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Mercredi 4 mars 3 04 /03 /Mars 11:55
HADOPI - Le Net en France : black-out

En plus:  L'industrie du disque est-elle en train de s'autodétruire ?


"L’industrie du disque traverse-t-elle une crise ou doit-elle se préparer à l’idée de sa disparition ? Trop d’erreurs ont été commises pour qu’elle se redresse, analyse Steve Knopper, un journaliste américain du fameux magazine Rolling Stone : les industriels ont combattu l’arrivé du web au lieu d’y chercher des opportunités, et aujourd’hui ils ont tout simplement perdu le pouvoir. Dans un ouvrage sans concession au titre évocateur “Appetite for self-destruction : the spectacular crash of the record industry in the digital age”, Steve Knopper pointe deux erreurs magistrales : l’abandon du single avec l’arrivée du CD, et bien sûr la lutte contre Napster, le premier site d’échange de fichiers musicaux, dont les labels ont obtenu la fermeture après un procès qui leur a coûté des dizaines de millions de dollars. Qu’auraient-ils dû faire à la place ? Passer un marché, bien sûr, avec Napster et ses 26 millions d’utilisateurs au lieu d’assister, impuissants, à leur dispersion sur des dizaines d’autres sites, décentralisés.
Intéressante perspective ouverte par ce journaliste américain car la question du téléchargement illégal y est tenue pour secondaire : ce ne seraient pas les pirates et le pair-à-pair qui auraient tué l’industrie du disque mais des erreurs stratégiques dont elle est la seule responsable.
Alors que la loi « création et internet » est en passe d’entrer en discussion au Parlement français, voilà qui mérite le débat."


Emission de France Culture : Du grain à moudre par Julie Clarini et Brice Couturier du lundi au vendredi de 18h30 à 19h15
Par Aline - Publié dans : La revue de presse
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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 08:50
Voici un  article intéressant publié récemment sur les pratiques sexuelles des jeunes québécois. Il présente les résultat d’une étude concluant que les activités sexuelles en groupe bien présentes chez les ados. Par activités sexuelles en groupe il entend : Danse sandwich, concours d'imitation de fellation ou de t-shirt mouillés, strip-tease.

Une étude réalisée dans quatre écoles secondaires de Québec révèle que 55 % d'entre eux ont vécu au moins une expérience de ce type et que 85 % y ont assisté. Des chiffres qui laissent à penser que les parents auraient intérêt à vérifier de plus près ce qui se passe dans leur sous-sol...

Trois chercheuses ont interrogé 819 jeunes de 15 à 18 ans (moyenne de 16 ans) pour faire la lumière sur ce qu'elles ont appelé les ACSOSEX, pour «activités sociales sexualisées». Un sujet de recherche relativement nouveau, abordé pour la première fois avec ce groupe d'âge.«On entendait beaucoup de rumeurs sur des gestes sexuels dans les autobus, dans le fond des classes ou dans les discothèques sans alcool (pour les moins de 18 ans)», d'où l'idée d'aller y voir de plus près, dit Francine Lavoie, professeure titulaire à l'École de psychologie de l'Université Laval et chercheuse principale.

La surprise? L'ampleur de la participation des jeunes à ces activités...

Les auteures de l'étude ont regroupé les ACSOSEX en trois catégories :
1) les danses sandwich, où trois danseurs ou plus se frôlent en dansant;
2) les gestes sexuels sans contact génital;
3) les gestes avec contact génital et les activités sexuelles sur webcam.

Sans surprise, la première, qui est aussi la plus soft, est la plus populaire. Près d'un ado sur deux (45 %) l'a expérimentée au moins une fois. Il est probable, croit Mme Lavoie, qu'il s'agit d'un jeu pour la plupart d'entre eux, et que seule une minorité reproduit les danses lascives que l'on peut voir dans certains clips.

C'est plutôt la suite de leurs découvertes qui a fait sursauter les chercheuses. Pas moins d'un jeune sur 10 a en effet participé à une activité sexuelle de groupe sans contact génital : strip-teases, imitations de fellation (avec une banane ou un popsicle (eskimo), par exemple), baisers sur la bouche entre personnes de même sexe pour exciter les autres, mimes de scènes érotiques, concours de gilets (T-shirt) mouillés, etc.

«C'est assez élevé et c'est préoccupant», dit Mme Lavoie, en précisant néanmoins qu'il ne faut pas oublier «que 90 % des jeunes ne s'y livrent pas».

Moins de 5 % des jeunes se sont finalement livrés à des activités filmées ou avec contact génital comme les concours de masturbation ou le sexe en groupe.

Plus: La présentation de l'étude en pdf : A Lire
Par Flo - Publié dans : La revue de presse
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Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 10:42
Elle me prit dans ses bras, me serra affectueusement et m’appela sa fille. Après, elle m’entretint de la vie tranquille et douce du couvent ; elle réchauffa encore ma haine pour les hommes et termina par une exhortation pieuse, qui me parut le langage d’une âme divine. Pour rendre moins sensible la transition subite de la vie du monde à la vie du cloître, il fut convenu que je resterais près de la Supérieure et que je coucherais chaque soir dans son alcôve. Dès la seconde nuit nous étions à causer le plus familièrement du monde. La Supérieure se retournait, s’agitait sans cesse dans son lit. Elle se plaignait du froid et me pria de me coucher avec elle pour la réchauffer. Je la trouvai absolument nue. On dort mieux, disait-elle, sans chemise. Elle m’engagea à ôter la mienne ; ce que je fis pour lui être agréable. — Oh ! ma petite, s’écria-t-elle, en me touchant, tu es brûlante. Comme ta peau est douce. Les barbares ! oser te martyriser de la sorte. Tu as dû bien souffrir. Raconte-moi donc ce qu’ils t’ont fait. Ils t’ont battue ; dis. Je lui répétai mon histoire, avec tous les détails, appuyant sur ceux qui paraissaient l’intéresser davantage. Le plaisir qu’elle prenait à m’entendre parler fut si vif qu’elle en éprouvait des tressaillements extraordinaires. — Pauvre enfant ! pauvre enfant ! répétait-elle en me serrant de toutes ses forces.

