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Un livre sur la sexualité et la vie lors de l'antiquité: Désir et contraintes en Grèce antique. A lire pour en découvrir plus sur les relations homme femme actuelles.
Le mythe d’une société où tous les désirs étaient acceptés, y compris, surtout, l’homosexualité — enfin, la pédérastie — traîne encore dans l’imaginaire occidental. Or, malgré les sempiternelles références à la civilisation mère de toutes les civilisation, les Grecs restent pour nous un mystère, ou plutôt un "monde exotique", comme l’aborde avec finesse John J. Winkler dans "Désir et contraintes en Grèce ancienne", publié en 1990 juste avant sa mort, et traduit cette année en France chez Epel.
Mort du sida en 1990, John J. Winkler fut moine bénédictin avant de s’engager dans les luttes féministe et gay, et de devenir enseignant et chercheur à Yale puis à Standford. Avec une grande érudition, s’appuyant sur des textes anciens — publiés en annexe — mais aussi sur les travaux de ses prédécesseurs (Foucault en tête), il effectue une analyse du discours des Anciens sur la sexualité, dans l’intention d’y déceler les traces de la réalité. Il parvient alors à distinguer les "figures" des genres, de l’hoplite (citoyen assez riche pour s’offrir un équipement de soldat, idéal de la virilité) au kinaidos (son contre-modèle qui pourtant n’a pas grand-chose à voir avec nos "folles").
Il dissèque et retourne avec subtilité le rôle des femmes, dont le statut était certes inférieur à celui de l’homme, mais qui savaient aussi trouver des stratégies pour se jouer des normes et trouver une certaine autonomie. Il met ainsi en évidence un ordre sexuel étroitement lié à un ordre social qui n’a rien à voir avec la "nature", et des contraintes puissantes auxquelles sont astreints dominants comme dominés. Il ne s’agit pas là d’un livre d’histoire mais d’un livre à partir d’histoires, qui en disent long, y compris sur nous.
tim madesclaire - John J. Winkler, " Désir et contraintes en Grèce antique ", Epel, 44 euros.
Petite news sans conséquence: Les riches ont plus de désir sexuel! Selon une enquête britannique réalisée auprès de 500.000 sujets, les personnes les plus riches auraient davantage de pulsions sexuelles que les moins fortunés!
La chaîne britannique BBC 1 a entrepris ce sondage pour son émission intitulée 'Secrets de sexe'. L'enquête nous éclaire également sur les différences homme-femme en matière de sexualité. Elle révèle que les hommes croient plus au coup de foudre que les femmes et que 69% de ces dernières estiment que les sentiments vont de paire avec les rapports sexuels contre 47% des hommes. Au cours des cinq prochaines années, les femmes espèrent avoir en moyenne deux amants tandis que les hommes 3,4... A méditer!
Un petit article suite à ce buzz venant des profondeurs du net. J'avoue mon incompétence consolistique et je dois avouer que sans emails de votre part, je serais passée à coté de cette info.
Où l'on découvre que vraisemblablement des programmeurs lubriques se sont fait plaisir en ajoutant des options adultes dans Grand Theft Auto(GTA): San Andreas. Le boss dans son bureau vitré doit en être tout retourné. Bande de petit c….. A moins bien sur, que marketing oblige cette option viagra est été placée la juste pour faire vendre.
Pour le plaisir des joueurs maintenant et dévoilé récemment sur le net ce mode appelé hot coffee semble avoir toutes les qualités pour réjouir les joueurs et joueuses qui commençaient à trouver les poursuites avec la police tristounettes. Snif, monsieur n'enlève rien, ah ces développeurs, pensez à nous!
Allez ne passez pas toutes vos journées devant l'écran, le réel c'est bien plus fun.
