et regarder différemment des sprotives talentueuses en short et en sueur.
En plus cela fait longtemps que ce blog n’avait pas mentionné de dvd.

Je sais qu’en France le football féminin n’a pas la cote, encore moins à la télévision. Pour les amateurs et amatrices de ce sport qui vaut bien celui de ces messieurs.



Ce film, Never Say Die Matildas filmé en 2007, présente l’équipe australienne de foot qui après une défaite se reconstruit avant de participer à la coupe du monde de foot féminine en Chine.

C’est un peu les eux dans les bleus avec peut être un peu moins d’ego, les joueuses ne sont en effet pas professionnelles. En plus des matches et des entraînements, différents portraits nous font découvrir les éléments clefs de l’équipe. On découvre les hauts et bas d'une équipe fraiche et pleine d'énérgie dans un style d'une fluidité agréable. Un bon dvd pour une soirée déténte.

Cette équipe nationale a déjà défrayée la chronique en posant nue dans un calendrier en 1999, comme quoi certains rudgymen n’ont pas été les premiers à égayer les mois d’hiver.


Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 14 juin 6 14 /06 /Juin 11:18
Julia est remontée rapidement dans l’appartement pour préparer la suite des festivités.

De son coté Joana n’est pas restée inactive et de la main droite elle s’empare des couilles d’Harry qu’elle serre doucement tout en tirant dessus pour le forcer à avancer. Harry gémit un peu car il appréhende cette prise et il sait que d’une simple pression Joana peut le faire hurler de douleur. C’est très sensible ces petites choses. Alors il ne résiste pas et avance à petits pas en suivant Joana.

De son autre main Joana a pénétré fermement le vagin de Marie-Claude en glissant sa main entre les fesses de la jeune fille qui a un sursaut de défense vite réprimé d’ailleurs car la main de Joana est autoritaire.


Cet attelage à trois remonte doucement les escaliers sous la conduite ....manuelle de Joana. Ses doigts exercent des pressions plus ou moins forte sur le sexe d’Harry qui reprend vaguement des formes mais c’est un peu tôt pour qu’il redevienne un instrument conquérant. Le vagin de Marie-Claude par contre se mouille abondamment sous les caresses de Joana qui lui branle également le clitoris tout en marchant. Marie-Claude commence à sentir des chaleurs qui remontent au creux de ses reins et se contorsionne pour profiter au mieux des caresses.

-Du calme ma belle, ne cherche pas à jouir comme cela, tu sais que je peux te maîtriser et te maintenir au bords de l’orgasme très longtemps. Alors laisse moi faire.

-Oui Joana, mais tes mains sont tellement douce, oh mon Dieu, j’ai tellement envie de jouir, je ferais ce que tu veux mais fait moi jouir, je t’en prie vite, ne...m...me ...laisse pas comme cela. Ahh ‘c’est fou, tu me rend folle, je t’en supplie je veux jouir Ahhhh, encore oui ...Non,.. pourquoi tu retire tes doigts non continu par pitié, par amour.

-Imbécile, tu oublies vite qui est ta maîtresse, tu ne crois pas ?

Marie-Claude serre ses cuisses l’une contre l’autre pour forcer l’orgasme et Joana la regarde se tortiller mais elle sait aussi qu’il faut arrêter Marie-Claude maintenant car sinon sa punition ne sera pas complète. Alors d’une main ferme elle attrape le téton gauche de Marie-Claude et le tord sans ménagement. Marie-Claude a hurler de douleur
sous la torture infligée à son mamelon.

-Aie, tu m’as fait mal Joana, c’est horrible ce que tu viens de me faire, je suis...je suis toute chamboulée oh j’ai mal au clitoris, mon vagin a faim, c’est dégueulasse..

Mais Marie-Claude n’a pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouve plaquée contre le mur et que Julia qui était revenu voir ce qui se passait lui demande de faire immédiatement des excuses à Joana.

