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Mardi 17 mai 2 17 /05 /Mai 15:03

A voir

l'apollonide

Par Claire - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 8 mai 7 08 /05 /Mai 05:17

 1er septembre 2001. Elliot, agent secret américain possèdent une information capitale pour l'avenir du monde... Il a disparu. Sa fille Orlando, qu'il a abandonnée dix ans auparavant, Irène, un agent secret français avec qui il a travaillé, et David, son fils adoptif, vont tout faire pour le retrouver. Mais ils ne sont pas seuls.


Les différents personnages se retrouvent à Venise pour s'entrecroiser dans une ambiance sulfureuse ou règne un sentiment pré-apocalyptique.

 

  Quelques Jours en Septembre Sara Forestier

 

Vous me direz c’est un film d’espion classique rien de neuf. Eh bien ! vous avez tort ce film se regarde différemment.

 

On sent un amour des mots de la part du réalisateur, on a l’impression de lire un bon livre. On passe de Paris a Venise doucement comme le ferait de vrai personnage. Une histoire de famille ou la politique, l’espionnage est présente comme trame de fond.

Coté personnage, : Juliette Binoche alias Irène Montano. espionne sévère à lunettes, fumant le cigare, nettoyant minutieusement son pistolet tous les jours. Ce chef d'orchestre mène son monde à la baguette, se joue du tueur qui s'est lancé à ses trousses avec une ironie et une maestria réjouissante, passe du rendez-vous clandestin à l'éclat de rire, fantasme sur l'anatomie d'un jeunot, accumule les répliques cinglantes et enjouées. La fille d’Elliot, Orlando jouée par Sara Forestier apporte une touche d’espièglerie à ce groupe de personnage. Elle en veut à son père, presque une obsession avec laquelle elle saura jouer.

Quant à John Turturro il est très bien en agent tueur même si un peu excessif sur ces maux psychiatriques !
Elliot lui a disparu mais il finira par réapparaître (c'est Nick Nolte). C'est un espion qui joue double jeu et agent trouble de la CIA mouillé dans diverse combines.

Pour résumer, premier long métrage de Santiago Amigorena, scénariste chevronné et écrivain émérite convoque Homère, fait le pied de nez au masculin/féminin, comme au tabou de l'inceste. On y déguste l’espionnage, la famille et la politique à son rythme  comme un bon plat italien sans être happé dans une course poursuite ou des fusillades.

Par Aude - Publié dans : Films and zik !!
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Vendredi 29 avril 5 29 /04 /Avr 09:43

En ce jour de mariage entre Ken et Barbie un petit post d'outre manche. Un peu de contexte tout d'abord, Doctor Who, cela vous dit quelque chose? J'en doute. ...; Non toujours pas ?

Alors Doctor Who est une série télévisée britannique de science-fiction qui a débutée en 1963 et se poursuit toujours. Bien sur ce ne sont pas les mêmes personnages mais la trame reste la même.

Donc ce docteur originaire de la planète Gallifrey, il voyage dans le temps et dans l'espace accompagné d'assistants la plupart du temps humain. Sa machine à voyager dans le temps est une cabine téléphonique typiquement britannique et kitch. Vous allez me dire c'est n'importe quoi ?
Oui je vous l'accorde mais c'est assez intéressant, les scénaristes ont des idées originales et souvent intéressantes.

 

  amy pond karen gillan-1

 

Tout d’abord, petite introduction pour vous parler d'Amy pond l'amie du Docteur Who. Elle apparaît dans la saison 5 de Doctor Who en 2010 après une apparition confidentielle dans un épisode en 2008.

Amy est pour le docteur Who une compagne efficace mais très indépendante. Amie certes mais elle n'hésite jamais à faire des critiques ou à désobéir au Docteur, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Amy en tout cas apporte une touche sexy à la série qui a été jusqu'à présent une série familiale sage pour la BBC. Elle fut remarquée pour les jupes très courtes de son uniforme de police (Le Prisonnier zéro). Ce qui fit scandale lors du premier épisode. A propos de cet uniforme Amy dit au Docteur que "c'était ça ou un costume de soubrette". Le ton est donné.

