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Vicky Christina Barcelona, en effet sur ce blog nous n’en avions pas parlé.
Maintenant, après sa sortie en salle, vous avez pu vous faire votre propre avis. En effet, on en a beaucoup parlé avant sa sortie et si on aime vous faire découvrir des nouveautés, là comme il n’y
avait pas d’accord sur la qualité du film et que la promo classique vous aura indiqué à coup sur la salle de ciné la plus proche. On a préféré ne rien dire.
Si nous aimons les films de Woodie Allen dans leur ensemble, il est à noter que les deux derniers par leurs oppositions nous ont beaucoup plu dans leur ensemble plus que chacun pris séparément. Ce
nouveau film nous laisse sur notre faim. On attend une suite qui comme scoop s’opposai à match point, contre-balancerai cette douceur.
La douceur de Vicky Christina
Barcelona semble provenir de la patte tranquille presque paresseuse du réalisateur, mais pour les plus fan révèle peut être un manque de créativité, une perte d’appétit ? .
L’histoire en quelques mots : Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions diamétralement opposées de l'amour : la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme
respectable ; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles.
Lorsque Judy et Mark, deux lointains parents de Vicky, offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie : Vicky pour y consacrer les derniers mois de son célibat
à la poursuite d'un master ; Cristina pour goûter un changement de décor et surmonter le traumatisme de sa dernière rupture.
Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsque Judy lui murmure que Juan Antonio entretient une
relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer.
Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à
boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...
Certains spectateurs y ont vu une comédie érotique, nous n’irons pas jusque là. Comédie oui gentillette un plaisir de fin d’été. Peut être, peut-on y voir aussi une vision new-yorkaise trop
idéalisée de la vielle europe, Espagne, Italie, sud de la France. Lieu rêvé de farniente, de paresse et de plaisir, souvenir collectif de vacance pour star d’une autre époque. Un bon exemple étant
Beauté volée de Bernardo Bertolucci dans lequel la découverte de l’Italie est aussi celle du plaisir. Beauté volée étant pour nous bien plus sulfureux que le dernier Woodie.
On aimerait donc voir Woodie nous opposer un coté sombre peut être plus cru de ce mythe.
Dont on pourrait lui proposer le fait divers noir d’Amanda Knox étudiante américaine sexy et sulfureuse, qui à Pérouse en Italie se trouve mêlée au meurtre de sa colocataire. Si quelques heures
après être arrivée en Italie elle email un ami pour lui dire qu’elle vient de faire l’amour avec un inconnu dans un train et qui semble avoir goûtée à de nombreux plaisirs italiens.
Tout n’est cependant pas si délicieusement érotique et l’on découvre au travers de cette histoire une ville d'art, ville universitaire, sage ville de campagne immobilisée par l’Histoire, une
histoire dont aucun guide touristique ne parle les itinéraires nocturnes entre alcool et drogue d’une jeunesse perdue.
L'Institut National de Prévention et d'Education pour la Santé (Inpes)
lance une campagne à la télévision sur le sujet des jeunes et la contraception. On retrouve Willy, Alan, Delphine, Mélèze, Suzanne, Sandra, Bénédicte, M’Barek, Alysse et Pablo qui parlent de
tout : savoir dire non, utiliser un préservatif, faire un test de dépistage, prendre la pilule, dialoguer avec son partenaire… 35 sujets sont abordés pour aider à libérer la parole autour de la
sexualité et de la contraception et également mettre à mal les idées reçues.
Ces petits clips seront diffusés sur les chaînes M6 et W9 jusqu’à la fin de l’année.
Voici l’introduction d’un article fort intéressant, plutôt complet et détaillé, donc long à lire. Certain se reconnaîtront . Moi je L'ai lu et cette recherche permet
de ce faire une idée sur un sujet rarement traité et sur lequel beaucoup de préjugés existent. C’est un point de vu et donc on ne peut être d’accord ave tout. En tout cas je trouve que c’est une
lecture nécessaire pour qui pratique ou veut découvrir. Après chacun de se faire son avis.