Insensiblement, je me trouvai étendue sur elle. Ses jambes étaient croisées sur mes reins, ses bras m’entouraient. Une chaleur tiède et pénétrante se répandait par tout mon corps. J’éprouvais un bien-être inconnu, délicieux qui communiquait à mes os, à ma chair je ne sais quelle sueur d’amour qui faisait couler en moi comme une douceur de lait. — Vous êtes bonne, bien bonne, dis-je à la Supérieure. Je vous aime, je suis heureuse près de vous. Je ne voudrais jamais vous quitter. Ma bouche se collait sur ses lèvres, et je reprenais avec ardeur : — Oh ! oui, je vous aime à en mourir… je ne sais… Mais je sens…

La main de la Supérieure me flattait avec lenteur. Son corps s’agitait doucement sous le mien. Sa toison dure et touffue se mêlait à la mienne, me piquait au vif et me causait un chatouillement diabolique. J’étais hors de moi dans un frémissement si grand que tout mon corps tremblait. À un baiser violent que me donna la Supérieure, je m’arrêtai subitement. — Mon dieu ! m’écriai-je, laissez-moi… Ah !… jamais rosée plus abondante, plus délicieuse ne suivit un combat d’amour.

L’extase passée, loin d’être abattue, je me précipite de plus belle sur mon habile compagne ; je la mange de caresses. Je prends sa main, je la porte à cette même place qu’elle vient d’irriter si fort. La Supérieure me voyant de la sorte, s’oublie elle-même, s’emporte comme une bacchante. Toutes deux nous disputons d’ardeur, de baisers, de morsures… quelle agilité, quelle souplesse cette femme avait dans ses membres. Son corps se pliait, s’étendait, se roulait à m’étourdir. Je n’y étais plus. J’avais à peine le temps de rendre un seul baiser à tous ceux qui me pleuvaient de la tête aux pieds. Il me semblait que j’étais mangée, dévorée en mille endroits. Cette incroyable activité d’attouchements lubriques me mit dans un état qu’il est impossible de décrire, Ô Fanny ! que n’étais-tu témoin de nos assauts, de nos élans ! Si tu nous avais vues toutes deux furibondes, haletantes ; tu aurais compris tout ce que peut l’empire des sens sur deux femmes amoureuses. Un instant ma tête se trouva prise entre les cuisses de ma lutteuse. Je crus deviner ses désirs. Inspirée par ma lubricité, je me mis à la ronger dans ses parties les plus tendres.

Mais je répondais mal à ses voeux. Elle me ramène bien vite sur elle, glisse, s’échappe sous mon corps et, m’entr’ouvrant subtilement les cuisses, elle m’attaque aussitôt avec la bouche. Sa langue agile et pointue me pique, me sonde comme un stylet qu’on pousse et retire rapidement. Ses dents me prennent et semblent vouloir me déchirer… J’en vins à m’agiter comme une perdue. Je repoussais la tête de la Supérieure, je la tirais par les cheveux. Alors elle lâchait prise : elle me touchait doucement, m’injectait sa salive, me léchait avec lenteur, ou me mordillait le poil et la chair avec une raffinerie si délicate, si sensuelle à la fois que ce seul souvenir me fait suinter de plaisir. Oh ! quelles délices m’enivraient ! quelle rage me possédait ! Je hurlais sans mesure ; je m’abattais abîmée, ou je m’élevais égarée, et toujours la pointe rapide, aiguë, m’atteignait, me perçait avec raideur. Deux lèvres minces et fermes prenaient mon clitoris, le pinçaient, le pressaient à me détacher l’âme. Non, Fanny, il est impossible de sentir, de jouir de la sorte, ce n’est qu’une fois en sa vie. Quelle tension dans mes nerfs ! quel battement dans mes artères ! quelle ardeur dans la chair et le sang. Je brûlais, je fondais et je sentais une bouche avide, insatiable, aspirer jusqu’à l’essence de ma vie. Je te l’assure je fus desséchée et j’aurais dû être inondée de sang et de liqueur. Mais que je fus heureuse ! Fanny, Fanny ! je n’y tiens plus. Quand je parle de cet excès je crois éprouver encore ces mêmes titillations dévorantes. Achève-moi… Plus vite, plus fort… bien ! ah ! bien ! las ! je meurs…



Fanny était pire qu’une louve affamée.

- Assez, assez, répétait Gamiani. Tu m’épuises. Démon de fille ! Je te supposais moins habile, moins passionnée. Je le vois, tu te développes. Le feu te pénètre.
Par Alfred de Musset - Extrait - Publié dans : Sortir
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Dimanche 22 février 7 22 /02 /Fév 09:06

Je m’appelle Aline, j’ai vingt-cinq ans, je viens du Nord de la France. À vingt-trois ans, j’ai décidé de me réorienter. En effet, après des études de commerce, j’avais beaucoup de mal à trouver un travail stable et j’en souffrais. J’ai donc accepté une offre d’emploi dans une société spécialisée dans l’exploitation du bois dans les Landes et en deux ans je suis passée de simple gratte-papier à un poste où je gérais moi-même certaines parcelles.

Gérer une parcelle, ce n’est pas sorcier mais il faut s’en occuper, y aller souvent et surveiller ce qui peut détruire ce qui y pousse. C’est ainsi que fin avril je me retrouvai à patrouiller le long de ces grands chemins coupe-feu si communs dans les Landes. En parcourant à pied un embranchement plus petit je notai la présence de traces de pneus, chose assez rare dans certaines parcelles mais cela arrivait parfois. En suivant ces traces sur une centaine de mètres je trouvai le lieu où des touristes avaient dû venir s’amuser. J’étais rassurée : pas de trace de feu. Ouf ! Je ramassai par acquit de conscience une bouteille en plastique laissée là et, tout proche, je découvris une carte de visite. Elle était beige et il était écrit dessus en lettres capitales noires SPARTE ainsi qu’une boite postale sur Bordeaux et en petits caractères au bas de la carte un numéro : 9704126. Je la pris avec moi et continuai ma tournée.