-Oui maîtresse, je suis désolée  mais j’avais tellement envie de jouir que je suis devenue folle. Je te demande pardon Joana pour t’avoir insulté.

-Bon ça ira pour cette fois mais à l’avenir contrôle toi sinon il t’en cuira.

Et tirant sur la queue d’Harry elle le fait avancer plus vite.

Tout le monde arrive dans la chambre du couple Taylor qui pour le moment est plutôt partagé d’une manière peu conventionnelle.

Joana garde Harry bien en mains et Julia prend Marie-Claude en charge.

Le lit conjugal est encadré par deux chaises et Marie-Claude est poussée vers celle de droite quant à Harry il est assis d’autorité sur celle de gauche. Leurs pieds sont tirés en arrière et attachés aux pieds arrières des chaises ce qui les mets dans une position jambes très écartées. Les mains sont attachés aux montants des chaises et au même instant sur un signal de Julia les bandeaux qu’ils avaient devant les yeux leurs sont enlevé.

La pièce n’étant éclairée que par une lumière douce, leurs yeux s’habituent très vite et parcourent le décor rapidement. Devant leurs regards ahuris, Julia et Joana rigolent tout en se tenant par la taille.

-Regardes les Joana, ne sont-ils pas mignons comme cela, prêts pour le spectacle comme à l’Opéra. On pourrait peut-être leur offrir à boire qu’en penses-tu ?

-Oui tu as raison, toute fête doit commencer par une coupe de champagne et puis c’est l’anniversaire de Harry après tout.

Rapidement Julia a servi quatre coupes de champagne. Elle en donne une à Joana et en prend une pour elle.

-Mais suis-je bête, comment vont-ils boire nos tourtereaux ?

-Eh bien le mieux c’est de leur donner à boire nous mêmes.

-Tu as raison Joana, tiens occupe toi de Marie-Claude je m’occupe de Harry.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Joana a pris tendrement la tête de Marie-Claude contre sa poitrine, la bascule en arrière et approche le verre de ses lèvres. Le liquide coule doucement dans la gorge de Marie-Claude qui l’avale au fur et à mesure. C’est bon, c’est frais et Marie-Claude sent monter en elle une douce langueur ce qui, après ce qu’elle vient de subir, est une vraie bénédiction.

Julia a fait pareil avec Harry qui sous l’effet du liquide frais a fermé les yeux et savoure l’instant présent.

-A nous maintenant, vient près de moi Julia adorée, je vais te faire boire à ma façon.

Julia s’approche de Joana et se colle à elle en tendant ses lèvres vers le verre qu’elle Joana tient à la main. Joana avale une gorgée de champagne et colle ses lèvres sur celle de Julia qui les entrouvre pour laisser couler le liquide ambré dans sa bouche. Leurs langues se mélangent dans de douces caresses qui n’en finissent plus. Le piquant du champagne excite leurs papilles et une nouvelle gorgée passe de la bouche de Joana à celle de Julia qui devient de plus en plus excitée. Ce petit jeux du biberon buccal continu plusieurs minutes jusqu’à de que les deux verres soient vides.

Les deux femmes se regardent dans les yeux et ces regards en disent longs sur l’envie qui brûle leur ventre et mouille leurs entre jambes.

-Viens Julia, allongeons nous sur ton lit nous serons plus confortable.

- Oui ma chérie, je te suis, embrasses moi encore, j’aime tes lèvres et ta langue est une merveille en satin. Oui comme cela, non ! ne me branles pas tout de suite, juste tes lèvres sur ma bouche, nous avons toute la nuit devant nous. Les deux autres doivent aussi profiter pleinement du spectacle tu ne crois pas ?

-Oui c’est vrai, donne moi tes lèvres elles sont chaudes et humides comme le vagin de Marie-Claude, tu verra quand tu la suceras elle est douce et chaude. Et crois moi elle aime ça. N’est ce pas Marie-Claude ?