Le commerce du sexe se développe et se diversifie. Pourtant, suite aux luttes féministes menées contre la domination masculine, seule la prostitution de rue semble être aujourd’hui un sujet
controversé, tant dans le mouvement féministe qu’au sein des instances européennes chargées de légiférer. Dans ces débats, tout se passe comme si les réalités du commerce du sexe et du travail
sexuel étaient restées les mêmes depuis une cinquantaine d’années. Or le libéralisme a renforcé, à travers ses modes de diffusion massive et la concentration de capitaux, l’exploitation masculine
du capital symbolique, esthétique et sexuel des femmes. Certains discours de sens commun aimeraient nous opposer une sexualité tarifée et prostitutionnelle, un isolat du social, survivance d’une
époque dépassée, à un regain de liberté des mœurs où, dans des établissements adaptés qui s’autoproclament « libertins », « non-conformistes », hommes et femmes, en couples, pourraient s’adonner à
un nouveau libertinage dénué de contraintes.
Notre article aborde l’« échangisme », une sphère particulièrement florissante et lucrative du commerce du sexe, concurrentielle à la prostitution, dans le contexte de l’autonomie récemment acquise
d’une partie importante des travailleuses et travailleurs du sexe. Nous abordons successivement quelques données objectives sur ce commerce, puis nous discutons de cette pratique qui se présente
comme conjugale, égalitaire et novatrice dans les formes de sexualité qu’elle intègre.
Une réelle difficulté de cette recherche tient au peu de travaux centrés en France sur l’étude des lieux et pratiques du commerce du sexe et à la volonté de discrétion de ces commerces. Hormis les
études et les analyses sur la prostitution de rue [1], les observations du docteur Valensin [2] qui décrit l’échangisme de manière quasi entomologique (ce qui n’exclut pas – loin de là – le
prosélytisme), ceux de Bartell qui questionnent les cadres sociaux de l’échange chez les bourgeois américains en 1971, quelques mentions dans la littérature ethnologique américaine sur des
pratiques ethniques d’échange de femmes (Wallace, 1969), des travaux sur le multipartenariat entre hommes (Bolton, 1992,1995 ; Mendes-Leite, 1997), rares sont les tentatives de déconstruction du
phénomène. La multisexualité, le fait d’avoir des pratiques sexuelles avec plusieurs personnes dans le même lieu, en même temps ou de manière successive, ici étudiée à travers ce qui se nomme
l’échangisme, semble n’avoir jamais été un objet légitime dans les sciences sociales.
Pour répondre à une question qui m’ a été récemment posée.
J’aime beaucoup sucer le sexe des hommes. J’y ai été initié quasiment en même temps que j’ai appris à diriger le gland décalotté vers l’autre entrée, la souterraine. Dans ma naïveté, j’ai d’abord
cru qu’un pompier était un acte sexuel déviant. Je m’entends encore expliquer la chose à une copine, dubitative et légèrement dégoûtée, moi affectant l’indifférence, en réalité assez fière de
ma découverte et de mon aptitude à y faire face. Cette aptitude est bien difficile à expliquer car, au-delà d’un quelconque vestige du stade oral, et avant la crânerie mise dans l’accomplissement
d’un acte qu’on croit anormal, il y a une obscure identification au membre que l’on s’approprie. La connaissance que l’on acquiert, à travers l’exploration menées simultanément du bout des doigts
et de la langue, des moindres détails de son relief comme de ses plus infimes réactions, est peut-être supérieure à la connaissance qu’en a son propriétaire même. Il en résulte un ineffable
sentiment de maîtrise : une minuscule vibration du bout de la langue, et voilà qu’on déclenche une réponse démesurée.