Pour augmenter naturellement la fertilité, on recommande souvent aux hommes de sabstenir de toute relation sexuelle pendant trois jours, juste avant lovulation. Lexplication est de bon sens : le stock de spermatozoïdes « frais » fabriqués par les testicules est renouvelé en continu tous les trois jours. Si vous avez des relations sexuelles trop fréquentes, vous épuisez théoriquement les réserves, et le sperme contiendra de moins en moins de spermatozoïdes.
Mais des chercheurs israéliens viennent de montrer que dans la pratique, il en va bien autrement. Ils ont prélevé 9 500 échantillons de sperme après différentes durées dabstinence, le tout provenant de plus de 6 000 hommes. Résultat, chez les hommes qui nont pas de problèmes particuliers, la concentration en spermatozoïdes reste plus faible durant les deux premiers jours dabstinence, puis remonte progressivement pour arriver à un maximum au bout de sept jours... Mais la vigueur des spermatozoïdes (la mobilité) est optimale dès le premier jour. Plus intéressant, les chercheurs ont découvert que 3 500 échantillons de sperme avaient de faibles concentrations en spermatozoïdes. Chez cette proportion importante dhommes, cest plutôt après un seul jour dabstinence que lon trouve un taux maximal de spermatozoïdes mobiles. Après, cela semble retomber. Pour eux, il semble donc essentiel davoir un jour dabstinence, pas plus, avant davoir de nouvelles relations sexuelles.
Mais comment savoir si vous faites parties des riches ou des pauvres « en spermatozoïdes » ? Les plus inquiets peuvent réaliser un spermogramme. Les autres peuvent opter pour les relations sexuelles tous les un à deux jours, méthode qui statistiquement devrait leur assurer une paternité dans les prochains mois... Mais noubliez pas néanmoins que faire lamour doit rester un plaisir, pour vous et votre partenaire !
Source : Fertil Steril, juin 2005 ; vol. 83 : p. 1680-1686
Un article trouvé sur le net pour poursuivre une discussion deja bien entamée sur ce site.
En mettant de l'ordre dans l'antre de votre fils, vous tombez sur un journal débordant de femmes dans des postures que la morale ne photographie pas ou sur un DVD au titre peu poétique. Eh oui, votre ado de 14 ans planque un magazine ou film pornographique sous son matelas. Que faire? D'abord, arrêter de farfouiller dans sa chambre: Kevin a droit à son jardin secret!
Ensuite, le plus surprenant est d'être surpris! «A 12 ans, une minorité a déjà vu un film pornographique. A 15 ans, tous savent de quoi il retourne», raconte Karine Gavillet, qui enseigne l'éducation sexuelle aux jeunes Vaudois pour la Fondation Profa. Magazines et DVD ne sont pas bien difficiles à se procurer et l'accès à la pornographie via Internet est d'une simplicité enfantine. De plus, le sexe s'affiche partout: dans la publicité, dans les clips musicaux, dans le film érotique de RTL9. Kevin n'y échappera pas. «L'exceptionnel devient la norme, et sert d'exemple, relève le psychiatre et sexologue genevois Willy Pasini. Les hommes se rasent pubis et testicules comme les acteurs de X et Rocco Siffredi joue dans des films grand public...»
La pornographie imprègne le vocabulaire et l'imaginaire des ados qui explorent leur sexualité. «Elle banalise des pratiques sexuelles telles les partouzes, fellations ou sodomies, note Karine Gavillet, et distille une obsession de la performance.» Et l'animatrice en éducation sexuelle de se souvenir d'une question posée sur ciao.ch, un site d'info pour ados: «J'ai 13ans et j'aimerais savoir comment bien faire des pipes pour avoir bonne réputation dans le quartier»...