Deux semaines plus tard, alors que je discutais avec des collègues et qu’ils me racontaient avoir surpris un couple en fâcheuse posture dans une de leurs parcelles, je leur ai demandé si c’était pratique courante. Ils me confièrent, ce que je pensais déjà, que certaines personnes s’adonnaient à des plaisirs en couple et parfois à l’échangisme dans la forêt des Landes, bien à l’abri des regards.

Je suis brune et un peu en surpoids. Oh, très légèrement ! Je viens d’une famille très stricte côté éducation : un père militaire et une mère au foyer. De plus, je suis fille unique. J’ai gagné ma liberté par mes études que j’ai effectuées loin de ma famille. Côté vie personnelle, j’ai eu quelques petits copains, quelques petites aventures, dont une plus longue lorsque je travaillais dans une banque. Après avoir essayé de la conserver malgré la distance, notre relation s’était finie sans larmes quelques mois auparavant. Depuis, je m’intéressais un peu plus aux hommes autour de moi, sans trouver celui qui me ferait craquer et comme je vivais près de mon travail, ce qui est pratique et pas cher dans une petite ville, je ne sortais pas tous les soirs.

C’est en fait mi-mai, lors d’une sortie sur Bordeaux, la grande ville, que j’ai repensé à cette carte qui était toujours dans une boîte dans mon coffre. Je l’ai ressortie et je me suis dirigée vers l’adresse indiquée. Cela avait tout l’air d’une boîte postale et je fus un peu surprise d’y trouver non pas un bureau de poste mais un petit immeuble de style. Parmi les plaques de cuivre à l’entrée, entre cabinets d’avocat et de consultants, il y avait ce nom : SPARTE – Relations publiques. Bof ! Pas de quoi fouetter un chat.

Mais la porte s’ouvrit soudain. Un couple sortait, accompagné par un homme habillé d’un joli costume. Se tournant vers moi il me demanda :

— Mademoiselle, je peux vous aider ?

— Euh, non… Enfin, si. J’ai trouvé cette carte… sur… enfin, là où je travaille. En fait, dans la forêt des Landes. Je travaille pour B. & M. Export. Elle semble appartenir à quelqu’un de cet immeuble, et de cette société-là, dis-je en lui montrant la plaque. Elle est peut-être à vous ?

— C’est en effet à moi, et j’appartiens à cette société, madame.

Il tendit la main afin que je lui remette la carte.

— Je vous remercie, mademoiselle… ?

— Aline Arnault.

— Enchanté, Aline. Je m’appelle Alain. Merci encore de nous l’avoir rapportée.

— Pardonnez-moi, que fait votre société ?

— Nous… euh… nous sommes dans le développement personnel. Merci encore, et au revoir.

Et la porte se referma.

Le treize juin, je me souviens encore de la date, alors que je parcourais à pied ma parcelle pour vérifier si certains arbres plus rabougris devaient être marqués pour être coupés, j’ai remarqué la présence d’une voiture sur un des chemins de traverse. Je m’approchai pour voir si c’était un collègue ou des touristes perdus. Arrivée à quelques mètres de la voiture je vis des personnes s’afférer entre les arbres un peu plus loin. Je stoppai net. Il y avait là trois hommes autour d’une femme entièrement nue. Intriguée, je me baissai dans les genets pour observer la scène. Je n’entendais pas tout de là où j’étais mais les hommes parlaient fort et vulgairement, et la femme ne semblait pas répondre. Elle marchait à quatre pattes. Un des hommes la frappait mais elle ne criait pas, elle avait une sorte de bâillon, enfin quelque chose sur la bouche. Elle avait la trentaine. Je réfléchissais. Que faire ?

Je regardai de nouveau : les hommes étaient sur elle et la prenaient de manière virile. Ils changeaient de position, lorsque l’un d’entre eux se mit à marcher pour, semblait-t-il, retourner à la voiture. Il passa près de moi. Je reconnus Alain.

Il prit un sac et retourna vers ses amis. Ils étaient occupés. J’en profitai pour filer discrètement. Ce spectacle ne m’avait pas laissée de marbre. Je dois dire que je n’avais jamais regardé un autre couple faire l’amour, et encore moins plusieurs personnes le faire ensemble. J’essayais de sortir ces images de ma tête mais comme vous savez, plus on essaye et plus on y pense… Ce soir-là, dans ma douche je me masturbai en pensant à ce que j’avais vu.

Deux jours après, j’allais partir lorsqu’un des contremaîtres qui s’occupaient du marquage est venu me voir sur le parking de la société. On parla boulot. Il me demanda ce que je pensais du marquage des arbres de la parcelle 746.

— Il a été bien fait.

— Est-ce que tu n’as rien remarqué, Aline ?

— Non ?

— Sûr ? Rien de bizarre ?

— Euh, si ! J’ai cru voir une voiture sur le chemin de traverse. Tu sais celui qui passe près de la citerne.

— Cru ou vu ?

— Vu.

— Et tu as fait un rapport ? Tu sais qu’il faut qu’on le signale à la gendarmerie, surtout si ce sont des locaux, afin de prévenir les incendies.

— Non je ne l’ai pas fait, pas encore.

— Et pourquoi ?

— Pierre, en fait… Euh…

— Quoi ?

— Eh bien, il y avait des gens qui, comment dire, prenaient du plaisir.

— Et ça change quoi ? … Attends, qu’est ce que tu dis ?

— Il y avait des gens, trois hommes et une femme, qui baisaient. Enfin même plus. Euh je… Comment dire, ils la tapaient.

— Tu as noté le numéro de la voiture ? Tu as vu qui ils étaient ?

— Oui… Non, non !

— Oui ou non ?

— En fait, Pierre…

Je lui racontai l’histoire de la carte et lui parlai d’Alain, l’homme aperçu. Après cinq minutes de discussions :

— OK, Aline, je vais faire le rapport, pas la peine que tu t’en occupes, tu as assez de boulot comme ça. Au fait, tu as aimé les regarder ?

— Euh, oui… Enfin… non, ai-je répondu en rougissant.

Une semaine plus tard, Pierre et moi marquions une autre parcelle. Pendant la pause, on discuta de tout et de rien. Pierre me demanda si j’avais un homme dans ma vie. Comme je répondai non, il a souri.

— Je comprends pourquoi tu as aimé mater ce qu’ils faisaient. Cela t’a excitée, me dit-il alors.