 

amy pond karen gillan-2

 

Proche du Docteur, elle l'embrasse parfois le Docteur mais elle lui annonce aussi qu'elle n'a pas spécialement envie de quelque chose sur le long terme. Elle décrie l'homme avec qui elle va se marier Rory comme un second choix mais ne succombe pas non plus aux charme du Docteur. En tout cas elle donne du piment à l'histoire et rajeunie le casting.

Par C&M - Publié dans : Sortir
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Lundi 25 avril 1 25 /04 /Avr 09:14

 

Hier Soir en écoutant Place de la Toile affalée sur mon canapé,  Luis de Miranda, dis : «Je suis assez banal et j'aimerai qu'il m'arrive des choses plus palpitantes chaque jour ..... Le temps c'est pas de l'argent! ...Tous va trop vite. ...»  Une intro géniale pour une chanson intéressante, quelques secondes de bonheur dans cette émission agréable. 

 

  keny arkana

Keny Arkana Published by samara2210

 

Keny Arkana, Elle est née le 20 décembre 1982. Marseillaise, originaire d'Argentine, elle vit une enfance tumultueuse, placée dans de nombreux foyers desquels elle fugue à plusieurs reprises. Keny Arkana commence à rapper ses premiers textes à l'âge de 12 ans. En 1996 Elle se fait connaître dans l'underground. Elle est solo depuis 2003. Elle refuse les étiquettes et se définie comme impossible à encarter.

 

 Keny Arkana sort son premier album en octobre 2006 sous le titre de Entre ciment et belle étoile, chez Because Music

 En septembre 2007 elle se produit en pleine rue dans le quartier populaire des Pâquis à Genève en Suisse. Même si cela n'est pas sans lui causer quelques problèmes avec la maréchaussée.



Enfin si vous ne connaissez pas et si vous avez 5 minutes ecoutez... http://www.keny-arkana.com

 

Alors va où ton coeur te porte... camarade...

 

Par Aline - Publié dans : Films and zik !!
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Vendredi 5 mars 5 05 /03 /Mars 06:53
Je suis chaude et luxurieuse comme Messaline et peut-être plus amoureuse encore, s’il est possible, que cette célèbre Romaine.

Je baise et jouis jusqu’à extinction de force et, de même encore que Messaline, lorsque trente ou quarante hommes m’ont passé sur le corps, je suis exténuée, sans doute, mais je ne suis pas rassasiée ; lorsque réduite, esquintée, anéantie et noyée dans le sperme, je n’ai plus la force de jouir, mon con brûlant demande toujours et plus que jamais un membre viril. C’est même à ce moment que l’envie de faire ça est plus impérieuse et il me semble que cent décharges successives ne me feraient pas broncher ni reculer.

On dira peut-être qu’obéissant à de vains sentiments de vantardise, j’exagère ici mes facultés amoureuses, hé ! bien non, il n’en est rien ; je ne dis que l’exacte vérité et comme preuve de mon dire je vais raconter un de mes exploits amoureux dans tous ses détails, et l’on verra par ce récit combien j’ai raison de me dire une bonne baiseuse.

Il y a de cela quelques années déjà ; j’avais alors dix-sept ou dix-huit ans. J’habitais encore avec ma mère que j’ai dû quitter depuis, pour me livrer sans contrainte à ma lubrique passion. Malgré mon jeune âge, aucun homme, tout robuste eût-il été, n’aurait pu se vanter de me satisfaire et c’est, je le répète, lorsqu’il était entièrement vidé que la rage luxurieuse me prenait avec la plus grande violence ; j’aurais ainsi épuisé vingt hommes l’un après l’autre.

