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Dimanche 10 février 7 10 /02 /Fév 16:09
Après la sortie des deux femmes, Marie-Claude s’est détendue. Après tout, une maîtresse ou l’autre ça ne peut pas être bien différent. Quelques fessées en plus ou des caresses en plus l’important pour elle c’est de jouir, de faire l’amour avec tendresse ou avec violence elle aime tout. Se branler dans toutes les positions, avec les mains, un objet phallique ou être branlée par un homme, une femme tout est bon pour jouir. Elle aime le sexe, celui des hommes quand ils la pénètrent par tous ses orifices, celui artificiel de Joana qui ne s’épuise jamais, il n’y a guère que celui des animaux qu’elle n’a pas goûté. Mais cette pensée la révulse et elle préfère l’oublier de suite.

En attendant elle réfléchi à sa situation qui est nettement moins douloureuse que la précédente. Comme elle est souple, elle réussi en s’appuyant plus fermement sur son genoux droit, à descendre sa jambe gauche jusqu’à terre et de ce fait elle peut s’asseoir sur une des deux chaises ce qui détend immédiatement ses muscles.

Ce n’est pas le tout pense-t-elle, suis je capable de me repositionner rapidement. Elle essaye et après plusieurs tentatives infructueuses, elle y réussi en quelques secondes, ce qui est largement suffisant pour ne pas se faire pincer par ses deux maîtresses. Elle peut donc rester assise tout en écoutant les bruits de la maison.

C’est comme cela qu’elle entend Mr. Taylor qui rentre du travail et la présentation de Joana par Julia à son mari.

-C’est une amie que j’ai rencontré dans mes réunions à la bibliothèque.

-Enchanté, mademoiselle ou madame peut-être ?

-Madame, mon mari est en voyage, lui répond Joana.

Elle a vue le regard admiratif d’Harris quand il a vu ses seins au travers de son corsage, et elle sourit intérieurement en pensant à leur soirée à venir.

Julia a entraîné son mari vers leur chambre pour le chauffer un peu et lui expliquer le programme à demi-mot. Joana continu les préparations en ajoutant quelques épices particulières de sa spécialité dans le punch et les toasts.



Quelques minutes après, Julia et Harris reviennent ensemble et Harris a les joues rouges et la braguette mal refermée.

Joana souri à Harris qui rougi davantage.

-Voilà Joana, Harris a soif, est ce que ton punch est prêt ?

- Oui oui, pas de problème, tiens j’avais prévu, les verres sont déjà pleins.

Et elle tend à ses deux partenaires des verres remplis de punch spécial Joana. Ils trinquent tous ensembles, aux 40 ans de Harris et à l’amour qui rend la vie plus agréable. Ils boivent en silence en savourant la délicieuse boisson et la conversation s’installe petit à petit, de plus en plus animée au fur et à mesure que le punch se répand dans leur corps. Les deux femmes rigolent et Harris prend des envies de toucher son épouse ce qu’il fait discrètement au début puis de plus en plus ouvertement pour finir par lui ploter carrément les seins.

Joana s’approche alors du couple sur le canapé et déboutonne lentement son corsage sous le nez d’Harris qui ouvre de grands yeux affolés. Il regarde son épouse quémandant une autorisation et c’est elle qui, en souriant, lui prend les mains et les conduit vers les seins de Joana. Elle guide les mains de son époux en lui murmurant des mots doux à l’oreille et Joana commence à ressentir de longs frissons dans son bas-ventre. Décidément cette Julia est une experte se dit-elle. J’ai bien fait de venir. Dommage pour Marie-Claude, je perds une esclave somme toute assez douée mais je gagne une amante encore plus douée et surtout moins rugueuse, plus affûtée par la vie. Il faudra que je la fasse essayer par mon mari, il aime les femmes un peu mûres.

Les réflexions de Joana allaient bon train dans sa tête pendant que Harris lui branlait les bouts de ses mamelons, maintenant durs et pointant comme un doigt accusateur vers le fauteur de cette érection mammaire.

-Julia, dis lui de se calmer ou je vais lui sauter dessus et le violer avant qu’il ne réalise, dis lui vite, vite je sens monter en moi des pulsions folles, ....oui Harris continue, salopard tu me tiens entre tes doigts, ta femme est géniale c’est une amante merveilleuse, Ahhhh oui, encore tord les, écrase les , oui j’ai mal, c’est bon, Julia branles moi, aide moi jamais je ne pourrais jouir par les seins ohh que c’est bon Harris continu, oui, oui ahhh , ahhha aaah ouiiiiii, je joui, par les seins, jamais je...je n’avais...connu....cela. Merci Harris .....merci Joana.

Joana s’est écroulée dans les bras de Harris en essayant de reprendre son souffle. Elle a joui entre douleur et plaisir, sans savoir lequel des deux a été le plus fort. C’est une sensation nouvelle, étrange pour elle et elle se promet de renouveler l’expérience dès qu’elle sera seule avec Julia qu’elle soupçonne d’en connaître un sacré rayon sur le corps des femmes et ses multiples ressources.

Joana est blottie dans les bras d’Harris qui embrasse Julia à bouche perdue.

Au bout de quelques minutes Julia se dégage à regret de la langue de son mari et annonce la fin de la première partie qui somme toute était plutôt improvisée.

-Maintenant Harris tu vas avoir le deuxième cadeau de la soirée. Lèves toi et mes tes mains derrière le dos. Joana attaches lui les mains, il ne doit pas s’en servir.

Joana s’exécute conformément au plan qu’elles ont décidé. Sur un geste de Julia, elle lui bande aussi les yeux.

-C’est pour la deuxième surprise mon amour, n’est pas peur tu seras agréablement surpris.

-Je n’ai pas peur Julia, avec toi je sais que ne crains rien de dangereux.