À cela s’ajoute que prendre à pleine bouche procure plus nettement l’impression d’être remplie que lorsque c’est le vagin qui est occupé. La sensation
vaginale est diffuse, rayonnante, l’occupant semble s’y fondre, tandis que l’on peut tout à fait distinguer les doux attouchements du gland à l’extérieur ou à l’intérieur des lèvres, sur la langue
et sur le palais et jusque dans la gorge.
Sans parler du fait que, dans la phase finale, on goûte le sperme. Bref, on est aussi subtilement sollicité que l’on sollicite soi-même. Reste le mystère, pour moi, de la transmission de l’orifice
supérieur à l’orifice inférieur. Comment se fait-il que l’effet de la succion soit ressenti à l’autre extrémité du corps, que le resserrement des lèvres du pénis mette en place un bracelet
extraordinairement dur à l’entrée du vagin ?
Lorsque la fellation est bien menée, que je prends mon temps, avec le loisir de réajuster ma position, de varier le rythme, alors je sens venir d’une source qui n’a pas de lieu dans mon corps une
impatience qui afflue et concentre une immense énergie musculaire là, à cet endroit dont je n’ai qu’une image imprécise, au bord de ce gouffre qui m’ouvre démesurément.
Orifice d’un tonneau qu’on cerclerait. Lorsque l’anneau se forge par contamination de l’excitation du clitoris voisin, je peux comprendre. Mais lorsque l’ordre vient de l’appareil buccal !
L’explication est sans doute à chercher dans le un détour mental. J’ai beau avoir la plupart du temps les paupières baissées, mes yeux sont si proches du minutieux travail que je le vois néanmoins
et l’image que je recueille est un puissant activateur du désir. Le fantasme est peut-être aussi qu’à l’arrière des yeux, le cerveau aurait une intelligence instantanée et parfaite de l’objet qui
le touche presque ! Je vois d’abord mes propres arrangements sur lesquels je règle ma respiration : l’étui flexible de ma main, mes lèvres repliées par-dessus mes dents pour ne pas blesser, ma
langue qui jette une caresse au gland lorsqu’il s’approche. J’évalue visuellement leur parcours, toute la main qui accompagne les lèvres, parfois avec un léger mouvement tournant, et resserre la
pression au niveau du gros bourgeon terminal.
Puis la main tout à coup se désolidarise pour branler vivement, de deux doigts seulement formant tenaille, et agite la soyeuse extrémité sur le coussinet des lèvres refermées dans un baiser.
Jacques laisse toujours échapper le « ha » clair et bref d’un ravissement par surprise (alors même qu’il connaît parfaitement la manœuvre), et qui redouble ma propre excitation, lorsque la main
lâche prise pour laisser la verge s’engouffrer totalement, jusqu’à toucher le fonds de la gorge. J’essaie de la garder là quelques instants, et même d’en promener l’arrondi au fin fonds du palais,
jusqu’à ce que les larmes me viennent aux yeux, jusqu’à suffoquer.
Ou alors, et pour ça il faut avoir le corps entier bien d’aplomb, j’immobilise le moyeu, et c’est toute ma tête qui gravite autour, et je distribue les caresses des joues, du menton mouillé de
salive, du front et des cheveux, et même du bout du nez. Je lèche d’une langue prodigue, jusqu’aux couilles qui se gobent si bien. Mouvements entrecoupés de stations plus longues sur le gland où la
pointe de la langue décrit des cercles, à moins qu’elle ne s’adonne à des agaceries sur l’ourlet du prépuce. Et puis, hop ! Sans prévenir, je ravale tout et j’entends le cri qui transmet son onde à
l’armature forgée à l’entrée de mon con.
Si je me laissais aller à la facilité, je pourrais en écrire des pages, d’autant que la seule évocation de ce travail de fourmi déclenche déjà les premiers signaux d’excitation. Il y aurait
peut-être même une lointaine correspondance entre ma façon de peaufiner un pompier et le soin que j’apporte, dans l’écriture, à toute description.