-Oui Joana, j’aime me faire sucer, mais seule une femme peut me procurer un maximum de plaisir, j’aimerai que Jul.., pardon que maîtresse me suce. Je suis sûre d’adorer cela.

-Ne t’inquiètes pas Marie-Claude ton tour viendra, et à ce moment là tu devras être à la hauteur sinon tu sais ce qui t’attend, les chaises au garage n’étaient qu’une entrée en matière.

-Oui maîtresse je ferais de mon mieux et même plus que cela pour vous satisfaire.

-Parfait on verra cela, mais revenons à nos moutons ma chère.

Les deux femmes ont repris leur séance de bouche à bouche et la température monte sur le lit. Les corps de Joana et de Julia bien qu’encore habillées se frottent l’un à l’autre. Les mains se cherchent et commencent à s’égarer entre les cuisses de l’une ou de l’autre.

Julia déshabille Joana qui déshabille Julia, Un sein apparaît, puis deux, puis les chemisiers se déchirent sous l’effet des caresses.

-Oui, serres moi fort, petite salope, tu sais comment branler une femme toi au moins, ce n’est pas comme Harry, quand il faut que je lui explique ça à chaque fois. Oui je sens que ça monte, Ahhhh oui tu me tiens, tu es la plus forte Joana mais...., ahhh oui encore salope, encore, branle moi, plus vite, plus fort ne me laisse pas tomber, ouiii maintenant.. voilà...ahha...ahhh ouiiii c’est bon, c’est bon oui n’arrête pas encore , ahh aah j’en peu plus, oh que c’était fort.

Julia a du mal à reprendre son souffle  et reste un moment allongée sur le lit sans rien dire. C’est la voix de Joana lui murmurant des mots doux dans le creux de l’oreille qui la fait sortir de son nuage.

-Regarde Julia, on dirait que Harry reprend des forces.

Et en effet, la queue de Harry reprend de la vigueur et atteint maintenant des proportions honorables en tout cas utilisables si nécessaire.

-Tu le veux, je te le prête. Quand il veut bien il est pas mal et il arrive même à me faire jouir de bonne façon.

Joana s’est placée derrière la chaise de Harry et commence à l’embrasser dans la nuque, sur le lobe de l’oreille, tout en lui murmurant des paroles obscènes qui ont pour effet d’exciter davantage Harry pour lequel la crainte et le plaisir se mêlent.

Quelques instants après Joana fait le tour de la chaise et achève de se déshabiller lentement devant Harry qui en profite au maximum. Puis elle enfourche les genoux de Harry et commence à frotter ses petites lèvres sur le sexe turgescent. Harry ferme les yeux de plaisir et commence à gémir sous les savantes caresses. Les poils du pubis de Joana titillent le sexe d’Harry et il apprécie fortement l’humidité bienveillante de la grotte parfumée.

-Oh oui Joana continu comme cela, j’aime cette sensation de gratouillement, oui encore je bande pour toi, j’ai envie de te pénétrer et de me perdre en toi. Oui encore comme cela.

Le corps d’Harry est parcouru de grands frissons et il se débat pour se détacher et fondre sur Joana dont les hanches ondulent autour du sexe tendu comme un arc.

Joana commence à enfoncer le sexe dans son vagin millimètre par millimètre, reculant chaque fois que Harry fait mine de s’enfoncer plus vite. C’est décidé, c’est elle qui conduit le jeu et Harry n’est là que pour son service, son plaisir et pas autre chose.

Le petit jeu continu durant de longues minutes au bout desquelles le sexe de Joana a complètement avalé celui d’Harry. Joana se contente d’onduler et de se caresser les parois vaginales qui ruissellent de plaisir. Elle sent monter dans ses reins une vague de frissons chauds annonciateur du plaisir. Aussi longtemps qu’elle le peut elle maintien ce rythme lent qui rend fou Harry mais ne lui apporte pas l’orgasme libérateur et c’est bien là le jeu. Jouir du sexe masculin sans lui procurer le plaisir suprême.