Extrait : Orgie soldatesque ou La Messaline moderne, Au Champ de Mars, 1893.
Par Aline - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 14:40
Par Luc - Publié dans : Sortir
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 08:40
Fast Food Nation, voilà un film qui devrait avoir une petite place chez vous ou tout du moins dans votre cerveau.

Adapté d’un livre d’Eric Schlosser ce film présente au travers de quelques portraits croisés l’industrie de la restauration rapide. Rien à voir avec un Michael Moore ou autre critique filmée, c’est un vrai film une histoire, des lieux et des personnages. Certes ceux ci sont imaginaires mais qui à vécu aux Etats-Unis n’aura aucun mal à se souvenir de situations vécues pour y accrocher cette histoire.



La chaîne de Fast Food dont le film parle est Mickey's fast food qui a un problème une étude universitaire indépendante aurait détecté des lots avarié dans la viande servant à la confection du Big One le produit phare de Mickey's fast food.

Un cadre (Greg Kinnear) part enquêter dans l'Etat fermier du Colorado. A l'issue de son investigation, il n'aura rien vu du monde précaire qui entoure la tentaculaire industrie de la viande. Même s’il s’efforce de découvrir ce qu’on ne veux pas lui montrer. En parallèle, le film présente la vie des ouvriers exploités et sous-payés de l’entreprise de transformation alimentaire autour de laquelle tourne le film.



Les acteurs sont excellents y compris les rôles secondaires souvent à contre emploi. Plus on avance dans l’histoire plus on prend conscience de la causticité du film et de la réflexion sur la société de consommation qu’il engage. Certains diront que ce n’est pas le meilleur film de l’histoire ce avec lequel je suis d’accord cependant, ne pas le voir serait manquer une gifle salutaire. Réveillez vous.

pour aller Plus loin: Le livre
Fast Food Nation d' Eric Schlosser (Auteur), Geneviève Brzustowski (Traduction)
Editeur : Editions Autrement (19 octobre 2006)
Collection : Frontières
ISBN-13: 978-2746709041

Par Lucie - Publié dans : Films and zik !!
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Dimanche 22 mars 7 22 /03 /Mars 09:11

Bon, j’avoue que je n’ai pas trop bien dormi cette semaine-là. Mais je suis allée au rendez-vous à l’heure dite et j’ai appuyé sur ce petit bouton blanc à côté duquel était écrit SPARTE D. P.

— Bonjour, que puis-je pour vous ?

— J’ai rendez-vous ce matin à neuf heures. Un certain Alain.

— Qui êtes-vous, madame ?

— Aline Arnault.

— Entrez. Monsieur Alain arrive.

J’entrai. C’était un joli immeuble de bureaux, avec une petite cour centrale. Alain, enfin Monsieur Alain, est arrivé, toujours tiré à quatre épingles.

— Bonjour, Je suis très heureux de vous rencontrer, Aline.

— Euh, bonjour. De même. Ça va ?

— Oui, Aline, je vais bien. Et vous-même ?

— Oui, répondis-je d’une voix trahissant une certaine timidité. Je n’étais pas dans mon monde.

— Veuillez me suivre.

Il m’a emmenée dans une petite salle et m’a montrée une table.

— Aline, je vais vous demander de remplir ce questionnaire. Soyez honnête, ne trichez pas. Les questions sont personnelles mais cela devrait nous aider pour la suite. Mon bureau est derrière cette porte. Lorsque vous aurez fini, frappez, on continuera dans mon bureau.

Après quelques pages de questions très classiques, cela devenait plus direct, particulièrement concernant ma vie personnelle. Je tournai rapidement les pages du gros questionnaire, c’était comme cela pour toutes les questions suivantes. Après avoir hésité, je décidai de finir mes réponses. Après tout, c’était peut être l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes et puis Pierre les connaissait.

Voici quelques exemples de questions :

À quel âge avez vous eu votre premier rapport ?