La pornographie - un pur reflet de fantasmes masculins - chosifie la femme et réduit la sexualité à son aspect purement mécanique, en escamotant sa dimension émotionnelle. «Surtout, elle tue l'imaginaire érotique», ajoute Karine Gavillet. Pour évoquer ces dangers, les parents se doivent d'instaurer le dialogue avec subtilité, sans braquer leur rejeton en le questionnant sur son intimité. «Sans prescrire, non plus», note Willy Pasini. Pourquoi, par exemple, ne pas s'appuyer sur une affiche fortement sexuée pour entamer une discussion. Pour remarquer que les prouesses répétées des acteurs de X ne correspondent pas à la réalité d'un rapport sexuel. «Ou pour expliquer, note Willy Pasini, qu'il existe une sexualité séparée du coeur.»
«Les parents ont aussi le droit de se dire choqués par une image, de poser des limites, remarque Karine Gavillet. D'interdire un poster trop suggestif, d'installer un filtre Internet. L'important est toutefois d'en discuter: si l'on s'interdit d'en parler, le sujet devient tabou.» La surconsommation de matériel pornographique inquiète: «Il existe de vraies addictions.» Pourtant, Karine Gavillet tient à dédramatiser: «S'intéresser à la pornographie fait partie des transgressions normales à l'adolescence. L'on se rend vite compte que la majorité fait la distinction entre une scène de X et un rapport de couple dans la vraie vie.»
Dans Le couple amoureux (Ed. Odile Jacob), Willy Pasini prône d'ailleurs l'éducation sentimentale. «Aujourd'hui, les adolescents en savent beaucoup sur le sexe, mais ils sont plutôt démunis émotionnellement. Les parents devraient aborder en priorité des thèmes comme la jalousie, ou évoquer le temps du flirt, cette période qui précédait auparavant toute relation charnelle.» Mais pas d'inquiétude: malgré la virulence des mots et le choc des photos, le sexologue croit constater que les ados redeviennent romantiques.
Renaud Michiels / www.migrosmagazine.ch
From: le nouvel obs et les news.
La Cour suprême des Etats-Unis a jugé lundi que les sites déchange gratuit de fichiers numériques de musique et vidéo peuvent être tenus responsables de piratage des droits dauteur par les internautes. La Cour suprême, qui rendait son arrêt dans laffaire connue sous le raccourci MGM vs Grokster, sest ainsi rangée à lunanimité du côté de lindustrie du divertissement dans son combat contre le piratage en ligne.
Laffaire opposait 28 maisons de disques et studios de cinéma aux exploitants de Grokster et Morpheus, deux sites déchanges de fichiers dits peer-to-peer (P2P, de pair à pair, directement entre ordinateurs), devenus populaires dans la foulée de la fermeture de Napster en 2001.
En définitive, les neuf juges de la plus haute juridiction américaine ont estimé à lunanimité que les exploitants des logiciels P2P violent la loi fédérale sur le copyright quand ils fournissent aux usagers dordinateurs les moyens déchanger les fichiers de musique et de films téléchargés sur internet.
«La question (était de savoir) dans quelles circonstances le distributeur dun produit pouvant être utilisé à la fois légalement et illégalement peut être tenu responsable des actes de violation du copyright par des tierces parties», a écrit le juge David Souter en rendant publique la décision. En substance, lui et ses huit collègues ont estimé que ce distributeur pouvait effectivement être tenu responsable.
La Cour a jugé quil y avait «des preuves substantielles en faveur de MGM» sur les motifs de la saisie, à savoir que la technologie du P2P était promue dans le but dinciter les internautes à faire des copies non autorisées de chansons ou de films. La Cour suprême est allée à lencontre dun jugement rendu en août 2004 par une cour dappel fédéral, qui avait confirmé une première décision favorable à Grokster et Morpheus datant du printemps 2003.
Les neuf juges de la plus haute juridiction américaine ont estimé à l'unanimité que "les développeurs de ces logiciels (P2P) violent la loi fédérale sur le copyright quand ils fournissent aux usagers d'ordinateurs les moyens d'échanger les fichiers de musique et de films téléchargés sur l'internet", selon le texte de la décision.