-Et maintenant nous t’emmenons sur les lieux de ton deuxième cadeau. Tiens-lui le bras Joana, je passe devant pour lui ouvrir les portes.

Marie-Claude a entendu les dernières paroles de Julia, elle a compris que son tour était venu et prestement elle remonte sur son perchoir et reprend sa position, cuisses largement écartées, prête au sacrifice au Dieu EROS
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 20:17
Ah le plaisir, jamais je n'ai eu autant de plaisir....Une langue mystérieuse. Sort de son con, et vient chercher. La mienne, pour gamahucher...

Au prétexte de l’exposition de la Bibliothèque Nationale de France, L’enfer de la BNF : Eros au secret, Là-bas si j’y suis nous offre une heure contraire aux bonnes moeurs, une heure pour nous débaucher les oreilles.

Stupre et turpitude: une heure pour débaucher les oreilles:
http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/labassijysuis/index.php?id=64165
L'émission commence a 13 minutes du début du fichier.

Très bon site rassemblant tout les émissions de la bas si j'y suis.
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1360

On y retrouvera la très bonne série des Sexplorateurs diffusée en 2005.

"Ah les petites filles qui relèvent leur robe et se branlent dans les buissons ou dans les musées derrière les Apollons en plâtre pendant que leur mère comparent la queue de la statue à celle de son mari et soupire. AH... Si mon mari lui ressemblait" L. Aragon
Par Claire - Publié dans : Sortir
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 04:37
Qui à écrit le livre dans le lequel ce texte est extrait. Mais d'ailleurs quel est ce livre ?

La scène se déroule au carrousel du Louvre . Un grand défilé de mode se prépare. La foule se presse devant l’entré gardé par de jolis garçons du Lycée Janson-De-Sailly en cravates rouges. Nous pénétrons 0 l’intérieur de la salle, pleine à craquer de tous les VIP’s de la terre.

La lumière s’éteint. La foule des invités murmure un « AAAh » de contentement. Sur le podium défilent des filles entièrement nues au son d’une musique techno-dirty-metal-hard-acid-house.

Les invités s’extasient devant ces sublimes mannequins dénués de vêtement :seins majestueux, fesses rebondies, jambes interminable, pubis ratiboisé en forme de rectangle. Soudain elles s’arrêtent au milieu du catwalk, glissent leurs mains manucurées sous leurs aisselles et y trouvent une fermeture éclaire! Elles dézippent alors leurs peaux satinées, se débarrassent de leurs épidermes comme on retire une combinaison de plongée. Dans le public, une vieille duchesse s’évanouit. Un barbu portant des lunettes de soleil éjacule sur le veston de son voisin de devant. Une jeune fille de douze ans suce une glace en forme de phallus en se caressant l’entrejambe.

Sous leurs peaux artificielles, les tops sont en métal. Des cyborgs d’acier trempé, des androïdes miroitants. L’une des filles est recouverte de coupures de cent euros. Une autre se met à cracher des pièces de monnaie. Une troisième jette une pluie de cartes de crédit comme autant de confettis. Ce sont de véritables tirelires robotiques (d’ailleurs un des modèles sort des billets de son sexe métallique comme d’un distributeur automatique).
Standing ovation de la foule. Les gens grondent de plaisir. L’ambiance est électrique. La musique s’accélère jusqu’à en devenir insoutenable. Des tètes explosent dans les travées. On déplore une douzaine d’arrêts cardiaques et plusieurs viol collectifs au second rang.

Packshot avec une pluie de pièce de monnaie sur le corps nu d’une adolescente thaïlandaise.
Signature en surimpression sur l’écran : « Allez droit au but : Jouissez dans une pute ».
Suivie de la mention légale : « C’était un message de la FFRMC (Fédération Française pour la Réouverture des Maisons Closes).

Par Claire - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 23:16
Joana savoure son verre dans le calme douillet de ce salon de style anglais. Elle se sent bien. Son esclave est en train de subir sa punition et d’ici une heure elle sera à point, le whisky est bon et le canapé est confortable.

Un bruit de clés dans la serrure la fait sursauter.

-Merde, de la visite, j’avais oublié que Marie-Claude n’était pas chez elle.

La porte s’ouvre et Joana voit une dame de quarante ans environ qui pénètre dans le corridor, ouvre la porte du salon et s’arrête sur le champ en dévisageant Joana.

-Qui êtes vous ?, que faites-vous chez moi et d’ailleurs où est Marie-Claude ?


Devant ce flot de question, Joana s’est levée en posant son verre sur la petite table du salon. 

-N’ayez pas peur Madame, je suppose que vous êtes madame Taylor, Marie-Claude m’a si souvent parlé de vous. Bonjour, je suis Joana l’amie de Marie-Claude.

Elle tend sa main à madame Taylor qui lui serre doucement sans grande conviction mais Joana sait y faire passer de la chaleur ce qui détend son interlocutrice.

-Ne vous inquiétez pas, Marie-Claude se détend un peu, elle va revenir.

Tout en parlant, Joana a vu le regard de madame Taylor tomber sur l’échancrure de son corsage et elle a vue la légère rougeur qui à empourpré ses joues.

Tiens tiens se dit-elle, voyons voir si j’ai raison. Tout en parlant, Joana s’est rapprochée de madame Taylor et a défait un bouton de plus à son corsage. Ne portant pas de soutien gorge, ses seins couleur caramel sont maintenant nettement visibles et Joana se trémousse discrètement pour les faire bouger sous le léger tissu du corsage. Madame Taylor est devenue silencieuse comme hypnotisée par ce spectacle.

Joana amplifie ses mouvements jusqu’à l’indécence et elle se trouve contre Madame Taylor.

-Tu les aimes mes seins ? lui dit-elle brusquement, et elle lui murmure à l’oreille, tu sais Marie-Claude les aime aussi et elle sait bien s’en servir.