Je me bornerai à ajouter que j’aime aussi abandonner la fonction de conductrice. J’aime qu’on m’immobilise la tête entre deux mains fermes et qu’on baise dans ma bouche comme on baiserait dans mon
con. En général, j’éprouve le besoin de prendre dans la bouche dans les premiers moments du rapport, histoire de fouetter les quelques millilitres de sang qui produisent l’érection. Soit que nous
sommes debout et que je me laisse couler aux pieds de mon partenaire, soit que nous sommes couchés et que je me précipite sous le drap. Comme dans un jeu : je vais chercher dans le noir l’objet de
ma convoitise. D’ailleurs, j’ai bêtement, dans ces moments-là, des paroles d’enfant gourmand. Je réclame « ma grosse sucette », et cela me réjouit. Et quand je relève la tête, parce qu’il faut bien
que je détende les muscles aspirés vers l’intérieur de mes joues, je m’en tiens au « hum…, c’est bon » de celui qui fait croire au contentement de ses papilles quand il s’occupe surtout à se
gaver.
De même, je reçois les compliments avec la vanité du bon élève le jour de la distribution des prix. Rien ne m’encourage plus que de m’entendre dire que je suis la meilleure des « suceuses ».
Mieux : quand, dans la perspective de ce livre, j’interroge un ami vingt-cinq ans après avoir cessé toute relation sexuelle avec lui, et que je m’entends dire qu’il n’a depuis « jamais rencontré
une autre fille qui faisait aussi bien les pipes », je baisse les yeux, d’une certaine façon par pudeur, mais aussi pour couver ma fierté.
La vie sexuelle de Catherine M. de Catherine Millet
Dans le cadre de la première lecture du "Paquet Telecom", le Parlement européen a voté l'amendement 138 Bono-Cohn Bendit, qui risque de sérieusement compliquer
l’application de la loi sur la riposte graduée. Le mercredi 24 septembre, L'amendement qui a été approuvé à une très large majorité (573 pour, 74 contre), précise que les autorités de régulation
nationale veillent à ce qu'aucune restriction à la liberté d'expression et d'information d'un citoyen ne soit prise sans décision préalable de l'autorité judiciaire.
Selon Guy Bono, "cet amendement constitue une garantie afin que les dispositions du paquet télécom ne conduisent pas au transfert de missions de l'autorité judiciaire à des autorités
administratives lors de la transposition par certains États membres malveillants dont la France, tout en prévoyant les exceptions nécessaires à la sécurité publique." Il met le doigt en effet
sur l’un des problèmes majeur de la riposte graduée qui surveille et qui décide de couper l’accès à internet.
La situation n’est pas stabilisée au parlement européen, en effet si certain membre du parlement n’ont pas caché leur désapprobation sur cet amendement; avant l’été la commission LIBE
(libertés civiles, justice et affaires intérieures) du Parlement européen avait aussi rejeté, des amendements visant à réintroduire le principe de riposte graduée dans le paquet Télécom.
La ministre de la Culture, Christine Albanel, entend elle aller de l'avant sur son projet de loi de lutte contre le piratage en ligne. Elle espère pouvoir présenter au Sénat début novembre, en
dépit des critiques que ce texte suscite au niveau du Parlement européen. "Le vote du Parlement européen ne s'oppose pas à l'approche préventive et graduée contre le piratage prévue par le projet
de loi 'Création et internet'", a considéré la ministre. Et pour corser le tout et suite à l’adoption de cet amendement, l’UMP a demandé l'examen du texte en urgence. Une "urgence" qui conduirait
le Sénat et l'Assemblée nationale à se prononcer dans les prochaines semaines.
Suédoises d'origine, Erika Lust a choisi Barcelone, pour réaliser des films pornos d’un genre un peu spécial. Elle dit elle-même : Je dirais que je fais des films
indépendants contenant des scènes érotiques explicites.
Son premier film c’était The good girl Un article avait été publié sur ce blog a son sujet. Il était en effet intéressant de voir apparaître un porno différent. Erika
parle de porno féminin je le qualifierai de réaliste. Fini les positions hors normes et même si le scénario était peu crédible. Certes le chemin est long et ce premier film était très critiquable.