La Cour suprême est allée à l'encontre d'un jugement rendu en août 2004 par une cour d'appel fédéral, qui avait confirmé une première décision favorable à Grokster et Morpheus datant du printemps 2003.
Plus de news: Claque pour le peer-to-peer
Par Florent LATRIVE
mardi 28 juin 2005 (Liberation - 06:00)
Les services de peer-to-peer peuvent-ils être tenus responsables pour les actes des millions de «pirates» qui se gavent de musique et de films gratuits grâce à eux ? Oui, s'ils encouragent activement ces atteintes au droit d'auteur, ont répondu hier à l'unanimité les neuf juges de la Cour suprême américaine, offrant ainsi une importante victoire aux majors de la musique et à Hollywood. Cette décision, l'une des plus attendues depuis le procès du magnétoscope dans les années 80...
Big money,
Big system,
Big fame,
Big brother
from: Stereo Total, I Love You Ono
Un article intéressant, je pense. Vous me direz ce que vous en pensez. Je n'ai pas mis d'illustration pour garder le style de l'article. C'est article n'est pas de moi vous trouverez toutes les références à la fin. Bonne lecture et bonne fête de la musique.
Ils n'ont pas encore eu de relations sexuelles, mais ils veulent tout savoir. Quoi de mieux que de regarder un film XXX? Un nouveau livre sur la question s'inquiète des conséquences de cet apprentissage maison. La pornographie est en train de devenir le mode d'emploi amoureux des adolescents. On y voit tout ce que l'on veut voir et c'est facile à trouver. Mais attention! la leçon privée peut s'avèrer incomplète et... perverse.
Coauteure de Alice au pays du porno. Ados: leurs nouveaux imaginaires sexuels, paru il y a quelques semaines, Michela Marzano, philosophe et chercheuse française au CNRS (Centre national de la recherche scientifique), trace un portrait inquiétant de l'impact qu'a la pornographie sur le développement de la sexualité des adolescents.
Il y a eu une évolution de la sexualité des jeunes, note-t-elle d'emblée, en entrevue téléphonique de Paris. «Avant, ils avaient peur d'en parler. Aujourd'hui, ils craignent de ne pas être à la hauteur.» Ils sont alors en quête d'informations. Ne voulant pas se tourner vers leurs parents et considérant que ce qu'on leur enseigne à l'école ne répond pas à leurs questions, ils cherchent ailleurs; imaginant trouver des réponses dans les produits de l'industrie XXX.
Pas un phénomène isolé
La consommation adolescente de pornographie n'est pas un phénomène isolé. «En effet, 99,9 % des adolescents en ont regardé plusieurs fois», s'alarme Michela Marzano. Nul besoin d'être un crack de l'informatique ou d'avoir des contacts pour se rincer l'oeil. Il est facile d'en trouver. Les sources sont nombreuses. Que ce soit à la télévision, sur les chaînes spécialisées auxquelles leurs parents sont abonnés, dans la vidéothèque particulière de ceux-ci, sur Internet ou dans les sex-shops, le choix est vaste.
Ce qui inquiète également la chercheuse, c'est la précocité du premier contact. Selon l'étude qu'elle a menée, 58 % des garçons et 45 % des filles ont vu leur premier film porno entre 8 et 13 ans. «L'accès est trop facile, ils tombent souvent par hasard sur ces images», prévient-elle.
Alors qu'ils n'en sont qu'aux balbutiements de leur vie amoureuse, le principal danger de ce contact virtuel avec le sexe est une distorsion de la réalité.
Près de 68 % des adolescents regardent de la pornographie par curiosité ou en croyant qu'ils pourront apprendre quelque chose. «La pornographie est devenue une source de renseignements. Mais c'est faux, prévient-elle. Il s'agit d'une représentation stéréotypée et codifiée de la sexualité.»