Madame Taylor est devenue écarlate mais elle a baissé la tête. Joana lui a pris la main et la remonte doucement vers ses seins. Elle pose cette main tremblante sur sa poitrine ferme et tendue tout en susurrant des mots doux à celle qui pourrait devenir sa partenaire.

-Tu es très belle tu sais, j’aime la couleur de tes cheveux, si tu veux je peux me dévêtir davantage, mais avant je voudrais connaître ton petit nom.

-Julia, je...je suis anglaise. Elle ajoute sans savoir pourquoi, mon mari s’appelle Harris.

-Il est anglais aussi je suppose ?

-oui, mais vous êtes très belle aussi et vos seins sont magnifiques. Mais je deviens folle Marie-Claude pourrais nous surprendre.

-Du calme, on ne craint rien, Marie-Claude se repose et tu peux être sûre qu’elle ne nous dérangera pas.

-Ah bon et comment en êtes vous aussi sûre ?

-Je me suis occupée d’elle tout à l’heure et pour le moment elle est calmée. Mais allons sur le canapé nous y serons mieux pour.. bavarder.

Joana entraîne Julia sur le canapé et se serre contre elle tout en déboutonnant complètement son corsage. Ses seins sont durs et Julia a repris ses caresses sans un mot ce qui fini par exciter Joana.

-Hé bien tu es bonne toi, c’est dans les pensionnats anglais que l’on t’a appris à caresser les filles ?

-Oui, tu ne crois pas si bien dire.....

-Oh racontes, je suis sûre que je vais aimer ton histoire.

Confortablement installée contre la poitrine de Joana, elle commence le récit de ses aventures collégiales.

-Eh bien tu vois, je devais avoir 13 ans environ et j’étais pensionnaire dans un collège de filles, près de Londres. Je ne rentrais chez moi que tous les mois et les soirées et les week-ends étaient longs. Aussi certaines filles occupaient leurs loisirs à des joutes amoureuses qui dépassaient souvent les limites admises par la morale de l’époque. Et puis nous n’avions pas le droit de sortir en ville, alors les garçons... on ne peut pas dire qu’on y avait droit.

Pendant ce récit les mains de Joana ne sont pas restées inactives et elles caressent également les seins et les cuisses de Julia dont la robe est remonté très haut.

-Continue, je suis impatiente de connaître la suite.

-Ahhh salope tu vas me faire jouir, doucement avec ton doigt.

Joana retire son doigt qui s’était subrepticement glissé sous la culotte de Julia en s’enfonçant dans son vagin dont l’humidité excitait au plus haut point Joana.

-Depuis quelque j’avais remarqué le jeux d’une vague copine d’origine indienne qui n’arrêtait pas de me regarder surtout quand nous faisions notre toilette et qui passait souvent près de moi en me frôlant comme par inadvertance. J’étais gênée mais aussi intriguée par ce manège. Se pourrait-il qu’elle me drague ? J’étais un peu innocente et j’avais du mal à déterminer la part de hasard dans ces attouchements. Les jours passant, son manège se précisa et comme par souci d’économie, les douches se prenait par deux ou trois dans la même cabine, ma copine s’est débrouillée pour se retrouver avec moi dans la même cabine. La première fois elle fût très correcte, mais petit à petit elle commença à me toucher, puis à me passer le gant dans le dos, puis sur les fesses et ainsi de suite. A chaque fois elle progressait sur mon corps et moi, j’étais sous le charme de ce plaisir nouveau. Je ne disais rien mais mon corps parlait pour moi et elle ne s’y trompait pas. Très vite nous avions pris l’habitude de nous doucher ensemble et le plus souvent possible. Mais rien de décisif ne s’était produit encore. Je sentais bien qu’elle aussi était un peu effrayée de son audace même si elle était plus délurée que moi.

Un jour, tout en tremblant de tout mon corps, je pris le gant de toilette et je commençais à la laver comme elle le faisait avec moi depuis plusieurs semaines. Partant du dos ma main munie du gant a parcouru tout son corps et elle s’est offerte sans retenue à mes caresses qu’elle guidait de manière de plus en plus précise jusqu’à les concentrer uniquement entre ses jambes où elle m’enseignait l’art de la branler lentement pour que le plaisir soit le plus long et le plus fort possible. A un moment donné, son corps s’est mis à bouger par saccades, son bas-ventre donnait de grands coups en avant, elle s’est accrochée à moi et tout en me murmurant des mots incompréhensibles a joui de façon très violente et très prolongée. Son orgasme silencieux a duré plusieurs minutes, du moins s’est l’impression que j’ai eu car je craignais que la surveillante ne nous surprenne. Les portes des cabines n’étaient jamais fermées et de temps en temps les surveillantes ouvraient une porte à l’improviste pour surveiller leurs jeunes pensionnaires aux corps si chauds.

Ce jour là nous avons eu de la chance, personne n’a ouvert notre porte. Marea a fini par se calmer et elle m’a embrassé sur les deux joues avec un grand sourire.

-Merci Julia, tu m’as fait jouir très fort et, si tu veux bien je vais m’occuper de toi maintenant.

Mais ce jour là, je n’ai pas pu profiter de l’art de Maréa car la surveillante a fait retentir la sonnerie de fin de douche et nous avons dû nous essuyer en vitesse pour aller nous coucher. Le lit de Maréa était loin du mien aussi, ce soir là je me suis branlé comme une folle au grand dam de ma voisine immédiate qui m’a menacé d’appeler la surveillante si je n’arrêtais pas immédiatement mon cirque. Je suis donc resté un peu sur ma faim cette nuit là. Par contre je venais de découvrir des plaisirs inconnus et ça c’était le plus important.