— Non, non !

— Vraiment ?

— Non… Oui… J’ai été étonnée de les voir. Tu sais, ils la frappaient. C’était bizarre…

— Oui, oui… Tu sais, chacun prend son plaisir comme il l’entend.

Deux jours plus tard, je recevai une lettre chez moi. Sur la lettre, SPARTE en lettres noires.

Aline,

Nous vous remercions de nous avoir rendu la carte que vous avez trouvée sur votre lieu de travail. Sans doute avez-vous le goût du voyeurisme. Or nous sommes spécialisés dans le développement personnel, et principalement celui des femmes de la région, mariées ou non mais désirant prendre du plaisir ou découvrir de nouveaux plaisirs.

Cependant nos activités ne sont ouvertes qu’à un petit nombre de membres sélectionnés. Vous nous avez été proposée par une de vos relations professionnelles : Pierre.

Si vous souhaitez nous rejoindre, merci de le contacter dans les cinq prochains jours. Sans réponse de votre part, nous considérerons que vous n’êtes pas intéressée et nous ne vous contacterons plus. Dans ce cas nous souhaitons aussi que vous ne nous contactiez plus.

Sincèrement,

Le Directeur Adjoint :

Alain M.

Je tombai assise sur mon canapé. Qui étaient-ils ? Une société, un club ? Une secte ? Que faisait Pierre avec eux ? Le lendemain, je le cherchai. Il n’était pas là. Le surlendemain, je pus enfin discuter avec lui. D’abord, dans le couloir, je lui montrai la lettre. Il la prit et m’ordonna de le suivre dans son bureau.

— Aline, fais attention, c’est un sujet personnel, ne rameute pas tout le monde.

— Pierre, qu’est ce que tu me fais ? Tu les connais, ces gens ? C’est qui ? Ils veulent quoi ?

— Aline, Aline calme-toi. Tu sais, ils ne veulent que ton bien. Oui, je les connais, c’est une association, un lieu de rencontre entre adultes majeurs et vaccinés. Cela permet de découvrir de nouvelles choses de prendre du plaisir différemment. Bien sûr, il y a des règles, mais que sont-elles par rapport à ce que les membres en retirent, hein ? … Et toi, toujours célibataire ? Pas de mec dans ta vie ? C’est vrai ou faux ?

— Vrai.

— Alors tu vois, j’ai pensé à toi et puis tu en as déjà beaucoup vu. Ça t’a plu, non ?

— …un peu.

— Cela t’a excitée ou pas, réponds franchement.

— Euh… Oui !

— Bon. Tu vois, il n’y a pas de mal à ça. Je suis sûr que comme cela tu seras plus heureuse. Tu sais, c’est une sorte de club de rencontre. Tu me fais confiance, oui ou non ?

— Oui.

— Bon, alors accepte. Franchement, qu’est-ce que tu risques ?

— Je vais réfléchir.

— Ne réfléchis pas trop longtemps ; tu as bien lu la lettre j’espère.

— Oui. Il me reste quatre, enfin trois jours pour répondre. Et d’ailleurs, je réponds comment ?

— Eh bien, tu me fais une lettre disant que tu acceptes de rejoindre ce groupe, le groupe SPARTE, et que tu en acceptes les règles. Ah, n’oublies pas de donner tes coordonnées.

— Tout ça ? Une lettre ?

— Oui, une vraie lettre, signée, datée, pas un bout de papier. Tu le feras ?

— Euh !

— Oui ou non ? C’est facile comme réponse !

— Oui, dis-je timidement.

J’ai passé les soirs suivants à écrire, reprendre, imprimer et déchirer des lettres. J’en mis finalement une dans une enveloppe et le soir d’avant la fin du délai, je la posai sur le bureau de Pierre.

Je dormis très mal. Je doutais. Était-ce une bonne idée ? Je n’en étais pas sûre. Étant du signe Balance, je doutais toujours de mes décisions. J’étais un peu timide. Cela avait été un trait de mon caractère depuis pas mal d’années. Déjà, au lycée, quand mes amies organisaient des soirées j’étais invitée au début puis comme je n’en organisais pas je fus rapidement exclue du groupe. Et je me contentais de les écouter raconter leurs soirées et leurs aventures.

Mon éducation sexuelle fut tardive : j’avais vingt ans lorsque j’ai été déflorée par mon petit ami de l’époque. On était partis en vacance quatre jours ensemble dans le sud-est, près de Cassis. Il avait un an de moins que moi et même s’il était beaucoup plus extraverti ce n’était ni un apollon ni un étalon. Je suis restée, que je me souvienne, avec lui un an et demi. Nos rendez-vous étaient des plus espacés et nos ébats se limitaient au premier chapitre du kama-sutra. J’ai eu deux autres aventures ensuite, sans rencontrer ni l’âme sœur ni l’extase au lit.

Pierre, pendant ce temps, lisait et relisait ma lettre :

Pierre,

Suite à la lettre reçue le XXX et à nos discussions deux jours après, j’accepte de rejoindre le groupe SPARTE et j’en accepte les règles.

Vous pouvez me joindre au 05XXXXX en dehors des heures de bureau.

Salutations,

Aline.

Je ne revis Pierre que deux semaines plus tard. Un soir, sur le parking, je me précipitai sur lui pour lui parler. Il me répondit sèchement.

— Aline, je ne décide pas. J’ai transmis ta lettre, c’est tout. Tu es bien impatiente. Cela te manque ? Si tu n’as pas reçu de réponse, eh bien tu attends.

— Euh… non, désolée. D’accord !

— Bien. Alors, retourne bosser, moi j’ai du travail.

J’avoue que plus le temps passait plus j’ouvrais ma boite aux lettres avec cette envie d’en savoir plus, mêlée d’angoisse. Où avais-je mis les pieds ? J’ai enfin reçu cette lettre, une enveloppe de couleur beige, SPARTE en lettres noires en haut à droite, un vendredi.

Aline,

Suite aux recommandations de Pierre, vous avez accepté de faire partie de notre groupe. Nous vous en félicitons. Vous y entrerez au premier niveau. Nous tenons à vous dire qu’au sein de notre groupe la sélection est très rigoureuse pour atteindre des rangs plus élevés. Cependant, l’émulation est intense et vous serez bien encadrée. Nous serons très heureux de vous rencontrer pour un premier rendez-vous le samedi 2 juillet à 9 heures à notre adresse.