Ce film a cependant reçu en 2005 l’award du meilleur court métrage au FICEB (Barcelona Internationel Erotic Film Festival).
Un nouveau film vient de
sortir Cinq histoires pour elle (Cinco Historias Para Ellas). Certes il est un peu décevant qu’il n’y ait que quatre nouveautés, la cinquième histoire étant The Good Girl. On note cependant une
nette amélioration dans les quatre nouveaux petits films et l’on retrouve un style, une esthétique qui ressemble à The Short Bus. En moins sage certainement mais plus sulfureux je vous laisse
juge.
En tout cas, on ne peut que saluer cette tentative de créer des films ou le plaisir est partagé entre les protagonistes, plus uniquement, une mise en image de situations pour le plaisir des hommes
au travers de leur seul plaisir. Sans être tout à fait votre câlin de tous les jours, ces films offrent une vision multilatérale du plaisir.
Tout se passe comme si la sexualité était constamment
appelée à occuper tous les lieux de la
société, à servir de langage pour exprimer, de
raison pour légitimer des réalités dont les fondements
ne relèvent pas, ou pas principalement, de son ordre.
(GODELIER, 1995 : 13).
Un post rapide, ce matin sur France Culture vous avez pu entendre l’émission Masse Critique dont le sujet était : L'industrie du disque
avant la discussion parlementaire cet automne de la loi HADOPI.
Sujet dont nous avons parlé plusieurs fois sur ce blog. Je vous invitedonc,pour vous informer et vous faire un avis sur ce sujet, à aller faire un tour sur le site de l’émission où vous pourrez la ré-écouter. Masse Critique.
L’incité du jour était : Vincent Frèrebeau , directeur du label "Tôt ou tard" et président de l'Union des producteurs phonographiques
français indépendants (UPFI) pour une émission sur l'industrie du disque avant la discussion parlementaire cet automne de la loi HADOPI, "création et Internet".
Ami lecteur, toi qui t’aventures ici, sache que tu vas pénétrer en un monde de luxure et de fornication. Tu ne trouveras rien d’autre
ici, car c’est bien le but de ce texte : du sexe, du sexe, rien que du sexe. Que les âmes sensibles, puritaines ou facilement effarouchées se le tiennent pour dit, et s’en tiennent à l’écart.
Puissent les autres prendre autant de plaisir à le lire que j’en ai eu à l’écrire. Ami lecteur, enfin, sache que je n’ai pas voulu faire un « gonzo » car je n’y connais rien. Je suis par contre
convaincu qu’on peut le qualifier de « total sexe. » Alors, ami lecteur, cale-toi bien dans ton siège, car voici que s’ouvrent les portes de : La partouze
J’ai versé tout le champagne qui restait sur ses seins, une demi-bouteille au moins ! Bordel, qu’est-ce que j’en avais envie, elle les avait plantureux ! Elle, c’était la brune, aux cheveux longs
et ondulés, je ne me souviens plus de son nom. Du Dom Pérignon, pas de la merde. Il coulait en faisant pssscchhht sur ses globes, puis descendait vers son ventre et son sexe. Je regardais le truc
en souriant, béat. Je restais fasciné par le flot qui se divisait autour de ses mamelons. Le champagne froid et l’excitation les faisaient pointer, durs. À genoux, elle tendait son buste en avant,
pour accueillir le précieux liquide. Je ne savais pas trop si elle rigolait ou si elle gloussait de plaisir.
La blonde s’est rappliquée en vitesse. Celle-là s’appelait Murielle, je m’en souviens parce que j’avais trouvé ça cruche comme prénom. Plus personne ne s’appelait Murielle aujourd’hui. Surtout pas
à son âge, elle ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle avait des petits seins, moins de la moitié de l’autre mais un sourire à vous scier les pattes, et un cul ! une Vénus callipyge. Elle
s’est allongée sur le dos et a glissé sa tête entre les jambes de la brunette en me faisant un clin d’œil.