Les jours et les semaines qui suivirent furent un enchantement sexuel et les séances de douches des sources de plaisir infinis. Le jet d’eau, les mains, le gant, tout était sujet à caresse, à jouissance et les baisers que nous échangions sous la douche mêlaient nos langues, nos doigts qui s’enfonçaient par tous nos orifices respectifs et nos pubis qui se frottaient l’un contre l’autre à n’en plus finir. Bien sûr, après ces séances qui nous laissaient à moitié satisfaites, nous nous branlions en solitaire dans nos lits plusieurs fois par nuit.

-Voilà, tu comprends maintenant pourquoi j’ai été si perturbée par ta présence et ta tenue si ...offerte. Tu m’as rappelé d’un seul coup tous ces souvenirs et encore je ne t’est pas tout raconté car notre liaison a duré les deux années suivantes, en fait jusqu’à que nous quittions le Collège et que Maréa retourne dans son pays.

-C’est elle qui t’a dépucelé lui demande Joana d’une voix douce.

-Non, elle tenait beaucoup à son pucelage qu’elle assimilait à son honneur de future femme. Par contre coup elle a donc respectait le mien et n’a jamais voulu me prendre bien que je le lui est offert plusieurs fois.

L’horloge du salon sonna 6 coups ce qui fit sursauter Julia.

-Mon Dieu, déjà 6 heures et je n’ai rien fait pour l’anniversaire de Harris. Tu m’as complètement perturbé, c’est fou. Et au fait Marie-Claude n’est pas revenue.

-T’affoles pas ma chérie, j’ai tout ce qu’il te faut pour l’anniversaire de ton mari. On va lui offrir Marie-Claude !

Julia reste bouche bée, elle ne comprend les paroles de Joana.

-Comment cela, lui offrir Marie-Claude, je ne comprend pas.

-Viens près de moi je vais t’expliquer.

Elle prend Julia dans ses bras et après l’avoir embrassé avec passion, lui raconte dans le creux de l’oreille ce qui s’est passé avec Marie-Claude et qu’elle est sa situation à l’heure actuelle. Elle sent que Julia, qui au début du récit semblait outrée par le sort réservé à sa jeune fille au pair s’est détendue et semble très impatiente de voir le résultat du traitement infligé à Marie-Claude. Et ce d’autant plus qu’elle sent que son mari a dû profiter des charmes de Marie-Claude à son insu. Les caresses de Joana y sont aussi pour quelque chose. Julia maintenant est complètement sous le charme de Joana. Elle revit son adolescence brûlante et elle n’attend qu’une chose, jouir des mains et de la langue de Joana.

-Joana, je veux jouir maintenant, je n’en peu plus tu sais, suces moi, branle moi s’il te plaît.

Julia est tombée à genoux devant Joana qui a un sourire triomphant. Elle sent que la nuit va être chaude et ce n’est pas Harris qui va dire le contraire, 3 femmes en chaleur pour s’occuper de lui, je doute qu’il tienne le coup. Pauvre chatounet.

D’une main ferme elle oblige Julia à se relever.

-Enlèves ta culotte tu auras moins chaud comme cela lui dit elle en riant.

Julia s’exécute.

-Que dois je faire maintenant ?

-Gardes la, Marie-Claude en aura besoin sans doute. Maintenant assez discuté, il faut préparer l’anniversaire de ton mari. Viens avec moi on va d’abord s’occuper de Marie-Claude.

Les deux femmes vont au garage dans lequel règne une pénombre propice aux attouchements. Marie-Claude est toujours à cheval sur ces deux chaises et Julia qui la découvre dans cette position pousse un Oh de surprise.

-Joana c’est fou ce que tu as fait là, elle est complètement ouverte et sans défense.

-Oui mais touches la, je suis sûre qu’elle va apprécier. Donnes moi ta culotte en attendant.

Joana prend la culotte de Julia et l’enfile sur la tête de Marie-Claude qui n’a pas encore dit un mot.

-Voilà comme cela tu connaîtras l’odeur de ta nouvelle maîtresse. Je viens de décider de te donner à Julia et à son mari s’il veut bien de toi. Des questions ?

-Non  maîtresse, j’obéirais à tes ordres et à ceux de Julia maintenant.

Pendant leur conversation, Julia n’est pas restée sans rien faire. Ses mains ont parcouru le corps de Marie-Claude pour en apprécier la douceur et la fermeté des formes de la jeune fille, le galbe de ses seins et la douceur de son vagin qui, malgré l’inconfort de la position se prête volontiers aux caresses de Julia.

-Elle est encore plus douce que je ne l’imaginais. Nous allons bien nous amuser à l’avenir toi et moi Marie-Claude. Mais il ne faudra plus jouer avec les enfants, d’accord ? Fini les branlettes le soir avant qu’ils ne s’endorment. Tu crois peut-être que je ne l’avais pas remarqué. Tu es d’accord ?

-Oui madame répond prudemment Marie-Claude.

Elle ne connaît pas suffisamment madame Taylor pour prendre le risque de lui désobéir.

De son coté Joana a réfléchi à la première séance qu’elles vont offrir à Harris pour son anniversaire. Elle s’approche de Marie-Claude et la force à se pencher en avant, mais les cordes qui l’attachent sont trop courtes. Marie-Claude gémit, elle a un peu mal et sent monter des crampes dans ses bras et ses jambes

-Joana, je t’en prie, détache moi, j’ai mal aux bras et aux jambes.

-Ce n’est plus à moi de décider ma belle, demandes à ta nouvelle maîtresse.

-Madame Tay....

Une gifle retentissante lui coupe brusquement la parole.

-Cest comme cela que l’on s’adresse à sa maîtresse, lui dit Julia en criant dans son oreille.

-Non non, excusez moi, je ne le ferais plus, c’est promit. S’il vous plaît maîtresse, pourriez vous relâcher mes liens, j’ai des crampes, j’ai mal.

-Pourquoi as tu été punie ?

-Je me suis branlée sans permission maîtresse et Joana m’a puni.