Avez-vous pratiqué la fellation au cours de ces six derniers mois ? Si Non, expliquez en quelques lignes votre réponse.

Après plus de quarante minutes, j’arrivai au bout et je frappai à la porte du bureau d’Alain.

— Merci, Aline. C’est très bien. Maintenant venez ici, prenez place. Je suis sûr que vous avez plein de questions et je dois vous informer de certains détails de notre association.

— Je ne comprends pas trop pourquoi vous m’avez demandé de remplir tout ce questionnaire.

— Eh bien, chère Aline, c’est pour mieux vous connaître. Vous n’êtes pas sans savoir que nous facilitons les rencontres entre hommes et femmes. Vous semblez intéressée par cela.

— Euh… oui.

— Vous semblez aussi m’avoir vu à l’œuvre ?

— Euh…

— Répondez ! Ne soyez pas timide.

— Oui.

— En effet, comment dire… Nous avons certaines règles de fonctionnement. Vous entrez dans notre organisation au niveau un et ensuite vous progresserez. Vous êtes libre de la quitter à tout moment. Cependant une rupture est définitive. De plus, je vais vous demander de signer ce document qui stipule que vous entrez dans notre organisation de votre plein gré. Mais avant, je dois vous dire que nous avons, comment dire, une vision de la femme différente de certaines personnes. Et que nous appliquons ce que nous pensons être bien pour elles, bien sûr.

Il me regarda, et me tendit un stylo.

— Avez vous bien compris ?

— Oui.

— Sur votre condition ?

— Euh, oui. Enfin non… Je veux dire… Je ne sais pas, dis-je rougissante.

— Pour être clair, Aline, la femme dans notre organisation a un statut inférieur à l’homme, et le statut de débutante est le plus bas. Vous devrez donc nous obéir.

— Euh, d’acc… Enfin oui, je comprends.

— Signez là, mademoiselle… Bien, maintenant cela est fait. Je vais vous faire passer un examen médical. Je suis en effet docteur et je vais m’assurer de votre bonne condition physique. Êtes vous d’accord ?

— Je suis en pleine forme.

— Je n’en doute pas mais je me dois de le faire. Cela fait partie des conditions à remplir pour entrer dans Sparte.

— Eh bien, d’accord.

— Veuillez me suivre.

Nous avons marché jusqu’à un autre bureau. Là, il me demanda de me déshabiller. Je gardai mes sous-vêtements. Il procéda aux examens d’usage et me demanda ensuite de tout retirer. Je n’étais pas très d’accord mais je le fis.

— Aline, vous êtes une très jolie jeune femme. Écartez vos jambes. Merci. Encore. Je vois. Mettez vos mains là. Très bien, vraiment. Très jolis seins !

Je tentai un petit "Euh merci’’ qui le fit sourire. L’examen minutieux dura une bonne dizaine de minutes.

— Vous êtes en bonne forme, je pense que vous allez vous plaire. Avant de vous laisser partir, je vais fixer avec vous nos deux prochains rendez-vous.

Je me rhabillai rapidement.

— Disons samedi prochain huit heures. Ce sera une première je pense pour vous. Je vous tiendrai au courant par e-mail. Et on dit la semaine d’après, vendredi, dix-neuf heures. On verra dans tous les cas comment se passe notre rendez-vous de samedi. Voici les heures des rendez-vous.

Il me tendit une carte.

— Aline, j’espère que vous serez tout aussi excitée la semaine prochaine, dit-il en touchant ses doigts.

J’étais morte de honte.

Une fois chez moi, j’étais aussitôt sous la douche. Eh oui, je me suis masturbée. Oui, j’avais été excitée par ses attouchements à peine voilés. Je savais que cela n’était pas la manière de passer un examen médical. Mais cela ne faisait rien, j’avais accepté.