Sincèrement,

Le Directeur-Adjoint

                Alain M.
Par Hétaire - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 06:40
Le cabinet 11.100.34. Avocats Associés, en collaboration avec La Cantine, a organisé un débat sur le thème du projet de loi HADOPI le jeudi 16 octobre 2008. Les vidéos du débat sont disponibles sur Dailymotion : http://www.dailymotion.com.

Le projet de loi Hadopi a pour objet de mettre en place une riposte graduée contre le téléchargement illégal et de créer un fichier national des contrevenants, sous la responsabilité d’une nouvelle autorité administrative indépendante dénommée Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (HADOPI).



Ainsi, deux grandes innovations par rapport à l’état de notre droit actuel s’en dégagent : - une nouvelle sanction contre le téléchargement illégal serait créée : la suspension administrative de l’accès internet de 1 mois à 1 an, laquelle viendrait s’ajouter aux sanctions pénales déjà existantes. Nous l’aborderons dans cette étude et - un nouveau fichier national nominatif serait institué, relatif aux personnes poursuivies par l’Hadopi pour téléchargement illégal et qui auraient été sanctionnées par la coupure de leur accès internet.

A voir sans hésiter, un procès avec de bon arguments de part et d’autre. Un bon point de départ pour une découverte de la loi et ce qui pourrait changer rapidement.


Plus d'info sur : http://11-100-34.com/
Par Pierre - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 07:46
An armed conflict between nations horrifies us. But the economic war is no better than an armed conflict. This is like a surgical operation. An economic war is prolonged torture. And its ravages are no less terrible than those depicted in the literature on war properly so-called. We think nothing of the other because we are used to its deadly effects.[...] The movement against war is sound. I pray for its success. But I cannot help the gnawing fear that the movement will fail, if it does not touch the root of all evil– man's greed.

M. K. Gandhi
Par Lucie - Publié dans : La revue de presse
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 10:47
Par Aline - Publié dans : Sortir
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Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 13:19
Julia n’a pas perdu de temps non plus et Marie-Claude ressemble plus à un arbre de Noël qu’à la jeune fille au pair qu’elle était quelques jours auparavant. Julia s’est montrée particulièrement inventive.

Tout d’abord tous les orifices naturels de la douce Marie-Claude sont obstrués par des bougies allumées dont la taille est légèrement supérieure à ces orifices source de tant de plaisirs. L’ensemble est quand même du meilleur effet et Julia a éteint la lumière du garage pour mieux en profiter. A noter également que le bas-ventre de Marie-Claude a été largement épilé et seule une touffe a été laissée comme souvenir, au sommet du pubis. Une guirlande argentée est accroché aux seins de Marie-Claude par le biais de deux pinces à linge qui enserrent les tétons et le moindre de ses mouvements envoi une décharge de douleur ou de plaisir dans son vagin, elle ne sait plus.
Les deux extrémités de la guirlande remontent le long de ses bras en s’entourant autour d’eux et sont finalement fixés sur chacun des petits doigts par des pinces à linge également. Pour le bas de son corps c’est la même chose en partant des orteils mais cette fois la guirlande est accrochée aux petites lèvres de son vagin écartelé par la bougie. Diverses étoiles ou paillettes sont collées sur son corps pour en agrémenter la couleur un peu rougeâtre par endroits. Par ailleurs des guirlandes sont accrochées à ses cheveux par des pinces à linge également.

- Voilà ma toute belle, j’ai fini ma décoration et ma foi, tu ressemble assez à un sapin de Noël ou plutôt à un gâteau d’anniversaire ce qui est logique puisque tu es le cadeau d’anniversaire d’Harry. Dommage que vous ayez cherché à vous enfuir car la fête aurait été douce et charmante à quatre. Maintenant elle va être violente et forte entre Harry et toi et celui qui gagnera sera le maître absolu de l’autre.


Marie-Claude a écouté ce discours sans bouger ce qui n’est pas difficile puisque chaque fois qu’elle bouge elle ressent une douleur. Mais elle est inquiète, elle n’est pas sûre de gagner et d’ailleurs si elle gagne que fera t-elle d’Harry ? Et si elle perd que deviendra t elle entre les mains d’Harry et sans doute celles de Julia ?

Toutes ces questions sont sans réponses et, ma foi, le seul partie qu’elle peut prendre c’est celui du plaisir à prendre, à donner, peu importe mais avoir du plaisir. Et comme elle est jeune elle arrivera bien à le vaincre ce vieux cochon d’Harry, lui qui a une si belle queue et qui s’en sert si bien.

Elle sent son vagin dilaté se mouiller d’avance et cela la rassure quant à ses capacités à remporter la joute qui se prépare. Elle est sure de tenir le coup et de vider les couilles d’Harry dix fois s’il le faut mais jamais elle ne cédera.
Ce discours qu’elle est la seule à entendre et pour cause, lui remonte le moral et c’est avec une vision très optimiste de la suite des évènements qu’elle laisse Julia lui détacher les mains du plafond pour les retrouver, une autour de la bougie qui s’enfonce dans son vagin et l’autre autour de la bougie qui la sodomise. Julia lui intime l’ordre d’avancer avec pour consigne de se branler doucement. Les 3 bougies sont allumées et elle avance devant Julia pour retrouver l’autre duo et voir ce que Joana a concocté pour son plaisir à elle.

La montée de l’escalier est lente et un peu de cire chaude tombe sur ses orteils ce qui la fait sursauter.

-Du calme belle jeune fille, ce n’est pas le moment de jouir, gardes des forces tu va en avoir besoin.

Julia s’est trompée sur les raisons qui ont fait sursauter Marie-Claude mais cela, dans le fond, n’a aucune importance.

-Voilà, arrêtes toi là, je vais voir où ils en sont.

Marie-Claude s’est arrêtée. Elle s’appuie contre le mur car ses jambes sont un peu ankylosées suite à la séance du garage. Etre attachée les bras en l’air et les cuisses largement écartées pendant près de trois quart d’heure c’est fatigant, même quand on est jeune.