-Tu ne recommenceras plus, parce que moi je suis anglaise et les châtiments corporels ça me connaît.

Marie-Claude tremble un peu, fatigue ou peur de l’inconnu, nul ne le saura mais elle répond par l’affirmative. Oui elle a comprit et accepte son sort.

-OK Joana tu peux lui détacher les mains du plafond et rapprocher un peu les chaises. Les deux femmes s’affairent autour de Marie-Claude et quelques minutes plus tard Marie-Claude se retrouve toujours à cheval sur les deux chaises mais les mains liées derrière le dos et en prime une culotte sur la tête et un bandeau sur les yeux.

-Tu vas rester comme cela sans bouger, lui dit Julia, la fête va bientôt commencer.

Les deux femmes s’embrassent et retourne au salon préparer le buffet pour le soir.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 11:47

une découverte provenant de ces sites d'échange, un buzz.

Oui mais c'est bien j'aime ces reprises, la musique sans artifices juste agréable à écouter.Vraiment bien un petit délice pour commencer 2008.

Un Manhattan Kaboul meilleur que l'original, des nouveautés Hit me baby, des essais. Ah la fraîcheur. Prenez cinq minutes allez voir, écoutez.


Les liens :
Cliquez sur l'image et pour toutes les vidéos
http://www.dailymotion.com/playlist/x1w4m_Fanetmax_delires-familiaux


Bonne année à vous LE_GE, Poupinette, Naosol et Fanetmax !! Merci

Par Lucie, Aline,... - Publié dans : Films and zik !!
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 11:31
Un petit article pipollle sans conséquence pour commencer l'année.

Lolita malgré moi, Dans la peau de ma mère, Lucky Girl. Pas besoin d’être un cinéphile averti pour savoir que l’héroïne de ces films est Lindsay Lohan. La jeune actrice paraît-il aime par-dessus tout la coke, l’alcool et les filles. Jeunes, les filles. Ça veut dire quoi « jeunes filles » quand Lindsay Lohan affiche 21 ans ?


Mais ce n’est pas si simple. Riley Giles, l’un de ses ex-boy-friends, vient de déclarer à qui veut l’entendre - ça va vous surprendre, mais ça fait du monde - que la belle Lindsay aime aussi les garçons. Et pas qu’un peu. Bon, bref, cette Lindsay Lohan est une belle nature, une fille qui aime la vie. La bonne fille saine typiquement américaine. Vous y trouvez à y redire ?

Riley Giles aurait rencontré Lindsay Lohan en cure de désintoxication. Il aurait donc révélé au magazine News of the World qu’au lit, Lindsay Lohan est « complètement sauvage... quand elle fait l’amour elle est en transe ». Ça arrive à beaucoup de gens. Il a aussi déclaré : « On faisait l’amour plusieurs fois par jour et on continuait même la nuit. Une fois, on l’a fait quatre fois d’affilée. C’était dingue. Lindsay était insatiable. Elle en voulait encore et encore. On l’a fait pendant des heures ».

Voilà, maintenant, Riley Giles n’a plus de nouvelles de Lindsay Lohan. Il est très accro, ce garçon. Peut-être qu’avec les sous qu’il aurait touchés de News of the World, il pourra se trouver une drogue de substitution.

de http://www.agoravox.fr/
Par agoravox - Publié dans : La revue de presse
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Samedi 5 janvier 6 05 /01 /Jan 11:28
Jeudi. Cela fait quatre jours que son week-end très agité est terminé et Marie-Claude commence à avoir des envies qui lui chatouillent les reins. Mr Taylor est serré de près par madame qui ne lui laisse pas le temps d’aller jouer ailleurs. A peine montre-t-il des signes d’excitation qu’elle l’entraîne dans la chambre ou la salle de bain pour une séance de vide couille. Marie-Claude surprend parfois des bruits qui ne laissent aucun doute sur la nature des activités qui se déroulent dans la pièce d’a coté. Il faut croire que madame Taylor a des doutes sur l’attitude de son mari vis-à-vis de Marie-Claude.

Marie-Claude quant à elle fait monter la pression en caressant le pantalon de monsieur dès qu’elle passe à coté de lui et aussi en s’habillant au plus juste.

Par contre ce qui la gêne davantage c’est le silence de Joana qui a toujours ses papiers et son argent. Le week-end approche et elle aimerait bien les récupérer.

Ces pensées vagabondaient dans sa tête quand la sonnette de la porte d’entrée retenti.

Tiens se dit-elle, ce doit être le facteur. D’un pas rapide elle se dirige vers la porte qu’elle ouvre pensant trouver le préposé mais son sourire se fige sur ses lèvres entre ouvertes.

-Joana, toi ici, quelle... quelle surprise.


Joana souriante ne dit rien mais repousse fermement Marie-Claude à l’intérieur de la maison et referme la porte. Toujours sans rien dire elle attrape Marie-Claude par l’épaule, la fait pivoter en la plaquant contre le mur et lui passe une paire de menotte autour des poignets.

-Joana, arrêtes, tu me fait un peu mal, moi qui ai tant de plaisir à te revoir.

-Silence esclave, tu as oublié qui je suis ? En disant cela Joana lui a tiré les cheveux en arrière. Alors réponds !

- No..non Maîtresse, je suis toujours à toi, tu le sais bien, mais je pensais...

-Silence tu n’as pas à penser, tu es faite pour m’obéir.

-Oui maîtresse, dis moi ce que je dois faire.

-Fait moi visiter cette maison, il se pourrait qu’elle me plaise.

Sur cette phrase sans suite et avec ses mains entravées, Marie-Claude guide Joana dans la maison de ses patrons et lui fait visiter les pièces une à une. La visite se finie dans la chambre de Marie-Claude que Joana passe en revue de manière très détaillée. Elle ouvre tous les placards, tous les tiroirs, regarde les vêtements de Marie-Claude, admire les sous-vêtements, bref se montre la plus indiscrète possible pour bien montrer à Marie-Claude sa vraie place.