* — Faut pas perdre tout ce bon champagne ! elle a dit, puis elle a collé les lèvres de sa bouche à celles plus intimes de sa copine.
Le champagne glissait sur le ventre de Brunette, dans sa toison, et finissait sur le visage de Murielle. Elle sortait la langue pour le lamper et filer de grandes lèches à la chatte de
Brunette.
À cinquante centimètres de nous, Julien et un autre type que je ne connaissais ni d’Eve, ni d’Adam étaient assis à poil dans le divan. Ils se faisaient sucer par la troisième fille, celle qui
disait s’appeler Jessica. Elle avait des formes plus généreuses, sans être grosse. Légèrement ronde, comme on dit aujourd’hui.
À genoux sur la moquette, entre eux deux, elle tenait une queue dans chaque main et les pompait à tour de rôle. Un moment, j’ai tendu le bras et j’ai glissé un doigt dans sa chatte. C’était chaud
et humide, agréable. Elle s’est cabrée, un peu, en grognant doucement. Mais comme je voulais rester concentré pour ne pas gaspiller le champagne, j’ai retiré ma main rapidement.
Quand la bouteille a rendu l’âme – la dernière goutte venait de s’écraser sur le sein droit de Brunette – elle m’a attrapé par les cheveux et a collé ma bouche sur sa poitrine. Je ne me suis pas
fait prier. J’ai glissé ma langue partout. Je passais par-dessus, par-dessous, je suçais ses pointes, les mordillais doucement. L’acidité du champagne donnait à sa peau un goût exquis. Un étage
plus bas, Murielle continuait à lui bouffer la chatte. Brunette devait commencer à s’exciter grave, elle dégoulinait sur son menton. Je lui léchais les seins, la nuque, même les aisselles, toute
langue dehors.
Brunette, qui avait attrapé la bouteille vide, a glissé le goulot dans la vulve de Jessica. Elle s’est mise à la tourner, la pousser, de plus en plus loin. Jessica cabrait son dos, reculait son
arrière-train pour entrer la bouteille encore plus profond, en émettant des hmpf hmpf, une bite au fond de la gorge. Tout le goulot est entré.
La main de Murielle a atterri sur ma queue. Je l’aurais bénie. Je bandais tellement fort que ça en devenait douloureux. La douceur de sa paume m’apaisa un peu. Sa bouche toujours collée à Brunette
– je ne pouvais pas voir les détails de l’affaire mais je me doutais qu’elle devait entrer sa langue au plus profond parce que je voyais presque disparaître son menton entre les grandes lèvres par
moments – elle glissait sa main sur ma hampe avec douceur, puis de temps en temps me la lâchait pour caresser mes couilles ou glisser un doigt vers mon anus et le titiller. Pour qu’elle ne soit pas
en reste, et aussi parce que ça m’excitait à fond, j’ai posé une main sur sa fente. Elle se rasait intégralement, j’ai bien aimé, ça rendait le contact plus doux, son pubis était lisse comme une
joue de bébé. Et j’ai commencé à glisser mon majeur entre ses lèvres. Elle a écarté un peu plus les jambes. J’entrais déjà trois doigts, le pouce sur son clito, quand Jessica a lâché :
* — Baisez-moi, les gars, baisez-moi ! vite ! d’une voix plaintive qui ne laissait aucun doute quant à l’urgence de la demande.
À une vitesse folle, elle s’est retournée, plantant là Brunette avec la bouteille au bout du bras. Elle a sorti une poignée de préservatifs du gros bocal posé sur la table du salon, en a décacheté
un avec les dents, qu’elle a ensuite déroulé sur la queue du gars que je ne connaissais pas. Puis elle lui a grimpé dessus et s’est empalée sur son sexe, en lui fourrant ses seins volumineux dans
la figure. Brunette regardait toute la scène en léchant le goulot de la bouteille, on aurait dit qu’elle lui faisait une fellation.