Joana est une artiste du sexe, et Harry commence à le comprendre. Jamais elle ne le fera jouir, alors il tente une manoeuvre mais ses liens l’empêche de faire ce dont il avait envie. Pénétrer ce vagin et le bourrer de coups de queue jusqu’à vider cette tension qui devient insupportable.

Mais Joana a vite contrer la manoeuvre et continu son petit jeu diabolique. Elle sent monter en elle l’orgasme irrépressible, libérateur et bientôt elle n’arrive plus à contrôler son propre corps. Prise à son propre jeux elle s’enfonce violemment le sexe dans le vagin et chevauche Harry sans aucun ménagement. Elle plonge ses doigts dans ses cheveux et, s’en servant comme autant de poignées, elle secoue la tête d’Harry tout en le baisant.

L’orgasme la surprend en pleine chevauchée, plein, géant, tout son corps vibre explose dans le plaisir, peu lui importe le plaisir de l’autre, seul le sien compte.

-Oh que c’était bon Julia, ton mec a un sexe fantastique, il est gros, il rempli bien un vagin de femme et quand on l’utile pour soi il est très efficace.

-Tu as raison, mais il ne faut surtout pas le laisser faire, c’est rarement bon. Viens près de moi mon amour, j’ai envie de sentir ta chaleur et ton odeur. Il n’a pas joui au moins, il faut le conserver en état pour la suite.

-Non non, je n’est rien senti de chaud qui giclait entre mes cuisses tout à l’heure. Il est toujours en état. D’ailleurs regarde la tête qu’il fait et tu auras compris.

Les deux femmes éclatent de rire et, se serrant l’une contre l’autre, s’endorment rapidement, laissant les Harry et Marie-Claude attachés sur leurs chaises et sans possibilité de satisfaire les envies qui fourmillent dans leurs cuisses et leurs sexes respectifs.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 31 mai 6 31 /05 /Mai 06:52
Marie-Claude entend les pas de deux..non ...trois personnes qui avancent avec précaution vers son perchoir. Des murmures se font entendre.

-Voilà doucement, fait attention à la dernière marche elle est un peu glissante. Voilà tu y es.

Marie-Claude a compris, les deux femmes guident une troisième personne qui ne peut être qu’Harry le mari de Julia. C’est donc lui qui va la baiser et par où ? Quel orifice de son corps va-il honorer. D’elle, il ne connaît que sa bouche; mais aura-t-il le choix ? La réponse ne devait pas tarder.

Marie-Claude entend une fermeture éclair que l’on ouvre et imagine sans peine ce qui va sortir par cette ouverture. La queue de Harry. Elle l’imagine droite et turgescente, prête à s’enfoncer dans un orifice féminin doux et chaud comme seule une femme sait en offrir aux hommes qu’elles désirent.

Puis la voix de Joana lui ordonne d’ouvrir la bouche sans toutefois prononcer son prénom.

Marie-Claude s’exécute car elle garde en mémoire la gifle de Julia et ne souhaite pas en recevoir une autre.

Joana guide Harry vers la bouche de Marie-Claude, sans un mot et elle attrape les cheveux de Marie-Claude à pleine main pour réaliser la jonction parfaite entre le membre de Harry et la bouche accueillante de Marie-Claude.

Dés que la queue d’Harry a rencontré les lèvres de la bouche de Marie-Claude il n’a plus besoin de guide. Sa femme l’encourage.

-Vas-y mon chéri enfonce toi dans cette bouche, elle est pour toi et entièrement à ta disposition. Profites en pleinement sans te soucier de sa propriétaire, défonces la si tu veux ou joue avec, c’est ton cadeau d’anniversaire.