Au bout de 10 minutes elle revient vers Marie-Claude qui attendait dans son coin avec un peu d’inquiétude. Qu’est ce qu’elle va inventer encore se disait elle. Elle le su très vite.

Joana revient vers elle avec un petit sourire et l’allonge par terre sur le dos. Elle enlève sa culotte rouge vif et, positionnant sa chatte déjà humide sur la bouche de Marie-Claude lui ordonne de la sucer de la manière la plus douce qu’il soit pour qu’elle en profite le plus longtemps possible.

Marie-Claude commence à promener sa langue sur les petites lèvres, puis passe au clitoris revient, repart, remonte jusqu’à l’anus de Joana qui commence à gémir.

-Ah Marie-Claude tu es... tu es vraiment douée, oui continu comme cela, je ne veux pas jouir mais maintiens moi au bord de l’orgasme comme tu sais si bien le faire.

La bouche de Marie-Claude est inondée de jus Joana est très mouillée, et Marie-Claude se dépasse dans son art, elle veut faire plaisir à sa maîtresse et elle y arrive. Minutes après minutes le plaisir de Joana augmente sans jamais dépasser la limite permise.

-Oui Marie-Claude tu es merveilleuse encore encore ta langue, oui sur le cul partout, encore Aaaah salope tu me tiens, oui encore là, oui doucement. Je t’en supplie fait moi jouir oui je veux jouir maintenant. Mais Marie-Claude est démoniaque, elle ralentie encore le rythme de ses coups de langue et c’est Joana qui craque la première. Elle s’écrase sur la bouche de Marie-Claude et se frotte le clitoris sur le nez, la bouche de Marie-Claude et force son orgasme à sortir de son corps qui était tendu comme un arc.

-Oouiii c’est bon Ahhh Marie-Claude tu es la meilleure suceuse que j’ai connu. oui tu auras droit à une récompense, Ah encore, encore mords suce lèche salope encore, je, je ...Ahhh oui c’est bon ...

 Dans un dernier râle, Joana roule sur le coté et glisse ses mains entre ses jambes pour se masturber et arracher encore quelques spasmes de plaisir de son vagin épuisé par les coups de langue de Marie-Claude.

Il lui faut plusieurs minutes pour retrouver ses esprits.

Elle s’approche de Marie-Claude et l’embrasse tendrement; Leurs langues se mêlent, se caressent et bientôt ce n’est que gémissement. Marie-Claude n’en peut plus. Elle est attachée et ne peut pas se branler. Joana a bien compris mais refuse de la toucher ailleurs que sur la langue. Marie-Claude s’affole donne des coups de reins dans le vide, cherche un sexe d’homme qui la défoncerait, mais rien que la langue de Joana qui lui fouille la bouche, s’enroule autour de sa langue. Elle ressent des ondes de plaisir dans tout son corps mais rien pour la satisfaire vraiment.

Joana est encore plus diabolique qu’elle. Les reins de Marie-Claude sont en feu mais les coups qu’elle donne ne sont pas suffisant pour la faire jouir, la langue de Joana non plus.

Joana se relève en riant.

- Oh mais tu ressemble à un petit ver de terre quand tu ondules comme cela. Continus c’est très excitant. Dommage que mon mari ne soit pas là. Il t’aurais enfilé et tu serais moins en panne ! Dommage, ce sera pour une prochaine fois. A tout à l’heure ma chérie, ne quitte pas ta chambre sinon il pourrait t’en cuire.

Et sur ces paroles mystérieuses, Joana quitte la chambre de Marie-Claude et tout en refermant la porte elle éclate de rire. Marie-Claude frémi en se demandant ce qu’elle doit comprendre. Mais son plaisir la reprend et elle cherche désespérément l’orgasme libérateur en donnant des coups de reins dans le vide, en frottant ses cuisses l’une contre l’autre mais rien ne peut apaiser ce feu qui embrase ses reins.

En relevant la tête elle aperçoit une balle de tennis posée sur sa table de travail et une idée lumineuse lui vient. Oui c’est ça...

Elle roule sur le coté et se met à genoux, puis debout. Avec ses mains entravées par les menottes, elle attrape la balle et la pose par terre sur la moquette. Marie-Claude se remet à genoux mais cette fois ci se couche à plat ventre le sexe collé sur la balle de tennis. Elle commence à onduler sur la balle jusqu’à trouver le point maximal du plaisir. Ca vient vite et son clitoris, activé par les poils qui entoure la balle et aussi par son coté élastique, commence à réagir.

-Ohhh que c’est bon, ouiii , aaah tu ne veux pas que je jouisse hé bien tu vas voir que je me débrouille très bien sans toi.

Les coups de rein de Marie-Claude sur la balle s’accélèrent jusqu’à atteindre une cadence folle. Marie-Claude est emportée par son orgasme comme un sprinter qui court le 100m. Elle halète, crie, gémie et finie par hurler son plaisir dans un long cri rauque qui retenti dans toute la maison.

Joana qui l’a entendu, remonte précipitamment pensant que Marie-Claude a eu un accident. Elle rentre dans la pièce et voit Marie-Claude affalée à plats ventre qui respire très fort.

-Ca va lui demande-t-elle ?

-Oh oui très bien lui répond Marie-Claude avec un large sourire, c’était très bon tu sais, le tennis c’est formidable. Et sur ces paroles encore mystérieuse pour Joana, elle roule sur le coté et Joana découvre la balle de tennis coincée entre les cuisses de Marie-Claude.

-Bravo, quelle imagination, ça je ne l’avais jamais vu. Se branler avec une balle de tennis ! Apparemment c’est efficace si j’en crois ton cri. Ainsi dès que j’ai le dos tourné tu jouis sans ma permission. Tu sais que c’est une faute grave qui doit être punie.