Le samedi suivant, Alain est venu m’ouvrir et m’a amenée dans son bureau. Il m’a expliqué que je serais une Holite. J’avoue, je n’ai pas tout compris mais ce que j’ai compris c’est que je devais faire ce qu’il me disait sinon je devrais quitter le club. Il m’a fait visiter les lieux un peu plus en détail. Sparte possédait presque tout le bâtiment. Il me montra des salles de réunion, des bureaux et diverses petites salles qu’il me présenta comme étant des salles de travail.

Nous sommes retournés dans son bureau et là il m’a demandé si l’examen de la dernière fois m’avait fait du bien. Je restai d’abord silencieuse, cherchant dans ma tête une réponse qui ne sonnerait pas faux, enfin pas trop.

— Je… enfin, c’était un peu bizarre.

— Bizarre, vous êtes sûre, chère Aline ? J’ai décelé une certaine excitation chez vous. Oui, votre minou laissait transparaître cette excitation. Cela fait longtemps que vous n’aviez pas été touchée par un homme, n’est ce pas ?

— Euh… ui.

— Oui, vous avez mis six mois dans le questionnaire. Cela a dû vous manquer. J’ai étudié vos réponses. Vous ne semblez pas être une spécialiste du sexe moderne, si je peux parler ainsi ?

— Pardon ?

— Oui, côté fellation, cunnilingus, anulingus, sodomie ?

— Oui, en effet, enfin, vous savez, je n’ai pas d’homme dans ma vie en ce moment.

— J’ai bien compris cela. Nous avons ce matin, comment dire, la possibilité de commencer votre éducation, chère Aline. Êtes-vous prête ? Voulez-vous commencer ?

Silence. J’avais la possibilité de refuser ?

— Oui j’accepte.

— Sachez qu’en tant qu’holite, vous allez devoir obéir strictement aux ordres. Ce sera dur, mais délicieux pour vous en fin de compte.

Alain m’ordonna de le suivre jusqu’à une salle du sous-sol dans laquelle il me demanda d’entrer. C’était une petite salle qui possédait un canapé, une table, quelques placards et sur un mur des espaliers, me sembla-t-il. Il me demanda de m’asseoir et d’attendre. Quelques minutes après, il revint accompagné d’un homme qui portait un masque de cuir. J’eus un mouvement de recul. Alain me calma.

— Aline, n’aie pas peur. C’est ton étalon, ton dresseur. Debout !

— Maintenant ?

— Oui, là, tout de suite. Lève-toi.

Le ton de sa voix ne laissait pas place à la discussion.

— Déshabille-toi. Et complètement, cette fois. Je veux te voir nue… Maintenant !

Je me suis décalée dans un coin de la pièce pour me déshabiller. J’avais à peine fini qu’Alain était déjà à côté de moi.

— Regarde comme elle est belle, cette femelle. Aline, tourne-toi. Encore. Regarde-moi. Comme elle est belle, cette jolie touffe noire ! Aline, ce beau mâle, c’est Léo. Il participera à ton dressage.

Léo était habillé classe : chemise blanche, pantalon de toile. Il avait la quarantaine mais était, semblait-il, en pleine forme. Son masque de cuir lui donnait une allure de bourreau.

— Recule un peu, me dit-il.

Il me prit le bras et me fit reculer jusqu’à ce que je sois contre le mur. Il prit mon sein droit d’une main ferme.

— Tu aimes être prise en main, jeune fille. Tu as bien choisi. Tu ne le regretteras pas.

Après avoir joué avec mes seins, les pressant comme des fruits, il retourna dans son bureau et en revint avec un appareil photo.

— Souris, Aline. C’est pour ton book. Ton livre qui retracera ta découverte du plaisir. Retourne-toi. Tu sais que tu nous fais envie, avec tes jolies fesses. Allez, mets-toi à quatre pattes.

— Pardon ? dis-je en regardant Alain, l’air incrédule.

— Oui, Aline. Allez, obéis. Tu ne voudrais pas me décevoir pour ton premier jour.