Jessica a fait se lever Julien, dans le divan. De la sorte, elle a pu le reprendre dans sa bouche. Elle lui léchait le gland, la tige, les couilles, l’enfonçait dans sa gorge, tandis qu’elle
montait et descendait sur le braquemart dressé de l’autre type, haletante.
Un moment, j’ai cru que Brunette allait jouir sous les coups de langue de Murielle, son visage se crispait. Elle a dû juger que c’était trop tôt parce qu’elle s’est reculée. Elle s’est penchée et a
roulé un patin d’enfer à Murielle en lui caressant les seins. De la salive leur débordait des lèvres. Moi, je restais là à les regarder, la bite tendue, l’air un peu esseulé. Brunette a dû en
prendre conscience parce qu’elle a dit :
* — Viens, on va le sucer.
Elles m’ont fait m’allonger sur le dos. Brunette s’est placée entre mes jambes et Murielle à califourchon sur mon visage. En même temps que je posais le bout de ma langue sur son clito, j’ai senti
leurs deux langues s’enrouler autour de mon gland.
Dans le divan, Jessica s’est mise à gémir, han han, sa voix grimpant dans les aigus. Sans rien voir – dans ma position, la seule vue possible, c’était la rosette de Murielle – j’ai deviné au bruit
que quelqu’un ouvrait un nouvel emballage de préservatif. Puis, juste après, Jessica, le souffle court, a sorti :
* — Dans le cul, mets-la moi dans le cul !
Putain ce que la chatte de Murielle avait bon goût ! Je passais ma langue dans tous les replis, sur le moindre endroit intime, je suçais ses lèvres, aspirais son bouton, le titillais du bout de ma
langue, puis je descendais, la langue bien à plat jusqu’à son petit trou, l’introduisant - ma langue - le plus que je pouvais. Et encore, et encore. Elle dégoulinait. Et toutes les deux, Brunette
et elle, s’affairaient sur mon engin avec une ferveur diabolique ! Tantôt je sentais les pointes de leurs langues glisser tout le long de ma verge, tantôt une de mes couilles aspirée dans une
bouche, puis des sensations divines de douceur sur mon gland, ou encore je me sentais disparaître au fond d’une gorge tandis qu’un doigt pénétrait dans mon cul. Je n’avais vraiment pas à me
plaindre, c’était exquis, mais j’avais tout de même un tout petit regret : je ne voyais pas Jessica, prise en sandwich, se faire pistonner. J’entendais juste les floc floc, flap flap, que faisaient
leurs corps en s’entrechoquant.
Puis Murielle s’est levée. Elle a saisi la bouteille de champagne au passage et est allée s’asseoir à côté du trio, dans le divan. D’une main elle a empoigné le gros sein gauche de Jessica et s’est
fourré le téton durci dans la bouche. Le goulot de la bouteille s’est retrouvé dans sa chatte.
Brunette a continué encore un peu sa fellation en matant la scène, puis elle a ondulé sur mon corps, frottant le bout de ses seins sur mon ventre, mon torse. Elle les a fourrés dans ma bouche, l’un
après l’autre, juste avant de se mettre à les ballotter, m’assénant des petites gifles de ses deux melons. À son tour, elle a attrapé un préservatif, en a déchiré l’emballage et m’a encapuchonné.
Et, en me tournant le dos, elle s’est empalée sur mon sexe. Comme elle a posé les mains sur mes genoux, son dos s’est cambré, ouvrant ses fesses et m’offrant une vue de rêve sur son petit trou.
Quand j’y ai introduit mon pouce, elle a émis un petit cri et m’a dit :
* — Hmmm, oui, pousse-le bien à fond !
Tour à tour, je reluquais le cul de Brunette qui coulissait sur ma bite, Jessica baisée par ses deux orifices, puis Murielle qui se tronchait avec la bouteille, et qui maintenant roulait un patin à
Jessica. Elles se suçaient la langue de bon cœur.