Marie-Claude ne ri plus. Elle baisse la tête et murmure

-Oui maîtresse, je le sais, mais tu m’avais tellement excitée que je n’ai pas pu résister. Pardonnes moi, je t’en pris, je ne veux pas être punie.

-Désolé ma grande, mais ton obéissance doit être absolue. Je ne peux pas te pardonner.

Elle attrape Marie-Claude par les cheveux et la force à se mettre debout ce qui la fait crier. Mais Joana n’en a cure. D’une bourrade elle fait avancer Marie-Claude et l’entraîne dans le garage de la maison. Là, elle trouve un rouleau de ficelle qui lui sert à attacher Marie-Claude au tuyau de chauffage après lui avoir ôté les menottes.

-Mes tes mains jointes ensembles Oui c’est ça.

Joana attache les mains de Marie-Claude ensembles, comme si elle priait on ne sait quel Dieu lubrique.

-Maintenant lèves les bras, oui comme cela. Joana fait passer la ficelle au-dessus du tuyau de chauffage et tire dessus avec force. Marie-Claude s’étire et monte sur la point des pieds. C’est ce que voulait Joana. Marie-Claude est en extension et ses seins sont joliment tendus avec les mamelons dressés comme des doigts montrant quelque chose au loin.

Joana ne peut pas s’empêcher de les sucer ce qui donne des frissons à Marie-Claude. Mais ce n’est pas le moment de jouer.

Joana sort du garage et revient avec deux chaises qu’elle place de chaque coté des jambes de Marie-Claude. Elle prend la jambe gauche de Marie-Claude, la tire sur le coté et en la pliant la pose sur la chaise. Elle fait de même avec l’autre jambe. Maintenant Marie-Claude a un genou sur chaque chaise et ses cuisses sont légèrement écartées. Joana se place derrière elle et commence à faire glisser les deux chaises latéralement. Les cuisses de Marie-Claude s’écartent petit à petit sans qu’elle puisse en contrôler l’ouverture. Cette position est diabolique et soumet totalement Marie-Claude au plaisir de Joana. Les chaises continuent à s’écarter et le compas des jambes s’ouvre de plus en plus. Heureusement que Marie-Claude a fait un peu de danse, elle en à garder une certaine souplesse musculaire. Mais tout à des limites et maintenant elle ne peut plus rien faire si ce n’est gémir de douleur car ses muscles sont tendus fortement.

-Joana ne vas pas plus loin s’il de plaît. Tu me déchires l’entrejambe. S’il te plaît arrête.

Joana vient d’arrêter le mouvement des chaises et contournant Marie-Claude se retrouve devant elle.

-Bien maintenant voyons voir comment tu te sens, et d’une main experte elle commence à caresser Marie-Claude qui n’a strictement aucun moyen de s’opposer aux doigts de Joana qui la caresse, la fouille et l’encule à loisir jusqu’à ce que Marie-Claude commence à gémir de plaisir et de douleur mélangés. Mais où est la limite dans ce cas ?

Joana, satisfaite, arrête ses caresses et clos cette séance par un baiser dont la durée laisse Marie-Claude toute essoufflée.

-Bien je te laisse, à tout à l’heure pour une séance plus ....approfondie.

Sur ces mots elle éteint la lumière ce qui plonge le garage dans l’obscurité et sans s’occuper davantage de Marie-Claude remonte dans le salon ou elle s’installe confortablement devant un bon verre de whisky.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 16 décembre 7 16 /12 /Déc 22:11
Rapidement Marie-Claude a rejoint la maison des Taylor qui est un peu isolée dans le quartier. Elle ouvre la barrière et rentre dans le jardin et fonce dans madame Taylor qui partait en ville pour un rendez-vous chez le médecin.

-Oh, pardon madame, excusez-moi, je suis en retard, veuillez me pardonner, mon week-end a été chargé.

Marie-Claude est rouge de confusion et baisse la tête en parlant. Elle a conscience de son aspect physique et a bien vu que son interlocutrice a compris d’où elle venait.

-Hum, vu votre état je comprends que vous ayez perdu la tête, j’espère au moins que cela a été agréable ?

-Euh...! oui.., beaucoup enfin ...je veux dire oui comme-ci comme ça.

Marie-Claude s’empêtre de plus en plus dans ses explications ce qui a le don de faire rire madame Taylor. Elle n’est pas dupe et l’embarras de Marie-Claude la réjoui au plus haut point.


-Allez filez à la maison, les enfants ont besoin de vous, mon mari est encore là, alors un peu de tenu s’il vous plaît.

-Oui madame c’est promis.

Marie-Claude reprend sa course et entre en trombe dans la maison. Elle va directement dans sa chambre mais est interceptée au passage par monsieur Taylor qui la pousse dans la cuisine et referme la porte derrière lui.

-Un instant jeune fille, d’où venez-vous comme cela ? Cela fait une heure que je vous attends, il va falloir vous faire pardonner.

En disant cela il tient toujours Marie-Claude par le bras et la force à s’agenouiller devant lui. D’un geste rapide il a ouvert sa braguette et sort son sexe turgescent d’une taille très au dessus de la moyenne du moins d’après l’idée que se fait Marie-Claude d’une telle moyenne. Il lui colle le gland sur les lèvres et appuie fermement dessus. Marie-Claude va pour protester mais à peine a-t-elle ouvert la bouche pour parler que le sexe s’engouffre entre ses lèvres, bouscule ses dents et s’enfonce dans sa gorge aussi loin que possible. Elle a un hoquet et la queue recule un peu le temps qu’elle s’adapte mais elle ne peut plus s’évader. et petit à petit elle prend le rythme que son partenaire lui impose et tout devient plus facile. Elle y prend goût et affine son action buccale, sa langue se fait fourreau, elle entoure le gland rouge foncé et le titille avec art, sa main droite pétrie les couilles de monsieur Taylor et ses lèvres sucent ardemment le membre. Monsieur Taylor soupire, gémi de plaisir mais se retient aussi car les enfants pourraient entendre.