Harry ne se l’ai pas fait dire deux fois, et sa queue pénètre profondément dans la bouche de Marie-Claude. Elle, fait de son mieux mais ce membre est vraiment gros et elle a de la peine à l’absorber en entier. Pourtant petit à petit elle le prend bien en bouche et s’active de plus en plus. Maintenant c’est Harry qui est prisonnier de cette bouche et soudain il pousse un cri de surprise.

-Cette, cette bouche, je la connais, cette façon de sucer ma queue, oui encore Marie-Claude encore, j’aime ta bouche tu le sais, continue ma belle; Ahhh merci Julia c’est un merveilleux cadeau, Merci Joana je m’en souviendrai longtemps.

Le cri de Julia lui coupe tous ses effets et le fige sur place.

-Salaud tu l’as baisé cette mijaurée, quand, où, derrière mon dos sans doute quand je travaillais ou que je m’occupais des enfants. Salopard, tu vas me le payer.

Elle bondi sur Harry et le tire par les cheveux ce qui a pour effet d’arracher sa queue de la bouche de Marie-Claude qui reste bouche ouverte ne sachant plus ce qu’elle doit faire.

Joana essaye de calmer le jeu mais Harry qui ne peut pas se défendre a déjà reçu trois gifles et des coups de poing de la part de Julia.

-Arrête Julia, ça ne sert à rien de t’énerver, j’ai mieux à te proposer, écoute.

Joana entraîne Julia à l’écart et lui explique son idée. Julia se calme peut à peut et au bout de deux minutes accepte l’idée de Joana.

-OK, tu as raison, ce sera bien plus drôle et au moins nous en profiterons.

Les deux femmes retournent près de Harry et Julia le conduit à nouveau près de la bouche de Marie-Claude qui attend sagement qu’on l’honore. La queue de Harry redevient petit à petit d’une taille normale puis plus imposante sous l’effet des caresses buccales de Marie-Claude.

-Ah que c’est bon Marie-Claude, y-a-pas à dire tu suce divinement.

Mais d’une voix sèche Joana leur ordonne de s’arrêter et de rester soudés ensemble. Ils s’exécutent et attendent les ordres.

-Tu es prêtes Julia, demande Joana ?

-Oui on peut y aller, et en rythme s’il te plaît.

-Alors, à la une, à la deux et à la trois

Vlan, deux claques retentissent simultanément

Marie-Claude gémit mais ne peut émettre un son car elle a la bouche pleine et sous l’effet de la claque sur ses fesses, Harry a donné un coup de rein en avant et sa queue a défoncé la bouche de Marie-Claude jusqu’au plus profond de l’orifice. Marie-Claude a fait de même de son coté, accentuant ainsi la pénétration.

Vlan, deux autres claques tombent simultanément sur les fesses des deux protagonistes et le même mouvement en avant les anime provoquant un petit haut le cœur chez Marie-Claude.

Mais petit à petit le rythme des claques s’accélère pour atteindre un rythme assez rapide.

La bouche de Marie-Claude est envahi par la queue d’Harry qui sous l’effet du traitement imposé par les deux femmes a encore pris de l’ampleur. Il ne voudrait pas étouffer Marie-Claude mais maintenant c’est lui qui devance les coups. Son corps a pris le dessus sur sa volonté et il s’enfonce dans cette bouche ronde et chaude sans plus se préoccuper des gémissements qui en sortent.

Jouir, jouir, il n’a plus qu’une idée, jouir, se libérer de cette tension que les coups font monter dans ses reins, son ventre, il a perdu tout contrôle de lui même et il entend à peine les deux femmes qui les battent, lui et Marie-Claude, tout en rigolant de voir sa tête et les yeux exorbités de Marie-Claude.

-Alors Harry, t’es content de la baiser ta Marie-Claude, si tu voyais sa tête, on dirait qu’elle va éclater, oui vas-y mon Harry défonce la, n’ait pas peur, vas-y Joana fouettes le plus fort, regardes il aime ça, jamais je ne l’ai aussi excité. Oui plus fort, vas-y Ahhh j’en peu plus, il faut que je me branle.