Elle entend Julia exprimer sa surprise car elle vient de découvrir ce que Joana a fait d’Harry.

-Eh bien ça alors, tu en as fait un phénomène de foire avec ce sexe au garde à vous et qui à l’air si appétissant. J’ai eu une bonne idée en préparant Marie-Claude comme je l’ai fait, elle en profitera mieux.

Julia caresse doucement Harry sur tout son corps en s’attardant autour de son sexe mais sans y toucher vu son maquillage ! Elle l’embrasse gentiment en lui souhaitant un bon anniversaire et en l’entraînant vers leur chambre. Là elle le positionne face à la grande glace et Harry peu admirer son déguisement et surtout le légume qui a pris possession de son cul. Finalement il s’y est adapté et Joana a peut-être raison quand elle dit que c’est une source de plaisir supplémentaire quand on joui. A voir dans quelques instants.

Joana s’est approchée de lui avec un bandeau et le lui attache sur les yeux.

-Ne t’inquiètes pas c’est pour augmenter ta surprise tout à l’heure. Marie-Claude va arriver et tu vas pouvoir en disposer à ton aise. Alors encore un peu de patience.
Ca y es Julia tu peux amener Marie-Claude, Harry est fin prêt.

-OK j’arrive. Allez avance ma belle pouliche, ton étalon t’attend de queue ferme et crois moi tu as intérêt à assurer car lui il est en sur régime.

A petit pas et toujours en tenant ses deux bougies Marie-Claude avance vers la chambre et découvre Harry avec sa queue énorme couverte d’une substance collante et légèrement rougeâtre. Elle prend peur, qu’est ce que cela peut bien être ? Elle ne veut pas être droguée et ses bonnes résolutions de tout à l’heure commencent à tomber en morceaux. Les deux femmes ont l’intention de lui jouer un bon tour et elle perd toute sa belle assurance.

-Allez avance et viens te placer devant la glace de façon que Harry te voie de tous les cotés en même temps. Allez ne reste pas plantée devant la queue d’Harry, quand elle va te prendre tu sauras vite pourquoi elle a cet aspect.

Interloquée, inquiète Marie-Claude s’est avancée jusqu’à la glace et s’est placée de trois quart. Placé où il est Harry a une vue sur toute son anatomie et les bougies allumées.

-Vas-y Joana, c’est le moment.

Les deux femmes entonnent le Joyeux anniversaire de la chanson et Joana dénoue le bandeau qui lui cachait la vue de Marie-Claude.

-Ohhhh que c’est jolie, un vrai sapin de Noël, vous êtes des salopes toutes les deux mais là, je dois reconnaître que ça me fait plaisir. C’est pour moi que vous l’avez préparée comme cela ?

-Oui mon Harry, elle est toute à toi, tu peux en disposer à ta guise aussi longtemps que tu pourras. Mais attention, il s’agit d’une compétition entre vous deux ; celui ou celle qui criera grâce le premier ou qui s’écroulera en abandonnant aura perdu.

- Et alors demande Harry ?

- Eh bien, c’est très simple, le premier de vous deux qui arrête pour une raison quelconque a perdu. De ce fait il devient la propriété de l’autre, son esclave et devra assouvir tous ses désirs pendant 1 an. Ou du moins jusqu’à son prochain anniversaire.

Marie-Claude a vite fait le calcul, pour Harry c’est dans 1 an , pour elle c’est dans 8 mois. Finalement elle trouve qu’elle a plus de chance que Harry et elle en sourie doucement.

- Mais assez rigolé maintenant, Harry c’est ton anniversaire, c’est donc à toi de commencer la joute.

Harry s’approche doucement de Marie-Claude et souffle les bougies une par une. Puis il retire la bougie qui viole le vagin de Marie-Claude et laisse les deux autres en place. Il prend la main laissée libre par la suppression de la bougie et entraîne doucement Marie-Claude vers le lit.

- Voilà, maintenant tu monte doucement sur le lit et tu te mets à quatre pattes le cul en bordure de lit que je puisse te prendre en restant sur mes deux jambes.

Marie-Claude s’exécute et elle reste en équilibre un peu instable car elle n’a qu’une main de libre pour se maintenir. Les deux femmes regardent les préparatifs avec attention et amusement.

Harry s’est placé derrière Marie-Claude et il la pénètre fermement jusqu’au plus profond de son vagin. Marie-Claude l’absorbe sans difficulté car la bougie a bien préparé le chemin mais elle est très vite surprise par la sensation de chaleur voire de brûlure qui envahi son bas-ventre. Elle voudrait crier, demander à Harry de la défoncer pour calmer cette sensation mais la bougie l’empêche de parler et seuls des borborygmes sortent de sa gorge.

Harry est parfaitement maître de la situation et il ressort du vagin de Marie-Claude après y avoir mis le feu. Il a parfaitement assimilé le rôle des épices sur le vagin de Marie-Claude et il va le tester sur les autres orifices de sa victime.

Maintenant il grimpe sur le lit et, se plaçant face à la bouche de Marie-Claude, il retire la bougie pour la remplacer par sa verge triomphante avant que sa victime ait eu le temps de se décontracter la mâchoire. Sa verge pénètre aussi sans difficulté dans la bouche offerte et s’enfonce sans merci jusqu’au bout. Marie-Claude veut se reculer mais Harry l’a attrapé par les cheveux et la force à tout avaler. Puis toujours en maintenant la tête de Marie-Claude par ses cheveux il imprime un mouvement de va et vient et la bouche de Marie-Claude prend feu à son tour. L’effet des épices ne se fait sentir que progressivement à cause de l’enrobage dans le miel. Mais il est bien et bel là et Marie-Claude sent monter en elle des désirs inconnus jusqu’alors. Harry s’en moque et continu son jeu pendant quelques minutes encore, puis il se retire.

Les lèvres et la bouche de Marie-Claude sont un peu plus rouge que la moyenne et Marie-Claude a très soif de sperme, d’alcool, d’eau, n’importe quoi mais du liquide pour calmer ce feu.