Résultat: il n'y a plus de liberté propre à la masculinité et à la féminité. «Les bases de la sexualité reposent sur la capacité d'avoir des fantasmes. Mais ils oublient ou ne savent pas qu'ils peuvent aller au-delà de ce qu'ils ont vu.» L'imaginaire sexuel est alors bloqué.
Risque de déconvenues
Filles et garçons ne réagissent pas de la même façon. Constatant le plaisir que semblent tirer les actrices de leurs relations sexuelles, les filles peuvent avoir l'impression que leur partenaire ne les satisfait pas pleinement. Mais l'évidente exploitation de la femme comme objet les embarrasse. «Les adolescentes ne savent alors plus à quoi s'attendre de la sexualité.»
Les garçons, quant à eux, font une distinction entre la fille facile (des vidéos) et celle qu'ils veulent aimer. Considérant le sexe comme quelque chose de sale (qu'ils associent aux filles aux moeurs légères), ils peuvent avoir de la difficulté à vivre une relation amoureuse épanouie.
L'adolescent qui a «appris» par la pornographie risque aussi d'avoir des déconvenues lorsque le «grand jour» viendra. Se fiant à ce qu'il a vu, il sera surpris quand sa partenaire lui refusera ce qu'il croyait normal. «Il peut alors vouloir s'isoler ou forcer la relation par la violence.»
Il y a également un risque de banaliser des comportements extrêmes. Les scènes de viol collectif sont traitées comme la normalité. «Ça peut amener l'adolescent à ne plus se rendre compte que ce qu'il fait n'est pas normal.»
L'effet pervers de la distorsion de la réalité que provoque la pornographie est entretenu par l'aspect réel des films. Les adultes qui consomment de la pornographie savent que ce qu'ils regardent n'est pas une représentation de la réalité. L'affaire est plus délicate dans le cas des apprentis amoureux. La pornographie laisse planer une ambiguïté. Fiction et réalité y sont mélangées.
Même si les adolescents savent qu'il s'agit d'un film, ce n'est pas suffisant. «Comme on voit les parties génitales et même l'éjaculation, qui sont réelles, cela amène de la confusion.» L'histoire serait fictive, mais les relations sexuelles conformes à la réalité.
Les parents sont rarement considérés par leurs enfants comme la ressource à aller consulter quand vient le temps de trouver des explications sur la sexualité. Mais si leur enfant leur pose des questions à ce sujet, il ne faut pas qu'ils tombent dans la censure, croit Michela Marzano. Ils doivent avoir l'honnêteté de répondre.
Les adultes doivent les aider à faire la part des choses entre la réalité et la fiction. Ils doivent leur apprendre que le désir n'est pas une sorte de besoin. «Ce n'est pas comme un morceau de pain que l'on mange et élimine par la suite. Le désir, c'est de se rendre compte qu'on a un manque et que l'autre est là pour nous accompagner.» Les adolescents vont vers la pornographie pour se renseigner. Il faut donc les rassurer en les informant, «mais sans se limiter au biomédical. Ils veulent surtout qu'on les rassure sur leur façon de se comporter avec les autres.»
Mais attention: «Il n'y a pas de recette.» Si on en proposait une, on retomberait dans le piège de la porno en fixant des limites à ce que doit être la sexualité.
Alice au pays du porno. Ados: leurs nouveaux imaginaires sexuels, Questions de familles, Éditions Ramsay, 2005, 250 pages.
Christian Geiser, collaboration spéciale, La Presse
http://www.matin.qc.ca/divers.php?article=20050620100532
Le risque de contamination par le virus du sida est souvent sous-estimé. La fellation serait pourtant responsable de près de 8 % des infections.
Certaines études effectuées depuis 1998 ont conclu que bien que peu communes, les contaminations par fellation nétaient pas négligeables.
Les campagnes de prévention se sont concentrées sur la transmission par voie vaginale et anale, qui représentent 90 % des infections. Cependant, il apparaît aujourdhui que la transmission par fellation nest pas négligeable et est plus importante que prévue, en particulier à cause de la généralisation de fellations sans préservatif. Des cas dinfections3 par cunnilingus ou anulingus ont même été rapportés.