Tout en continuant à taper sur les fesses de Marie-Claude, Julia a glisser deux doigts entre ses cuisses ouvertes et se branle furieusement. L’effet se fait sentir très rapidement et quelques secondes après elle joui brutalement en tombant à genoux parterre dans un râle évocateur.

En entendant sa femme jouir, Harry accélère encore son effort et lui aussi est emporté dans une éjaculation énorme, complète, totale qui envahi la bouche de Marie-Claude, la noyant sous un flot de sperme qu’elle n’arrive pas à avaler aussi vite. Elle tousse et cherche à se dégager de la queue d’Harry qui heureusement a diminué de volume.

Epuisé, Harry tombe à genoux dans une attitude prostrée. Il cherche à rassembler ses idées mais il est trop tôt, on verra ça tout à l’heure. Pour le moment il reprend son souffle et calme les battements de son cœur.

Marie-Claude reprend également son souffle tout en se redressant un peu car elle commence à avoir des crampes. Le sperme coule sur son menton et elle sent les lèvres de Joana qui la lèche doucement.

-Hum, ce Harry a très bon goût tu sais Marie-Claude, tu as de la chance d’avoir pu en profiter aussi pleinement.

Joana en profite pour embrasser Marie-Claude qui à encore un peu de mal à réagir du coté de ses lèvres endolories.

Mais Joana sait y faire.

-Oui ma douce amie, il n’y a que toi et moi qui sommes restée sur notre faim. Pour toi c’est dommage, moi je vais bientôt me rattraper et tu devrais aimer cela ma toute belle.

Un dernier baiser sur la bouche de Marie-Claude et Joana retourne vers Julia qu’elle aide à se relever.

-Eh bien, la première partie a plutôt bien marché, si on passait à la deuxième manche ? Qu’en dis-tu ?

-Ok ma chérie, à nous de jouer maintenant.

Julia et Joana aident Marie-Claude et Harry à se relever et ensemble ils prennent le chemin de l’appartement.


Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 31 mai 6 31 /05 /Mai 06:37
Exposant des photos en grands formats mélangeant les couleurs d'un ciel d'orage et les traînées nuageuses utilisant la lumière et l'obscurité pour révéler les lieux et les personnages.


Artiste par vraiment génial parfois controversé certain aime ou pas … Voila pas que son exposition dans une galerie Roslyn Oxley9 en Australie attire plus la police que les visiteurs du moins pour le moment. Ces photos de corps nus ont été retirées. L'art doit-il être traité comme un média comme un autre? La question est posée.

En tout cas il semble que de nombreux artistes dont Cate Blanchett ont demandé que l’exposition puisse reprendre. Pour l’instant pas d’exposition mais beaucoup de bruit pour ce qui s’apparente pour l’instant a de l’excès de zèle.

En effet, certains journalistes font remarquer que des photographies d’une exposition précédentes sont toujours exposées dans d’autre galerie sans que personne ne s’en soucie.

Un peu plus d'info pour les curieux
Bill Henson
Par Luc - Publié dans : Sortir
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Dimanche 17 février 7 17 /02 /Fév 20:12
"A la réflexion, il n'est pas étonnant que la masse des romans sur le surf soit destinée aux enfants et aux adolescents, ni que la culture surf se soit montrée hostile aux femmes, emblèmes de la vie domestique. Dans son attitude de défi et de révolte, dans son rejet des responsabilités et son culte de la jeunesse, la mythologie du surf flatte l'éternel adolescent qu'il y a en chacun de nous : cette partie secrète de notre personnalité qui résiste a la domestication, au processus civilisateur et qui trouve une consolation atavique dans le mystère sauvage de la mer."

Fiona Capp - livre "Ce sentiment océanique - Mon retour au surf" - Ed. Actes Sud
Par Thierry - Publié dans : Sortir
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