Harry est revenu derrière Marie-Claude et il sort la dernière bougie qui était largement enfoncée dans son cul. Là il recommence la même opération qu’avec le vagin et la bouche et il s’enfonce au plus profond de l’intimité de Marie-Claude sans s’occuper de ses soupirs. Il badigeonne l’intérieur du cul de Marie-Claude avec ce mélange miel- épices qui semble faire merveille. Le résultat au bout de quelques minutes est identique à celui obtenu avec les autres orifices et Marie-Claude est maintenant en feu de tous ses orifices. Il faut qu’elle soit pénétrée, enculée, violée de tous les cotés pour arriver à calmer ce feu qui brûle ses muqueuses et Harry ne semble pas se décider. Du coup elle l’insulte.

- Alors vieux porc tu te décides à me baiser, nous allons voir si ta queue tient le coup, allez viens. Prends-moi, comme tu veux, le cul, le vagin, la bouche ? C’est quoi ton tiercé dans l’ordre ? Allez c’est quand tu veux !

Joana et Julia regarde en s’amusant beaucoup les deux amants se disputer. De son coté Harry commence à sentir aussi les effets du délicieux mélange et sa queue est aussi en feu, alors dans un rugissement de lion amoureux il se précipite sur Marie-Claude et la pénètre violemment sans se préoccuper de la jeune fille. Sous l’assaut elle s’est cabré en poussant un hurlement plus de peur que de douleur et rapidement elle se met à l’unisson de son cavalier et profite pleinement du sexe turgescent.

-Vas y vieille carne, tu peux y aller, jamais tu n’arriveras à me satisfaire, plus vite, ouiiiiii ça devient bon, encore, encore bourres moi. C’est… bon… encor…ouiiii Ahhhhh que c’est bon. Tu peux jouir mon Harry je te viderais les couilles tu verras. Ouiii, voilà enfin un peu de liquide.

Harry dans un  hoquet de plaisir a senti jaillir son sperme dans le vagin de Marie-Claude et cela détend un peu son érection mais ce n’est pas suffisant pour le calmer et il continu à bourrer Marie-Claude qui commence sérieusement à bander.
 

-C’est bon mon Harry mais il m’en faut davantage pour me faire jouir avec ta queue, alors va plus vite, oui comme cela ne t’arrêtes plus maintenant.. ;je..sens que… ça vient, ouiii encore mon trésor encore plus loin ouiii, oui oui Ahhhhh je jouis de ta queue, elle est bonne encore, j’en veux encore, bourres moi, ne t’arrêtes pas, tu m’as mis le feu partout, salaud, encore encore, encore ouiiiiiiique c’est bon Ahh Ahh oui je t’aime Harry quand tu me baises comme ça.

Marie-Claude veux se sauver pour reprendre son souffle mais Harry la tient fermement soudée à sa verge qui en demande encore. Il reprend lentement son labourage et Marie-Claude est obligée de s’y soumettre. Ce n’est pas que ça lui déplaise mais 5mn de repos ferait du bien.

Joana s’est approchée du couple et saisissant une des bougies elle cherche le cul de Marie-Claude et enfonce la bougie d’un coup sec ce qui fait bondir Marie-Claude mais sans toutefois qu’elle puisse se dégager.

-Aie ! tu m’as fait mal Joana, je croyais que ce n’était qu’un combat entre Harry et moi.

-Oui peut-être mais c’est Julia et moi qui en fixons les règles et, nous venons de les changer. Désormais nous sommes à trois contre toi et on va voir.

Pendant ce discours, Julia est montée sur le lit et a placé son sexe sous la bouche de Marie-Claude. D’une main ferme, Joana s’empare de la tête de Marie-Claude et la plaque sur le sexe de Julia.

-Et maintenant tu la suces sans t’arrêter sinon gare.

Marie-Claude est bien forcée de s’exécuter et elle titille le clitoris de Julia qui s’en montre très vite ravie. De son coté Joana s’est mise à branler le cul de Marie-Claude avec la bougie l’enfonçant chaque fois un peu plus et en cherchant à branler la queue d’Harry à travers la cloison anale. De son autre main elle tient le légume qui encule Harry et commence à le faire aller et venir. D'abord surpris de cette sodomie végétale, Harry en apprécie l’étrangeté et synchronise ses coups de queue avec les va et vient du légume. Rapidement il sent monter en lui des frissons annonciateurs d’un orgasme suprême. Sa respiration se fait haletante, ses coups de queue ont du mal à garder le rythme. Alors Joana ralenti un peu pour lui laisser le temps de se reprendre, puis après une ou deux minutes elle recommence et cette fois Harry s’emballe ; il crie de plaisir, il défonce Marie-Claude qui gémie mais n’ose pas abandonner le vagin de Julia pour s’abandonner à son plaisir. Mais c’est Harry qui une fois de plus part dans une folle jouissance qui le tord des pieds à la tête et lui fait enfoncer ses doigts dans les hanches de sa cavalière qui veut échapper à cette folle étreinte mais ne peut pas. Harry la tient, Harry la défonce et elle aime ça.

-Vas y mon gros, oui regarde je suce ta femme et tu me baises, c’est beau la famille, ouiiii défonces moi, encore ouiiii, Ah que c’est bon.

Le cri de jouissance d’Harry la surprend mais elle apprécie les jets de sperme qui coulent en elle et atténuent ainsi la brûlure de ses muqueuses.

-C’est bien mon chéri, maintenant je peux baiser ta femme, tu es vide, tu ne vaux plus rien mon pauvre, attends que je la fasse jouir et tu vas devenir mon esclave.
Ah les mecs, des couilles qui se vide en 5 minutes et pas capable de faire jouir une nana.

Mais Joana qui n’a pas apprécié les paroles de Marie-Claude, a arraché le légume enculeur et l’enfonce directement dans le vagin de Marie-Claude qui se trouve maintenant prise par derrière par ses deux orifices distendus. Joana est une experte et elle joue à merveille de ses deux godemichés. Elle alterne les mouvements, les fait se frotter à travers la cloison anale, appuie tantôt sur l’un tantôt sur l’autre.

Rapidement Marie-Claude est prise par le plaisir et Julia qui veut sa part aussi la maintien sur son vagin car les épices y ont mis le feu. Marie-Claude ne sait plus très bien où elle en est, sa langue s’agite frénétiquement sur le sexe de Julia qui joui brutalement en poussant des petits cris.