Mais le sida nest pas le seul danger, dautres maladies sexuellement transmissibles peuvent également être transmises par fellation parmi lesquelles la syphilis, les gonorrhées, lhépatite B ou lherpès.
Plus d'infos sur: http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag0720/sa_4307_fellation.htm
Ipsos a mené pour Bayer HealthCare en avril 2005 une enquête dans cinq pays européens : la France, lAllemagne, lAngleterre, lEspagne et lItalie, sur «les hommes et leur sexualité». Elle a permis de révéler que 44% des Européens de plus de 40 ans souhaitent améliorer leur vie sexuelle.
Les conclusions de cette enquête inédite révèlent que les hommes âgés de plus de 40 ans vivant une relation stable sont particulièrement soucieux de satisfaire leur partenaire et éprouvent parfois une certaine nostalgie vis-à-vis de leur vie amoureuse passée. Cette catégorie d'hommes, dénommée « Vitalsexuels », refuse la fatalité du vieillissement sexuel.
« Le « Vitalsexuel » que cette étude permet de faire émerger, correspond à une catégorie d'hommes que nous rencontrons de plus en plus souvent en consultation ; désireux de conserver une vie sexuelle épanouie, il souhaite même retrouver l'intensité de la vie amoureuse qu'il avait dans sa jeunesse et cherche des solutions pour y remédier » , déclare le Docteur Sylvain Mimoun, Gynécologue, andrologue et directeur du centre d'Andrologie de l'Hôpital Cochin à Paris.
Concrètement, le « Vitalsexuel » est un homme de plus de 40 ans, assez actif et qui accorde une grande importance à son épanouissement amoureux et à sa vie sexuelle. La satisfaction de sa partenaire et le désir de lui plaire constituent des enjeux essentiels à ses yeux. E nclin à vivre une relation amoureuse stable avec sa compagne, il privilégie la spontanéité dans sa relation amoureuse. Il aspire à mener une vie amoureuse active et satisfaisante aussi longtemps que possible avec sa partenaire actuelle.
Le contact:
Laïla Idtaleb Directrice d'Etudes - Ipsos Public Affairs
La présentation: Comment les hommes européens vivent-ils leur sexualité ?
http://www.ipsos.fr/CanalIpsos/articles/1595.asp?rubId=21
Comme vous l'avez devinée, je ne suis pas une fan de la fausse pudeur Made in US. Voici que pour une fois Miss Britney Spears provoque dans le bon sens, prend a rebrousse poil l'Amérique profonde. Après avoir supporter W. Bush voir le film de Mickael Moore Farenheit 911, après avoir été la vierge la plus médiatisée des Etats-Unis. La voila mariée, ouf, soulagement pour les puritains maintenant elle peut profiter des males sans mal.
Encore faudrait elle qu'elle le fasse hors caméra. Si son baisé aux MTV awards était restée une anecdote, un instant de show chaud, cela n'avait pas fait tant de vagues que cela. L'Amérique a tellement dis regardes Britney, restes vierge comme Britney, que ce qu'elle a montré dans Chaotic en a choqué plus d'un.
En effet, le network UPN, dévoile la vie du couple façon télé réalité filmé à l"épaule.
Si tous commence sagement, visite d'appart et image chaotique, cela dérape vite. On découvre la blonde demander a son mari de laisser tomber la tournée à laquelle il participe pour en anglais dans le texte "to just fuck all day". Là on découvre une Britney nature, posant la questions a ses amis de plateau Quelle est votre position préférée ? Elle s'abstient juste de répondre. Je suis sur que ses fans seront déçu ;-)
Oh Mon Dieu a-t-on entendu en Louisiane. Et moi je dirais vive le naturel, lâchez vous.
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