Jessica n’avait plus l’exclusive des cris, elles se mettaient toutes à en pousser. De tous côtés fusaient des hmmm, aaah, ooooh, haaan ! Un moment, j’ai dû faire un gros effort de concentration
pour ne pas venir, j’étais au bord du gouffre, mais j’ai évité la tempête.
Brunette a changé de position la première. Elle s’est mise à quatre pattes et, en se retournant, a pris mon sexe dans une main pour le guider vers sa rondelle. Le trou ayant été déjà bien dilaté
par mon pouce, j’y suis entré comme dans du beurre. Ensuite, Murielle a attrapé Julien par le bras et lui a dit :
* — À mon tour, viens me défoncer le cul !
Elle s’est retrouvée à quatre pattes, Julien planté derrière elle, les mains tenant ses hanches, la bite enfoncée dans son anus. Puis, Jessica a suivi avec le dernier gars. On formait une sorte
d’étoile à trois branches. Au centre, les filles avaient sorti leurs langues qui s’enroulaient, se déroulaient, se léchaient.
On est restés comme ça plusieurs minutes ; ça criait, grognait, par toutes les bouches. Puis Julien a dit :
* — On change de cul, les gars !
On s’est retirés tous les trois, on a remis de nouveaux préservatifs et on a tourné dans le sens des aiguilles d’une montre. J’étais maintenant en train d’enculer Murielle.
Comme on avait des capotes à profusion, on s’est permis de jouer ce jeu-là encore plusieurs fois. Je ne pourrais pas dire quel est le cul qui me plut le plus. Mais je me souviens avoir bien aimé
les fesses un peu potelées de Jessica, j’avais apprécié de les voir onduler à chacun de mes coups de boutoir.
Je ne sais plus combien de temps on les a pistonnées comme ça, mais ça ne devait pas être triste. J’étais maintenant revenu derrière Brunette et, à vrai dire, j’en pouvais plus, j’étais au bord de
l’explosion. À voir, et entendre, les rictus et les grognements de mes deux comparses, ils ne devaient pas en être loin, non plus. J’ai presque gueulé :
* — Oh putain ! Je vais gicler !
De concert, les deux autres ont dit :
* — Ouah, moi aussi !
Brunette s’est retirée dare-dare. Je me suis relevé, elle s’est retournée et s’est plantée à genoux devant moi en prenant ses seins dans ses mains. Elle les pressait l’un contre l’autre. Les autres
filles ont fait pareil. Murielle avait un peu plus de mal avec ses petits nénés mais je trouvais qu’elle se débrouillait pas mal tout de même.
On a viré nos capotes et on s’est branlés. Je crois bien que je suis parti le premier, mais je ne le jurerais pas. Ça n’arrêtait pas, de longs jets chauds s’écrasaient sur les nibards de Brunette.
Je lui en ai même mis un filet dans les cheveux ; sur le coup, j’étais un peu désolé, je trouvais que ça faisait comme une tache sur un joli tableau. Les filles se caressaient, étalaient tout le
foutre sur leur peau, leurs bouts. Pour sortir les dernières gouttes, elles nous ont attrapés les queues, nous ont branlés en serrant bien comme pour nous essorer.
Finalement, ça avait un petit côté surréaliste, je venais de baiser cette fille par tous les trous, je l’avais aspergée de sperme, et je ne pouvais même plus me rappeler son prénom. Étrange, mais
agréable.
Après, je suis tombé sur le cul, un peu lessivé. Je ne voulais plus bouger, pas tout de suite. Je planais, soulagé, heureux, en sueur. Dingue comme sensation. Mais les filles avaient resserré les
rangs. Toujours à genoux, elle s’embrassaient toutes les trois en se frottant les seins les uns contre les autres.
Il n’a pas fallu longtemps pour que ma bite se redresse. Je me suis dit « sacrée soirée ! et c’est pas fini ! ».
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