Lentement, je descendis vers le sol et je vis dans leurs yeux plus que du désir, une perversité que je n’avais jamais vue chez un homme. Et leurs mains furent sur mon dos, mes fesses, mes seins. L’homme au masque commentait :

— Elle est un peu grasse comme femelle mais on en fera quelque chose. Et regarde-moi ces seins. Hummm, comme elle a la peau douce. Sais-tu que tu vas me donner beaucoup de plaisir ? Écarte bien tes jambes.

Je sentais leurs doigts glisser sur mon sexe. Leur travail fit son effet. Léo usa de son pouce et de son index pour entrouvrir les lèvres de ma vulve. Alain me tenait par les cheveux, maintenant ainsi ma tête en arrière. Ses yeux brillaient.

— Léo ? Elle est mûre ?

— Oh oui, c’est bon, elle est en chaleur, cette truie. C’est vrai que vu son dossier elle en avait envie. Vas-y, fais-lui goûter son jus.

Léo présenta ses mains.

— Lèche, hilote, ordonna-t-il. Lèche ton jus.

J’ouvris la bouche, il engouffra un doigt, puis deux. Je léchais sans savoir, sans penser… Il retira sa main, ouvrit son pantalon et sortit son sexe. Cette bite était dure et raide. Alain me redressa, il me tenait le cou et les bras. Léo me regardait à travers son masque. J’étais à genoux et il me tenait la tête. Il me prit la bouche, il n’y a pas d’autres mots. Je ne respirais plus, je haletais.

Alain me libéra de son étreinte et me poussa pour que je reprenne ma position. Je n’eus pas le temps de me retourner avant sentir la prise ferme de Léo sur mes fesses. Oui, il venait de me prendre sans capote. Il était parvenu à me pénétrer d’un seul coup sans difficulté. J’essayais d’avancer mais sa prise était forte. Il tenait fermement mes hanches trempées de sueur. Ses coups de butoir étaient masculins, un taureau.

Huumm, Wouuw, Muuuuhhm, la pièce ne résonnait plus que de ces bruits.

Il me pilonna avec vigueur, me faisant jouir et atteindre l’orgasme. Extase non contrôlée. Je sentais ses violents coups de butoir contre mes fesses. Je m’abandonnais, je jouissais. Il râlait, arrrh, arrhh. Il me baisait, il me bourrait.

Il gicla. Il était là, suant, en train de se vider en moi.

Il se retira. J’étais là, à quatre pattes. Suante. Alain debout face à moi toujours bien habillé. Et l’homme à la cagoule me tendit la main pour que je me relève. Je tremblais, mes jambes me tenaient à peine.

— Tu es belle, me dit ce mâle masqué, souriant.

Il m’embrassa, écartant de mes yeux mes cheveux collés par la sueur et quitta la pièce. Alain reprit les choses en main. Il me tendit une serviette. Il s’agitait autour de moi. Et moi je restais là, dans un autre monde. Il m’aida à m’habiller. Je l’entendis me dire :

— Aline, je vois que tu as aimé. Tu n’auras donc pas de crainte à revenir chez nous. Tu as aimé ? Aline, Aline, tu ne me réponds pas ?

— Quoi ?

— Tu as aimé ?

— Oui.

— Allez, viens, c’est fini, il va falloir rentrer chez toi.

J’ai retrouvé ma voiture. J’ai roulé. Je suis rentrée chez moi, épuisée. Je me suis jetée sous la douche avant de m’affaler sur mon lit. Qu’avais-je fait ? Vraiment, pourquoi n’avais-je rien dit ? Était-ce cela, le plaisir ? Je ne sais pas. Oui, j’avais ressenti des choses…

Par Hétaire - Publié dans : Eros - essais érotiques
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Dimanche 8 mars 7 08 /03 /Mars 04:56
- Non ! dit vivement Conquette, j’y vais moi-même.