-Meerci ma douce, ouiii encore ta langue, toi tu sais sucer, c’est pas comme Harry ; oui ahhh que c’est bon ahhhh, ahh ouiiiiiiiii encore c’est merveilleux.

Son corps est secoué de spasmes qui s’espacent jusqu’à s’apaiser complètement.

Maintenant seule Joana joue avec Marie-Claude et elle n’a pas l’intention de céder devant cette gamine. Elle reprend sa masturbation alternée tout en demandant à Julia de réanimer Harry.

-Suces le doucement en lui massant les couilles ; il faut qu’il reprenne vie. Je m’occupe d’elle et crois moi qu’elle ne sera pas fière dans quelques minutes.



Effectivement plus les minutes passent, plus Marie-Claude sent monter en elle une vague de plaisir que cette branlette double exacerbe au plus au point. Tout cela est conjugué avec l’effet des épices qui ont pénétré toutes ses muqueuses et la rende folle.

-Vas-y Joana je t’en prie fait moi jouir, je meurs ; laisses moi me branler.

-Non pas question, attends que Harry reprenne des forces et je te réserve une petite surprise.

Mais Marie-Claude d’un seul coup elle aussi part dans un orgasme gigantesque qui la fait hurler de plaisir.

-OUIIIIIIIIIIiiiiiiiii, AAAAAAAAAhhh  que…… ;c’est….bon AAAAaaahhhhh oui c’est merveilleux oui encore branles moi encore encore. Elle rue elle danse se roule parterre en se branlant furieusement et en échappant complètement au contrôle de Joana.

Elle reste un long moment allongée sur le tapis en reprenant son souffle tout en se caressant le clitoris car son désir qui se mêle aux brûlures des épices, n’est pas terminé, elle en demande encore et encore.

De son coté Harry commence à reprendre des formes et il lorgne du coté de Marie-Claude toujours allongée sur le tapis.

Joana a bien compris et d’un geste tendre elle s’empare du sexe d’Harry et l’avale à son tour. Ce changement de partenaire a le don de réveiller le sexe d’Harry qui reprend une dimension tout à fait efficace.

-Voilà ; tu es de nouveau d’attaque, gardes le au chaud mon amour, je vais réveiller Marie-Claude. La joute n’est pas finie.

Joana s’est approchée de Marie-Claude et doucement la relève pour la prendre dans ses bras, tendrement et elle l’embrasse du bout des lèvres. Puis sa langue se fait de plus en plus dure et prend possession de la bouche épicée. Cela a le don de l’exciter aussi et bientôt leurs baisers son de plus en plus fougueux. Leurs langues se mélange et le plaisir les reprend. Marie-Claude est de nouveau prête et Joana lui ordonne de remonter sur le lit pour se mettre à quatre pattes, les cuisses largement écartées.

Puis elle fait monter Harry sur le lit derrière Marie-Claude.

- Vas y encules la, elle est ouverte ça ne devrait pas poser de problème.

Effectivement, Harry s’enfonce dans le cul de Marie-Claude facilement et commence à aller et venir doucement.

Joana s’est glissée sous Marie-Claude pour que sa bouche atteigne le clitoris turgescent de Marie-Claude. Elle commence à le titiller en soufflant dessus puis par des petits coups de langue précis elle le fait mouiller de plus en plus.

Julia a placé son vagin près de celui de Joana en mettant ses jambes en ciseau avec celle de Joana. Elle prend la tête de Marie-Claude dans sa main et la fait aller et venir sur les deux sexes largement offerts.

La ronde commence et bientôt les quatre partenaires sont à l’unisson. La chambre est remplie de gémissements, de soupirs, et la première à jouir est Joana. Il faut dire qu’elle avait un certain retard par rapport aux trois autres.

Son orgasme ne l’empêche pas de continuer à titiller le sexe de Marie-Claude qui la suit de peu dans le plaisir ce qui provoque une accélération des coups de queue d’Harry qui joui de trois malheureuses gouttes de sperme mais parcouru par un frisson de la tête au pied.

Julia arrive après les autres mais sans rien leur envier.

La lutte a duré plus d’une heure mais nul ne sait réellement combien de temps. Marie-Claude a été baisée de tous les cotés par les trois acolytes. Ses orgasmes ont été multiples mais elle a quand même réussi à vider complètement les couilles d’Harry qui s’est écroulé sur le coté du lit, vidé, un tout petit sexe recroquevillé entre les cuisses. Par contre Joana et Julia ont été très résistantes et c’est Marie-Claude qui a été vaincu à la fin. Le sexe et le cul épuisés, la bouche endolorie à force d’avoir sucé les deux femmes, elle est entrée au bout du compte dans un état second, sans réaction aux différentes sollicitations dont elle a été l’objet des heures durant. Julia et Joana ont fini par l’abandonner pour s’occuper l’une de l’autre sans se soucier des deux autres. Leurs orgasmes ont envahie l’espace de la chambre sous les regards apathiques d’Harry et de Marie-Claude. Tout le monde a fini par s’endormir d’un sommeil si profond que rien ne pouvait le perturber.
Par Christian - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 12:37

Un idée de sortie culturelle et thématique pour la rentrée de janvier.

Son dernier livre avait déjà un titre étrangement naïf : "Comment les riches détruisent la planète". Avec cet ouvrage, Hervé Kempf, très sérieux journaliste au Monde, spécialiste des questions d'environnement, a été convié à d'innombrables débats aux quatre coins du pays, preuve que cette question faisait écho. Le livre qu'il publie aujourd'hui tente de répondre à la question qui lui a été posée inlassablement : " que faire ?" Avec cette fois encore un titre faussement naïf pour un livre qui ne l'est pas.

Avec Hervé Kempf , auteur de : "Pour sauver la planète, sortez du capitalisme" (Seuil)

Phyto Bar - 47 Bd St Germain 75005 Paris - MERCREDI 07 janvier 2009, de 19h00 à 20h30
Tel : 01 44 07 36 99
(Entrée dans la limite des places disponibles)

Par Aline - Publié dans : Sortir
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