-Ah que c’est bon, depuis le temps que j’en avais envie, ce matin ma femme n’a pas eu le temps de me vider les couilles, alors c’est toi qui va le faire. Mon trésor, ma petite salope adorée, oui suces moi bien, non pas si vite, voilà comme cela bien profond. Ahhh je sens que ça monte, prépare toi à tout boire, ne perd rien, je veux, Ahh, oui je..  veux .. que tu...boivent tout. Ahhh oui ça y est Ahhh

Et d’un grand coup de rein il s’est enfoncé au plus profond de la gorge de Marie-Claude qui suffoque sous l’assaut et les vagues de sperme qui jaillissent dans sa bouche. Elle avale le sperme comme elle le peut, mais une partie déborde, elle n’a pas le temps de s’en préoccuper tant la production est importante.

Les coups de rein se sont espacés et finissent par s’arrêter. Le membre si fier quelques minutes auparavant est maintenant tout mou et pendouille entre les cuisses de monsieur Taylor. Marie-Claude fini d’avaler les dernières gouttes de sperme qui en coule encore et se relève avec un gentil sourire.

-Vous avez aimé, moi beaucoup, je n’ais jamais avalé une telle quantité de sperme en une fois. C’est impressionnant. Votre femme doit être contente, non?

-Euh, oui, en général elle aime assez, mais je pense qu’elle n’est pas aussi douée que vous, problème de génération sans doute. Oh, attention, j’entends les enfants qui arrivent. Vite faite le café ça fera plus naturel.

Marie-Claude s’exécute bien qu’elle n’ait qu’une envie, celle de prendre une bonne douche. Mais décidément tout s’y oppose.

-Bonjour les enfants, vous avez passé un bon week-end.

John l’embrasse en lui touchant les seins comme pas fait exprès mais Marie lui fait une bise du bout des lèvres. Elle boude, elle est jalouse car elle a compris elle aussi que Marie-Claude ne s’est pas embêtée ces deux jours alors que elle, elle a dû se contenter de branlettes à répétition seule dans son lit.
Marie-Claude a saisi ce qui se passait dans la tête de Marie et lui caresse discrètement les seins en lui murmurant au creux de l‘oreille des mots doux et coquin. Ceci a le don de calmer Marie et de lui redonner le sourire.

-Bon, je veux bien, mais ce soir attention de ne pas oublier.

-Eh les filles vous me dites ce que vous avez raconté ?

-Non John, c’est un secret de jeunes filles qui ne regarde pas les garçons.

John prend son air boudeur mais un sourire de Marie-Claude dans sa direction le calme tout de suite.

-Allez, c’est l’heure de partir à l’école, prenez vos cartable on y va.

Marie-Claude, Marie et John sortent de la maison et se dirige vers l’arrêt de car pour rejoindre leurs camarades. Marie-Claude les embrasse tous les deux tendrement en leur souhaitant une bonne journée.

Tournant les talons elle repart vers la maison où, espère-t-elle, une bonne douche l’attend. En rentrant, elle croise la voiture de monsieur Taylor qui lui fait un petit signe. Elle le gratifie d’un large sourire et pousse un soupir de soulagement en refermant le portillon du jardin. Enfin seule, elle va pouvoir s’occuper d’elle sans personne pour lui sauter dessus. C’est pas qu’elle n’aime pas ça, mais trop c’est trop! Et elle éclate de rire, non c’est pas vrai. Du sexe elle en veut, encore et encore, il n’y en a jamais de trop. L’avenir allait lui donner raison.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 10 décembre 1 10 /12 /Déc 01:48
Dans les années 1830, les ouvrages imprimés dits « contraires aux bonnes moeurs » publiés sous le manteau, poursuivis ou condamnés, sont séparés du reste des collections de la Bibliothèque royale et rassemblés afin de constituer une section distincte intitulée Enfer et conservée à la Réserve des livres rares. Quelques années plus tard, le cabinet des Estampes procède à l’identique.

Dès lors, l’Enfer devient un lieu mythique, objet de toutes les curiosités et de tous les fantasmes. Pour la première fois, la Bibliothèque nationale de France expose cette part obscure de ses collections et lève le voile sur l’Enfer. Si la cote « Enfer » apparaît sous le règne de Louis-Philippe, elle n’est en aucune façon une création du pouvoir ou une décision du législateur mais elle relève de la seule décision de la Bibliothèque.



« Avec l’Enfer, nous entrerons dans la littérature telle qu’elle n’est pas enseignée », annoncent les commissaires de l’exposition qui ajoutent : « de l’Arétin aux romans libertins du XVIIIe siècle, nous nous aventurerons dans un monde imaginaire où les personnages obéissent à toutes les fantaisies du désir ; avec Sade, nous accéderons à la volupté quand elle s’accorde avec le crime ; nous ferons entendre l’excès de la parole pamphlétaire, quand le discours politique devient pornographique. Nous nous engagerons dans le monde de l’anonymat, du pseudonyme, des fausses adresses, des dates trompeuses. Un regard sur l’édition clandestine, plus précisément aux XIXe et XXe siècles, permettra d’entrevoir ses réseaux, et ses supercheries ».

Plus d'infos pour sortir: 4 décembre 2007 - 2 mars 2008
BnF - Site François-Mitterrand – Grande Galerie Quai François Mauriac
75013 Paris

Du mardi au samedi 10h-19h
Dimanche 13h-19h Fermé lundi et jours fériés
Entrée : 7€ , TR : 5€
Exposition interdite aux moins de 16 ans
Par Francis - Publié dans : Sortir
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