Elle sortit, et, ayant rencontré Rosemauve qui redescendait, parce qu’elle n’avait pas trouvé un vieil oncle assez riche, dont elle recréait l’impotente lubricité, en lui chatouillant le croupion, le scrotum et les testicules ; ce qui le faisait bandocher, la belle Poilsoyeux la mit au fait, obtint son aveu, et l’introduisit.

Les deux filles et les trois hommes étaient nus comme la main. Sans rien dire à la brune Rosemauve, ils se mirent tous cinq à la déshabiller. On lui enleva jusqu’à sa chemise. On lui baigna cul, con, cuisses, pieds… Puis Traitdamour lui dit :

- Ma belle, il faut, en tout, faire comme ma soeur et mon amie.

Aussitôt commença la danse nègre ; où chaque fille faisait tous les mouvements d’une Noire ardente qui fuit le vit dont elle brûle d’être enconnée, que le vit attrape, et qui saccade alors en trémoussant du cul, comme si le vit la fourgonnait. Les garçons poursuivaient les garces le vit en main ; et dès qu’ils les avaient attrapées, elles se retournaient pour l’enconnage, ou ils paraissaient les foutre en levrette ; culetant, criotant, jurotant, comme s’ils eussent perforé les cons. La danseuse prenait le vit, au lieu de la main ; l’homme la saisissait par la barbe du con. Ils se faisaient ainsi tourner de temps en temps.

Je bandais roide. Je fis trousser ma fille au-dessus des reins, et je lui dis :

- Conque de Vénus, imite tous les mouvements de cul et de con que tu vois…

Elle était excitée ; elle se mit au milieu de la danse, et les exécuta rapidement… Traitdamour, me voyant en rut, et ses camarades bien disposés, leur dit :

- Au foutoir…

Il laissa Rosemauve, sa danseuse, qui en parut toute mortifiée !

- Votre tour va venir, ma belle danseuse.

Il étendit ma fille sur le sofa, dont il lui mit un des oreillers sous le cul :

- Allons, ma toute éveillée, dit-il à Rosemauve, gamahuchez-moi ce connin-là, pendant que je vous le mettrai en levrette, ou vous enculerai, à votre choix ?

- On ne dépucelle pas une vierge en levrette (répondit-elle vivement) : encule-moi, s’il le faut, tandis que je gamahucherai ce connin d’amour…

Elle gamahucha la belle épouse de M. Vitnègre avec fureur, et Traitdamour perça sans pitié, par des efforts redoublés, le cul virginal de la gamahuchante. La belle Poilsoyeux appela :

- le vit ! le vit !

Je n’y pouvais plus tenir. Je dérangeai la Rosemauve enculée, pour me précipiter dans le con de ma fille haletante de volupté… J’enconnais vigoureusement, lorsque j’eus la délicieuse surprise de me sentir gamahucher le cul, ainsi que la racine des couilles, par la bouche et la langue veloutées de Rosemauve !… Je cocufiai Monsieur Vitnègre aussi copieusement que si j’avais eu les couilles d’un Dieu !… On abluait.

- Avec la permission de ma déesse (à Conquette), il faut que je m’acquitte avec Rosemauve !…

Tout le monde s’écria :

- Non, non, dimanche ! Je ne les écoutai pas ; j’enfilai la pucelle, qui criota, sanglotina, et ils furent témoins de ma nouvelle victoire. Mais Conquette me gronda sérieusement. On alla souper.

La conversation fut sage, rassise. Brideconnin, sa femme, en étaient édifiés… Mais je ne tarderai pas à les mettre de nos amusements… Au dessert, Traitdamour me demanda une histoire dans le genre de nos amusements ! Je lui donnai à lire une lettre, adressée à Vitnègre, par un de ses trois payeurs, lettre que j’avais trouvée dans une des malles de ma fille.
Par Restif de la Bretonne - Publié dans : Eros - essais érotiques
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